Skip to main content

Home/ Mobilités/ Group items tagged centre-ville

Rss Feed Group items tagged

[pop-up] urbain

Rien de tel qu'un banc pour faire marcher les... - A lire ailleurs - 0 views

  •  
    ""Une ville créative, qui bouge, comme Nantes ou Bordeaux, en France, est une ville qui en installe par milliers et c'est pour ça qu'elles attirent", estime Sonia Lavadiho (@slavadi), chercheuse au centre de transports à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, rapporte TerraEco dans une très belle ode au banc public. Reste que nul ne pourra faire de palmarès de la ville française la mieux équipée, puisque très rares sont les villes qui en font le décompte ou publient leur emplacement en open data. "Le paradoxe, en effet, c'est qu'en ville, pour que les gens puissent marcher, il faut pouvoir passer du temps assis !" Depuis 2007, l'OMS a fait du banc un élément indispensable de son quide mondial des "villes amies des aînés". "C'est un objet de sociabilité : le banc crée plus de ville, plus de vie""
[pop-up] urbain

Municipales 2020 : pourquoi la piétonnisation des centres ne suffit pas | For... - 0 views

  •  
    "Il est urgent de sortir du modèle centre-périphérie dominant, qui implique un centre-ville attractif et apaisé, lieu de destination accessible en voiture par des infrastructures rapides. Un autre modèle est possible, plus polycentrique, où la lenteur n'est plus l'apanage du centre piéton, où vitesse et voiture ne sont plus indispensables, où de nouveaux modes de vie plus en proximité peuvent se déployer dans tous les territoires, des modes de vie dans lesquels la marche et les modes doux auraient toute leur place. À l'heure où les émissions de gaz à effet de serre liées au transport continuent d'augmenter et où la lutte effective contre le changement climatique est toujours repoussée, il est temps que les villes ne se contentent pas de brandir des revendications d'écologie en piétonnisant leur centre, mais participent effectivement à cette lutte en repensant en profondeur leur modèle territorial et en faisant - enfin - rentrer la marche dans le champ des politiques publiques de mobilité."
[pop-up] urbain

DEUX DEGRES » Tarzan, les Lianes et la nature en ville - 0 views

  •  
    "Dijon, Lille, Caen, Bordeaux, le vocabulaire de la nature en ville s'est propagé aux transports en commun. Imaginez le désastre pour de nouveaux habitants plein d'espoirs, qui arrivent dans une ville qui se vante de ses Lianes, lorsqu'ils découvrent qu'il s'agit… de bus ? Imaginez l'un de ces nouveaux habitants, appelons-le Tarzan, qui arrive de sa région pleine de richesses naturelles, en se disant qu'il va pouvoir se déplacer comme chez lui, avec de la nature et des arbres dans chacune des rues. Nous, en tout cas, on va essayer de l'imaginer.  Tarzan s'installe avec sa famille dans un nouvel écoquartier situé au nord de la ville. Il peut profiter des parcs publics pour grimper de temps en temps et crier à sa guise. En effet, son hurlement, dans son T3 de 51m², risquerait de gêner bon nombre de ses voisins, surtout que la laine de mouton dans les murs de l'écoquartier n'offre pas une isolation sonore optimale. Tarzan doit aussi se déplacer. Et là, c'est le drame ! Des bus toutes les demi-heures, parfois à attendre dans le froid et la pluie, avec un changement de ligne obligatoire pour rejoindre le centre-ville et le commerce de bananes bio de proximité qu'il a ouvert avec Jane. Conformément à son programme électoral, le maire de la commune décide qu'à l'horizon 2050, chacune des rues de la ville sera agrémentée de nombreux arbres. Le paysagiste en charge du projet annonce qu'il aura recours à des essences d'arbres tropicaux et exotiques. Tarzan n'est pas satisfait. Les pollens des nouveaux arbres exotiques lui font fréquemment couler du nez. C'est vrai que les arbres sont jolis, mais les pollens sont très agressifs, inadaptés au milieu local et provoquent de graves crises d'allergies chez beaucoup de gens. Mais bon, Tarzan sait que parfois il faut savoir faire des sacrifices vis-à-vis de la nature. Il décide alors de militer pour monter un dossier de création de Lianes à Haut Niveau
[pop-up] urbain

