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[pop-up] urbain

Pour lire l'avenir des villes, regardez le trottoir ! - URBIS le mag - 0 views

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    "Isabelle Baraud-Serfaty est consultante en économie urbaine. A ce titre, elle collabore avec de nombreuses collectivités. Le regard de cette fine observatrice de l'actualité des villes s'est récemment porté sur le trottoir, qu'elle considère comme un chemin fécond pour saisir les principaux changements à l'œuvre dans la ville : les transitions numériques et écologiques. Espace de plus en plus encombré, de plus en plus convoité, le trottoir est devenu, selon elle, un enjeu stratégique majeur qui soulève bien des défis d'avenir. Isabelle Baraud-Serfaty sera l'invitée d'Urbis le Mag le vendredi 19 mars 2021 pour un webinaire intitulé « Qui fait le trottoir ? ». - « Isabelle Baraud-Serfaty, vous travaillez actuellement beaucoup sur le trottoir. Qu'est-ce qui vous a conduit à mettre la focale sur cet espace public que vous considérez comme un enjeu stratégique ? Tout a commencé en 2017 par deux lectures. D'abord celle des Chiffonniers de Paris, un livre d'Antoine Compagnon qui montre comment le chiffonnier - métaphore du poète qui transforme la boue en or - opère « au coin de la borne ». Puis celle d'un livre intitulé L'entrepreneur et le prince, de Christophe Defeuilley, qui retrace la création du service public de l'eau et des infrastructures inhérentes. Ces deux lectures m'ont permis de réaliser que la généralisation du trottoir en France date du milieu du 19ème siècle et coïncide avec la création des grands réseaux d'infrastructure qui structurent le fonctionnement des services urbains en France depuis lors. Cela a été comme une révélation, d'autant qu'Alphabet, la société-mère de Google, venait de créer Sidewalk Labs, sa filiale dédiée aux projets urbains (son fameux projet à Toronto, abandonné depuis, avait fait grand bruit), dont le nom signifie littéralement « les labos du trottoir ». J'ai pensé : et si au fond le trottoir incarnait ce basculement de la ville
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B. Marzloff (Chronos) : "La pandémie a été un laboratoire formidable pour la ... - 0 views

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    "Un nouveau vocabulaire s'installe dans la fabrique de la ville depuis quelques années : espaces réversifs, urbanisme transitoire, stratégie bas carbone, objectif zéro artificialisation nette (ZAN)… La question est maintenant de savoir si une volonté politique saura incarner ses mots dans le réel. Des chantiers déjà engagés nous permettront de le savoir, à l'image de celui de la redistribution des espaces publics ; celui de la relocalisation des activités ou encore celui de l'articulation entre les villes et les arrière-pays. Dans le cadre du prolongement du RER E sur son territoire, l'intercommunalité Grand Paris Seine et Oise a engagé par exemple une réflexion sur les déplacements dans son périmètre pour lutter contre les congestions. Ce travail a conduit à imaginer un maillage d'une centaine de hubs d'intermodalité pour réduire l'usage de la voiture. Les premiers ont été lancés en novembre dernier. Ils pourraient devenir de véritables espaces subsidiaires qui rapprocheraient les biens et services des habitants. Au lieu de définir les villes par rapport à la mobilité comme cela a été fait au cours des dernières décennies, la bonne approche consiste à se demander de quelles mobilités avons-nous besoins pour donner corps aux territoires que nous voulons. "
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Géographies en mouvement - Jamais sans mon SUV - Libération.fr - 0 views

