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[pop-up] urbain

La Suisse négligente face au bruit du trafic - Le Temps - 0 views

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    "La pollution sonore liée aux transports concerne environ un million de personnes dans le pays. Les autorités ont identifié le problème il y a une trentaine d'années, mais les mesures d'assainissement des routes tardent à être appliquées"
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TILLOY-LÈS-CONTY (80) Des canards pour ralentir les voitures - Selle, Bresle,... - 0 views

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    "Et la solution trouvée par la mairie ne semble pas contrarier les habitants. «  Sur notre page Facebook, beaucoup de riverains nous ont félicités pour cette initiative.  » Il faut dire que l'idée présente plusieurs avantages par rapport aux dos-d'âne. Le bruit d'abord : les canards, dix mâles et une femelle (et encore, personne n'en a la certitude) ne sont pas très bruyants. En tout cas, ils le sont beaucoup moins que les ralentisseurs classiques. Mais surtout, cette nouveauté est particulièrement économique puisqu'elle n'a rien coûté aux habitants. C'est un huttier du village qui a fait don des animaux. Quant au nourrissage, il est assuré par l'herbe de la place et le pain des enfants du village. Finalement, la seule ombre au tableau reste la sécurité des palmipèdes. L'un d'entre eux a été écrasé il y a un mois. «  Mais dorénavant, les personnes font attention. Ici, personne n'a envie de tuer un animal.  »"
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Flexitaérien, mode d'emploi: mérites comparés de l'avion et du train | L'inte... - 0 views

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    "Flexitaérien, néologisme assumé, désignera celui qui ne prend pas systématiquement l'avion, qui essaie de l'éviter, parce que l'avion, ça pollue, ça fait du bruit, et surtout ça émet énormément de CO2. Les enjeux de ce débat émergeant sont résumés dans cet excellent article de la journaliste du Monde Pascale Krémer, ici. La discussion fait rage. Certains prônent le renoncement total à l'avion. Finies les découvertes de pays lointains, les visites à des amis expatriés, les reportages au Caire ou à Kiev, les conférences à Montréal ou à Fort-de-France. D'autres, à l'opposé, prônent de ne rien changer. Après tout, s'il y a des avions et des aéroports, c'est pour qu'on s'en serve. Et puis, d'ailleurs, « on n'a pas le choix », ajoutent-ils parfois, sans craindre la provocation. Et entre ces deux positions radicales, toute la panoplie du flexible, de la déontologie personnelle, du « cadre moral que chacun se fabrique de bric et de broc », comme dit Pascale Krémer, qui livre aussi un « mode d'emploi » destinés aux accros à l'avion."
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Pour lire l'avenir des villes, regardez le trottoir ! - URBIS le mag - 0 views

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    "Isabelle Baraud-Serfaty est consultante en économie urbaine. A ce titre, elle collabore avec de nombreuses collectivités. Le regard de cette fine observatrice de l'actualité des villes s'est récemment porté sur le trottoir, qu'elle considère comme un chemin fécond pour saisir les principaux changements à l'œuvre dans la ville : les transitions numériques et écologiques. Espace de plus en plus encombré, de plus en plus convoité, le trottoir est devenu, selon elle, un enjeu stratégique majeur qui soulève bien des défis d'avenir. Isabelle Baraud-Serfaty sera l'invitée d'Urbis le Mag le vendredi 19 mars 2021 pour un webinaire intitulé « Qui fait le trottoir ? ». - « Isabelle Baraud-Serfaty, vous travaillez actuellement beaucoup sur le trottoir. Qu'est-ce qui vous a conduit à mettre la focale sur cet espace public que vous considérez comme un enjeu stratégique ? Tout a commencé en 2017 par deux lectures. D'abord celle des Chiffonniers de Paris, un livre d'Antoine Compagnon qui montre comment le chiffonnier - métaphore du poète qui transforme la boue en or - opère « au coin de la borne ». Puis celle d'un livre intitulé L'entrepreneur et le prince, de Christophe Defeuilley, qui retrace la création du service public de l'eau et des infrastructures inhérentes. Ces deux lectures m'ont permis de réaliser que la généralisation du trottoir en France date du milieu du 19ème siècle et coïncide avec la création des grands réseaux d'infrastructure qui structurent le fonctionnement des services urbains en France depuis lors. Cela a été comme une révélation, d'autant qu'Alphabet, la société-mère de Google, venait de créer Sidewalk Labs, sa filiale dédiée aux projets urbains (son fameux projet à Toronto, abandonné depuis, avait fait grand bruit), dont le nom signifie littéralement « les labos du trottoir ». J'ai pensé : et si au fond le trottoir incarnait ce basculement de la ville
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Listen to the fake sounds that could keep electric vehicles from hitting people - Quartz - 0 views

