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[pop-up] urbain

Paris: pour qui fait-on la ville sans voiture? | Slate.fr - 0 views

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    "Car s'arrêter au discours sur la ville éco-citoyenne, festive et inclusive quand on évoque la place de la voiture en ville et à Paris en particulier passe à côté d'enjeux économiques et urbains importants. Dans un ouvrage paru en 2013, Nouvelles idéologies urbaines, dictionnaire critique de la ville mobile, verte et sûre, les auteurs (Hélène Reigner, Thierry Brenac et Frédérique Hernandez) débusquent justement quelques-uns des poncifs et des «adjectifs-sésame» de l'urbanistiquement correct, des «zones de rencontre» à la «ville lente», sans oublier bien entendu les politiques visant à «libérer la ville de l'automobile». Selon eux (entrée «Automobile» du dictionnaire), les enjeux autour de la place de la voiture en ville «se sont pas solubles dans [le] clivage opposant caricaturalement les conservateurs défenseurs de l'automobile et les anti-voitures progressistes.» La question n'est donc absolument pas, rappellent-ils, d'être «pro» ou «anti» automobile. Posée de la sorte, l'alternative n'a aucun sens. L'enjeu de santé publique est grave et personne ne le nie."
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Un camion, bientôt un cinéma ! - makhnovtchina - 0 views

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    "Parcours, repérages et expérimentation avec les « mobiles » menés en Normandie, carrefour de deux grands projets de métropolisation (ville de Rouen et le Grand Paris) mais aussi dans d'autre espaces de l'Europe de l'ouest. Les articles relatifs aux territoires sur lesquels la caravane Makhnovtchina s'est arrêtée plus longuement sont accessibles sous les onglets des villes. ♦ Un camion, bientôt un cinéma ! Par Misia Forlen, vendredi 20 novembre 2015 , Western :: #283 Le camion cinéma MKN-VAN est un des outils mis en place par Echelle inconnue pour poursuivre son travail de recherches et de créations sur le projet Makhnovtchina, la ville mobile. En cours de transformation au lycée professionnel Augustin Boismard, ce camion parcourra ensuite les routes normandes, et au-delà, pour diffuser les films que nous réalisons avec des personnes habitant de manière mobile et légère. La matière récoltée à un endroit sera diffusée dans un autre. Ainsi, dans les rails du train-cinéma de Medvedkine, le camion-cinéma MKN-VAN aura pour objectif de rapprocher des situations de mobilité les unes des autres. "
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L'avenir des transports collectifs gratuits : aujourd'hui Dunkerque, demain P... - 0 views

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    "Alors évidemment cette augmentation de la fréquentation s'est accompagné de nouveaux usagers qui se sont mis à utiliser le bus. Quels sont ces nouveaux usagers, en tout cas tel qu'on a pu les observer dans le bus ? Il y a tout d'abord, effectivement, un public de personnes en grandes difficultés sociales, précaires on va dire, qui se sont mis à utiliser le bus parce qu'il était gratuit. On a également un public de jeunes, on va dire 16-25 ans, qui s'est également mis à utiliser le bus le week-end de manière plus intensive, notamment en mentionnant la plus grande liberté qu'offrait la gratuité des bus pour ces jeunes et pour leur activité récréative le week-end, comme se rendre au cinéma ou rejoindre des copains en centre-ville. Mais on a également, et c'est ça peut-être l'enseignement le plus intéressant par rapport à la sociologie des nouveaux usagers des bus à Dunkerque, on a également des personnes âgées - souvent des personnes âgées isolées - qui vont prendre le bus uniquement pour sortir, pour prendre l'air, pour redécouvrir leur ville comme ils ont pu nous le dire dans des entretiens, et pour également retisser des liens sociaux à la fois dans le bus parfois, ce qui est étonnant, et puis à la fois avec leur réseau d'amis et de famille. Et puis on a un public de familles qui là, c'est quelque chose de très intéressant, qui vont se mettre à prendre le bus en lâchant leur voiture. Pourquoi ? Parce que lorsqu'ils venaient en centre-ville le week-end avec leur voiture, ils étaient contraints par le stationnement notamment automobile. Donc il faut payer, on a des horaires contraints… La gratuité du bus va les affranchir de cette contrainte horaire et de stationnement qui représente aussi un coût. Et donc on a un public familial qui va de nouveau prendre le bus pour des activités de loisir le week-end. Ce public familial qui abandonne la voiture le week-end pose la question du report modal en
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Monter sur un porte-bagage : le vélo-stop - SoonSoonSoon - 0 views

