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[pop-up] urbain

Technologie et voiture familiale : l'usage des media dans la vie de famille |... - 0 views

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    "La vie de famille a connu des transformations spectaculaires suite à l'infiltration des nouvelles technologies dans les foyers et, naturellement, dans les voitures où les familles passent une part croissante de leur temps. La nature hautement contextuelle des technologies familiales nécessite une étude de leurs usages dans les lieux du quotidien ; toutefois, alors que les pièces du foyer comme les cuisines et les salons ont déjà fait l'objet de recherches, la voiture a attiré beaucoup moins d'attention."
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L'avenir des transports collectifs gratuits : aujourd'hui Dunkerque, demain P... - 0 views

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    "Alors évidemment cette augmentation de la fréquentation s'est accompagné de nouveaux usagers qui se sont mis à utiliser le bus. Quels sont ces nouveaux usagers, en tout cas tel qu'on a pu les observer dans le bus ? Il y a tout d'abord, effectivement, un public de personnes en grandes difficultés sociales, précaires on va dire, qui se sont mis à utiliser le bus parce qu'il était gratuit. On a également un public de jeunes, on va dire 16-25 ans, qui s'est également mis à utiliser le bus le week-end de manière plus intensive, notamment en mentionnant la plus grande liberté qu'offrait la gratuité des bus pour ces jeunes et pour leur activité récréative le week-end, comme se rendre au cinéma ou rejoindre des copains en centre-ville. Mais on a également, et c'est ça peut-être l'enseignement le plus intéressant par rapport à la sociologie des nouveaux usagers des bus à Dunkerque, on a également des personnes âgées - souvent des personnes âgées isolées - qui vont prendre le bus uniquement pour sortir, pour prendre l'air, pour redécouvrir leur ville comme ils ont pu nous le dire dans des entretiens, et pour également retisser des liens sociaux à la fois dans le bus parfois, ce qui est étonnant, et puis à la fois avec leur réseau d'amis et de famille. Et puis on a un public de familles qui là, c'est quelque chose de très intéressant, qui vont se mettre à prendre le bus en lâchant leur voiture. Pourquoi ? Parce que lorsqu'ils venaient en centre-ville le week-end avec leur voiture, ils étaient contraints par le stationnement notamment automobile. Donc il faut payer, on a des horaires contraints… La gratuité du bus va les affranchir de cette contrainte horaire et de stationnement qui représente aussi un coût. Et donc on a un public familial qui va de nouveau prendre le bus pour des activités de loisir le week-end. Ce public familial qui abandonne la voiture le week-end pose la question du report modal en
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360°-Géo | ARTE - 0 views

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    "Construit par des paysans à partir de bambous et de vieux moteurs de générateurs, roulant sur une voie ferrée désaffectée dans le nord du Cambodge, un petit train de fortune permet aux habitants de la région de maintenir une vie sociale. Sans lui, il n'y aurait pas de commerce, de fêtes de famille ou de visite du médecin."
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Casque à vélo pour les enfants : une obligation qui ne plaît pas à tout le mo... - 0 views