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    "Longtemps habitué aux autoroutes urbaines nord-américaines, le SUV (Sport utility vehicle) commence à investir le paysage des villes européennes. Un succès en contradiction avec les préoccupations écologiques du moment et avec un usage rationnel des espaces urbains. 200 millions dans le monde, dont 600 000 en France. C'est le nombre de SUV en circulation en 2019, près de six fois plus qu'en 2010, où un modeste total de 35 millions de descendants du tout-terrain roulaient sur la planète. Alors que les classes moyennes des pays émergents, Chine en tête, adoptent de plus en plus d'aspects des modes de vie occidentaux, les SUV représentent aujourd'hui 40% des ventes de véhicules neufs à travers le monde. En Europe, la palme revient à la Suisse, où prospérité économique rime avec grosses bagnoles: plus de la moitié des voitures neuves vendues sont des descendantes des tout-terrain. LES SUV À L'ASSAUT DU CLIMAT Fin 2019, l'Agence internationale de l'énergie publiait une étude sur l'impact énergétique de ces véhicules en train de devenir la normalité, après avoir été réservés aux routes nord-américaines et aux pistes de la savane africaine et du bush australien. Le résultat a de quoi décourager les plus optimistes: loin derrière la production d'électricité mais devant l'industrie lourde et l'aviation, les SUV sont le deuxième contributeur à l'augmentation des émissions mondiales de CO2 entre 2010 et 2018. Avec plus de 700 mégatonnes de dioxyde de carbone, leurs émissions annuelles équivalent à celles de la Grande-Bretagne et des Pays-Bas réunis. On a là un parfait exemple d'effet-rebond, mécanisme bien connu en économie de l'énergie. À poids égal, les voitures consomment moins qu'avant grâce aux progrès techniques… ce qui permet de produire de plus gros modèles et de continuer à consommer autant, voire plus. Sans oublier les SUV électriques, «solution» esquivant les vrais enjeux:
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(1) La part du gâteau | LinkedIn - 0 views

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    "Laisser les modes de déplacements alternatifs à la voiture solo se concurrencer pour l'accès à l'espace public est une absurdité de notre politique des transports. Si en public presque tous les responsables (Ministre en tête) prônent le partage des véhicules et des trajets, dans les faits il n'existe quasiment pas d'arbitrage en zones denses en faveur du covoiturage, de l'autopartage ou encore du vélo en libre service. Pour être parfaitement clair, par "arbitrage", j'entends l'allocation d'un certain pourcentage de l'espace public, et des mesures compensant les coûts perçus de chaque mode de transport. Les villes laissent chaque acteur se débrouiller avec les moyens du bord, sans remettre en cause la prédominance de la voiture individuelle dans le partage de l'espace public : après le vélo que l'on force à cohabiter avec des bus de 18 tonnes (et vice versa), il faudrait maintenant que le covoiturage emprunte lui aussi les couloirs de bus (Bordeaux) ou stationne dans ses arrêts (cf. l'article plus bas à Toulouse). Les véhicules en auto-partage doivent de leur côté payer le stationnement plein pot ce qui rend leur coût non compétitif. Quant aux vélos en free floating, ils prennent l'espace des piétons et poussettes faute de stationnement suffisant hors trottoirs. Du pain béni pour leurs détracteurs qui ont beau jeu de souligner que chaque nouveau mode est un intrus à chasser au plus vite. Facteur aggravant, en l'absence de politique nationale, voire européenne, chaq"
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Filmer les passages dans les villes africaines | IVM - 0 views