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    "Mieux qu'un vélo en libre service, voici le porte-bagage gratuit sur lequel il suffit de s'asseoir pour parcourir la ville en compagnie d'un bel et sombre inconnu. C'est en Hollande que ça se passe. Dans la ville d'Utrecht précisément, où l'Union des cyclistes hollandais et l'artiste Mapije de Wit se sont associés pour encourager la solidarité mobile entre cyclistes et piétons, avec le projet Fiets Lift Plaats. Un peu partout sur les trottoirs, ils ont installé des panneaux encourageants les propriétaires de vélos à prendre des piétons en stop : vous n'avez qu'à lever le pouce à l'endroit signalé et le cycliste qui le souhaite pourra vous embarquer alors sur son porte-bagage. Et c'est parti pour un trajet gratuit dans la ville en compagnie d'un cycliste qui habite le quartier ! Bien qu'elle ait apprécié l'initiative, la mairie a fait hélas retirer tous les panneaux déposés sans autorisation préalable sous prétexte qu'ils étaient installés à des endroits dangereux. Le concept pourrait néanmoins revenir sous peu, mieux encadré cette fois."
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Grandir en dehors des villes permet d'avoir un meilleur sens de l'orientation | Slate.fr - 0 views

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    "Pour certain·es, trouver son chemin est une galère au quotidien. Scotché·e sur son GPS à chaque sortie, on finit par se demander ce que l'on a fait pour mériter un aussi piètre sens de l'orientation. La réponse se trouve peut-être dans notre enfance, et plus particulièrement dans le village ou la ville où l'on a grandi. Passer son enfance à la campagne, ou du moins en dehors des grandes villes, augmenterait notre faculté à avoir un bon sens de l'orientation, avance une étude réalisée entre autres par le Laboratoire des sciences du numérique de Nantes et pré-publiée sur le serveur biorxiv. Pour mener cette étude, l'équipe de recherche s'est appuyée sur le jeu vidéo mobile Sea Hero Quest, conçu avec l'Alzheimer's Research UK pour dépister certaines maladies, dont celle d'Alzheimer et des cas de démences. Sur ce jeu en réalité virtuelle, le joueur ou la joueuse est dans la peau d'un marin à la barre de son navire. Avant de se lancer sur les flots, il faut mémoriser une carte de la mer pour ensuite essayer d'arriver le plus rapidement possible à différents points de contrôle, en suivant un ordre précis. Les scientifiques ont étudié les données de près de quatre millions de personnes ayant pratiqué ce jeu, âgées de 19 à 70 ans et provenant de trente-huit pays différents. La «performance d'orientation» était définie en mesurant leur efficacité à franchir les différents niveaux d'orientation. Les résultats ont ensuite été croisés avec les données démographiques des sujets, dont leur âge, leur sexe, leur niveau d'éducation et leur lieu de"
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La ville trépidante est devenue besogneuse - L'interconnexion n'est plus assurée - 0 views

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    "Immobilité citadine. La crise, on s'en doutait, a considérablement modifié les habitudes. Bien sûr, pendant le confinement, au printemps, les déplacements quotidiens s'étaient taris. Depuis, ils ont repris de plus belle, mais pas uniformément. « Dans les territoires ruraux, on constate un retour à une situation quasi normale, avec, en septembre, 97% des déplacements par rapport à février. Dans les villes, on ne retrouve que 93% des déplacements habituels, et dans les métropoles de plus d'un million d'habitants, la mobilité n'est revenue qu'à 84% de la normale », constate David O'Neill, directeur exécutif « études et conseils » de Kisio. Ainsi, le citadin hypermobile est devenu sédentaire, ou a quitté la ville, tandis que le campagnard réputé (à tort) moins mobile continue de se déplacer autant qu'avant. Ce décalage est encore plus criant en Ile-de-France, un mastodonte de 12 millions d'habitants, cinq fois plus peuplé que la deuxième agglomération française, celle de Lyon. Dans le cœur de la région, dominé par l'activité culturelle et touristique, « la baisse de fréquentation atteint 30% à 50% » par rapport à février, précise David O'Neill. "
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Mobilité : le bus qui prend la tête d'un musée - Influencia - 0 views

