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Le covoiturage pour aller au travail | France info - 0 views

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    "Une forte implication, cela veut dire des aires de co-voiturage, des réseaux structurés, des opérations de communication. Mais on peut aller encore plus loin. En Espagne ou aux États Unis, des voies d'autoroutes sont réservées aux voitures qui font le plein de passagers. La France pourrait s'y mettre. Le covoiturage permet de fortes économies d'énergies, mais aussi d'importantes économies financières. D'après les calculs de l'Ademe, sur un trajet domicile- travail de 15kms, ce qui est une moyenne, cela représente environ une économie de plus de 100€ par mois et par personne."
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L'industrie du taxi à la frontière de l'innovation | L'Âge de la multitude - 0 views

  • Jacques Rosselin avait publié l’information il y a quelques jours, mais un éditorial du 11 avril dernier écrit par Jean-Christophe Tortora, président-directeur général de La Tribune, lui a donné beaucoup plus d’ampleur : suite à une plainte contre X déposée par Nicolas Rousselet, PDG du groupe G7, Jean-Christophe Tortora et moi-même sommes mis en examen pour diffamation. L’origine de cette plainte est un texte intitulé « Les fossoyeurs de l’innovation », publié le 15 octobre 2013 sur le blog de L’Âge de la multitude et reproduit le même jour sur le site de La Tribune à la demande d’Eric Walther, directeur de la rédaction. Ce texte, qui discute la vision de l’innovation de Nicolas Rousselet, a été écrit dans le contexte de la préparation du fameux décret dit des « 15 minutes », dont il était l’un des défenseurs les plus visibles. L’annonce de cette mise en examen a déclenché un débat de fond autour de la question de l’innovation – tant la surprise a été grande à l’idée qu’une prise de position sur cette question cruciale pour l’avenir de la Nation puisse donner lieu à un procès pénal. Une multitude de personnes, connues ou inconnues, m’ont exprimé des marques de soutien, et je les en remercie chaleureusement. Un #hashtag a même pris son envol. Des arbitres se sont curieusement interposés pour essayer de renvoyer les protagonistes dos à dos. Quant à moi, je voudrais saisir cette occasion pour refaire le point sur la question de l’innovation.
  • Lorsque nous avons entrepris d’écrire L’Âge de la multitude, Henri Verdier et moi-même avions l’ambition, immodeste, d’expliquer la révolution numérique et ses conséquences aux décideurs de notre pays. Notre objectif était de démontrer que l’économie numérique n’est pas un phénomène marginal indigne d’intérêt pour nos responsables politiques et nos capitaines d’industrie, mais au contraire une économie en plein essor dominée par quelques grandes entreprises américaines, géants industriels qui jouent plusieurs coups à l’avance sur le grand échiquier de l’économie globale. Bref, une question très sérieuse qui mérite l’attention prioritaire de nos dirigeants au plus haut niveau. Pour l’instant, le numérique dévore le monde exclusivement depuis les Etats-Unis. Mais d’autres pays peuvent désormais prendre leur part de cette voracité, pourvu que la compréhension de l’économie numérique soit partagée par leurs élites – c’est à cet effort de compréhension qu’Henri et moi avons souhaité contribuer avec L’Âge de la multitude.
  • Ce qui est en jeu, dans l’économie numérique, c’est l’avenir de notre pays : notre croissance, nos emplois, nos services publics, notre protection sociale. Si nous réussissons la transition numérique de l’économie française, alors nous resterons l’un des pays les plus développés du monde ; si, au contraire, nous échouons, nous devrons renoncer à notre modèle social et deviendrons progressivement pour les Etats-Unis ce que les anciennes colonies françaises ont été pour la France prospère des Trente glorieuses : une source de matière première (dans l’économie numérique = de la R&D et des données) et un simple marché de débouchés où plus aucune entreprise ne paiera d’impôts – les entreprises étrangères parce qu’elles n’auront même pas besoin de s’établir sur notre territoire pour y faire des affaires ; les entreprises françaises parce que leurs marges seront anéanties par de vains efforts de compétitivité.
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  • Pour réussir la transition numérique de notre économie, la première étape consiste à réaliser que celle-ci est parvenue à la frontière de l’innovation. Cette frontière est le stade du développement économique où le rattrapage des économies les plus avancées est achevé et où seule l’innovation peut générer de nouveaux gains de productivité. Tous les indicateurs de notre économie révèlent notre échec à nous développer à la frontière de l’innovation : la croissance est faible ; les entreprises ne parviennent pas à reconstituer leurs marges ; le développement économique (c’est-à-dire l’augmentation du revenu par tête) est comme interrompu : comme le montre le graphique ci-dessus, nous avons depuis vingt ans été dépassés ou rattrapés par le Royaume-Uni, l’Allemagne et Israël. Depuis plusieurs décennies, la France s’est plus ou moins arrêtée d’innover et a choisi d’opter pour des efforts de développement centrés sur les débouchés à l’export (= la mondialisation), l’optimisation des chaînes de production (= le restructuring, le downsizing, le reengineering, etc.), la sophistication de la finance (= la crise de 2008) et finalement la baisse du coût du travail (= le pacte de responsabilité).
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Les nouveaux services de mobilité fondés sur l'économie du partage, Etat des ... - 0 views