  • Le port du casque réduit-il vraiment le risque de blessures à la tête ? Cela ne fait pas de doute, surtout chez les plus petits, fait valoir le ministère, les chocs sur cette zone chez les jeunes enfants pouvant «causer des traumatismes plus grave que chez les adultes ou adolescents». Selon la Sécurité routière, qui cite une étude parue en 2011, «le casque diminue le risque de blessure sérieuse à la tête de 70%, le risque de blessure mineure de 31% et le risque de blessure au visage de 28%». D’après d’autres travaux de recherches cités par la même source, le port du casque diminue le risque de perte de connaissance, qui passe de 98% dans le cas d’une tête non casquée à 0,1% pour une tête casquée.
  • Certaines associations pro-vélo, elles, mettent en avant des conclusions d’études contradictoires, et vont parfois jusqu’à affirmer que le «casque vélo ne protège quasiment de rien», voire serait contre-productif. L’un des arguments avancés par ceux qui défendent le droit de rouler tête nue : le fait que l’enfant casqué, se sentant protégé, risque d’être moins vigilant et d’avoir des comportements dangereux (une tendance à la prise de risque effectivement démontrée récemment par des chercheurs britanniques chez des adultes). Une expérience, menée en 2005 en Grande-Bretagne, a aussi montré même que les automobilistes avaient tendance à s’approcher davantage des cyclistes casqués que de ceux non casqués. La Fédération des usagers de la bicyclette (FUB), qui défend la «liberté de choix» des usagers plutôt que l’obligation légale de port du casque, cite aussi sur son site web une enquête d’un institut français, l’IFSTTAR, menée dans le département du Rhône, selon laquelle les cyclistes accidentés seraient plus souvent atteints aux bras ou aux jambes qu’à la tête ou au visage.
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    "A compter de ce mercredi, le port du casque est obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans, qu'ils soient conducteurs ou passagers. Il était auparavant simplement recommandé. Le but de cette mesure, officialisée fin décembre - le décret prévoyait un délai de trois mois pour que chaque famille puisse avoir le temps de s'équiper -, est de «réduire la gravité des blessures au visage et les risques de traumatismes crâniens des enfants pratiquant le vélo», explique le ministère de l'Intérieur, qui espère voir la pratique se diffuser chez les cyclistes de tous âges par ricochet. L'adulte qui accompagne ou transporte l'enfant sans casque (sur un siège ou un porte-bébé) devra s'acquitter d'une amende de 90 euros."
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DEUX DEGRES » Tarzan, les Lianes et la nature en ville - 0 views

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    "Dijon, Lille, Caen, Bordeaux, le vocabulaire de la nature en ville s'est propagé aux transports en commun. Imaginez le désastre pour de nouveaux habitants plein d'espoirs, qui arrivent dans une ville qui se vante de ses Lianes, lorsqu'ils découvrent qu'il s'agit… de bus ? Imaginez l'un de ces nouveaux habitants, appelons-le Tarzan, qui arrive de sa région pleine de richesses naturelles, en se disant qu'il va pouvoir se déplacer comme chez lui, avec de la nature et des arbres dans chacune des rues. Nous, en tout cas, on va essayer de l'imaginer.  Tarzan s'installe avec sa famille dans un nouvel écoquartier situé au nord de la ville. Il peut profiter des parcs publics pour grimper de temps en temps et crier à sa guise. En effet, son hurlement, dans son T3 de 51m², risquerait de gêner bon nombre de ses voisins, surtout que la laine de mouton dans les murs de l'écoquartier n'offre pas une isolation sonore optimale. Tarzan doit aussi se déplacer. Et là, c'est le drame ! Des bus toutes les demi-heures, parfois à attendre dans le froid et la pluie, avec un changement de ligne obligatoire pour rejoindre le centre-ville et le commerce de bananes bio de proximité qu'il a ouvert avec Jane. Conformément à son programme électoral, le maire de la commune décide qu'à l'horizon 2050, chacune des rues de la ville sera agrémentée de nombreux arbres. Le paysagiste en charge du projet annonce qu'il aura recours à des essences d'arbres tropicaux et exotiques. Tarzan n'est pas satisfait. Les pollens des nouveaux arbres exotiques lui font fréquemment couler du nez. C'est vrai que les arbres sont jolis, mais les pollens sont très agressifs, inadaptés au milieu local et provoquent de graves crises d'allergies chez beaucoup de gens. Mais bon, Tarzan sait que parfois il faut savoir faire des sacrifices vis-à-vis de la nature. Il décide alors de militer pour monter un dossier de création de Lianes à Haut Niveau
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A380 et Boeing 747   . Les nouveaux palais volants des milliardaires - Paris ... - 0 views

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    "Plutôt que d'investir dans un Falcon 2000, tellement « peuple », les milliardaires jettent désormais leur dévolu sur des avions de ligne Boeing et Airbus. Le phénomène a incité les deux constructeurs américains à créer des départements spécialisés pour fournir à cette clientèle exigeante des A380 et 747 entièrement customisés à la demande. Le magazine Wire dévoile en images ces palais volants qui présentent l'avantage de pouvoir accueillir la famille et les nombreux collaborateurs des milliardaires chinois et russes qui détestent voyager seuls selon une enquête commandée par Airbus."
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RATP Scope - 0 views