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    "Passages, espaces de transition pour la ville du 21e siècle   Un programme de recherches-actions en partenariat avec les villes de Barcelone, Montevideo, Shanghai, Tours, Santiago, Buenos Aires, Valparaiso…pour la réalisation de démonstrateurs in situ. Des concours, des ateliers universitaires, des groupes de recherches, des conférences et des manifestations artistiques jusqu'à l'exposition internationale en 2016  ▪ www.passages-ivm.com ▪ Texte d'orientation thématique, par Marcel Smets En lançant le programme international et multipartenarial Passages, à destination des professionnels et du grand public, l'Institut pour la ville en mouvement revendique la prise en compte des passages comme maillons essentiels de nos déplacements urbains. Depuis  2013, un réseau d'experts internationaux se mobilise pour déployer des échanges et des événements scientifiques, culturels et artistiques, ainsi que des concours d'architecture, de design, de cinéma... S'ils ont toujours été présents dans nos villes, sous des formes diverses, pourquoi aujourd'hui plus que jamais ? Comment donner leurs lettres de noblesse à ces articulations essentielles et pourtant souvent délaissées ? Quelles sont les pistes de réflexion, d'innovation de ces petits espaces de mobilités ? Projet de recherche et d'expérimentation interdisciplinaire, il s'appuie sur la réalisation de démonstrateurs de passages concrets et innovants dans différentes villes du monde comme Barcelone, Buenos Aires, Montevideo, Shanghai, Toronto, Tours et São Paulo. "
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Quels aménagements pour les piétons lors de la phase de déconfinement ? | Cerema - 0 views

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    "Cerema LE CEREMA ACTIVITÉS ET SERVICES EN RÉGIONS RECHERCHE, INNOVATION & INTERNATIONAL CENTRE DE RESSOURCES LE MAG Accueil Actualités Quels aménagements pour les piétons lors de la phase de déconfinement ? ETUDE Quels aménagements pour les piétons lors de la phase de déconfinement ? 23 AVRIL 2020 piéton aménagements temporaires espace public modes actifs Les objectifs de distanciation physique en période de confinement provoquent des ajustements des usages de l'espace public : files d'attentes devant des magasins, piétons marchant sur des chaussées sans trafic, promiscuité gênée à l'attente de feu vert piéton... Pour anticiper la phase de déconfinement, quelques pistes sont explorées afin de concilier cheminement, attente des piétons, et distanciation physique. Avertissement : cet article est à compléter. Bien qu'en évolution, nous avons pris le parti de partager avec vous les éléments dont nous disposions déjà."
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STOP - Les Turques demandent aux hommes de serrer les jambes | Big Browser - 0 views

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    "Elles ont décidé de se faire entendre grâce à Twitter. En Turquie, les militantes du Collectif féministe d'Istanbul, IFK Feministler, ont lancé le 15 avril la campagne Bacaklarını topla, yerimi işgal etme ! (« Serre tes jambes, n'empiète pas sur mon espace ! ») ont lancé une campagne sur Internet pour demander aux hommes d'arrêter d'écarter leurs jambes dans les transports en commun"
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Bâti 2030: La mobilité, un facteur de mutation urbaine - 0 views

