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[pop-up] urbain

Bâti 2030: La mobilité, un facteur de mutation urbaine - 0 views

  • Si les politiques ne semblent pas toujours l'avoir compris, les urbanistes et spécialistes des transports sont eux bien conscients de la direction dans laquelle doivent se porter les efforts : la modification des comportements, et non la multiplication des infrastructures ou des types de transport. Comme le dit Jean-Christophe Chadanson, directeur d’études à l’Agence d’urbanisme de la Communauté Urbaine de Bordeaux, « il faut passer d’un modèle où on a investi beaucoup d’argent dans les infrastructures à un autre où on met aussi de l’argent dans ce qui favorise la marche, le vélo et les changements de comportement. Chacun doit devenir multimodal, prendre un jour la voiture, un autre le vélo, la marche, les transports en commun. Ce comportement, il faut l’aider à émerger, c’est une autre forme d’investissement ».
  • L'équilibre à atteindre entre l'efficacité des transports et la limitation de leurs nuisances incitent à concevoir, plutôt que de nouveaux moyens de transport, de nouvelle façon d'appréhender la mobilité. En ce sens, de nouveaux concepts tendent à émerger, comme l'holoptisme, c'est-à-dire l'intelligence collective, qui permettrait de manière positive à chaque citoyen de mesurer son impact dans la société et son environnement et d'adapter ses comportements. Le covoiturage participe d'une certaine manière de ce concept, mais certaines sociétés ont développé des applications propres comme GoToo, qui permet à son utilisateur de gagner des points à mesure qu'il se déplace de manière responsable.
  • Autre idée en vogue, l'économie de fonctionnalité. Il s'agit ici de remplacer la vente pure et simple d'un produit par la vente d'un service, qui permet à la fois de réaliser des économies pour son utilisateur (vous ne payez que ce que vous consommez réellement) comme pour le prestataire. Elle propose soit un modèle serviciel centré sur l'usage (mise à disposition d'un véhicule que je paye en fonction du nombre de kilomètres), soit un modèle de solution intégrée (comme l'Autolib'). Les champs de l'innovation sont ici infinis et peuvent permettre de répondre, de manière subtile et équilibrée, aux enjeux de la mobilité aujourd'hui. La multiplication des stations de rechargement des fameuses BlueCars est déjà un signe visible de cette économie de la fonctionnalité.
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  • Aujourd'hui, c'est la "sanctuarisation" de certains espaces, réservés aux piétons et transports en commun, qui modifie profondément le paysage urbain. Nécessité économique et sécuritaire, la mobilité concentre aujourd'hui un grand nombre des contraintes produites par l'urbanité : densité de population, taille des agglomérations (donc nécessité d'un réseau de transports rapides et denses), pollution, nuisances diverses, sécurité, etc. Mais les meilleures infrastructures ne peuvent entraîner de modifications des comportements si elles n'apportent pas de progrès visibles. Face à l'urgence des contraintes, et notamment la disparition programmée du pétrole, l'innovation en matière de mobilité sera à l'origine, ou au moins un facteur important, d'évolution rapide de nos villes. Reste à savoir quelle mobilité nous voulons et donc à quoi ressemblera la ville de demain. Verticale ?
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    "Qui l'eût cru ? La mesure de circulation alternée, mise en place lundi à Paris et alentours, a été, si l'on reste au premier niveau d'analyse, un succès : 25% à 30% de bouchons en moins (voire même 60% sur certains axes aux heures de pointe) ; seulement 143 kilomètres d'embouteillage en Ile-de-France (contre deux fois plus habituellement) ; 90% de véhicules à numéro impair, 5 122 contraventions ; 61% et 33% de hausse respective des locations pour le Vélib' et l'Autolib'. Cette mesure (presque) nouvelle en France (elle existe par exemple à Sao Paulo sous le nom de "rodízio municipal") a modifié sur une journée la manière dont la population de Paris appréhende les transports quotidiens : transports publics, vélo, covoiturage et même congés exceptionnels. L'espace urbain lui-même s'en est trouvé modifié avec la réduction de la pollution, des nuisances sonores mais aussi de la pollution visuelle. Le signe que peu à peu, les "nouvelles" mobilités peuvent changer la ville. Les campagnes électorales, et notamment celles pour la Mairie de Paris, sont révélatrices des enjeux qui entourent la question des transports en milieu urbain. Si ces derniers continuent de répondre à leur mission première, à savoir permettre le déplacement quotidien des habitants, ils sont aujourd'hui confrontés à des contraintes contradictoires : d'un côté, ils doivent être plus performants, plus rapides et plus denses ; de l'autre, ils sont censés être sûrs, rentables, peu onéreux tout en étant respectueux de l'environnement et silencieux. Un vrai casse-tête chinois ! Or, aujourd'hui, et c'est ce qui apparaît dans la plupart des programmes politiques, le débat sur les transports à Paris oppose les détracteurs de la voiture, qui considèrent que ses nuisances sont trop importantes par rapport à ses apports en milieu urbain, face à ses partisans, qui n'y voient pas d'alternatives crédibles. L'absence de nouvelles solutions ? Cette dualité peut
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Les opposants à la gratuité - 0 views