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    "Après dix ans de bons et loyaux services, les voix RATP qui rythment le quotidien des voyageurs de leurs annonces multilingues, s'apprêtent à accueillir de nouveaux membres dans la famille. Sélectionnées lors d'un casting mené parmi les collaborateurs de la RATP, les nouvelles voix du métro, du bus ou du tram devront distiller une information voyageurs de qualité dans l'univers bruyant du réseau de transport francilien."
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Des Français lancent la première salle de karaoké sur roues : golem13 - 0 views

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    "nspiré du concept de karaoke box né en Asie, BAM réinvente le karaoké et crée une véritable expérience libératrice. Cette salle de karaoké sur roues offre un moment jubilatoire entouré de vos amis, vos collègues ou votre famille, à l'abri des regards dans un box privatif. Au bord d'une plage au mois d'août, à votre mariage en pleine campagne, aux pieds des pistes en février ou à un festival de musique entre deux concerts… Vous pourrez alors profiter d'une véritable salle de karaoké, pour vous et un groupe d'amis composé d'une dizaine de personnes, toute équipée en matériel de qualité et dans un cadre chaleureux et festif. Le Truck Tour aura lieu à partir de Septembre 2015, toutes les infos sur la page kisskissbankbank du concept. "
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Et si les transporteurs publics faisaient plus... - A lire ailleurs - 0 views

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    "Aux Etats-Unis, les femmes utilisent plus massivement les transports publics que les hommes (55% des voyageurs sont des femmes, mais ce taux monte jusqu'à 64% à Philadelphie). La raison principale : le fait que leurs salaires soient moins élevés que ceux des hommes, explique Sarah Goodyear pour le CityLab. Mais le fait qu'elles l'utilisent plus que les hommes ne veut pas dire qu'elles s'y sentent bien. Pourtant, les transports en communs sont encore bien peu adapté à ce public.  "Les responsables du marketing de nombre de produits de consommation font très attention aux femmes, notamment parce que ce sont les femmes qui font la plupart des achats dans les familles. Imaginez si plusieurs systèmes de transports en communs aux Etats-Unis commençaient à faire la même chose. Le résultat créerait sans doute des systèmes de transports meilleurs et plus attractifs pour tous.""
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Barack Obama veut taxer le pétrole pour investir dans les infrastructures - 0 views

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    "La Maison Blanche fait remarquer que la congestion du système de transport aux Etats-Unis coûte 160 milliards par an aux familles américaines et 30 milliards aux entreprises, les embouteillages faisant perdre aux uns et aux autres du temps et gaspiller du carburant à l'arrêt. « La vision du président Obama souligne l'aspect inévitable de la transition pour sortir de la dépendance au pétrole », explique Michael Brune, le responsable du Sierra Club, une association environnementale. Le but d'un relèvement de cette taxation serait d'assurer le financement sur le long terme du Highway Trust Fund, un fonds destiné à l'entretien des infrastructures, qui est régulièrement à court de ressources."
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Mobilité : dix initiatives sélectionnées par le Star - 0 views