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    "Baptisé MuMo, ce bus-musée itinérant est unique en son genre. Sa deuxième version a pour vocation de déplacer l'exposition« Exquis » du Fonds Régional d'Art Contemporain de ville en ville. Son design pensé comme un cirque par Matali Crasset pourrait inspirer d'autres communications mobiles différenciantes…   Ultra mobile, design, gratuit, support événementiel et maillon territorial autour d'une seule mission mais de la plus haute importance : faciliter la rencontre des enfants avec des œuvres d'art en milieu rural ou dans les zones sensibles. Tel est le concept utilitaire, généreux et séduisant du bus-musée imaginé par Ingrid Brochard. Tellement attrayant que depuis son lancement en 2010, MuMo (pour Musée Mobile) n'a pas chômé avec 270 étapes dans 7 pays d'Europe et d'Afrique et 68 000 enfants accueillis qui ont pu découvrir les œuvres d'une vingtaine d'artistes de la scène contemporaine internationale.  "
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[pop-up] urbain » Transperceneige et le train du futur : combien de divisions ? - 0 views

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    "L'idée d'un véhicule condamnée à se déplacera rappellera par exemple le Monde inverti (« La cité ne pouvait pas rester immobile. Elle était condamnée à se déplacer sans cesse… »), superbe ouvrage de science-fiction écrit par Christopher Priest en 1974, et à propos duquel Nicolas Nova avait écrit ceci : Tout comme la ville décrite dans Le Monde Inverti, les projets [d'Archigram tels que la Walking City en 1964] proposent des mégastructures zoomorphiques nomades suivant "les flux de l'événement et de la circulation de l'information". Si l'idée de cité itinérante semblait être dans l'air du temps à cette époque, la terminologie de "ville mobile" fait aujourd'hui plus penser à l'intense mouvement des habitants des environnement urbains en leur sein. Néanmoins, gageons qu'au fil du temps, nous reverrons certainement surgir des nouvelles propositions de cités nomades basées sur les technologies de notre époque."
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Perpetuum mobile | Urbain, trop urbain - 0 views

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    "Un simple citadin prend la rocade, et embarque avec lui tout ce qui fait tourner les voitures dans la ville et autour de la ville. L'installation vidéo Perpetuum mobile (15min) s'intéresse aux boucles du périphérique toulousain : boucles électromagnétiques, régulations du poste de contrôle, flux du pétrole et particules fines… trois récits entrelacés qui relient tout conducteur aux mouvements du monde."
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Municipales 2020 : pourquoi la piétonnisation des centres ne suffit pas | For... - 0 views

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    "Il est urgent de sortir du modèle centre-périphérie dominant, qui implique un centre-ville attractif et apaisé, lieu de destination accessible en voiture par des infrastructures rapides. Un autre modèle est possible, plus polycentrique, où la lenteur n'est plus l'apanage du centre piéton, où vitesse et voiture ne sont plus indispensables, où de nouveaux modes de vie plus en proximité peuvent se déployer dans tous les territoires, des modes de vie dans lesquels la marche et les modes doux auraient toute leur place. À l'heure où les émissions de gaz à effet de serre liées au transport continuent d'augmenter et où la lutte effective contre le changement climatique est toujours repoussée, il est temps que les villes ne se contentent pas de brandir des revendications d'écologie en piétonnisant leur centre, mais participent effectivement à cette lutte en repensant en profondeur leur modèle territorial et en faisant - enfin - rentrer la marche dans le champ des politiques publiques de mobilité."
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TRANSIT-CITY / URBAN & MOBILE THINK TANK: ET SI ON PASSAIT DU CYCLABLE AU PÉD... - 0 views