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    "La gratuité a donc le vent en poupe, elle apparaît comme une solution qui répond à la fois aux enjeux environnementaux, en favorisant les alternatives à l'automobile, et aux enjeux sociaux, en favorisant le droit au transport et le pouvoir d'achat des ménages. Or, les 9 et 10 janvier derniers, la FNAUT et l'UTP ont voté une « position commune » dont le titre en lui-même est évocateur: « Pour un développement durable du service de transport public, non à la gratuité totale« . Cette position commune se présente comme un argumentaire détaillé contre la gratuité, il permet donc de mieux cerner ce qui soude et réunit les opposants à la gratuité des transports en commun. Venant de la FNAUT et de l'UTP, deux associations sérieuses et respectées, on s'attend donc à un argumentaire en béton qui va réduire à néant les « illusions de la gratuité ». On va être déçu. Déjà, le titre du communiqué en dit long, cela pourrait être un jeu de mots, mais il s'agit plus probablement d'une énième utilisation éculée du terme « développement durable ». Car ici, il ne faut pas comprendre que le transport public serait éventuellement un outil du développement durable, mais plutôt que le seul moyen de « développer » le transport public sur le long terme est de le rendre payant pour les usagers. Cette seule affirmation est déjà un non-sens car dans les faits, les recettes commerciales, c'est-à-dire la vente de titres de transport, représentent une très faible part du financement des transports en commun, allant d'en moyenne 15% pour les petites agglomérations à 23% pour les plus grandes agglomérations de France (1). Dit autrement, le financement des transports en commun en France est déjà assuré entre 77% et 85% par les contribuables et les entreprises. Bien pire, dans certaines villes, les recettes de billetterie sont inférieures aux frais de perception (2). Ce qui veut dire, tenez-vous bien, qu
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Pourquoi la gratuité des transports collectifs gagne-t-elle du terrain ? | Fo... - 0 views

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    "Cette nouvelle dynamique en faveur des transports collectifs gratuits nourrit de nouveaux questionnements également, dans la recherche urbaine. Ce qu'il faut savoir c'est que les questions de tarification dans les transports ont, pendant très longtemps, été analysées par des économistes des transports, qui sont relativement dominants dans le champ des études sur les transports. Et aujourd'hui on a de nouvelles approches, plus sociologiques, géographiques, mais aussi de science politique, qui vont d'avantage s'intéresser aux effets de la mise en gratuité des transports collectifs sur les modes de vie urbains. Et puis il s'agit aussi de répondre à un certain nombre d'idées reçues qui ont été véhiculées récemment sur la question de la gratuité des transports collectifs, notamment le fait que le passage à la gratuité des transports collectifs occasionnerait un surcroit de dégradations et d'actes de vandalisme dans les réseaux. Autres idées reçues : que le passage à la gratuité occasionnerait des difficultés dans l'investissement pour l'avenir (entrainant donc une dégradation du matériel et des infrastructures à long terme), ou encore que, le report modal potentiel de la voiture vers les bus serait en fait assez limité."
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De la contre-productivité globale. La critique de la mobilité et la crise du ... - 0 views

