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[pop-up] urbain

Très cher métro japonais | Le Bug Urbain - 0 views

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    "Parisien, lyonnais ou encore lillois vous vous plaignez du coût d'un abonnement ou d'un ticket de métro ? Un tour dans le métro japonais vous suffira peut-être pour vous dire qu'après tout, on n'est pas si mal lotis. Si les systèmes de paiement diffèrent selon le réseau, une caractéristique reste présente quel que soit la ville : le prix d'un trajet dépend du nombre d'arrêts jusqu'à votre destination… Autant dire que la note peut vite être salée si vous emprunter le métro pour visiter la ville en large et en travers (oui parce que sinon pour deux arrêts, il y a la marche à pied… Non?) ! Tokyo : une ligne, un billet Le réseau très fourni de Tokyo a été développé progressivement dans la première moitié du 20ème siècle, et reste géré par différents exploitants. On passe ainsi de la Yamanote line de la compagnie nationale Japan Railways (boucle très utile qui relie plusieurs centres névralgiques de la mégalopole) aux multiples lignes de Tokyo Metro, société possédant la majorité des lignes du réseau tokyoïte, sans oublier les quelques lignes bien utiles de la compagnie Toei (contraction de Tōkyō-to Kōtsū-kyoku, soit « Bureau des transports de la métropole de Tokyo »). Ce bel imbroglio d'opérateurs s'est néanmoins entendu pour rendre le passage d'un réseau à un autre le plus fluide possible : on peut obtenir aisément une carte à puce rechargeable (chaque compagnie en propose une avec des avantages bien particuliers, mais toutes donnent accès à l'entièreté du réseau), et dont le passage à chaque borne déduit automatiquement le prix du trajet. Paiement qui a lieu… à chaque fois que l'on change de ligne ! Dans le cas de l'achat d'un ticket, celui-ci ne donnerait donc pas accès à la totalité du réseau, mais seulement à une certaine distance de ligne selon le prix payé. Si votre trajet nécessite d'emprunter 3 lignes différentes, il faudra ainsi payer à 3 repr
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Les cartes à puce des transports en commun au Japon | nippon.com - Infos Japon - 0 views

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    "Les nombreux usagers des transports en commun au Japon se déplacent en toute liberté grâce à leurs cartes Suica, Pasmo ou Icoca. Ces cartes prépayées permettent également de régler beaucoup d'autres types de paiements."
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Et si c'était le design du ticket de transport qui était central ? - 0 views

  • Le coût de cette solution de paiement est quasi nulle
  • En utilisant cette solution, il est également possible de mieux piloter en temps réel les ressources
  • des solutions pour fournir une solution intégrée et séduisante de paiement/fidélisation/remontée d'information temps réel géolocalisée. Nous retrouvons ici le sujet des innovations sur les monnaies en tant que technologies de gestion des flux
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    "Avec la nouvelle application de MTBA (Massachusetts), il est possible d'acheter directement sur son téléphone son titre de transport, sans surcoût."
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Titres de transport numériques à Nantes : la nouvelle arme anti-fraude de la ... - 0 views

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    "Depuis août 2013, la Tan généralise son offre de titres de transports numériques à tous ses usagers : voyageurs ponctuels comme abonnés. Le 1er novembre a été lancé 'Libertan Sur-Mesure, une carte permettant le paiement des trajets à la fin du mois. Une manière de contrecarrer une fraude galopante ?"
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Les 12 choses que vous ne savez pas sur les taxis | L'interconnexion n'est pl... - 0 views

  • 1/ Une profession très masculine. 93% des taxis parisiens sont des hommes. "Il y a plus d’hommes chez les sage-femmes que de femmes taxis", constate Mme Wauquiez. 2/ Des taxis et des ambulanciers. On compte en France 55 000 taxis, dont 20 000 à Paris. Et pourtant, dès qu’on quitte le centre de la capitale et les aéroports, que l’on soit dans l’est parisien, en proche banlieue, dans une métropole régionale ou une ville moyenne, il devient aléatoire de trouver un véhicule. Où sont les 35 000 autres taxis ? Que font-ils ? Réponse : ils conduisent des malades à l’hôpital. C’est le "transport assis de personnes". A lire aussi : "la France, cet étrange pays où le taxi fait l'ambulancier".
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    "Paiement par carte bancaire, couleur "sobre" unique, voie réservée sur l'autoroute ou aménagement des gares et aéroports. Derrière ce catalogue de mesures contenues dans le rapport du député Thomas Thévenoud (PS, Saône-et-Loire) se cache une ambition : faire du taxi une "alternative à la voiture individuelle". Selon ce rapport, remis ce 24 avril au Premier ministre, les voitures de tourisme avec chauffeur (VTC), concurrents des taxis depuis la libéralisation intervenue en 2009, devront aussi se plier à une certaine réglementation. En revanche, le délai de 15 minutes entre la commande et la charge (le quart d'heure de Manuel Valls), suspendu par le Conseil d'Etat, est supprimé. Mais au-delà de cette rivalité et de ses effets pour les clients, connaissez-vous vraiment le taxi, savez-vous comment il fonctionne, quels sont ses droits et ses devoirs, ses petits ennuis et son jargon ? Voici les 12 choses que vous ne savez (peut-être) pas sur les taxis. Un panorama réalisé avec l'aide de Marie-Xavière Wauquiez, auteure du livre Taxis, l'avenir en 3D publié grâce au système de crowdfunding Kisskissbanbank en mars 2014."
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Covoiturage, le long chemin des trajets courts - Libération - 0 views