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    "Aujourd'hui, le vélo a tout bouffé. Dès que l'on évoque les mobilités douces et sportives, ressort immédiatement "le vélo". Un peu comme si le vélo était la seule réponse aux enjeux écologiques et de santé du monde urbain du XXI° siècle. C'est évidement faux, il a bien d'autres réponses - voir, là ou là notamment. Aujourd'hui, la bataille du vélo est gagnée, ce n'est plus une bataille sauf de façon ultra-locale. Il faut maintenant élargir le combat et la bataille pour les trans-sports ® et la motri-cité ®. Certains axes développement pour les mobilités actives sont totalement oubliées, notamment les cours d'eau au coeur des villes. Il était quand même sidérant lors des grèves de décembre 2019 à Paris de voir des axes routiers et cyclistes totalement saturés alors que la Seine était, elle, totalement vide !! Voir là et là. Aujourd'hui, la bataille c'est de montrer que les moyens de trans-sport ® sont très nombreux et pas assez intégrés à la pensée politique, celle qui pense la cité de demain.  C'est pour cette raison que nous avons lancé en juin 2019, notre River Trans-Sport Project ® destiné à renouveler la pensée mobile et prospective sur les fleuves et les rivières. C'est pour cette raison, que nous avons organisé "Et si on organisait une reconquête sportive de la Seine ?" Et c'est pour cette raison toujours que Transit-City organise avec de nombreux partenaires l'Odyssée sur la Seine à Paris en septembre 2020 - "Et si l'Odyssée changeait le regard sur la Seine ?" L'une des hypothèses que nous faisons, et qu'en 2027 les heures de pointes parisiennes pourraient ressembler à cela. Mais cette démarche suppose aussi de repenser autrement ce qui peut circuler sur l'eau en ville de manière écologique et sportive. Cela suppose de casser certaines de nos grilles de lecture. Poser la question autour du cyclable au pédalable fait partie de cette démarche. Cela permet d'ouvrir la réfl
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L'Autre Monde ou les États et Empires de la Lune - Cyrano de Bergerac - Googl... - 0 views

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    Nos cités, ô mon cher compagnon, se divisent en mobiles et en sédentaires ; les mobiles, comme par exemple celle où nous sommes à présent sont construites ainsi : L'architecte construit chaque palais, ainsi que vous voyez, d'un bois fort léger, y pratique dessous quatre roues ; dans l'épaisseur de l'un des murs, il place des soufflets gros et nombreux et dont les tuyaux passent d'une ligne horizontale à travers le dernier étage de l'un à l'autre pignon. De cette sorte, quand on veut traîner les villes autre part (car on les change d'air à toutes les saisons), chacun déplie sur l'un des côtés de son logis quantités de larges voiles au-devant des soufflets ; (…) leurs maisons en moins de huit jours, avec les bouffées continues que vomissent ces monstres à vent et qui s'engouffrent dans la toile, sont emportées, si l'on veut, à plus de cent lieues. Voici l'architecture des secondes que nous appelons sédentaires : les logis sont presque semblables à vos tours, hormis qu'ils sont de bois, et qu'ils sont percés au centre d'une grosse et forte vis, qui règne de la cave jusqu'au toit, pour les pouvoir hausser ou baisser à discrétion. Or la terre est creusée aussi profonde que l'édifice est élevé, et le tout est construit de cette sorte, afin qu'aussitôt que les gelées commencent à morfondre le ciel, ils descendent leurs maisons en les tournant au fond de cette fosse (…). Mais aussitôt que les douces haleines du printemps viennent à le radoucir, ils remontent au jour par le moyen de cette grosse vis dont j'ai parlé.
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Promener un jardin sur son porte-bagage - SoonSoonSoon - 0 views