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    "The roar of internal combustion engines is a familiar sound to anyone living in a large city, but whisper-quiet electric vehicles (EVs) pose a different problem-they provide almost no audible warning for pedestrians and cyclists. Regulators are considering rules that will require EVs to make more noise, but so far there is no consensus for what kind of sound an EV should make. + "It's important that [sounds] are audible for people who need to hear them, but not annoying for everyone else," says Torben Holm Pedersen, Senior Technology Specialist at SenseLab, the acoustic technology unit of Danish technology company Delta. Pedersen and the team at SenseLab have developed a range of hypothetical EV sounds-you can listen to them below-and tested them for perceptibility and irritation. There are no plans yet for these designs to be used in the wild, but they have provided important data points on effective EV sound. + SenseLab experimented with four experimental sounds: Q4noise, Jet4low, Natural hum and Low friction. These were tested for "suitability"-a measure of annoyance versus effectiveness-against sounds you might hear today, like a 2010 Mitsubishi Colt ("Mitsu 1156 rpm") or a "Big truck"."
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Quand le train de tous les jours se transforme en dortoir ambulant | L'interc... - 0 views

  • On connaît les recommandations solennelles des autorités au sujet du risque de somnolence au volant. On étudie moins ces moments volés, sur une banquette de métro, un siège de TGV ou le pont d’un bateau. Répondant à un appel à témoignages diffusé sur le site lemonde.fr, de nombreux lecteurs nous ont raconté les relations apaisantes, troublées, voire gênantes, entre sommeil et transports.
  • Cheval de fer. Se déplacer, c’est accepter que son corps soit remué par plus fort que soi. Ludovic, habitué du TER entre Laval et Rennes, raconte le train qui "se met en marche avec son oscillation lente et caractéristique, tel un berceau d'acier agité par la main d'un géant". Les effets sont immédiats : "La chaleur envahit petit à petit mon corps en suivant le rail de ma colonne vertébrale. Le paysage défile, les vaches s'estompent et se fondent dans le vert de leurs prés. La force de l'habitude". Stéphane, en Ile-de-France, apprécie, "chose étrange", dit-il, "les MS61 plus que quadragénaires de la RATP", ces vieux RER commandés en 1963. "Malgré le bruit omniprésent et assourdissant, je me sens bercé par le tressaillement du cheval de fer".  Pour "EM", 25 ans, qui vit dans les Hauts-de-Seine, il importe que "le ronronnement soit continu. Combien de fois ne me suis-je pas endormie, blottie contre la vitre d'un train, d'un TGV au RER, emmitouflée dans un manteau ?" Le sommeil est parfois court : "les sessions de 2 à 3 minutes de sommeil léger dans le métro m'apportent une véritable sensation d'apaisement et d'évasion", indique Cédric, 30 ans,
  • à Paris. Mieux vaut alors choisir sa place : contre la vitre, dans le sens de la marche, chacun choisira, mais en évitant "la proximité des sièges pour 4 personnes où se retrouvent souvent des salariés de la SNCF, très bien réveillés et assez bavards...", remarque Julien 41 ans, avocat à Paris.
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    "Le sommeil nous joue des tours. Il ne vient pas quand on le convoque, mais s'impose parfois sans prévenir. Sans crier gare, pourrait-on dire. Justement, le train, mais aussi le bus, le bateau ou la voiture sont des lieux propices à l'endormissement. Ce 28 mars est, comme chaque année depuis 2001, la "journée du sommeil", l'une de ces dates commémoratives qui, coincée entre celle du cerveau ou celle de la gentillesse, amènent les spécialistes et les médias (c'est fait) à évoquer avec entrain, et avec l'aide de quelques sponsors bienveillants, un sujet grave. Cette année, l'Institut national du sommeil et de la vigilance, une association réunissant médecins, chercheurs et divers spécialistes, a choisi ce thème : "sommeil et transport"."
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« Allo, je suis dans le train ! » | L'interconnexion n'est plus assurée - 0 views