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    "ACCUEIL  /  BRETAGNE  /  RENNES  /  Recevez gratuitement notre Newsletter de Rennes Chaque matin, l'essentiel de l'actualité Je m'inscris ! Mobilité : dix initiatives sélectionnées par le Star Publié le 08/12/2016 à 02:55 Écouter « Notre intention est de valoriser toutes les actions visant à faciliter le quotidien des personnes et à encourager le mieux vivre ensemble », a expliqué Laurent Senigout, directeur de Keolis Rennes, lors de la remise des prix. |  Lire le journal numérique Après une première saison où le maître mot était l'accessibilité, le réseau de transport Star Handistar et ses partenaires mettent en avant des projets 2016 valorisant la mobilité. Rapprocher les citoyens, c'est un des enjeux du XXIe siècle. Voilà la raison d'être de ce concours lancé par Keolis Rennes, avec le soutien du collectif Handicap 35, Handistar, Rennes métropole, le Crédit agricole, la SNCF et Keolis Armor. « Notre intention, c'est de valoriser toutes les actions visant à faciliter le quotidien des personnes dans des moments délicats de leur existence et à encourager le mieux vivre ensemble », a expliqué Laurent Senigout, directeur de Keolis Rennes, lors de la récente soirée de remise des prix. Dix initiatives sélectionnées Le portage de livres à domicile. Durant tout l'été, à l'initiative de la commune avec les soutiens de la médiathèque et du CCAS de Noyal-Châtillon, des jeunes vont porter à domicile des livres, des CD ou des DVD à des personnes âgées. Cette initiative est l'occasion de créer du lien entre les générations à travers la culture. Faciligo : des covoyageurs pour faciliter la mobilité. Faciligo met en contact des personnes en situation de handicap ou des personnes âgées ayant besoin d'être accompagnées pour un déplacement avec des voyageurs prêts à réaliser cet accompagnement. Mission Tac : transport avec accompagnement collectif. La mission Tac est proposée actuellement à Rennes mÃ
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Just kids? (2/4) : L'enfant dans la jungle urbaine - 0 views

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    "La ville est-elle hostile aux enfants? Loyers dissuasifs pour les familles, règne du tout-automobile et crainte croissante pour la sécurité des petits: accident, enlèvement. La ville est-elle devenue « une affaire de grands ? »"
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De la contre-productivité globale. La critique de la mobilité et la crise du ... - 0 views