  • C’est néanmoins autre chose qui semble être à l’œuvre, une forme étrange d’auto-annihilation du système de transport, telle que discutée par Ivan Illich et ses collaborateurs sous le vocable de « contre-productivité »
  • La contre-productivité 2 désigne une situation dans laquelle l’usage d’un mode de transport par un grand nombre d’usagers rend l’usage de ce mode de transport impossible. L’exemple classique est celui du bouchon : lorsqu’un grand nombre d’automobilistes circule en même temps sur une route, chacun devient un obstacle insurmontable pour l’autre. C’est la congestion. Et par un effet boule de neige, le bus sera à l’arrêt et nulle place ne sera laissée au marcheur.
  • Parce que trop d’usagers ont utilisé certains modes de déplacement rapides, ils ont participé à la diffusion d’un virus et rendu impossible l’usage de tous les moyens de déplacement, même les moins problématiques.
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  • On pourrait parler de contre-productivité différée, c’est-à-dire d’un usage qui n’est pas empêché immédiatement, mais plus tard, une fois qu’il aura été réalisé en masse et que ses conséquences se font sentir.
  • L’industrialisation des transports consiste en la transformation d’une variété de manières de se déplacer, inscrites dans des contextes locaux et riches de sens, en un petit nombre de moyens de transport standards qui constituent des commodités. À mesure que sont abandonnés les usages vernaculaires au profit des usages modernes, les personnes dépendent de plus en plus du système industriel de transport, par dévalorisation du vernaculaire, du qualitatif et de l’auto-produit, mais aussi par la perte des compétences et des conditions de possibilité d’une production autonome.
  • Comment les critiques de la mobilité envisageaient-ils des alternatives à cette dynamique d’écrasement de l’individu par le système industriel ? Tout d’abord, ils proposaient des mobilités autonomes, reposant sur les efforts de l’individu. La marche et l’usage du vélo sont deux manières de développer ses capacités de se déplacer. Dans le contexte actuel, il s’agit des moyens de se déplacer qui limitent le plus à la fois les contaminations possibles et la contre-productivité inhérente aux modes rapides.
  • Confinés, nombreux sont les citadins qui ne peuvent plus se déplacer. Toutefois, ils continuent de faire se déplacer d’autres individus et des marchandises, parce que nous sommes pour la plupart totalement dépendants des réseaux de transport, afin d’acquérir les commodités nécessaires à notre vie quotidienne. Ce besoin de commodités met en danger ceux qui transportent les marchandises, qui sont ceux qui doivent nous les livrer, mais aussi nous-mêmes, puisque le risque de transmission existe à chaque interaction. De ce fait, ce n’est pas seulement la mobilité des individus qui pose problème, mais aussi le transport des commodités.
  • La folie de la modernité s’exprime bien là, dans cette « loi » : tout usage massif d’un mode de déplacement rapide tend à rendre impossible son usage, mais aussi les autres manières de se déplacer. Toute accélération du rythme d’un usage dépassant un certain seuil tend à créer de la paralysie. Or, les vitesses de déplacement ont beaucoup augmenté, tout comme l’usage des moyens de transport longue distance comme l’avion. Ainsi, parvenus à un développement tentaculaire, nos réseaux de transport sont devenus nos filets, comme l’origine du terme (« réseau » vient du latin retis, filet) aurait dû nous le rappeler.
  • L’ascèse volontaire, le choix de ne pas agir, est une forme de liberté, qu’il s’agisse de refuser d’utiliser la voiture ou de s’auto-confiner, tandis qu’être réduit à l’impuissance par le système industriel est plus proche de la servitude.
  • À mesure que le système industriel étend ses mailles, l’individu est de plus en plus dépendant et impuissant. Il est bloqué par les bouchons, les files d’attente. Se déplacer est devenu dangereux ou impossible, mais seul ou en famille et sans déplacement, il est dépourvu des moyens d’assurer sa subsistance. L’immobilité maximale qui devrait permettre de lutter contre la pandémie est donc largement hors d’atteinte, par l’incapacité de l’individu, d’un groupe d’amis, d’une famille ou d’une commune, à assurer une auto-production suffisante.
  • D’ailleurs, moins appréciés par les usagers que les manières plus individuelles de se déplacer, quelle collectivité publique aura encore les moyens de ces infrastructures de luxe, avec l’endettement gigantesque résultant de la pandémie actuelle ? Quant à la voiture, tout le monde sait déjà qu’elle est le symbole même de la contre-productivité, par la congestion, l’usage du pétrole et la diminution de l’activité physique de ses usagers.
  • Cela signifie aussi que les mégalopoles sont trop grandes. Elles rendent l’individu dépendant des commodités, réduisent ses capacités d’autoproduction, multiplient les distances entre les lieux de vie, rendent le confinement moins supportable par leur absence d’espaces pour « respirer ». Elles sont aussi le lieu historique du bouchon, comme on le raconte à propos de la Rome antique où Jules César fut contraint d’interdire les véhicules entre six heures et seize heures pour éviter la paralysie de la ville.
  • Les villes de taille « moyenne » du type de Salzbourg des années 1960, vantée par Kohr, représentent un autre modèle. Elles comportent toutes les aménités de la ville, peuvent reposer sur la campagne environnante pour être approvisionnée et pour les loisirs – plus accessibles tant pour les riches et que pour les pauvres –, ont la taille nécessaire pour offrir une université ou un opéra. Il s’agit des mêmes villes dans lesquels les habitants sont d’ores et déjà les moins dispendieux en dioxyde de carbone
  • La crise actuelle n’est pas le résultat d’un accident ou d’un système de transport qui serait trop chaotique et dont les effets seraient surprenants et imprévisibles. C’est l’ordre de sa diffusion généralisée qui rend possible la congestion et la paralysie, selon les voies de circulation et les vitesses élevées des moyens de transport.
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    "Alors qu'au début du mois d'avril 2020, plus de la moitié des habitants de la planète sont confinés, il n'a jamais été aussi nécessaire d'interroger le rôle de notre système global de mobilité. Dans cette perspective, les critiques de la mobilité des années 1970 sont des guides sûrs. Celles-ci offrent à la fois une perspective sur un facteur d'expansion de l'épidémie devenue pandémie - le système de transport - et les pistes pour aménager le système de transport de l'après-crise."
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Hanoi, Mumbai, Nairobi : inspirations pour la ville de demain ? - Demain La Ville - Bou... - 0 views