Azavista - Les péages urbains, une opportunité pour la mobilité de demain ? - 0 views

  •  
    "Alors que les débats autour de la Loi d'orientation des mobilités ont mis en lumière la problématique du financement des transports et des infrastructures de mobilité, La Fabrique de la Cité souhaite remettre la question des péages urbains au centre du débat.  La résolution de ce qu'on a appelé le « problème de la circulation automobile » a conduit les villes à proposer, durant les derniers siècles deux, deux réponses diamétralement différentes. Au XXe siècle, l'automobile se démocratise et devient centrale dans la société. Ce siècle est celui de la mobilité individuelle : la voiture, plus souple et plus rapide, devient alors le premier mode de transport pour les déplacements au quotidien.Aujourd'hui, cet espace ouvert à l'automobile se referme progressivement : les villes modèrent la circulation automobile pour réduire sa présence dans des centres-urbains où l'espace disponible est une ressource rare.  Axes embouteillés, routes abîmées, air pollué… Les externalités négatives liées à la trop forte utilisation de la voiture conduisent les villes à réfléchir aux moyens permettant de réduire sa présence dans des centres-villes. Faisant face à des problématiques similaires, certaines métropoles (Singapour, Londres, Stockholm…), ont mis en place des péages urbains. Cet outil applique une redevance sur l'utilisation d'un véhicule dans une zone définie pour en réduire l'utilisation. Il constitue aussi un levier pour le financement de nouveaux services et infrastructures de mobilité. Quel rôle peuvent être amenés à jouer les péages urbains dans les politiques urbaines de mobilité : simples outils au service du financement de la mobilité ou instruments à la portée plus large ? En réunissant des experts de la mobilité et de son financement, La Fabrique de la Cité entend réinterroger le rôle et la capacité des péages urbains dans la résolution des problématiques de mobil
[pop-up] urbain

L'avenir des transports collectifs gratuits : aujourd'hui Dunkerque, demain P... - 0 views

  •  
    "Alors évidemment cette augmentation de la fréquentation s'est accompagné de nouveaux usagers qui se sont mis à utiliser le bus. Quels sont ces nouveaux usagers, en tout cas tel qu'on a pu les observer dans le bus ? Il y a tout d'abord, effectivement, un public de personnes en grandes difficultés sociales, précaires on va dire, qui se sont mis à utiliser le bus parce qu'il était gratuit. On a également un public de jeunes, on va dire 16-25 ans, qui s'est également mis à utiliser le bus le week-end de manière plus intensive, notamment en mentionnant la plus grande liberté qu'offrait la gratuité des bus pour ces jeunes et pour leur activité récréative le week-end, comme se rendre au cinéma ou rejoindre des copains en centre-ville. Mais on a également, et c'est ça peut-être l'enseignement le plus intéressant par rapport à la sociologie des nouveaux usagers des bus à Dunkerque, on a également des personnes âgées - souvent des personnes âgées isolées - qui vont prendre le bus uniquement pour sortir, pour prendre l'air, pour redécouvrir leur ville comme ils ont pu nous le dire dans des entretiens, et pour également retisser des liens sociaux à la fois dans le bus parfois, ce qui est étonnant, et puis à la fois avec leur réseau d'amis et de famille. Et puis on a un public de familles qui là, c'est quelque chose de très intéressant, qui vont se mettre à prendre le bus en lâchant leur voiture. Pourquoi ? Parce que lorsqu'ils venaient en centre-ville le week-end avec leur voiture, ils étaient contraints par le stationnement notamment automobile. Donc il faut payer, on a des horaires contraints… La gratuité du bus va les affranchir de cette contrainte horaire et de stationnement qui représente aussi un coût. Et donc on a un public familial qui va de nouveau prendre le bus pour des activités de loisir le week-end. Ce public familial qui abandonne la voiture le week-end pose la question du report modal en
[pop-up] urbain