  • C’est néanmoins autre chose qui semble être à l’œuvre, une forme étrange d’auto-annihilation du système de transport, telle que discutée par Ivan Illich et ses collaborateurs sous le vocable de « contre-productivité Â»
  • La contre-productivité 2 désigne une situation dans laquelle l’usage d’un mode de transport par un grand nombre d’usagers rend l’usage de ce mode de transport impossible. L’exemple classique est celui du bouchon : lorsqu’un grand nombre d’automobilistes circule en même temps sur une route, chacun devient un obstacle insurmontable pour l’autre. C’est la congestion. Et par un effet boule de neige, le bus sera à l’arrêt et nulle place ne sera laissée au marcheur.
  • Parce que trop d’usagers ont utilisé certains modes de déplacement rapides, ils ont participé à la diffusion d’un virus et rendu impossible l’usage de tous les moyens de déplacement, même les moins problématiques.
  • ...11 more annotations...
  • On pourrait parler de contre-productivité différée, c’est-à-dire d’un usage qui n’est pas empêché immédiatement, mais plus tard, une fois qu’il aura été réalisé en masse et que ses conséquences se font sentir.
  • L’industrialisation des transports consiste en la transformation d’une variété de manières de se déplacer, inscrites dans des contextes locaux et riches de sens, en un petit nombre de moyens de transport standards qui constituent des commodités. À mesure que sont abandonnés les usages vernaculaires au profit des usages modernes, les personnes dépendent de plus en plus du système industriel de transport, par dévalorisation du vernaculaire, du qualitatif et de l’auto-produit, mais aussi par la perte des compétences et des conditions de possibilité d’une production autonome.
  • Comment les critiques de la mobilité envisageaient-ils des alternatives à cette dynamique d’écrasement de l’individu par le système industriel ? Tout d’abord, ils proposaient des mobilités autonomes, reposant sur les efforts de l’individu. La marche et l’usage du vélo sont deux manières de développer ses capacités de se déplacer. Dans le contexte actuel, il s’agit des moyens de se déplacer qui limitent le plus à la fois les contaminations possibles et la contre-productivité inhérente aux modes rapides.
  • Confinés, nombreux sont les citadins qui ne peuvent plus se déplacer. Toutefois, ils continuent de faire se déplacer d’autres individus et des marchandises, parce que nous sommes pour la plupart totalement dépendants des réseaux de transport, afin d’acquérir les commodités nécessaires à notre vie quotidienne. Ce besoin de commodités met en danger ceux qui transportent les marchandises, qui sont ceux qui doivent nous les livrer, mais aussi nous-mêmes, puisque le risque de transmission existe à chaque interaction. De ce fait, ce n’est pas seulement la mobilité des individus qui pose problème, mais aussi le transport des commodités.
  • La folie de la modernité s’exprime bien là, dans cette « loi Â» : tout usage massif d’un mode de déplacement rapide tend à rendre impossible son usage, mais aussi les autres manières de se déplacer. Toute accélération du rythme d’un usage dépassant un certain seuil tend à créer de la paralysie. Or, les vitesses de déplacement ont beaucoup augmenté, tout comme l’usage des moyens de transport longue distance comme l’avion. Ainsi, parvenus à un développement tentaculaire, nos réseaux de transport sont devenus nos filets, comme l’origine du terme (« réseau Â» vient du latin retis, filet) aurait dû nous le rappeler.
  • L’ascèse volontaire, le choix de ne pas agir, est une forme de liberté, qu’il s’agisse de refuser d’utiliser la voiture ou de s’auto-confiner, tandis qu’être réduit à l’impuissance par le système industriel est plus proche de la servitude.
  • À mesure que le système industriel étend ses mailles, l’individu est de plus en plus dépendant et impuissant. Il est bloqué par les bouchons, les files d’attente. Se déplacer est devenu dangereux ou impossible, mais seul ou en famille et sans déplacement, il est dépourvu des moyens d’assurer sa subsistance. L’immobilité maximale qui devrait permettre de lutter contre la pandémie est donc largement hors d’atteinte, par l’incapacité de l’individu, d’un groupe d’amis, d’une famille ou d’une commune, à assurer une auto-production suffisante.
  • D’ailleurs, moins appréciés par les usagers que les manières plus individuelles de se déplacer, quelle collectivité publique aura encore les moyens de ces infrastructures de luxe, avec l’endettement gigantesque résultant de la pandémie actuelle ? Quant à la voiture, tout le monde sait déjà qu’elle est le symbole même de la contre-productivité, par la congestion, l’usage du pétrole et la diminution de l’activité physique de ses usagers.
  • Cela signifie aussi que les mégalopoles sont trop grandes. Elles rendent l’individu dépendant des commodités, réduisent ses capacités d’autoproduction, multiplient les distances entre les lieux de vie, rendent le confinement moins supportable par leur absence d’espaces pour « respirer Â». Elles sont aussi le lieu historique du bouchon, comme on le raconte à propos de la Rome antique où Jules César fut contraint d’interdire les véhicules entre six heures et seize heures pour éviter la paralysie de la ville.
  • Les villes de taille « moyenne Â» du type de Salzbourg des années 1960, vantée par Kohr, représentent un autre modèle. Elles comportent toutes les aménités de la ville, peuvent reposer sur la campagne environnante pour être approvisionnée et pour les loisirs – plus accessibles tant pour les riches et que pour les pauvres –, ont la taille nécessaire pour offrir une université ou un opéra. Il s’agit des mêmes villes dans lesquels les habitants sont d’ores et déjà les moins dispendieux en dioxyde de carbone
  • La crise actuelle n’est pas le résultat d’un accident ou d’un système de transport qui serait trop chaotique et dont les effets seraient surprenants et imprévisibles. C’est l’ordre de sa diffusion généralisée qui rend possible la congestion et la paralysie, selon les voies de circulation et les vitesses élevées des moyens de transport.
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    "Alors qu'au début du mois d'avril 2020, plus de la moitié des habitants de la planète sont confinés, il n'a jamais été aussi nécessaire d'interroger le rôle de notre système global de mobilité. Dans cette perspective, les critiques de la mobilité des années 1970 sont des guides sûrs. Celles-ci offrent à la fois une perspective sur un facteur d'expansion de l'épidémie devenue pandémie - le système de transport - et les pistes pour aménager le système de transport de l'après-crise."
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Confinement : au Pérou, des centaines de personnes se lancent sur les routes - 0 views