  • Si les politiques ne semblent pas toujours l'avoir compris, les urbanistes et spécialistes des transports sont eux bien conscients de la direction dans laquelle doivent se porter les efforts : la modification des comportements, et non la multiplication des infrastructures ou des types de transport. Comme le dit Jean-Christophe Chadanson, directeur d’études à l’Agence d’urbanisme de la Communauté Urbaine de Bordeaux, « il faut passer d’un modèle où on a investi beaucoup d’argent dans les infrastructures à un autre où on met aussi de l’argent dans ce qui favorise la marche, le vélo et les changements de comportement. Chacun doit devenir multimodal, prendre un jour la voiture, un autre le vélo, la marche, les transports en commun. Ce comportement, il faut l’aider à émerger, c’est une autre forme d’investissement ».
  • L'équilibre à atteindre entre l'efficacité des transports et la limitation de leurs nuisances incitent à concevoir, plutôt que de nouveaux moyens de transport, de nouvelle façon d'appréhender la mobilité. En ce sens, de nouveaux concepts tendent à émerger, comme l'holoptisme, c'est-à-dire l'intelligence collective, qui permettrait de manière positive à chaque citoyen de mesurer son impact dans la société et son environnement et d'adapter ses comportements. Le covoiturage participe d'une certaine manière de ce concept, mais certaines sociétés ont développé des applications propres comme GoToo, qui permet à son utilisateur de gagner des points à mesure qu'il se déplace de manière responsable.
  • Autre idée en vogue, l'économie de fonctionnalité. Il s'agit ici de remplacer la vente pure et simple d'un produit par la vente d'un service, qui permet à la fois de réaliser des économies pour son utilisateur (vous ne payez que ce que vous consommez réellement) comme pour le prestataire. Elle propose soit un modèle serviciel centré sur l'usage (mise à disposition d'un véhicule que je paye en fonction du nombre de kilomètres), soit un modèle de solution intégrée (comme l'Autolib'). Les champs de l'innovation sont ici infinis et peuvent permettre de répondre, de manière subtile et équilibrée, aux enjeux de la mobilité aujourd'hui. La multiplication des stations de rechargement des fameuses BlueCars est déjà un signe visible de cette économie de la fonctionnalité.
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  • Aujourd'hui, c'est la "sanctuarisation" de certains espaces, réservés aux piétons et transports en commun, qui modifie profondément le paysage urbain. Nécessité économique et sécuritaire, la mobilité concentre aujourd'hui un grand nombre des contraintes produites par l'urbanité : densité de population, taille des agglomérations (donc nécessité d'un réseau de transports rapides et denses), pollution, nuisances diverses, sécurité, etc. Mais les meilleures infrastructures ne peuvent entraîner de modifications des comportements si elles n'apportent pas de progrès visibles. Face à l'urgence des contraintes, et notamment la disparition programmée du pétrole, l'innovation en matière de mobilité sera à l'origine, ou au moins un facteur important, d'évolution rapide de nos villes. Reste à savoir quelle mobilité nous voulons et donc à quoi ressemblera la ville de demain. Verticale ?
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    "Qui l'eût cru ? La mesure de circulation alternée, mise en place lundi à Paris et alentours, a été, si l'on reste au premier niveau d'analyse, un succès : 25% à 30% de bouchons en moins (voire même 60% sur certains axes aux heures de pointe) ; seulement 143 kilomètres d'embouteillage en Ile-de-France (contre deux fois plus habituellement) ; 90% de véhicules à numéro impair, 5 122 contraventions ; 61% et 33% de hausse respective des locations pour le Vélib' et l'Autolib'. Cette mesure (presque) nouvelle en France (elle existe par exemple à Sao Paulo sous le nom de "rodízio municipal") a modifié sur une journée la manière dont la population de Paris appréhende les transports quotidiens : transports publics, vélo, covoiturage et même congés exceptionnels. L'espace urbain lui-même s'en est trouvé modifié avec la réduction de la pollution, des nuisances sonores mais aussi de la pollution visuelle. Le signe que peu à peu, les "nouvelles" mobilités peuvent changer la ville. Les campagnes électorales, et notamment celles pour la Mairie de Paris, sont révélatrices des enjeux qui entourent la question des transports en milieu urbain. Si ces derniers continuent de répondre à leur mission première, à savoir permettre le déplacement quotidien des habitants, ils sont aujourd'hui confrontés à des contraintes contradictoires : d'un côté, ils doivent être plus performants, plus rapides et plus denses ; de l'autre, ils sont censés être sûrs, rentables, peu onéreux tout en étant respectueux de l'environnement et silencieux. Un vrai casse-tête chinois ! Or, aujourd'hui, et c'est ce qui apparaît dans la plupart des programmes politiques, le débat sur les transports à Paris oppose les détracteurs de la voiture, qui considèrent que ses nuisances sont trop importantes par rapport à ses apports en milieu urbain, face à ses partisans, qui n'y voient pas d'alternatives crédibles. L'absence de nouvelles solutions ? Cette dualité peut
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Le sentiment d'insécurité au prisme du genre. Repenser la vulnérabilité des f... - 0 views