Au Japon, un bus autonome reconnecte les seniors à la Smart City - L'Atelier ... - 0 views

  •  
    "Au Japon, un bus autonome s'aventure dans des régions isolées pour assurer le transport des personnes âgées. La zone rurale japonaise de Nishikata est une région isolée des centres urbains. A vol d'oiseau, la ville de Tokyo par exemple, se trouve à près de 115 km. De surcroit, l'âge moyen de la population approche les 65 ans, un âge où il n'est plus si aisé de prendre le volant. Les bus et les taxis y sont également rares, si bien que pour les habitants de Nishikata se déplacer en ville représente une double difficulté. A dessein, l'Etat Japonais a mis en service une ligne de bus autonome à destination des personnes âgées pour relier la région à la ville dotée d'un centre médical la plus proche. Desservie par le Robot Shuttle Dena, cette navette autonome de 6 places permet ainsi de redonner de la mobilité et de l'autonomie aux personnes âgées et de réduire la fracture spatiale et sociale des zones urbaines qui connaissent un fort taux de veillissement de la population. Seul frein, la vitesse lente de la navette la rend assez peu utile dans des situations d'urgence médicale. Si tout se passe pour le mieux néanmoins, le Japon prévoie de connecter d'autres régions rurales et d'ajouter sur le trajet du bus autonome d'autres arrêts comme la banque et les centres commerciaux. En tout cas le bus autonome se déploie sur les routes des smart cities comme à la campagne."
[pop-up] urbain

Guillaume Pepy : « On a vraiment changé de monde, y compris à la SNCF », Edit... - 0 views

  •  
    Les gares sont devenues des « city boosters ». Ce sont de nouveaux centres-villes qui contribuent à l'attractivité d'une métropole. Ce qu'on fait à Bordeaux avec Alain Juppé et Alain Rousset est exceptionnel. Bordeaux Saint-Jean va devenir un nouveau coeur de ville. Même chose à Strasbourg, Nantes ou Rennes. On s'attaque bientôt à Lyon Part-Dieu et à Toulouse. En tout, une vingtaine de grandes gares en chantier. C'est probablement ce qui va améliorer le plus visiblement la vie dans les transports. Dans les années 1980, les villes voulaient leur parc d'exposition pour dynamiser leur tissu économique. Eh bien aujourd'hui, ce qui booste la ville, c'est la gare, lorsqu'elle devient un « pôle d'échanges et d'énergie ! ».
[pop-up] urbain

Avec Haystack, vous pouvez vous faire de l'argent sur les places de parking p... - 0 views

  •  
    "Après Uber, le service de réservation et de revente de places de parking, pourrait être au centre des prochaines controverses. Après les compagnies de VTC comme Uber contre les taxis, voici l'appli Haystack contre les municipalités américaines. Lancée en juin sur iOS, l'appli permet de réserver une place de parking en centre-ville moyennant quelques dollars. Le principe est simple (voir la vidéo ci-dessus): avant de libérer sa place, l'automobiliste publie sa situation géographique sur l'appli. Le demandeur de place arrive et récupère alors le spot. Il lui en coûtera 3 dollars prévelés électroniquement, dont 75 cents sont récupérés par l'entreprise, et 2,25 par l'offreur de place. Le maire de Boston a fait savoir que l'appli de parking Haystack, disponible dans la ville depuis mi-juillet, n'était pas la bienvenue sur ses trottoirs."
[pop-up] urbain

Des ingénieurs financés par Airbus réinventent l'aéroport de centre-ville - 0 views