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    "En Chine, il suffit d'avoir une bicyclette pour pouvoir cultiver son petit bout de terrain ! Et de le promener fièrement aux quatre coins de la ville. On vous avait déjà parlé il y a quelques temps du nouveau concept testé - avec succès - par les équipes de People's Architecture of China : une "maison-vélo" grâce à laquelle les travailleurs pouvaient s'installer la semaine près du bureau ou de l'usine, avant de regagner leur domicile le week-end. Eh bien ces mêmes architectes ont conçu l'accessoire indispensable pour rendre cette vie mobile plus verte : un "jardin-vélo" que l'on tire à l'arrière de son deux roues. Un couple peut ainsi se partager les tâches : monsieur p"
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#SmartCity : Le Protobus, un bus qui transporte l'innovation jusqu'aux citoyens - Maddy... - 0 views

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    "Si l'innovation est en marche, elle n'est pas encore en mouvement. Transdev et l'EPA Paris-Saclay s'allient pour développer un bus qui transformera la ville avec le citoyens.  Transdev et le Proto204, le laboratoire d'innovation urbaine de l'EPA Paris-Saclay, collaborent et viennent de dévoiler le "Protobus", un bus de 18 mètres transformé en espace mobile afin de mettre l'innovation au coeur de la ville et de ses habitants et entreprises. Tous les acteurs sont invités à monter dedans pour développer de nouveaux usages avec l'appui des citoyens, en se mettant sur leur route ou en croisant leur chemin. "
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Robospectif - La ville en jeux - 0 views

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    "LE JEU EN QUELQUES MOTS Trouver des usages pour des véhicules autonomes qui évolueront dans différents environnements de la ville de demain. DESCRIPTION DÉTAILLÉE Ce jeu consiste à inventer des robots puis les usages que pourraient en avoir différents personnages. Une fois le robot et ses usages définis, les joueurs choisissent dans quel environnement celui-ci évoluera : métropole, péri-urbain, campagne, littoral. L'environnement étant choisi pour être le plus approprié au robot inventé. Les propositions et leurs impacts sur les usagers, la société ou l'environnement sont ensuite débattues entre les joueurs. Le joueur qui aura été le plus convainquant, collectionne les robots et gagne la partie. Ce jeu est conçu dans une optique de réflexion prospective autour de l'apparition des véhicules autonomes dans nos vies ; il ne nécessite aucune connaissance préalable dans le domaine de la mobilité. Il a été conçu en 2018 par des étudiants de l'Université de Lyon, dans le cadre d'un projet mené par le Laboratoire Aménagement Économie Transports (LAET). -  Format du jeu : 1 plateau « conception », 6 plateaux « environnement », cartes, sablier Durée du jeu : 45min Nombre de joueurs : De 4 à 6 joueurs OBJECTIF PÉDAGOGIQUE L'objectif pédagogique du jeu RoboSpectif est double. En utilisant ce jeu auprès de publics variés, nous cherchons à construire une prospective sur les usages des véhicules autonomes et robots mobiles à partir des discours et des arguments des joueurs au fil de la partie. En plus de ces éléments de prospective, il s'agit également de voir si le jeu en tant qu'outil méthodologique est déployable dans des contextes divers et nous permet à la fois de conserver un aspect ludique tout en produisant des données."
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La voiture autonome, un marché de niche ou une vraie révolution ? | Forum Vie... - 0 views

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    "La voiture domine notre système de mobilité. Elle a façonné les territoires et les villes en imposant ses propres infrastructures, ses normes et sa vitesse. En s'accaparant l'espace public (routes, places de stationnement, parkings…), elle a relégué les autres modes (marche, vélo…) et usages (jeux, flânerie…) sur une portion congrue de la chaussée. Mais désormais ses externalités négatives (pollution locale, émissions de gaz à effet de serre, accidentologie, congestion, nuisances sonores, …) sont unanimement dénoncées. Par la société civile d'abord. Elles commencent aussi à être prises en compte par les pouvoirs publics, en particulier en ville. Dans ce contexte, le véhicule autonome a-t-il un rôle à jouer ?"
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Les taxis-motos de Lomé : des caisses de résonnance pour les mouvements socia... - 0 views