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    "Ces familles ont donc tenté le voyage d'abord cachées dans des camions de marchandises, puis ont poursuivi à pied sur les routes de montagne. Des vidéos montrent des hommes portant des baluchons, des enfants et des femmes avec des nourrissons dans les bras, marchant sous un soleil intense. Mais la caravane humaine a été stoppée dans la province liménienne de Huarochiri, au kilomètre 48 de la Carretera Central (« route centrale »), par un barrage des forces de l'ordre. Le gouvernement, tout comme les autorités régionales, craignent que les personnes ne propagent le virus à l'intérieur du pays, et ont proposé de les mettre à l'abri jusqu'à la fin du confinement, le 26 avril. La plupart d'entre elles ont refusé, de peur d'être infectées du fait de la promiscuité. Certaines ont alors tenté de forcer le barrage de police, avant de se faire à nouveau arrêter."
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Sonia Lavadinho : « Pour que le vélo soit une pratique démocratique, il faut ... - 0 views

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    "Pour toutes ces raisons, le vélo est un formidable outil exploratoire de la ville par temps de Covid, à condition de ne pas le réserver à une catégorie de citoyens mais d'en faire un levier d'accès à la ville pour tous. Or ouvrir des pistes, lorsqu'elles sont étroites, encourage les 5 % de cyclistes hyperrapides - ceux qui font les trajets domicile-travail et les livraisons -, des publics en général assez lestes, plutôt jeunes, seuls et masculins. C'est mieux que rien mais cela ne suffit pas. Car la vitesse peut décourager les autres, cyclistes occasionnels, familles ou seniors, ou bien le différentiel de vitesses est susceptible de générer des conflits. On l'a vu lors de la grève à Paris, ou à certains moments de la crise sanitaire, lorsque les flux ont triplé tout à coup."
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Le paradigme des mobilités | Forum Vies Mobiles - Préparer la transition mobi... - 0 views

  • Gérer les distances L’idée que la gestion des distances est une dimension majeure de la vie sociale est au fondement du paradigme des mobilités. Les sociétés ont géré les distances de diverses manières, pour se mettre à l’abri et chercher la sécurité, exercer la violence et s’en défendre, contrôler des territoires et des populations, se procurer de la nourriture, de l’eau et d’autres ressources, faire du commerce et produire, organiser des actions collectives, cultiver l’amitié et la vie de famille, acquérir du savoir, ressentir du plaisir et satisfaire des besoins spirituels. L’apprentissage de la gestion des distances est un aspect essentiel de la vie, un processus socialement organisé qui prend des formes variables selon les groupes sociaux et les périodes. Au XXe siècle, cette problématique n’a été explicitement considérée comme un objet d’études que par quelques chercheurs, plutôt isolés. Dans leur ensemble, les sciences sociales ont négligé le rôle de la distance (et des déplacements nécessaires à son franchissement) dans la vie sociale 1 .
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    "Le paradigme des mobilités est une façon de voir le monde attentive au rôle joué par les déplacements dans l'organisation des relations sociales. Il permet de légitimer les questionnements portant sur les dispositifs pratiques, discursifs, technologiques et organisationnels mis en œuvre par les sociétés pour gérer la distance, ainsi que les méthodes nécessaires à l'étude de ces dispositifs."
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La mobilité des adolescents : une pratique socialisée et socialisante - Métro... - 0 views

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    "Sources fréquentes de tension dans les relations parents-enfants, les sorties des adolescents sont une expérience cruciale dans la construction des identités sociales. Pour cette classe d'âge, la mobilité est à la fois une pratique socialement déterminée - par le milieu social, l'univers résidentiel et la scolarité - et une expérience spécifique qui forge durablement les rapports au territoire et au monde social."
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La révolte contre les checkpoints en Arizona | Slate.fr - 0 views