  •  
    "L'intérêt d'un tel aéroport est de fluidifier le transport aérien en raccourcissant les délais de traitement. Ainsi avec le CentAirStation, les passagers pourraient embarquer en un quart d'heure, soit presque aussi rapidement que pour le train. Selon le cabinet allemand, le trafic aérien devrait en effet tripler d'ici 2040. Avec la croissance de la population mondiale, les mégalopoles de plus de 10 millions d'habitant vont se multiplier sur la planète. Et les liaisons entre elles devront être plus rapides. Dans son projet Flightpath 2050, la Commission européenne s'est donnée un objectif ambitieux: que, dans une trentaine d'années, 90% des trajets sur le vieux continent ne durent jamais plus de 4 heures porte à porte. Cela suppose de concevoir des infrastructures aéroportuaires bien plus performantes qu'elles ne le sont aujourd'hui. Et surtout, de les rapprocher le plus possible des centres-villes."
[pop-up] urbain

La double peine de ceux qui habitent loin - Libération - 0 views

  • Côté transport d’abord, un premier paradoxe est que les investissements réalisés en faveur des transports collectifs ont principalement profité aux habitants des centres urbains, et donc aux couches les plus aisées. Ces dernières décennies, des investissements significatifs ont cependant été consentis pour améliorer la desserte des banlieues et des espaces périurbains, mais les limites semblent bien être atteintes : entre 2000 et 2012, la surface des zones délimitées par les «périmètres de transport urbain» a doublé ; corrélativement, la densité des territoires desservis a baissé de 30 %, passant d’environ 1000 habitants au km² à moins de 700. Et cela, sans que la «part de marché» des transports collectifs augmente de manière significative.
  • Côté logement ensuite, on aboutit à un constat semblable : l’étalement urbain n’a pas permis, loin s’en faut, de juguler l’augmentation des prix immobiliers. D’où un autre paradoxe : la part du logement dans le budget des ménages a pratiquement doublé depuis 1970. Et cela, malgré un effort significatif de l’Etat dans divers mécanismes d’aide au logement, au point que certains analystes avancent l’idée que ces mécanismes ont contribué eux-mêmes à alimenter la spéculation immobilière.
  • Les transports et leurs infrastructures ne doivent plus être simplement considérés comme une sorte de variable d’ajustement pour compenser l’absence de régulation des marchés fonciers et immobiliers, mais bien plutôt comme une composante à part entière d’un urbanisme plus économe d’espace et d’énergie en même temps qu’à taille plus humaine. Cela passe par la mise en place de dispositifs qui permettent aux communes de récupérer une part significative de la rente foncière, avec des obligations de résultats quant aux possibilités offertes aux couches modestes et aux classes moyennes d’habiter dans les villes centres ou en proche banlieue.
  •  
    "Il faut aller au-delà, car le temps presse. Les transports et leurs infrastructures ne doivent plus être simplement considérés comme une sorte de variable d'ajustement pour compenser l'absence de régulation des marchés fonciers et immobiliers, mais bien plutôt comme une composante à part entière d'un urbanisme plus économe d'espace et d'énergie en même temps qu'à taille plus humaine. Cela passe par la mise en place de dispositifs qui permettent aux communes de récupérer une part significative de la rente foncière, avec des obligations de résultats quant aux possibilités offertes aux couches modestes et aux classes moyennes d'habiter dans les villes centres ou en proche banlieue. Il faut aussi légiférer pour mettre un terme à l'urbanisation des terres agricoles. Et enfin, agir concrètement pour la mixité sociale, et quand cela est nécessaire, pour la mixité fonctionnelle des noyaux centraux de nos villes et de leurs banlieues."
[pop-up] urbain

Comment développer le cyclisme dans une ville en pente ? - 0 views

  •  
    "Une question se pose : comment BABS peut-il fonctionner dans une ville à la topographie aussi vallonnée que San Francisco ? Les utilisateurs de Vélib' du Nord-Est parisien en savent quelque chose : la station en haut de la colline est toujours vide, celle d'en bas est toujours pleine. Pour contourner ce problème, les concepteurs du réseau de cyclo-partage californien ont opté pour une solution simple, visible sur cette carte : BABS ne couvre qu'une petite partie de la ville, autour du centre historique et le long du littoral, là où les dénivelés sont les moins importants."
[pop-up] urbain