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    "Depuis 1992, le phénomène des taxis-motos a pris une l'ampleur inédite dans la capitale togolaise, une ville marquée par la pauvreté et d'importants problèmes de mobilité. Ce transport urbain dit « informel », qui s'offre comme une alternative à l'absence de transports en commun, permet aux citadins d'avoir accès aux services, aux commerces et donc de se maintenir en ville. Au-delà de la question du déplacement et du transport, les taxis-motos de Lomé ont créé un nouveau type d'espace public qui est devenu, pour les chercheurs, un lieu privilégié d'observation des rapports sociaux et une caisse de raisonnance de premier plan pour les mouvements politiques."
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Politique de la convivialité : la mobilité et le droit à la ville dans le mil... - 0 views

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    "Depuis une dizaine d'années, à Bogota, des groupes de citoyens, toujours plus nombreux, se rassemblent autour de leur goût pour le vélo, selon des approches et des objectifs divers, et développent des initiatives qui mettent en évidence les différentes façons dont ce moyen de transport est susceptible de mobiliser et les individus et les idées. Cette recherche étudie l'activisme cycliste à Bogota, afin de comprendre comment les « cyclactivistes » tentent de reprendre la ville aux véhicules motorisés et contestent l'ordre établi dans les artères urbaines."
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Être une femme dans la ville, ou l'art de l'esquive | Forum Vies Mobiles - Pr... - 0 views

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    "Anne Jarrigeon a étudié la façon dont les femmes ont appris à déployer un savoir-faire intériorisé pour être capable de tenir les inconnus à distance au quotidien, dans des villes qui leur imposent une image d'hyperdisponibilité. Être une femme en mouvement dans l'espace urbain, c'est bien souvent savoir esquiver le regard masculin, tant celui des hommes que celui des panneaux publicitaires."
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De la contre-productivité globale. La critique de la mobilité et la crise du ... - 0 views