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    "Le sentiment d'insécurité des femmes dans les espaces publics, considéré comme évident, est rarement questionné. Il est pourtant une source majeure d'inégalités dans l'accès à la ville. L'approche de genre nous permet de dénaturaliser ce sentiment d'insécurité et d'en comprendre les conséquences."
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Contribuer à l'atelier 'La vie robomobile' par deux études sur le véhicule au... - 0 views

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    "A partir de 2015, le sujet du véhicule autonome a commencé à occuper un espace médiatique considérable. D'abord propulsé sur le devant de la scène par les constructeurs automobiles et les géants du numérique, il est devenu un sujet incontournable pour l'acteur public, pour les opérateurs traditionnels de transport et même pour le grand public, dont une petite partie a pu tester ce nouvel objet technique dans le cadre de tests in situ, qui se multiplient. C'est dans ce contexte foisonnant qu'a été lancé l'Atelier prospectif "La vie robomobile", coordonné par le Direction générale des infrastructures, des transport et de la mer (DGTIM) du Ministère de la transition écologique et solidaire. Chronos a été amené à produire deux notes sur la commande de la Mission des transports intelligents (Ministère de la transition écologique et solidaire, DGITM), au titre de l'Assistance à la mise en oeuvre de la PREDIM, pour faire l'objet d'une première publication sous le timbre de l'Atelier prospectif "La vie robomobile" coordonné par la DGITM, qui a été valorisée dans le cadre de son grand Rendez-vous annuel, première édition, le 9 avril 2018. Deux questions avaient été posées à Chronos :   Quel pourrait être l'impact du déploiement des véhicules autonomes sur la pratique des modes actifs ? A quelles conditions le véhicule autonome peut-il avoir un sens en zone peu dense ?    La réalisation de ces deux notes s'est appuyée sur une analyse documentaire ainsi que sur une série d'entretiens avec une vingtaine d'experts en France et à l'étranger. Les deux notes (synthèse + notes complètes) sont téléchargeables ci-dessous. Elles soulèvent en réalité des enjeux qui vont bien au-delà de la pratique du vélo ou de la desserte des territoires ruraux - c'est l'étendue de ces enjeux qui est à la fois extrêmement complexe et passionnante dès lors qu'on aborde le sujet du véhicule autonome."
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L'essor des trottinettes électriques oblige à repenser le partage de l'espace... - 0 views

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    "Trottinette, gyroroue, eskate ou hoverboard ne sont pas pris en compte par le code de la route. Leur développement impose une réflexion sur la répartition de l'espace public."
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L'accessibilité de l'espace public stimule l'innovation - Paysage - 0 views

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    "Pour améliorer l'accessibilité de l'espace public, les villes multiplient les expérimentations techniques. Elles s'appuient sur le réseau déconcentré du centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement,  la mobilité et l'aménagement (Cerema)."
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« Allo, je suis dans le train ! » | L'interconnexion n'est plus assurée - 0 views

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    ""Vous êtes invités à passer vos appels depuis les plateformes". Depuis quoi ? Depuis quand ? Le jargon de la SNCF recèle quelques bijoux.  Peu importe, dira-t-on, tout le monde a compris. Même si aucun passager ne sait exactement à quoi ressemble une "plateforme". En langage courant, on dirait plutôt "entre les wagons". Pour résumer, un peu de discrétion est bienvenue. La consigne n'est pas facile à respecter. On ne compte plus les voyages perturbés par une conversation intempestive ou des hurlements téléphoniques. On aimerait se concentrer, lire, travailler, et à l'occasion faire la sieste. Indiciblement, sans trop savoir pourquoi, on sent son espace vital menacé."
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Neuilly-sur-Seine domestique l'« axe majeur » entre l'Etoile et la Défense - 0 views

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    "Moyennant une facture de près de 60 millions d'euros, la tonitruante artère à deux fois cinq ou six voies, bordée de contre-allées envahies par les voitures, cédera la place, en 2022, à de larges trottoirs, des terrasses, des espaces verts, des pistes cyclables, etc."
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Espace public : Google a les moyens de tout gâcher - Vraiment Vraiment - Visi... - 0 views