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    "Les nouveaux services de mobilité fondés sur l'économie du partage, Etat des lieux en France en 2014 Article par Jean-Pierre Orfeuil, Economiste et spécialiste des transports, professeur émérite à l'Institut d'urbanisme de Paris, Université Paris-Est Créteil, président du comité scientifique de la Chaire IVM, France SOMMAIRE - Introduction                                                                                                                          I Le développement de l'économie du partage                                               - Économie du partage, consommation collaborative, consommations émergentes : de la contrainte écologique aux opportunités ouvertes par une nouvelle économie - Le développement de l'économie du partage : des moteurs qui tournent à plein, des verrous qui sautent. - Des pratiques un peu mieux connues, des zones d'ombre qui subsistent, un champ encore à baliser II L'automobile en France : un poids considérable dans la mobilité, des problèmes spécifiques pour des populations dans des situations spécifiques.                                                                                                                           III Le partage de véhicules en France : état des lieux, évolutions récentes - Introduction - Les plus pragmatiques : l'autopartage informel entre particuliers - Les militants historiques, en ville : l'autopartage institué - La location sociale de véhicules : une forte diffusion sur le territoire, mais des systèmes qui restent de faible taille dans chaque département - L'autopartage en trace directe : l'exemple d'Autolib à Paris - Les autres systèmes en trace directe : Car2go, Ha :mo, Wattmobile - L'esprit business des digital natives : la location de véhicules entre particuliers or
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Et si les salariés qui vont au travail à vélo gagnaient plus ? Rue89 - 0 views

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    Depuis 2010, les PDE se multiplient, avec leurs incitations à préférer d'autres choix que la voiture. Ces modes de transport sont devenus un enjeu majeur pour les entreprises. A la clé : de sacrées économies. Convaincre l'entreprise n'est pas le plus difficile. Il faut ensuite motiver les salariés. D'où l'idée des « vélos de fonction » et d'incitations financières.
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Bâti 2030: La mobilité, un facteur de mutation urbaine - 0 views