  • C’est néanmoins autre chose qui semble être à l’œuvre, une forme étrange d’auto-annihilation du système de transport, telle que discutée par Ivan Illich et ses collaborateurs sous le vocable de « contre-productivité »
  • La contre-productivité 2 désigne une situation dans laquelle l’usage d’un mode de transport par un grand nombre d’usagers rend l’usage de ce mode de transport impossible. L’exemple classique est celui du bouchon : lorsqu’un grand nombre d’automobilistes circule en même temps sur une route, chacun devient un obstacle insurmontable pour l’autre. C’est la congestion. Et par un effet boule de neige, le bus sera à l’arrêt et nulle place ne sera laissée au marcheur.
  • Parce que trop d’usagers ont utilisé certains modes de déplacement rapides, ils ont participé à la diffusion d’un virus et rendu impossible l’usage de tous les moyens de déplacement, même les moins problématiques.
  • ...11 more annotations...
  • On pourrait parler de contre-productivité différée, c’est-à-dire d’un usage qui n’est pas empêché immédiatement, mais plus tard, une fois qu’il aura été réalisé en masse et que ses conséquences se font sentir.
  • L’industrialisation des transports consiste en la transformation d’une variété de manières de se déplacer, inscrites dans des contextes locaux et riches de sens, en un petit nombre de moyens de transport standards qui constituent des commodités. À mesure que sont abandonnés les usages vernaculaires au profit des usages modernes, les personnes dépendent de plus en plus du système industriel de transport, par dévalorisation du vernaculaire, du qualitatif et de l’auto-produit, mais aussi par la perte des compétences et des conditions de possibilité d’une production autonome.
  • Comment les critiques de la mobilité envisageaient-ils des alternatives à cette dynamique d’écrasement de l’individu par le système industriel ? Tout d’abord, ils proposaient des mobilités autonomes, reposant sur les efforts de l’individu. La marche et l’usage du vélo sont deux manières de développer ses capacités de se déplacer. Dans le contexte actuel, il s’agit des moyens de se déplacer qui limitent le plus à la fois les contaminations possibles et la contre-productivité inhérente aux modes rapides.
  • Confinés, nombreux sont les citadins qui ne peuvent plus se déplacer. Toutefois, ils continuent de faire se déplacer d’autres individus et des marchandises, parce que nous sommes pour la plupart totalement dépendants des réseaux de transport, afin d’acquérir les commodités nécessaires à notre vie quotidienne. Ce besoin de commodités met en danger ceux qui transportent les marchandises, qui sont ceux qui doivent nous les livrer, mais aussi nous-mêmes, puisque le risque de transmission existe à chaque interaction. De ce fait, ce n’est pas seulement la mobilité des individus qui pose problème, mais aussi le transport des commodités.
  • La folie de la modernité s’exprime bien là, dans cette « loi » : tout usage massif d’un mode de déplacement rapide tend à rendre impossible son usage, mais aussi les autres manières de se déplacer. Toute accélération du rythme d’un usage dépassant un certain seuil tend à créer de la paralysie. Or, les vitesses de déplacement ont beaucoup augmenté, tout comme l’usage des moyens de transport longue distance comme l’avion. Ainsi, parvenus à un développement tentaculaire, nos réseaux de transport sont devenus nos filets, comme l’origine du terme (« réseau » vient du latin retis, filet) aurait dû nous le rappeler.
  • L’ascèse volontaire, le choix de ne pas agir, est une forme de liberté, qu’il s’agisse de refuser d’utiliser la voiture ou de s’auto-confiner, tandis qu’être réduit à l’impuissance par le système industriel est plus proche de la servitude.
  • À mesure que le système industriel étend ses mailles, l’individu est de plus en plus dépendant et impuissant. Il est bloqué par les bouchons, les files d’attente. Se déplacer est devenu dangereux ou impossible, mais seul ou en famille et sans déplacement, il est dépourvu des moyens d’assurer sa subsistance. L’immobilité maximale qui devrait permettre de lutter contre la pandémie est donc largement hors d’atteinte, par l’incapacité de l’individu, d’un groupe d’amis, d’une famille ou d’une commune, à assurer une auto-production suffisante.
  • D’ailleurs, moins appréciés par les usagers que les manières plus individuelles de se déplacer, quelle collectivité publique aura encore les moyens de ces infrastructures de luxe, avec l’endettement gigantesque résultant de la pandémie actuelle ? Quant à la voiture, tout le monde sait déjà qu’elle est le symbole même de la contre-productivité, par la congestion, l’usage du pétrole et la diminution de l’activité physique de ses usagers.
  • Cela signifie aussi que les mégalopoles sont trop grandes. Elles rendent l’individu dépendant des commodités, réduisent ses capacités d’autoproduction, multiplient les distances entre les lieux de vie, rendent le confinement moins supportable par leur absence d’espaces pour « respirer ». Elles sont aussi le lieu historique du bouchon, comme on le raconte à propos de la Rome antique où Jules César fut contraint d’interdire les véhicules entre six heures et seize heures pour éviter la paralysie de la ville.
  • Les villes de taille « moyenne » du type de Salzbourg des années 1960, vantée par Kohr, représentent un autre modèle. Elles comportent toutes les aménités de la ville, peuvent reposer sur la campagne environnante pour être approvisionnée et pour les loisirs – plus accessibles tant pour les riches et que pour les pauvres –, ont la taille nécessaire pour offrir une université ou un opéra. Il s’agit des mêmes villes dans lesquels les habitants sont d’ores et déjà les moins dispendieux en dioxyde de carbone
  • La crise actuelle n’est pas le résultat d’un accident ou d’un système de transport qui serait trop chaotique et dont les effets seraient surprenants et imprévisibles. C’est l’ordre de sa diffusion généralisée qui rend possible la congestion et la paralysie, selon les voies de circulation et les vitesses élevées des moyens de transport.
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    "Alors qu'au début du mois d'avril 2020, plus de la moitié des habitants de la planète sont confinés, il n'a jamais été aussi nécessaire d'interroger le rôle de notre système global de mobilité. Dans cette perspective, les critiques de la mobilité des années 1970 sont des guides sûrs. Celles-ci offrent à la fois une perspective sur un facteur d'expansion de l'épidémie devenue pandémie - le système de transport - et les pistes pour aménager le système de transport de l'après-crise."
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