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    "Autant de résistances repérées par les acteurs du secteur qui cherchent des parades pour fluidifier ce covoiturage de proximité. Première réponse : faciliter l'usage de leurs applications en mettant par exemple en place un paiement avec prélèvement ou reversement automatique en fin de mois. L'application de Karos «apprend», elle, vos trajets réguliers grâce à la géolocalisation du smartphone, ce qui vous évite de le faire. IDvroom propose un outil de gestion de planning pour les covoitureurs réguliers. Le deuxième axe de développement consiste à se greffer sur une communauté existante, dense et potentiellement captive, en proposant directement des services aux entreprises. La majorité des start-up passent des partenariats avec ces dernières. Karos comptabilise 20 «grands comptes» pour un total de 25 000 salariés. Wayz-Up a décroché un contrat avec le technopôle de Renault en région parisienne, un bassin de 10 000 personnes. En général, ces entreprises financent les commissions que touchent les plateformes de covoiturage pour chaque trajet. Et elles y trouvent leurs avantages, assure un acteur du secteur, notamment lorsqu'elles sont loin des centres-ville. Elles ont tout intérêt à offrir une large palette de solutions de transports afin d'attirer, voire de garder leurs meilleurs éléments. A l'inverse, pour celles en zone urbaine, la question des parkings réservés aux salariés peut virer au casse-tête. «De plus en plus d'entreprises, quand elles déménagent, coupent dans les parkings pour rationaliser les coûts», assure Julien Honnart."
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EZ-Link, la nouvelle carte de paiement à la mode asiatique - Transport Shaker... - 0 views

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    " EZ-Link est un portefeuille électronique prenant la forme d'une carte à puce s'utilisant sans contact, qui a été lancée en 2002. C'est un moyen simple et rapide de régler ses déplacements à Singapour et d'autres types de services. Elle utilise la technologie FeliCa de Sony et permet aujourd'hui de payer un bien ou un service dans plus de 10 000 points différents dans la Cité-État. Aujourd'hui essentiellement utilisé dans les services de transports en commun, cette solution tend à se généraliser et à évoluer technologiquement parlant."
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Avec Waze Rider, Google va-t-il concurrencer Blablacar? | FrenchWeb.fr - 0 views

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    "Quelques mois après avoir ouvert son service de covoiturage RideWith, Google vient de lancer sur le Play Store d'Android l'application Waze Rider. Reposant donc sur Waze, la start-up de trafic et de navigation communautaire rachetée en 2013 pour plus d'un milliard de dollars, ce service propose à ses utilisateurs de trouver des conducteurs de voiture prêts à prendre d'autres passagers. Concrètement, l'utilisateur renseigne le trajet qu'il souhaite effectuer. Lorqu'un autre membre du service disposant d'une voiture effectue ce même trajet, il reçoit alors une notification l'indiquant q'un covoiturage est possible. Le paiement reversé par le passager permet alors de couvrir une partie des coûts du voyage. Il ne s'agit donc pas d'un service de chauffeurs professionnels, mais bien de covoiturage. "
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(1) Les cartes bancaires volées, le nouvel eldorado des collégiens en trottin... - 0 views