  • Carlota Wray plisse les yeux pour se protéger de l’éclat du soleil de la mi-journée. Au volant de son pick-up, elle négocie les virages et les barrières couchées destinées à empêcher le passage du bétail. A 56 ans, elle connaît bien Arivaca Road, la route qui dessert la vallée séparant la ville du reste de l’Arizona. Elle l’emprunte souvent, pratiquement depuis qu’elle est en âge de conduire.
  • Carlota Wray est devenue citoyenne américaine en 2008, après des années en tant que résidente permanente. Elle n’a rien à cacher: rien sous son gilet bleu, rien sous les plastiques de sa voiture. Et pourtant, à chaque fois qu’elle part en direction de Tucson, elle nettoie sa voiture de fond en comble. Elle sait qu’elle devra passer par un poste de contrôle et justifier ce qu’elle ne pourra jamais dissimuler: ses origines mexicaines. «Qu’importe que Dieu nous ait fait si beaux, les latinos, et tous les gens qui ont la peau foncée, sont maltraités par la police des frontières, explique-elle. Je vois mes amis, ma famille, interrogés et fouillés sans autre raison que leur couleur de peau. Ils me posent des questions qui n’ont pas lieu d’être, alors que je n’ai rien fait de mal.»
  • Premier avertissement de l’arrivée sur un checkpoint, la vitesse est désormais limitée à 55km/h. Tous les véhicules doivent s’arrêter. Les conducteurs doivent allumer leurs feux de croisement. Carlota Wray s’immobilise le long d’une file de cônes orange fluo.
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  • C’est une guerre des frontières qui se mène dans le sud de l’Arizona, bien loin de la ligne qui sépare les Etats-Unis du Mexique. A cause de la présence constante de la police des frontières sur les checkpoints, les citoyens américains doivent se soumettre à des contrôles quand ils se rendent au travail ou quand ils vont faire leurs courses. Chaque route principale comporte un de ces barrages et les habitants sont excédés.
  • «Nous ne sommes pas habitués à voir des checkpoints militaires. C’est normal dans certains pays, mais les Américains n’ont jamais connu cette situation de façon permanente»
  • L’Arizona peut sembler un endroit bien inattendu pour un mouvement de lutte contre des politiques liées à l’immigration. Cet Etat a en effet mis en Å“uvre certaines mesures très agressives, comme la très controversée loi SB 1070 qui donne à la police d’Arizona le droit de contrôler l’identité de toute personne suspectée d’être entrée illégalement sur le territoire.
  • Pour la plupart des Américains ne vivant pas dans cette région, des postes de contrôle si loin de la frontière semblent inconcevables. Et certains défenseurs des migrants de premier plan, comme Jose Antonio Vargas, un immigré clandestin brièvement détenu à un checkpoint intérieur au Texas, n’en connaissaient même pas l’existence.
  • Récemment, ses habitants ont même manifesté contre l’accueil d’enfants sans papiers qui faisaient partie des 52.000 mineurs ayant passé la frontière sans être accompagnés depuis octobre 2013 (une situation qualifiée de crise humanitaire par Barack Obama).
  • C’est au début de l’année 2007, quand le Congrès a finalement accepté de les financer après des années de résistance d’un politicien local, que les postes de contrôle ont soudainement commencé à faire leur apparition en Arizona. La pratique semble pourtant en contradiction avec la philosophie même d’un de ces Etats de l’ouest américain où routes à perte de vue et voitures puissantes sont synonymes de liberté.
  • D’autres mouvements luttant contre les postes de contrôle attirent des compagnons d’armes bien dépareillés: des éleveurs conservateurs, des retraités aisés, des ermites libertaires, des défenseurs des droits civiques… tous unis par un seul sujet de contestation: parce que des citoyens américains peuvent y être arrêtés et fouillés de façon aléatoire si loin des frontières du pays, ces checkpoints saperaient les fondements même d’une société libre et démocratique.
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    "Défenseurs des libertés civiles, libertaires, retraités et activistes s'unissent contre les contrôles des agents de l'immigration pratiqués à distance de la frontière."
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Mobilité urbaine & déplacements en mobylette à Hanoi | Demain la Ville - 0 views