Drachten, la ville où il n'y a plus de panneaux de signalisation - 0 views

  •  
    "Drachten est une ville néerlandaise de 50 000 habitants où les feux, panneaux de signalisation et trottoirs ont été retirés dans une partie du centre-ville afin de voir si cela permettrait d''améliorer la sécurité. En effet, les conducteurs, alors privés d'indication, ralentissent et prêtent plus attention aux autres et à leur environnement. L'expérience est une réussite, car le nombre d'accidents y a fortement baissé."
[pop-up] urbain

Très cher métro japonais | Le Bug Urbain - 0 views

  •  
    "Parisien, lyonnais ou encore lillois vous vous plaignez du coût d'un abonnement ou d'un ticket de métro ? Un tour dans le métro japonais vous suffira peut-être pour vous dire qu'après tout, on n'est pas si mal lotis. Si les systèmes de paiement diffèrent selon le réseau, une caractéristique reste présente quel que soit la ville : le prix d'un trajet dépend du nombre d'arrêts jusqu'à votre destination… Autant dire que la note peut vite être salée si vous emprunter le métro pour visiter la ville en large et en travers (oui parce que sinon pour deux arrêts, il y a la marche à pied… Non?) ! Tokyo : une ligne, un billet Le réseau très fourni de Tokyo a été développé progressivement dans la première moitié du 20ème siècle, et reste géré par différents exploitants. On passe ainsi de la Yamanote line de la compagnie nationale Japan Railways (boucle très utile qui relie plusieurs centres névralgiques de la mégalopole) aux multiples lignes de Tokyo Metro, société possédant la majorité des lignes du réseau tokyoïte, sans oublier les quelques lignes bien utiles de la compagnie Toei (contraction de Tōkyō-to Kōtsū-kyoku, soit « Bureau des transports de la métropole de Tokyo »). Ce bel imbroglio d'opérateurs s'est néanmoins entendu pour rendre le passage d'un réseau à un autre le plus fluide possible : on peut obtenir aisément une carte à puce rechargeable (chaque compagnie en propose une avec des avantages bien particuliers, mais toutes donnent accès à l'entièreté du réseau), et dont le passage à chaque borne déduit automatiquement le prix du trajet. Paiement qui a lieu… à chaque fois que l'on change de ligne ! Dans le cas de l'achat d'un ticket, celui-ci ne donnerait donc pas accès à la totalité du réseau, mais seulement à une certaine distance de ligne selon le prix payé. Si votre trajet nécessite d'emprunter 3 lignes différentes, il faudra ainsi payer à 3 repr
[pop-up] urbain

Espagne : Pontevedra, première ville sans voiture au monde - Le journal de 20... - 0 views

  •  
    "Les 83 000 habitants de Pontevedra en Galice vivent désormais sans voiture. Le maire, un ancien médecin, a dû convaincre ses administrés mais 15 ans après les habitants sont enthousiastes. Seules les voitures de livraison et les riverains sont autorisés à circuler. En 15 ans, la pollution a diminué de 90% et les habitants se sont réappropriés le centre-ville."
[pop-up] urbain

En Espagne, la « révolution piétonne » réussie de Pontevedra - 0 views

  •  
    "Cette ville du nord-ouest de l'Espagne a vu, en vingt ans, les émissions de CO2 chuter de 60 % dans son centre-ville et les déplacements à pied bondir à 70 %."
[pop-up] urbain

Bus&Car - Connexion Transports Territoires | Londres: le centre-ville bientôt... - 0 views

  •  
    "Le maire de Londres, Sadiq Khan, et l'autorité des transports de la capitale Transport for London (TfL) ont annoncé le 15 mai leur intention de transformer les quartiers centraux de la ville en «l'une des plus grandes zones sans voiture de toutes les capitales au monde», alors que les restrictions de déplacements s'assouplissent. «Cela signifie que nous devons maintenir le nombre de personnes utilisant les transports publics aussi bas que possible. Et il ne sera pas possible de remplacer les déplacements effectués auparavant dans les transports publics en recourant à la voiture, car nos routes deviendraient immédiatement bloquées et la pollution atmosphérique augmenterait», a indiqué Sadiq Khan. Cet effort qualifié de «monumental» pour les Londoniens doit permettre de garantir une distance sociale appropriée dans les transports publics, ces derniers ne devant être utilisés «qu'en cas d'absolue nécessité». Les autres usagers sont incités à marcher ou à enfourcher une bicyclette."
[pop-up] urbain