  • Si les politiques ne semblent pas toujours l'avoir compris, les urbanistes et spécialistes des transports sont eux bien conscients de la direction dans laquelle doivent se porter les efforts : la modification des comportements, et non la multiplication des infrastructures ou des types de transport. Comme le dit Jean-Christophe Chadanson, directeur d’études à l’Agence d’urbanisme de la Communauté Urbaine de Bordeaux, « il faut passer d’un modèle où on a investi beaucoup d’argent dans les infrastructures à un autre où on met aussi de l’argent dans ce qui favorise la marche, le vélo et les changements de comportement. Chacun doit devenir multimodal, prendre un jour la voiture, un autre le vélo, la marche, les transports en commun. Ce comportement, il faut l’aider à émerger, c’est une autre forme d’investissement ».
  • L'équilibre à atteindre entre l'efficacité des transports et la limitation de leurs nuisances incitent à concevoir, plutôt que de nouveaux moyens de transport, de nouvelle façon d'appréhender la mobilité. En ce sens, de nouveaux concepts tendent à émerger, comme l'holoptisme, c'est-à-dire l'intelligence collective, qui permettrait de manière positive à chaque citoyen de mesurer son impact dans la société et son environnement et d'adapter ses comportements. Le covoiturage participe d'une certaine manière de ce concept, mais certaines sociétés ont développé des applications propres comme GoToo, qui permet à son utilisateur de gagner des points à mesure qu'il se déplace de manière responsable.
  • Autre idée en vogue, l'économie de fonctionnalité. Il s'agit ici de remplacer la vente pure et simple d'un produit par la vente d'un service, qui permet à la fois de réaliser des économies pour son utilisateur (vous ne payez que ce que vous consommez réellement) comme pour le prestataire. Elle propose soit un modèle serviciel centré sur l'usage (mise à disposition d'un véhicule que je paye en fonction du nombre de kilomètres), soit un modèle de solution intégrée (comme l'Autolib'). Les champs de l'innovation sont ici infinis et peuvent permettre de répondre, de manière subtile et équilibrée, aux enjeux de la mobilité aujourd'hui. La multiplication des stations de rechargement des fameuses BlueCars est déjà un signe visible de cette économie de la fonctionnalité.
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  • Aujourd'hui, c'est la "sanctuarisation" de certains espaces, réservés aux piétons et transports en commun, qui modifie profondément le paysage urbain. Nécessité économique et sécuritaire, la mobilité concentre aujourd'hui un grand nombre des contraintes produites par l'urbanité : densité de population, taille des agglomérations (donc nécessité d'un réseau de transports rapides et denses), pollution, nuisances diverses, sécurité, etc. Mais les meilleures infrastructures ne peuvent entraîner de modifications des comportements si elles n'apportent pas de progrès visibles. Face à l'urgence des contraintes, et notamment la disparition programmée du pétrole, l'innovation en matière de mobilité sera à l'origine, ou au moins un facteur important, d'évolution rapide de nos villes. Reste à savoir quelle mobilité nous voulons et donc à quoi ressemblera la ville de demain. Verticale ?
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    "Qui l'eût cru ? La mesure de circulation alternée, mise en place lundi à Paris et alentours, a été, si l'on reste au premier niveau d'analyse, un succès : 25% à 30% de bouchons en moins (voire même 60% sur certains axes aux heures de pointe) ; seulement 143 kilomètres d'embouteillage en Ile-de-France (contre deux fois plus habituellement) ; 90% de véhicules à numéro impair, 5 122 contraventions ; 61% et 33% de hausse respective des locations pour le Vélib' et l'Autolib'. Cette mesure (presque) nouvelle en France (elle existe par exemple à Sao Paulo sous le nom de "rodízio municipal") a modifié sur une journée la manière dont la population de Paris appréhende les transports quotidiens : transports publics, vélo, covoiturage et même congés exceptionnels. L'espace urbain lui-même s'en est trouvé modifié avec la réduction de la pollution, des nuisances sonores mais aussi de la pollution visuelle. Le signe que peu à peu, les "nouvelles" mobilités peuvent changer la ville. Les campagnes électorales, et notamment celles pour la Mairie de Paris, sont révélatrices des enjeux qui entourent la question des transports en milieu urbain. Si ces derniers continuent de répondre à leur mission première, à savoir permettre le déplacement quotidien des habitants, ils sont aujourd'hui confrontés à des contraintes contradictoires : d'un côté, ils doivent être plus performants, plus rapides et plus denses ; de l'autre, ils sont censés être sûrs, rentables, peu onéreux tout en étant respectueux de l'environnement et silencieux. Un vrai casse-tête chinois ! Or, aujourd'hui, et c'est ce qui apparaît dans la plupart des programmes politiques, le débat sur les transports à Paris oppose les détracteurs de la voiture, qui considèrent que ses nuisances sont trop importantes par rapport à ses apports en milieu urbain, face à ses partisans, qui n'y voient pas d'alternatives crédibles. L'absence de nouvelles solutions ? Cette dualité peut
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Les voitures improbables de la location entre particuliers - 0 views