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    "De la nuée de mobylettes aux matatus colorés, le mix transport proposé par les différentes villes est à chaque fois unique et souvent déroutant. Hanoi se caractérise par un réseau de bus publics pour les transports collectifs et une utilisation massive de la mobylette  pour les transports individuels. Mumbai, bien plus étendue s'appuie quant à elle sur un réseau ferré riche complété par de nombreux bus publics, de taxis collectifs tandis que le transport individuel passe souvent par l'utilisation d'un triporteur de la nuée de tuk-tuks qui fendent la ville. A Nairobi, les transports en commun sont exclusivement assurés par des bus privés et la cartographie de ce « réseau » représente un vrai défi. Une partie du transport privé se fait par taxi et mobylette, tandis que posséder sa propre voiture reste, comme dans les deux autres villes-étapes le luxe d'une minorité. Dans les trois métropoles, la marche à pied reste un mode de transport très important."
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La gratuité des transports en commun - 0 views

  • mon objectif est de vous informer de la création de la page wikipédia « Gratuité des transports en commun« . Cette page n’existait pas encore récemment, ce qui semble surprenant au vu de l’actualité récente sur le sujet et au vu de l’expérience française en la matière. J’ai donc entrepris de la traduire partiellement de l’anglais mais en la « francisant » quelque peu. Surtout, j’ai essayé de conserver l’esprit de neutralité propre à une encyclopédie comme Wikipédia. Et la chose n’est pas forcément évidente sur un tel sujet! Chacun se fera son idée et il faut rappeler de toute manière qu’un article Wikipédia est destiné à être modifié, amélioré, amendé, etc.
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    "La gratuité des transports en commun est un sujet que les professionnels de la communication diraient « clivant ». Il y a les farouchement « pour » et les farouchement « contre » comme si le véritable débat relevait de choix idéologiques, entre partisans « bolchéviques » et opposants « ultra-libéraux » de la gratuité. Certains brandissent la gratuité comme une arme anticapitaliste, d'autres alimentent les peurs en parlant de « faillite des transports publics ». Difficile d'avoir un débat serein sur le sujet et on a même pu le constater récemment sur Carfree France lorsqu'on a fait état des propos du président de la FNAUT affirmant que « la gratuité est une idée dangereuse« . Disons-le tout de suite, dans les faits, il est difficile de connoter politiquement la gratuité des transports publics, qui a été mise en place par des élus de l'ensemble de l'échiquier politique (de l'UMP à Compiègne au PC à Aubagne). Lors des dernières élections municipales, la proposition de la gratuité a été portée par des listes de gauche comme de droite. Alors, la gratuité est-elle vraiment dangereuse et si oui, pour qui ou pourquoi? Il y a quand même quelque chose qui devrait alerter les personnes critiques de la gratuité. Une vingtaine de villes en France ont instauré la gratuité des transports en commun depuis 1971. A vrai dire, aucune n'est revenue en arrière, mis à part peut-être le cas très spécifique de Provins, où la gratuité s'est arrêtée en 2000, mais il s'agissait d'une exception historique qui datait de l'époque d'Alain Peyrefitte! Si toutes ces villes trouvaient la gratuité « dangereuse », ou même tout simplement trop chère, inefficace ou inutile, on peut supposer qu'elle l'auraient supprimée. Et pourtant, c'est plutôt l'inverse que l'on constate, à savoir une accélération du nombre de villes qui passent à la gratuité sur la période récente. Lors des d
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La vitesse, un vieux concept - Transports du futur - 0 views