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    "Le caractère propice à la flânerie d'une rue ne se décrète pas - pas plus par l'architecte que par le maire, l'urbaniste, le commerçant ou le promoteur. Il relève d'une alchimie complexe, dont les seules à pénétrer le secret pourraient être les entreprises capables d'acquérir et d'analyser de grands volumes de données, et au premier chef Google. Les collectivités locales ont-elles l'ambition et les moyens de résister à l'omnipotence cartographique de la firme de Mountain View ? Car celle-ci pourrait annihiler les efforts de revitalisation et de réappropriation de l'espace public par les collectivités locales."
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Redonner une place centrale à la marche pour mieux partager la ville - 0 views

  • « Il ne s’agit pas de passer de la jungle à la mono-fonctionnalité, en multipliant les rues piétonnes commerciales et les quais de promenade. Mais d’optimiser l’usage des voiries en favorisant la coexistence dans l’espace et dans le temps des différents modes de déplacement »
  • La rue ne doit plus tant être pensée comme un axe de transit, mais comme un espace où les gens peuvent se rencontrer
  • « La vitesse est une question essentielle, insiste Sonia Lavadinho. Face à la multiplicité des vitesses, on ne peut pas saucissonner les rues avec autant de voies qu’il existe de vitesses. L’idée est de privilégier des zones où il n’y a pas d’autre règle établie d’avance que celle qui dit que c’est le plus faible qui a la priorité », explique-t-elle.
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  • « Si une part des voyageurs optait pour la marche plutôt que de prendre une correspondance pour une ou deux stations, cela permettrait de désaturer certaines lignes. Mais il faut donner envie de faire ce dernier kilomètre à pied. Or, la marche est souvent la grande oubliée des politiques publiques. On développe des zones piétonnes, mais on ne pense pas un vrai plan de “marchabilité” de la ville, qui donne aux gens et la possibilité et l’envie de se déplacer à pied. »
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    "La multiplication des modes de déplacement amène à repenser l'espace public. Or favoriser une compatibilité entre les différentes composantes de cette multimodalité conduit les villes à envisager un ralentissement de la vitesse et à redonner toute leur place aux piétons."
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Le Grand Paris Express réinvente les fêtes de chantier - 0 views

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    "Nous tenons à faire vivre au public l'expérience du chantier pour qu'il ne soit pas qu'un lieu de nuisances pour les habitants mais aussi un espace de créativité, de partage, de révélation et de festivités. Les KM créent des liens entre la technique, l'artistique et le sociétal. Les artistes invités se saisissent à leur manière du chantier en mettant en valeur des aspects souvent invisibles. Chaque KM est un moment véritablement magique qui réunit plusieurs milliers de personnes."
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Embouteillages monstres, travaux secrets… 6 arguments faux contre le « plan v... - 0 views