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    ""Vous êtes invités à passer vos appels depuis les plateformes". Depuis quoi ? Depuis quand ? Le jargon de la SNCF recèle quelques bijoux.  Peu importe, dira-t-on, tout le monde a compris. Même si aucun passager ne sait exactement à quoi ressemble une "plateforme". En langage courant, on dirait plutôt "entre les wagons". Pour résumer, un peu de discrétion est bienvenue. La consigne n'est pas facile à respecter. On ne compte plus les voyages perturbés par une conversation intempestive ou des hurlements téléphoniques. On aimerait se concentrer, lire, travailler, et à l'occasion faire la sieste. Indiciblement, sans trop savoir pourquoi, on sent son espace vital menacé."
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Le Shinkansen, train à grande vitesse japonais | HORIZONS DU JAPON - 0 views

  • À l’intérieur, le bruit constant est celui du vent qui vient s’écraser douloureusement sur la coque de l’engin le transperçant avec insolence. La vendeuse de Bento (panier-repas) passe en s’annonçant. Une petite musique prévient une nouvelle annonce du speaker. Un tableau digital passe en boucle les dernières informations. Tout le monde est respectueux des autres et personne n’engage une longue et bruyante conversation téléphonique sur son fauteuil. Et pour les plus en mal de calme, il existe un wagon totalement silencieux, sans speaker, musique, ou discussion entre amis
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    "Ligne souple telle un avion, l'intérieur et l'extérieur des différents Shinkansen semblent provenir de la technologie aéronautique et non pas du chemin de fer. Les matériaux et le design rappellent l'avion ainsi que la tenue des pilotes. Képi et gants blancs sont de rigueur. Tout est impeccable. Jamais un Shinkansen n'entre en gare remplie de poussière. La rouille n'est jamais apparente. Il faut entretenir l'image. Valoriser un objet augmente son appréciation. Et la Japan Railway, ou JR a réussi son coup. Les Japonais adorent le Shinkansen. Il y a carrément des fanatiques. Beaucoup de photographes et vidéastes alimentent des blogs de fans sur le sujet. Les enfants ne jouent pas avec des petites voitures mais avec des Shinkansen miniatures qu'ils font rouler avec leurs mains ou électriquement. Dans certains parcs pour enfants, on aperçoit des reproductions du fameux train. L'engin est starisé au possible. Les cérémonies regroupent à chaque fois des centaines de personnes venues accueillir un nouveau modèle ou saluer un ancien en fin de service."
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RATP Scope - 0 views

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    "Après dix ans de bons et loyaux services, les voix RATP qui rythment le quotidien des voyageurs de leurs annonces multilingues, s'apprêtent à accueillir de nouveaux membres dans la famille. Sélectionnées lors d'un casting mené parmi les collaborateurs de la RATP, les nouvelles voix du métro, du bus ou du tram devront distiller une information voyageurs de qualité dans l'univers bruyant du réseau de transport francilien."
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Making Cyclists Heard On The Road In Mexico City - 0 views

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    "he hustle and bustle of Mexico City leaves cyclists feeling "invisible", which is putting people off cycling. Local design agency José de la O have created a fun, musical prototype to help lessen the fear of cycling and get more people on their bikes. Local government in Mexico City is providing infrastructure to facilitate cycling around their busy city as bikes are becoming more and more popular. ECOBICI is a public bicycle-docking service, much like Santander Cyclers (Boris Bikes to many of us), that has been provided by the government for the past seven years. Thomas Hoogewerf, an intern at Studio José de la O, decided to conduct research as part of their Project Friday Initiative (part of the agency's intern program where every intern develops a speculative or critical design project every Friday for six months, which they can then publish in their portfolio), that looked into how the service could be improved based upon people's experiences. It turned out that one of the key issues that the interviewees found with cycling in Mexico City is that "people don't notice you, you are not present enough"."
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