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    "Jean-Pierre Dupuy a proposé dans les années 1980 le concept de vitesse généralisée. Dans la droite ligne d'Illich, la vitesse généralisée intègre dans le calcul le temps passé à se déplacer celui nécessaire pour acheter le moyen de transport. En effet, le temps passé à travailler pour acheter sa voiture peut être considéré comme du temps de transport. Avec un coût global moyen de 5000 € par an pour une voiture, cela n'est pas négligeable. Ce temps « masqué » dépend bien sûr du salaire et du coût du mode de transport considéré. L'achat d'un véhicule nous fait perdre du temps, que nous pourrions utiliser pour nous déplacer ou faire autre chose, mais c'est ensuite un moyen de gagner du temps futur. Par ailleurs, la clé dans la poche nous permet de réduire la complexité en étant capable d'aller « partout tout le temps », c'est une sécurité mentale ou réelle. Une fois que la décision est prise d'investir dans une voiture, alors il faut la rentabiliser, c'est-à-dire l'utiliser. Nous raisonnons alors en coût marginal. La vitesse généralisée de la voiture est alors très proche de celles des transports publics ou du vélo. JP Dupuy avait également dès le départ décrit les limites de son raisonnement. La valeur des temps, celui pour acheter son moyen de transport et celui pour se déplacer physiquement pour aller au travail mais également pour les loisirs, ne sont pas vraiment équivalents. Nous utilisons donc du temps de travail de « basse qualité » pour se payer une voiture, et ainsi réutiliser du temps gagné par la voiture à d'autres moments de plus « haute valeur ajoutée ». Ce raisonnement mérite d'être revu et complété en intégrant de nouveaux modes de transport comme le vélo à assistance électrique (haute vitesse physique, bas coût d'usage), les services de mobilités, les téléactivités et plus généralement l'évolution du travail. En effet, le VAE combine u
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Financement des transports publics : faut-il augmenter le prix des tickets ou... - 0 views

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    "Le modèle économique du transport public est à bout de souffle. Affecter au transport public les plus-values foncières liées à la création d'un axe de transport structurant, créer une taxe sur le CO2, augmenter le taux du versement transport ou créer un VT "interstitiel", revoir le prix des billets ? Autant de solutions envisagées par les élus et les opérateurs pour dégager de nouvelles sources de financement. Un enjeu de taille abordé pendant le salon européen de la Mobilité."
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Téléphériques en France - Montagne : 1143, Ville : 0 - 0 views

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    "La France est le pays qui a le plus grand nombre de téléphérique au monde (1143 téléphériques en 2011 - rapport 2012 STRMTG). Pourtant elle n'a aucun téléphérique en milieu urbain, à l'exception peut être de celui de Grenoble, mais il n'est ouvert que la moitié de l'année et il a plus une vocation touristique que de transport de masse. Lorsque l'on parle de téléphérique urbain aujourd'hui, on désigne un système intégré au réseau de transport public, pouvant fonctionner toute l'année et servir à une mobilité quotidienne. Le transport par câble a été consacré par le Grenelle de l'Environnement comme un moyen de transport « durable ». Depuis, l'idée du téléphérique urbain se propage en France, et les premiers projets devraient voir le jour dès 2015 (Brest). Cet engouement pour le téléphérique s'explique par ses nombreuses qualités ; il est moins cher qu'un tram ou un métro, il permet de franchir des obstacles (rivière, dénivelé, voies autoroutières ou ferroviaires…), il a une faible empreinte au sol, il est très sûr, rapide à construire et bien sûr il a l'étiquette « transport vert ». La France, qui détient pourtant le record du nombre de téléphérique et accueille l'entreprise POMA (un des leaders du marché), semble juste redécouvrir le potentiel du transport par câble. Mais cela fait déjà quelques années que le téléphérique à trouver sa place en milieu urbain à travers le monde. Algérie, Brésil, Colombie, Etats Unis et bien d'autres pays bénéficient déjà de téléphériques urbains."
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Des transports gratuits ? Non des transports communs - 0 views

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    "Et si le débat sur la gratuité des transports, relancé à Paris et en Île-de-France, était autant une question de sémantique que de choix de société ? Sociologue spécialiste de la mobilité, Bruno Marzloff livre son analyse. Dunkerque ou Paris relancent bruyamment la question de la gratuité des transports publics. La ville championne mondiale du gratuit, Tallinn (440.000 habitants, Estonie), revendique depuis 2012 l'efficacité d'une mesure généralisée aux résidents. Pourtant les réticences s'arc-boutent, ranimant une controverse qui s'embrase à chaque annonce. Sans doute faut-il changer de focale et de vocabulaire. Parle-t-on vraiment de gratuit ou de commun ? Ne retourne-t-on pas à l'essence des transports comme bien commun ? Les transports publics gratuits recruteraient surtout des marcheurs et des cyclistes. C'est un des arguments des détracteurs de la gratuité. Pas faux, mais elle recrute aussi des laissés pour compte de la mobilité, et par ailleurs on ne cesse de croiser d'autres déserteurs de la marche sur des vélos et des trottinettes électriques. Autre réplique, la gratuité serait inflationniste. En effet, et c'est même l'objectif de permettre à plus d'usagers d'accéder à une mobilité choisie et raisonnée. Objection plus forte : la vérité des prix ? Mais elle n'a jamais existé pour l'usage de la voiture particulière."
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Embouteillages monstres, travaux secrets… 6 arguments faux contre le « plan v... - 0 views