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    "Les sites de location de voitures entre particuliers ne servent pas qu'à faire des économies. Certains utilisateurs - aux goûts parfois étranges - y recherchent leur madeleine de Proust automobile où des modèles aux spécificités techniques ou esthétiques rares."
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Petit précis sur les véhicules autonomes à l'usage des décideurs - Transports... - 0 views

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    "Mais il y a une toute petite fenêtre, difficile à voir et à atteindre, dans laquelle cette technologie ouvre des possibilités inédites pour des mobilités partagées efficients et inclusives à grande échelle, pour une évolution des villes sans conducteur et uniquement des passagers et des mobilités actives (Voir cette vidéo Heaven or Hell). Mais l'alignement des technologies, des acteurs, des décrets est totalement improbable. A moins que … Un malin génie rendit visite au président d'un certain pays et lui proposa le marché suivant : « je sais que votre économie est languissante. Je suis désireux de vous aider à la raffermir. Je puis mettre à votre disposition une invention technologique fabuleuse, qui doublera votre production intérieure brute (PIB) et le nombre d'emploi disponibles. Mais il y a un prix à payer. Je vous demanderai chaque année la vie de 20 000 de vos concitoyens, dont une forte proportion de jeunes gens et de jeunes filles ». Le Président recula d'effroi et renvoya son visiteur sans ménagement. Il venait de rejeter l'invention de … l'automobile. Cet extrait du dernier livre de Jean-Pierre DUPUY, l'avenir de l'économie, est régulièrement discuté dans l'enseignement de droit de l'Université de Yale, aux Etats-Unis. En 1890, un entrepreneur vous propose d'investir dans une solution de transport basée sur un carburant explosif venant d'un pays lointain. Le véhicule est équipé d'un réservoir de ce carburant et le conducteur sera assis dessus. Le moteur gérera la combustion de ce carburant avec de nombreuses pièces mécaniques. Cette technique est très chère, nécessite une fabrication sur mesure et aucun réseau de distribution du carburant n'existe à ce jour."
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Mobilités : pour des solutions justes et décarbonées (et non juste décarbonée... - 0 views

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    "L'essentiel des émissions de gaz à effet de serre liées aux mobilités du quotidien sont le fait des kilomètres parcourus entre le périurbain et les agglomérations par des ménages qui n'ont pas accès aux transports publics ni aujourd'hui les moyens d'acquérir un véhicule électrique. Pour des mobilités justes et décarbonées et non justes décarbonées, Jean Coldefy recommande de mobiliser la dépense publique en utilisant les solutions (cars express, trains, covoiturage, etc.) qui maximisent les économies de CO2 en mobilisant au minimum les budgets publics."
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Lyft raises $250 million. Crazy? | LinkedIn - 0 views

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    "Lyft went from 2 to 30 cities across the U.S. in a year. People who lived in those cities provided not only local cars, but also local street knowledge, and - once Lyft goes international - local languages and local culture. Finding, evaluating, and selecting employees in all of these cities would normally be an expensive, long, and daunting effort. Instead, drivers and their cars opt-in. The companies claim to verify driving skills and the passenger's quickly weed out rudeness and ineptitude through ratings and comments. These companies are riding the wave of the new collaboration economy. There is a beautiful efficiency in this setup."
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La voiture autonome pourrait éliminer les parkings et faire baisser les loyers - 0 views

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    "Pour se représenter la chose, ils précisent que ces taxis intelligents fonctionneraient à mi-chemin entre le principe du covoiturage et celui du transport de colis. Un modèle qui leur permettrait d'arpenter la ville 24h sur 24, en répondant en temps réel aux besoins de n'importe quel passager.   "Pour des villes de taille moyenne, il est concevable qu'un parc automobile de voitures partagées remplace totalement la nécessité des transports publics traditionnels", conclut le rapport. Avantage collatéral de la réduction du nombre de véhicules, la baisse des besoins en stationnement. Avec des économies à la clé. Car, comme l'explique une autre étude menée par Sightline , un institut d'études environnementales américain, le prix de revient du stationnement par habitant dans une métropole comme Seattle est estimé à 246 dollars par mois. "
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La location de voiture entre particuliers en pleine effervescence, Tourisme - Transport - 0 views