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    "A chaque fois qu'un numéro de carte est envoyé sur le groupe, les ados se précipitent sur l'application pour «acheter du crédit». Contrairement à d'autres services de location, sur Lime le paiement ne se fait pas à la course. Il faut créditer de l'argent sur l'application, qui servira à rouler. Lorsqu'il n'y a plus rien, il faut recharger. «Quand on reçoit une carte, il faut être vif. On commence par mettre 5 euros. Si ça fonctionne, on remet 5 euros. Puis 10, puis 15 puis 20…», détaillent les deux garçons. La somme totale peut parfois atteindre jusqu'à 600 euros. «Sur les American Express, on peut payer seulement 5 euros. Les meilleures, ce sont les Mastercard. Quand elles fonctionnent, on peut aller jusqu'à 300, 400 euros», assure Younès, devenu expert bancaire."
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La révolte contre les checkpoints en Arizona | Slate.fr - 0 views

  • Carlota Wray plisse les yeux pour se protéger de l’éclat du soleil de la mi-journée. Au volant de son pick-up, elle négocie les virages et les barrières couchées destinées à empêcher le passage du bétail. A 56 ans, elle connaît bien Arivaca Road, la route qui dessert la vallée séparant la ville du reste de l’Arizona. Elle l’emprunte souvent, pratiquement depuis qu’elle est en âge de conduire.
  • Carlota Wray est devenue citoyenne américaine en 2008, après des années en tant que résidente permanente. Elle n’a rien à cacher: rien sous son gilet bleu, rien sous les plastiques de sa voiture. Et pourtant, à chaque fois qu’elle part en direction de Tucson, elle nettoie sa voiture de fond en comble. Elle sait qu’elle devra passer par un poste de contrôle et justifier ce qu’elle ne pourra jamais dissimuler: ses origines mexicaines. «Qu’importe que Dieu nous ait fait si beaux, les latinos, et tous les gens qui ont la peau foncée, sont maltraités par la police des frontières, explique-elle. Je vois mes amis, ma famille, interrogés et fouillés sans autre raison que leur couleur de peau. Ils me posent des questions qui n’ont pas lieu d’être, alors que je n’ai rien fait de mal.»
  • Premier avertissement de l’arrivée sur un checkpoint, la vitesse est désormais limitée à 55km/h. Tous les véhicules doivent s’arrêter. Les conducteurs doivent allumer leurs feux de croisement. Carlota Wray s’immobilise le long d’une file de cônes orange fluo.
  • ...7 more annotations...
  • C’est une guerre des frontières qui se mène dans le sud de l’Arizona, bien loin de la ligne qui sépare les Etats-Unis du Mexique. A cause de la présence constante de la police des frontières sur les checkpoints, les citoyens américains doivent se soumettre à des contrôles quand ils se rendent au travail ou quand ils vont faire leurs courses. Chaque route principale comporte un de ces barrages et les habitants sont excédés.
  • «Nous ne sommes pas habitués à voir des checkpoints militaires. C’est normal dans certains pays, mais les Américains n’ont jamais connu cette situation de façon permanente»
  • L’Arizona peut sembler un endroit bien inattendu pour un mouvement de lutte contre des politiques liées à l’immigration. Cet Etat a en effet mis en œuvre certaines mesures très agressives, comme la très controversée loi SB 1070 qui donne à la police d’Arizona le droit de contrôler l’identité de toute personne suspectée d’être entrée illégalement sur le territoire.
  • Pour la plupart des Américains ne vivant pas dans cette région, des postes de contrôle si loin de la frontière semblent inconcevables. Et certains défenseurs des migrants de premier plan, comme Jose Antonio Vargas, un immigré clandestin brièvement détenu à un checkpoint intérieur au Texas, n’en connaissaient même pas l’existence.
  • Récemment, ses habitants ont même manifesté contre l’accueil d’enfants sans papiers qui faisaient partie des 52.000 mineurs ayant passé la frontière sans être accompagnés depuis octobre 2013 (une situation qualifiée de crise humanitaire par Barack Obama).
  • C’est au début de l’année 2007, quand le Congrès a finalement accepté de les financer après des années de résistance d’un politicien local, que les postes de contrôle ont soudainement commencé à faire leur apparition en Arizona. La pratique semble pourtant en contradiction avec la philosophie même d’un de ces Etats de l’ouest américain où routes à perte de vue et voitures puissantes sont synonymes de liberté.
  • D’autres mouvements luttant contre les postes de contrôle attirent des compagnons d’armes bien dépareillés: des éleveurs conservateurs, des retraités aisés, des ermites libertaires, des défenseurs des droits civiques… tous unis par un seul sujet de contestation: parce que des citoyens américains peuvent y être arrêtés et fouillés de façon aléatoire si loin des frontières du pays, ces checkpoints saperaient les fondements même d’une société libre et démocratique.
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    "Défenseurs des libertés civiles, libertaires, retraités et activistes s'unissent contre les contrôles des agents de l'immigration pratiqués à distance de la frontière."
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