Des « zèbres » face au chaos urbain de La Paz | Forum Vies Mobiles - Préparer... - 0 views

  •  
    "Se rapprocher du centre-ville de La Paz, c'est progressivement découvrir le « chaos » qui domine les rues : embouteillages, désorganisation du trafic, effervescence permanente et tensions entre les usagers de l'espace public. Le piéton qui tente de s'y aventurer est confronté à la rage des chauffeurs qui dominent la voie publique. Entre la marche, incertaine dans cet environnement hostile, et le recours au minibus, constamment ralentis par les embouteillages, le choix s'avère difficile. Mais au détour d'un carrefour, on peut apercevoir un personnage vêtu d'un accoutrement blanc strié de lignes noires qui bouge, danse et saute… Un zèbre."
[pop-up] urbain

Embouteillages monstres, travaux secrets… 6 arguments faux contre le « plan v... - 0 views

  • 1. Non, le « plan vélo » n’a pas été « lancé en secret » et a même été voté à l’unanimité
  • 2. La mairie et la région proposent bien des alternatives
  • « L’anticipation et la concertation ne font pas partie des plans », a-t-on pu entendre sur RTL, ou « aucune alternative n’est proposée » parmi les détracteurs de la politique municipale, peut-on lire dans Le Parisien. Il existe pourtant des alternatives, très nombreuses, à l’automobile à Paris et dans la proche banlieue : 3 890 km de lignes de bus, avec des couloirs réservés pour fluidifier leur passage ;la Ville de Paris est la première capitale d’Europe la mieux dotée en matière de transports en libre-service (Autolib’, Vélib’, etc.), avec 105 vélos pour 10 000 habitants et 19 voitures pour 10 000 habitants, rapporte Le Parisien ;la ville propose des aides à l’achat de véhicule propre (Paris et proche banlieue) ;Paris dispose d’un métro de grande qualité : 100 % de la population est couverte par un moyen de transport en commun à moins de 1 km ;Enfin Paris et la petite couronne bénéficient d’un tramway périphérique – dont la construction est presque terminée – et qui reliera à terme tous les arrondissements périphériques. Comme le rappelait La Tribune en 2014, comparée à Londres par exemple, Paris brille par une capacité moyenne trois fois supérieure dans ses rames – jusqu’à atteindre saturation sur certaines lignes aux périodes de pointe. Le vélo est justement une des alternatives aux transports en commun, si des pistes cyclables sont en nombre suffisant. Et avec un ticket à 1,90 euro (14,90 euros le carnet de 10), Paris propose un service meilleur marché que la capitale britannique (tarif variable mais situé globalement entre 3,80 euros et 6,50 euros selon la formule). Enfin, selon le bilan des déplacements 2014, 97,9 % des métros sont à l’heure ; un chiffre qui baisse à 87,5 % pour le RER et 88,6 % pour le Transilien, le bus s’en sort un peu mieux avec 90,6 % de ponctualité.
  • ...8 more annotations...
  • 3. Non, le « plan vélo » n’a pas créé les embouteillages
  • Pourtant, le fait de réserver un peu plus d’espace à Paris aux piétons et aux vélos n’a eu qu’un léger impact sur la formation des bouchons, comme le confirment les études, puisqu’il « fallait 10,5 minutes pour traverser le boulevard Saint-Germain le matin en décembre 2015 [contre] 12,1 minutes en décembre 2016 », soit une minute et trente-cinq secondes de plus, environ 10 %, après une période en novembre 2016 où le temps est monté à 14,8 minutes explique Le Parisien. Des chiffres avec un recul d’un an qui semblent accréditer la thèse de « l’évaporation » d’une partie du trafic défendue par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France : moins de voies = moins d’automobiles. Par ailleurs, la circulation à Paris est un problème presque aussi ancien que la capitale française elle-même
  • 4. Non, favoriser le vélo ou les transports en commun plutôt que l’automobile n’est pas une mesure « anti-pauvres »
  • Les chiffres donnent tort à tous les deux, puisque selon un sondage réalisé par MV2 auprès de 1 127 usagers de la route en novembre 2015 pour la Mairie de Paris, 64 % des automobilistes qui circulent dans le centre de Paris appartiennent aux catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP+). Par ailleurs, selon le même sondage, 80 % des automobiles circulant dans le centre de Paris ne transportaient qu’une seule personne.
  • 5. Ce sont les automobiles qui ralentissent les véhicules de police ou de secours, pas les voies cyclables
  • Les voies cyclables à double sens, à l’image de celle du bassin de l’Arsenal ou des voies sur berges piétonnisées, sont également des voies d’urgence et peuvent être empruntées par les véhicules de secours.
  • 6. Ce sont les voitures qui prennent toute la place
  • Et pourtant, s’il y a une politique de rééquilibrage en faveur des piétons et des vélos, celles qui occupent tout l’espace à Paris, ce sont les automobiles : elles occupent 50 % des espaces publics pour seulement 13 % des déplacements. Et elles restent inutilisées 95 % du temps, selon Data Gueule. Dans la rue, une Clio (1,7 m × 4 m) occupe 7 m2 bien qu’elle soit qualifiée de citadine, face aux 7,6 m² du plus « compact » des SUV (1,78 m × 4,3 m), et parfois plus de 9 m² pour une berline (1,9 m × 4,8 m). En comparaison, un vélo n’a qu’une emprise au sol de 1 m² (60 cm × 1,75 m)… et les voies qui lui sont réservées dans la capitale représentent modestement 3 % de la totalité de l’espace public.
  •  
    "Avec la réduction à une voie pour les véhicules motorisés sur les berges de Seine, la polémique sur la place de l'auto fait émerger nombre de contrevérités."
[pop-up] urbain