  • 1. Non, le « plan vélo » n’a pas été « lancé en secret » et a même été voté à l’unanimité
  • 2. La mairie et la région proposent bien des alternatives
  • « L’anticipation et la concertation ne font pas partie des plans », a-t-on pu entendre sur RTL, ou « aucune alternative n’est proposée » parmi les détracteurs de la politique municipale, peut-on lire dans Le Parisien. Il existe pourtant des alternatives, très nombreuses, à l’automobile à Paris et dans la proche banlieue : 3 890 km de lignes de bus, avec des couloirs réservés pour fluidifier leur passage ;la Ville de Paris est la première capitale d’Europe la mieux dotée en matière de transports en libre-service (Autolib’, Vélib’, etc.), avec 105 vélos pour 10 000 habitants et 19 voitures pour 10 000 habitants, rapporte Le Parisien ;la ville propose des aides à l’achat de véhicule propre (Paris et proche banlieue) ;Paris dispose d’un métro de grande qualité : 100 % de la population est couverte par un moyen de transport en commun à moins de 1 km ;Enfin Paris et la petite couronne bénéficient d’un tramway périphérique – dont la construction est presque terminée – et qui reliera à terme tous les arrondissements périphériques. Comme le rappelait La Tribune en 2014, comparée à Londres par exemple, Paris brille par une capacité moyenne trois fois supérieure dans ses rames – jusqu’à atteindre saturation sur certaines lignes aux périodes de pointe. Le vélo est justement une des alternatives aux transports en commun, si des pistes cyclables sont en nombre suffisant. Et avec un ticket à 1,90 euro (14,90 euros le carnet de 10), Paris propose un service meilleur marché que la capitale britannique (tarif variable mais situé globalement entre 3,80 euros et 6,50 euros selon la formule). Enfin, selon le bilan des déplacements 2014, 97,9 % des métros sont à l’heure ; un chiffre qui baisse à 87,5 % pour le RER et 88,6 % pour le Transilien, le bus s’en sort un peu mieux avec 90,6 % de ponctualité.
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  • 3. Non, le « plan vélo » n’a pas créé les embouteillages
  • Pourtant, le fait de réserver un peu plus d’espace à Paris aux piétons et aux vélos n’a eu qu’un léger impact sur la formation des bouchons, comme le confirment les études, puisqu’il « fallait 10,5 minutes pour traverser le boulevard Saint-Germain le matin en décembre 2015 [contre] 12,1 minutes en décembre 2016 », soit une minute et trente-cinq secondes de plus, environ 10 %, après une période en novembre 2016 où le temps est monté à 14,8 minutes explique Le Parisien. Des chiffres avec un recul d’un an qui semblent accréditer la thèse de « l’évaporation » d’une partie du trafic défendue par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France : moins de voies = moins d’automobiles. Par ailleurs, la circulation à Paris est un problème presque aussi ancien que la capitale française elle-même
  • 4. Non, favoriser le vélo ou les transports en commun plutôt que l’automobile n’est pas une mesure « anti-pauvres »
  • Les chiffres donnent tort à tous les deux, puisque selon un sondage réalisé par MV2 auprès de 1 127 usagers de la route en novembre 2015 pour la Mairie de Paris, 64 % des automobilistes qui circulent dans le centre de Paris appartiennent aux catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP+). Par ailleurs, selon le même sondage, 80 % des automobiles circulant dans le centre de Paris ne transportaient qu’une seule personne.
  • 5. Ce sont les automobiles qui ralentissent les véhicules de police ou de secours, pas les voies cyclables
  • Les voies cyclables à double sens, à l’image de celle du bassin de l’Arsenal ou des voies sur berges piétonnisées, sont également des voies d’urgence et peuvent être empruntées par les véhicules de secours.
  • 6. Ce sont les voitures qui prennent toute la place
  • Et pourtant, s’il y a une politique de rééquilibrage en faveur des piétons et des vélos, celles qui occupent tout l’espace à Paris, ce sont les automobiles : elles occupent 50 % des espaces publics pour seulement 13 % des déplacements. Et elles restent inutilisées 95 % du temps, selon Data Gueule. Dans la rue, une Clio (1,7 m × 4 m) occupe 7 m2 bien qu’elle soit qualifiée de citadine, face aux 7,6 m² du plus « compact » des SUV (1,78 m × 4,3 m), et parfois plus de 9 m² pour une berline (1,9 m × 4,8 m). En comparaison, un vélo n’a qu’une emprise au sol de 1 m² (60 cm × 1,75 m)… et les voies qui lui sont réservées dans la capitale représentent modestement 3 % de la totalité de l’espace public.
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    "Avec la réduction à une voie pour les véhicules motorisés sur les berges de Seine, la polémique sur la place de l'auto fait émerger nombre de contrevérités."
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Bus&Car - Connexion Transports Territoires | Londres: le centre-ville bientôt... - 0 views