  • Comme la majorité des Hanoïens, Vinh se déplace en mobylette, ou plutôt vit en mobylette. Les urbanistes évoquent même une « population de centaures » pour parler des habitants de la capitale ! Ici, mis à part les vendeurs ambulants, rares sont ceux qui font plus de quelques mètres à pied. Dans certains marchés, on fait ses courses en scooter, parfois on fait la sieste allongé entre le guidon et le siège – preuve d’un sens de l’équilibre très abouti. Sur le bord du Lac de l’Ouest, très prisé des jeunes couples, on s’installe sur la selle pour conter fleurette, faute de bancs publics en nombre suffisant. Certains même y font leur séance d’abdominaux.
  • Ce choix de véhicule affecte le mode vestimentaire des hanoïens. Les hanoïennes conductrices en particulier sont très équipées sur leur moto: un casque la plupart du temps…ce qui n’est pas une évidence en Asie du Sud-Est ; une veste intégrale (couvre-mains, capuche) dans un matériau similaire à celui d’une couverture de survie pour ne pas avoir chaud et, surtout, ne pas bronzer ; un masque pour se protéger de la pollution directement émise par les pots d’échappement qui les entourent dans la circulation. Régulièrement assortis, ces accessoires témoignent d’une coquetterie scrupuleuse. En passagères, elles s’assoient souvent en amazone avec un équilibre déconcertant malgré les zigzags de la mobylette.
  • L’interdiction des camions au sein de l’aire urbaine d’Hanoï entre 9 et 21h facilite cela. Un autre élément très clair participe de ce phénomène, très peu de conducteurs se laissent aller à de fortes accélérations ou à des freinages brutaux. La vitesse reste assez limitée et ce quelque soit l’heure, même quand les rues sont désertes au milieu de la nuit. La moyenne se situe aux alentours de 35 km. Difficile d’être plus précis puisque la majeure partie des compteurs de vitesse gardent désespérément l’aiguille alignée sur le zéro.
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  • e klaxon
  • Les règles de circulation sont plutôt souples, donnant le sentiment d’un chaos organisé. Les feux, équipés d’un minuteur, sont plus indicatifs qu’autre chose. L’attention et la capacité d’adaptation que cela demande à chaque motard sont dès lors plus importante qu’en France. Personne n’a tort, personne n’a raison, et quand on voit sur le côté de la route un scooter remonter sur plusieurs mètres l’axe à contre-sens, on l’évite simplement, en ponctuant d’un léger coup de klaxon sans agressivité pour lui signaler notre présence. Il semblerait que de manière plutôt saine les hanoïens ne mettent pas de fierté particulière dans le fait de conduire. Ici, on ne critique jamais la conduite d’un autre motard, on s’adapte en souplesse. Le sentiment de toute-puissance qu’offre la voiture n’existe pas sur une mobylette.
  • De même, le nombre de passagers peut souvent être rocambolesque comparé aux standards occidentaux. Il n’est pas rare que la mobylette transporte toute la famille : le père conduit, avec un enfant devant lui, debout ou assis sur une chaise adaptée, la mère est assise derrière avec le petit dernier dans les bras.
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    "La première surprise que réserve Hanoï, capitale du Vietnam, concerne le mode de transport. Ici la mobylette est partout, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'elle règne en maîtresse incontestée et tyrannique ! Les tenants et aboutissants de ce choix de mode de transport sont nombreux et souvent inattendus. Quoiqu'il en soit, ils témoignent d'une capacité d'adaptation forte dans un environnement contraint."
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quinny longboardstroller is a fresh approach to urban family mobility - 0 views

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    "after two years of development, quinny is proud to announce the official launch of the 'longboardstroller'. thanks to multiple safety innovations, this cheeky concept has evolved into a unique product that is ready to hit the streets of europe. this fresh approach to urban mobility gives the experience and freedom of riding a longboard and enables parents to travel faster and further than with a regular stroller. drawing on the expertise of longboarding enthusiasts and parents, quinny developed the product until it was exactly right. the 'longboardstroller' uses leading components and materials to deliver a high-quality product. with safety in mind, quinny tested and adjusted with many smart design innovations such as the padded bumper bar and an intuitive handbrake system for optimal control. "
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