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    "Dans le même temps, plusieurs autres start-ups se sont positionnées sur un sous-segment du marché : celui des touristes. Tripndrive, Travelercar ou Carnomise proposent à ceux qui partent en vacances de loueur leur voiture à ceux qui arrivent, ce qui fait empocher aux premiers un peu d'argent tout en leur permettant d'économiser les frais de stationnement. « La demande est en train d'exploser  », avance Gui Bulaty. cofonfateur de Carnomise, qui vient de signer un partenariat inédit avec l'aéroport de Beauvais - celui utilisé par Ryanair - pour proposer le service au sein même de l'aéroport, et non dans un parking en périphérie comme c'est le cas à Roissy-Charles de Gaulle ou Orly. Tripndrive, de son côté, vient de passer un accord avec une filiale de la SNCF pour déployer le service sur les parkings d'une quinzaine de gares de Paris et de province. Face à cette offensive, les loueurs traditionnels se rassurent en soulignant que les véhicules qu'ils louent sont quasiment neufs, ce qui justifie une différence de tarifs. Ils n'en sont pas moins aux aguets. « Nous ne sommes pas contre cette nouvelle forme de concurrence, car elle vient dynamiser le marché, indique au nom de la profession André Gallin, le président de la branche loueurs du CNPA (conseil national des professions de l'automobile). A condition toutefois que les mêmes règles s'imposent à tout le monde, en termes de fiscalité notamment ». Les deux camps auraient déjà pris langue pour avancer sur ces sujets"
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Le covoiturage de courte distance : un pari incertain - 0 views

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    "L'organisation pratique des trajets domicile-travail a également pour spécificité d'être beaucoup moins souple (s'il est envisageable de faire un détour pour déposer un passager lors d'un trajet ponctuel de longue distance, c'est nettement moins le cas lors des trajets quotidiens pour se rendre sur son lieu de travail). Deux points qui, en limitant l'offre disponible, pourraient rendre difficile l'atteinte d'une masse critique nécessaire au bon fonctionnement de ce type de plateformes - sujettes aux problématiques courantes des économies de réseau. Enfin, le risque d'évasion de la plateforme et d'organisation informelle une fois le partenaire de covoiturage trouvé est élevé - un fait qui contraindra les plateformes à réfléchir attentivement aux modalités d'adhésion à la plateforme et aux services annexes que celle-ci pourrait proposer. La progression des offres de covoiturage de courte distance illustre le développement plus global d'un modèle de mobilité « à la demande » - le passage d'une logique industrielle basée sur la transaction et la propriété à une logique servicielle orientée davantage sur l'usage (ou l'accès au sens développé par Jérémy Rifkin) des véhicules. On le voit, si cette évolution a le potentiel de transformer profondément les pratiques de mobilité quotidienne des individus, le pari de la progression durable du covoiturage de courte distance est toutefois loin d'être gagné d'avance."
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Les motos géantes | VICE France - 0 views

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    "Abulajon vit dans la province du Xinjiang, en Chine. Il bricole dans son jardin depuis des années. Récemment, il a fini de construire une moto géante - un projet qui lui a pris 20 ans. Petit à petit, en piochant dans ses maigres économies, il a réussi à rassembler les différentes pièces et les outils dont il avait besoin. Aujourd'hui, il cueille les fruits de son travail en faisant payer les touristes qui veulent se prendre en photo avec la moto."
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L'Instant Urbain - La Fabrique de la Cité, Septembre 2017 - 0 views