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    "Le maire de Londres, Sadiq Khan, et l'autorité des transports de la capitale Transport for London (TfL) ont annoncé le 15 mai leur intention de transformer les quartiers centraux de la ville en «l'une des plus grandes zones sans voiture de toutes les capitales au monde», alors que les restrictions de déplacements s'assouplissent. «Cela signifie que nous devons maintenir le nombre de personnes utilisant les transports publics aussi bas que possible. Et il ne sera pas possible de remplacer les déplacements effectués auparavant dans les transports publics en recourant à la voiture, car nos routes deviendraient immédiatement bloquées et la pollution atmosphérique augmenterait», a indiqué Sadiq Khan. Cet effort qualifié de «monumental» pour les Londoniens doit permettre de garantir une distance sociale appropriée dans les transports publics, ces derniers ne devant être utilisés «qu'en cas d'absolue nécessité». Les autres usagers sont incités à marcher ou à enfourcher une bicyclette."
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La marche à pied, nouvel enjeu des transports urbains, Actualités - 0 views

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    "L'Union des transports publics (UTP), l'organisation patronale du secteur, et le Groupement des autorités responsables de transport (GART), qui fédère les élus en charge de ce dossier, viennent de publier une série de recommandations dans lesquelles ils préconisent entre autres de «  réintégrer le mode "marche à pied" dans l'organisation des offres de transport public, et travailler à une optimisation de cette pratique ». Selon Jean-Pierre Farandou, PDG de Keolis, la filiale de la SNCF, l'enjeu n'a rien d'anecdotique : «  La mobilité commence et finit par la marche à pied. Ne pas le prendre en compte peut nuire à l'attractivité des transports en commun. Dans les zones industrielles par exemple, si le trajet entre l'arrêt de bus et la destination est compliqué du fait de l'absence de trottoirs, les gens préféreront prendre leur voiture. »"
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Transport public : rendez-le gratuit ! - Reporterre - 0 views

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    "Mais ne manque-t-il pas à cette journée la seule véritable mesure susceptible de dynamiser les transports en commun, à savoir la gratuité totale des réseaux de transports collectifs ? Si on regarde quels sont les objectifs de cette Journée du transport public, on constate qu'il s'agit de « toucher le public, en particulier les non-utilisateurs et les utilisateurs occasionnels, pour qu'ils testent les transports publics près de chez eux, à l'occasion de la Journée, et qu'ils les adoptent sur la durée ». Le problème, c'est que les mesures proposées par les autorités organisatrices des transports urbains ainsi que par les Conseils Généraux (pour les réseaux départementaux de bus) et Régionaux (pour les trains TER) sont à la fois très différentes et le plus souvent assez éloignées de la gratuité."
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Le financement incertain des transports publics, Actualités - 0 views

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    "Le secteur des transports en commun ne veut pas être la première victime de la suspension de l'écotaxe. Il y a quelques mois, le gouvernement a lancé un appel à projets pour favoriser le développement des transports urbains, avec une enveloppe de 450 millions d'euros à la clef. Nouvelles lignes de tramways, de bus ou encore de navettes fluviales : près de 120 projets ont été présentés par des collectivités locales, qui escomptent obtenir grâce à cette démarche le coup de pouce nécessaire pour boucler leur dossier. Problème : c'est l'Agence de financement des infrastructures de transport (Afitf) qui doit apporter les 450 millions. Or les ressources de l'Afitf pour 2014 devaient être générées en grande partie... par le produit de l'écotaxe poids lourds. Le Groupement des autorités en charge de transport (GART), qui regroupe les élus suivant ces dossiers, redoute donc que le choix des projets à financer ne soit repoussé. Une préoccupation d'autant plus aiguë que les élections municipales approchent..."
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Les transports publics à Paris en 1971 | Archive INA - YouTube - 0 views

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    "Reportage sur l'état des transports en commum à Paris, et s'interrogeant plus particulièrement sur leur dysfonctionnement. Une manifestation des usagers des transports en commun, gare du Nord, est suivie de l'interview d'Arlette LAGUILLER, qui est scandalisée par les conditions de transport des usagers. Interviews de Messieurs VIGET et SCHNEIDER, deux ingénieurs, auteurs d'un livre sur les transports urbains, puis de Monsieur HIRCH, responsable de Cergy Pontoise, une des cinq villes nouvelles de la région parisienne ; il propose le développement de ces villes nouvelles, afin de désencombrer Paris. Enfin, Monsieur CHAUDIERE, président du comité consultatif économique et social, suggère la création d'un poste de responsable des transports en commun dans la région parisienne."
[pop-up] urbain