Ces nouveaux maires qui réintroduisent la voiture en ville | L'interconnexion... - 0 views

  •  
    "« Impossible de se garer, Monsieur le maire ». La complainte est toujours la même, qu'elle émane de commerçants qui se plaignent car « les affaires ne marchent plus comme avant » ou de professions libérales qui « n'arrivent plus à travailler ». Et le maire, nouvellement élu, cède sans tergiverser, dans l'espoir d'attirer le chaland. Le client-roi, selon une idée bien ancrée, aurait besoin de se garer devant un magasin et d'y accéder sans embouteillages pour pouvoir remplir son coffre de victuailles. Le consommateur ne vaudrait que s'il est motorisé. Rues piétonnes rouvertes au trafic. Béthune (Pas-de-Calais), la première, a défrayé la chronique. La Grand-Place, piétonne depuis une vingtaine d'années, a été rendue à la circulation automobile et au parking dès le mois d'avril (détails à lire ici). Puis Auray (Morbihan) a supprimé sa zone piétonne, qui existait depuis 2007."
[pop-up] urbain

Comment les grandes villes européennes luttent contre la pollution - 0 views

  • A Copenhague, le vélo est roi
  • Oxford mise sur l’électrique
  • Le péage urbain de Londres
  • ...6 more annotations...
  • Oslo s’attaque aux parkings
  • Bruxelles, zone piétonne géante
  • Un « réseau vert » à Hambourg
  • Berlin surveille ses émissions
  • Le centre de Madrid se piétonnise
  • A Amsterdam, une coûteuse carte de résident
  •  
    "Paris souhaite débarrasser ses rues des véhicules diesel et essence d'ici à 2030. Tour d'horizon des mesures mises en place dans d'autres grandes villes européennes."
1 - 20 of 54 Next › Last »
Showing 20 items per page