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    "Le 22 septembre, par un court communiqué, l'autorité organisatrice des transports londoniens, Transport for London (TfL), fermait les portes de la ville à Uber après avoir multiplié, quelques jours plus tôt, le coût de la licence de chauffeur privé par mille. En décidant de ne pas renouveler l'autorisation d'opérer de l'entreprise californienne après son expiration le 30 septembre, TfL faisait l'audacieux choix de priver 3,5 millions de Londoniens du service de VTC et de déposséder Uber de son plus gros marché européen. Cette décision, dont Uber a fait appel, marque un tournant dans un jeu où l'entreprise posait jusqu'alors ses conditions. Dans le sillage de Londres, New York et San Francisco ont déclaré à leur tour réfléchir aux moyens de resserrer leur contrôle sur Uber. Après avoir fait preuve, au choix, d'une indifférence de facto bienveillante à l'égard d'Uber ou de démarches timides de régulation, les métropoles mondiales changent de ton. Face au mantra cher à la Silicon Valley, « Move Fast and Break Things », ne sont-elles pas en train de répondre : « Move at our pace and comply with our rules » ? Assurément, l'épisode londonien n'intervient pas à un moment neutre pour Uber. Dara Khosrowshahi, nouveau CEO d'Uber, entend trancher avec les positions jugées agressives qu'Uber a pu tenir par le passé. Après la décision de TfL, Uber a d'ailleurs changé de posture, appelant au dialogue. La crise avec Londres pourrait avoir valeur de test pour l'entreprise : et si, face à la fronde grandissante, une entreprise issue de l'économie dite collaborative choisissait vraiment d'aller vers plus de… collaboration avec les municipalités ?"
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Robospectif - La ville en jeux - 0 views

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    "LE JEU EN QUELQUES MOTS Trouver des usages pour des véhicules autonomes qui évolueront dans différents environnements de la ville de demain. DESCRIPTION DÉTAILLÉE Ce jeu consiste à inventer des robots puis les usages que pourraient en avoir différents personnages. Une fois le robot et ses usages définis, les joueurs choisissent dans quel environnement celui-ci évoluera : métropole, péri-urbain, campagne, littoral. L'environnement étant choisi pour être le plus approprié au robot inventé. Les propositions et leurs impacts sur les usagers, la société ou l'environnement sont ensuite débattues entre les joueurs. Le joueur qui aura été le plus convainquant, collectionne les robots et gagne la partie. Ce jeu est conçu dans une optique de réflexion prospective autour de l'apparition des véhicules autonomes dans nos vies ; il ne nécessite aucune connaissance préalable dans le domaine de la mobilité. Il a été conçu en 2018 par des étudiants de l'Université de Lyon, dans le cadre d'un projet mené par le Laboratoire Aménagement Économie Transports (LAET). -  Format du jeu : 1 plateau « conception », 6 plateaux « environnement », cartes, sablier Durée du jeu : 45min Nombre de joueurs : De 4 à 6 joueurs OBJECTIF PÉDAGOGIQUE L'objectif pédagogique du jeu RoboSpectif est double. En utilisant ce jeu auprès de publics variés, nous cherchons à construire une prospective sur les usages des véhicules autonomes et robots mobiles à partir des discours et des arguments des joueurs au fil de la partie. En plus de ces éléments de prospective, il s'agit également de voir si le jeu en tant qu'outil méthodologique est déployable dans des contextes divers et nous permet à la fois de conserver un aspect ludique tout en produisant des données."
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Des lampadaires routiers intelligents au Danemark - 0 views

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    "Le Danemark a équipé une portion de ses routes avec 220 capteurs. Les lampadaires à LED éclairent seulement à 20% de leur capacité puis, lorsqu'un véhicule est détecté, ils passent à 100% un peu en avance sur tout le trajet du véhicule. Une fois celui-ci passé ils retournent progressivement à leur état de veille. Cela permet de grosses économies d'électricité et réduit le coût environnemental, sans sacrifier quoi que ce soit à la sécurité."
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Pour lire l'avenir des villes, regardez le trottoir ! - URBIS le mag - 0 views