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  • De son côté, Sidewalk Labs, la filiale de Google, veut vendre les données de géolocalisation des smartphones aux villes pour améliorer leur connaissance des déplacements.
  • Les trottinettes en libre service défraient la chronique en Californie depuis l’été dernier où des sociétés ont implanté sans autorisation des milliers d’engins dans des villes. Succès commercial indéniable, mais exaspération et rejet des autorités et de certaines populations locales. À San Francisco, la stratégie de “Blitzscaling” utilisée par Bird et Lime ne leur a pas réussi : l’autorité des transports de la ville a banni toutes leurs trottinettes, puis engagé un programme pilote remporté par deux autres acteurs.
  • À Los Angeles toujours, l’usage intensif d’Uber et Lyft par les étudiants à l’intérieur même du campus de UCLA (45 000 étudiant-e-s) surprend et inquiète. 11 000 trajets par semaine seraient effectués à l’intérieur même du campus.
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    "Uber veut devenir le "one-stop shop" du transport. De tous les transports. L'application proposera désormais des informations sur les transports publics disponibles à proximité. Lancée à Denver cette semaine, la solution fournira des itinéraires porte à porte et des informations en temps réel. Uber Transit. Pour créer cette fonctionnalité, Uber n'a pas négocié avec chaque autorité de transport l'accès à leurs données. Un partenariat avec l'appli Moovit lui permettra potentiellement d'accéder aux données de 2 700 réseaux de transport dans 88 pays. Smart. Uber Taps Moovit For Its Transit Data"
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Marche à Suivre - 0 views

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    "Projet de recherche-action, Marche à Suivre est une expérimentation portant sur l'articulation entre la marche à pied et les transports en commun dans l'agglomération bordelaise, mêlant enquête de terrain et intervention concrète. Ce projet est né du constat que la marche peut être un allié naturel des transports publics et que, même si l'on en parle de plus en plus, peu de choses sont réellement faites pour la favoriser. Nous avons proposé une expérimentation ayant pour objectif de mettre la marche au cœur des déplacements quotidiens, en en révélant l'efficacité mais aussi les plaisirs et intérêts qu'elle peut procurer, en tant qu'expérience urbaine, que complément à l'offre de transports en commun et qu'alternative à la voiture. Le projet se déploie sur deux terrains d'étude qui présentent chacun un contexte et une problématique spécifiques : dans le centre-ville de Bordeaux, l'objectif est d'encourager ceux qui utilisent les transports publics pour parcourir de courtes distances à passer à la marche. dans la périphérie (un quartier de la commune d'Eysines), il s'agit de favoriser l'abandon de la voiture au profit de cheminements articulant la marche et les transports publics. Le projet s'articule en quatre phases de recherche et d'action et est fondé sur une enquête de terrain dont les résultats constituent le socle d'une expérimentation visant à inciter, promouvoir la marche et déclencher l'envie de se déplacer à pied pour prendre les transports en commun ou, selon le cas, s'en extraire. Les modes d'orientation et de repère des usagers ont notamment été étudiés, afin d'orienter l'intervention sur les trames mentales des paysages vécus."
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San Francisco demande aussi à ses citoyens de redessiner son métro | L'Atelie... - 0 views

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    "Après New York, où un jeu vidéo en ligne glane depuis peu les meilleures suggestions d'amélioration de son système de transport suburbain, c'est au tour de San Francisco de faire appel à ses citoyens pour re-dessiner ses lignes de métro. Il existe en effet neuf stations souterraines dans la ville lorsque New York en compte 469 mais, si les populations des deux villes, leur étendue et leur topographie diffèrent, San Francisco n'a pour autant pas remporté son titre de capitale mondiale de la tech grâce à la qualité de ses transports publics. Après sa selection en finale du Smart City Challenge organisé par le Ministère des Transports américain, l'heure est au changement. La mairie de San Francisco, SFMTA soit l'entreprise qui régit une grande partie des transports de la ville, et d'autres organismes publics en charge de l'urbanisme ont joint leurs forces pour dessiner le futur des transports publics de San Francisco."
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Is this how trading will work in Pokémon Go? - Polygon - 0 views

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    ""Basically, Pokémon Go has a virtual world with a geography that parallels the geography of the real world," PatentYogi explained. "The patents reveal that Niantec has also developed a virtual transport system in this virtual world. Pokémons use this virtual transport system to travel within the virtual world. So the game has virtual aircrafts, virtual trains, virtual buses etc. to transport Pokémons all around the world. The cool thing is that this virtual transport system in the game also mirrors the real world transport system. Therefore, for a real world city bus, there is a corresponding virtual bus in the game.""
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