  • 1. Non, le « plan vélo » n’a pas été « lancé en secret » et a même été voté à l’unanimité
  • 2. La mairie et la région proposent bien des alternatives
  • « L’anticipation et la concertation ne font pas partie des plans », a-t-on pu entendre sur RTL, ou « aucune alternative n’est proposée » parmi les détracteurs de la politique municipale, peut-on lire dans Le Parisien. Il existe pourtant des alternatives, très nombreuses, à l’automobile à Paris et dans la proche banlieue : 3 890 km de lignes de bus, avec des couloirs réservés pour fluidifier leur passage ;la Ville de Paris est la première capitale d’Europe la mieux dotée en matière de transports en libre-service (Autolib’, Vélib’, etc.), avec 105 vélos pour 10 000 habitants et 19 voitures pour 10 000 habitants, rapporte Le Parisien ;la ville propose des aides à l’achat de véhicule propre (Paris et proche banlieue) ;Paris dispose d’un métro de grande qualité : 100 % de la population est couverte par un moyen de transport en commun à moins de 1 km ;Enfin Paris et la petite couronne bénéficient d’un tramway périphérique – dont la construction est presque terminée – et qui reliera à terme tous les arrondissements périphériques. Comme le rappelait La Tribune en 2014, comparée à Londres par exemple, Paris brille par une capacité moyenne trois fois supérieure dans ses rames – jusqu’à atteindre saturation sur certaines lignes aux périodes de pointe. Le vélo est justement une des alternatives aux transports en commun, si des pistes cyclables sont en nombre suffisant. Et avec un ticket à 1,90 euro (14,90 euros le carnet de 10), Paris propose un service meilleur marché que la capitale britannique (tarif variable mais situé globalement entre 3,80 euros et 6,50 euros selon la formule). Enfin, selon le bilan des déplacements 2014, 97,9 % des métros sont à l’heure ; un chiffre qui baisse à 87,5 % pour le RER et 88,6 % pour le Transilien, le bus s’en sort un peu mieux avec 90,6 % de ponctualité.
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  • 3. Non, le « plan vélo » n’a pas créé les embouteillages
  • Pourtant, le fait de réserver un peu plus d’espace à Paris aux piétons et aux vélos n’a eu qu’un léger impact sur la formation des bouchons, comme le confirment les études, puisqu’il « fallait 10,5 minutes pour traverser le boulevard Saint-Germain le matin en décembre 2015 [contre] 12,1 minutes en décembre 2016 », soit une minute et trente-cinq secondes de plus, environ 10 %, après une période en novembre 2016 où le temps est monté à 14,8 minutes explique Le Parisien. Des chiffres avec un recul d’un an qui semblent accréditer la thèse de « l’évaporation » d’une partie du trafic défendue par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France : moins de voies = moins d’automobiles. Par ailleurs, la circulation à Paris est un problème presque aussi ancien que la capitale française elle-même
  • 4. Non, favoriser le vélo ou les transports en commun plutôt que l’automobile n’est pas une mesure « anti-pauvres »
  • Les chiffres donnent tort à tous les deux, puisque selon un sondage réalisé par MV2 auprès de 1 127 usagers de la route en novembre 2015 pour la Mairie de Paris, 64 % des automobilistes qui circulent dans le centre de Paris appartiennent aux catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP+). Par ailleurs, selon le même sondage, 80 % des automobiles circulant dans le centre de Paris ne transportaient qu’une seule personne.
  • 5. Ce sont les automobiles qui ralentissent les véhicules de police ou de secours, pas les voies cyclables
  • Les voies cyclables à double sens, à l’image de celle du bassin de l’Arsenal ou des voies sur berges piétonnisées, sont également des voies d’urgence et peuvent être empruntées par les véhicules de secours.
  • 6. Ce sont les voitures qui prennent toute la place
  • Et pourtant, s’il y a une politique de rééquilibrage en faveur des piétons et des vélos, celles qui occupent tout l’espace à Paris, ce sont les automobiles : elles occupent 50 % des espaces publics pour seulement 13 % des déplacements. Et elles restent inutilisées 95 % du temps, selon Data Gueule. Dans la rue, une Clio (1,7 m × 4 m) occupe 7 m2 bien qu’elle soit qualifiée de citadine, face aux 7,6 m² du plus « compact » des SUV (1,78 m × 4,3 m), et parfois plus de 9 m² pour une berline (1,9 m × 4,8 m). En comparaison, un vélo n’a qu’une emprise au sol de 1 m² (60 cm × 1,75 m)… et les voies qui lui sont réservées dans la capitale représentent modestement 3 % de la totalité de l’espace public.
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    "Avec la réduction à une voie pour les véhicules motorisés sur les berges de Seine, la polémique sur la place de l'auto fait émerger nombre de contrevérités."
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