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    "Isabelle Baraud-Serfaty est consultante en économie urbaine. A ce titre, elle collabore avec de nombreuses collectivités. Le regard de cette fine observatrice de l'actualité des villes s'est récemment porté sur le trottoir, qu'elle considère comme un chemin fécond pour saisir les principaux changements à l'œuvre dans la ville : les transitions numériques et écologiques. Espace de plus en plus encombré, de plus en plus convoité, le trottoir est devenu, selon elle, un enjeu stratégique majeur qui soulève bien des défis d'avenir. Isabelle Baraud-Serfaty sera l'invitée d'Urbis le Mag le vendredi 19 mars 2021 pour un webinaire intitulé « Qui fait le trottoir ? ». - « Isabelle Baraud-Serfaty, vous travaillez actuellement beaucoup sur le trottoir. Qu'est-ce qui vous a conduit à mettre la focale sur cet espace public que vous considérez comme un enjeu stratégique ? Tout a commencé en 2017 par deux lectures. D'abord celle des Chiffonniers de Paris, un livre d'Antoine Compagnon qui montre comment le chiffonnier - métaphore du poète qui transforme la boue en or - opère « au coin de la borne ». Puis celle d'un livre intitulé L'entrepreneur et le prince, de Christophe Defeuilley, qui retrace la création du service public de l'eau et des infrastructures inhérentes. Ces deux lectures m'ont permis de réaliser que la généralisation du trottoir en France date du milieu du 19ème siècle et coïncide avec la création des grands réseaux d'infrastructure qui structurent le fonctionnement des services urbains en France depuis lors. Cela a été comme une révélation, d'autant qu'Alphabet, la société-mère de Google, venait de créer Sidewalk Labs, sa filiale dédiée aux projets urbains (son fameux projet à Toronto, abandonné depuis, avait fait grand bruit), dont le nom signifie littéralement « les labos du trottoir ». J'ai pensé : et si au fond le trottoir incarnait ce basculement de la ville
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Géographies en mouvement - Jamais sans mon SUV - Libération.fr - 0 views

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    "Longtemps habitué aux autoroutes urbaines nord-américaines, le SUV (Sport utility vehicle) commence à investir le paysage des villes européennes. Un succès en contradiction avec les préoccupations écologiques du moment et avec un usage rationnel des espaces urbains. 200 millions dans le monde, dont 600 000 en France. C'est le nombre de SUV en circulation en 2019, près de six fois plus qu'en 2010, où un modeste total de 35 millions de descendants du tout-terrain roulaient sur la planète. Alors que les classes moyennes des pays émergents, Chine en tête, adoptent de plus en plus d'aspects des modes de vie occidentaux, les SUV représentent aujourd'hui 40% des ventes de véhicules neufs à travers le monde. En Europe, la palme revient à la Suisse, où prospérité économique rime avec grosses bagnoles: plus de la moitié des voitures neuves vendues sont des descendantes des tout-terrain. LES SUV À L'ASSAUT DU CLIMAT Fin 2019, l'Agence internationale de l'énergie publiait une étude sur l'impact énergétique de ces véhicules en train de devenir la normalité, après avoir été réservés aux routes nord-américaines et aux pistes de la savane africaine et du bush australien. Le résultat a de quoi décourager les plus optimistes: loin derrière la production d'électricité mais devant l'industrie lourde et l'aviation, les SUV sont le deuxième contributeur à l'augmentation des émissions mondiales de CO2 entre 2010 et 2018. Avec plus de 700 mégatonnes de dioxyde de carbone, leurs émissions annuelles équivalent à celles de la Grande-Bretagne et des Pays-Bas réunis. On a là un parfait exemple d'effet-rebond, mécanisme bien connu en économie de l'énergie. À poids égal, les voitures consomment moins qu'avant grâce aux progrès techniques… ce qui permet de produire de plus gros modèles et de continuer à consommer autant, voire plus. Sans oublier les SUV électriques, «solution» esquivant les vrais enjeux:
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Kévin, un citadin qui prend sa ville en mains - Regards sur le numérique - 0 views

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    "Mais si ces pratiques continuent d'exploser et de bouleverser notre modèle de création de valeurs, comment rétribuera-t-on à l'avenir ces créateurs en herbe et comment encouragera-t-on les initiatives de ce genre en l'absence de tout espoir d'en vivre ? Voilà une passionnante question pour les penseurs de l'économie numérique."
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