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[pop-up] urbain

Rien de tel qu'un banc pour faire marcher les... - A lire ailleurs - 0 views

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    ""Une ville créative, qui bouge, comme Nantes ou Bordeaux, en France, est une ville qui en installe par milliers et c'est pour ça qu'elles attirent", estime Sonia Lavadiho (@slavadi), chercheuse au centre de transports à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, rapporte TerraEco dans une très belle ode au banc public. Reste que nul ne pourra faire de palmarès de la ville française la mieux équipée, puisque très rares sont les villes qui en font le décompte ou publient leur emplacement en open data. "Le paradoxe, en effet, c'est qu'en ville, pour que les gens puissent marcher, il faut pouvoir passer du temps assis !" Depuis 2007, l'OMS a fait du banc un élément indispensable de son quide mondial des "villes amies des aînés". "C'est un objet de sociabilité : le banc crée plus de ville, plus de vie""
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Pas de transport sans design » Vélopark, garage à vélo - 0 views

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    "Marion Steinmetz a l'art de faire rimer canette avec bicyclette. Lauréate 2012 du Prix du Design Durable organisé par Coca Cola France et Néoplanète, cette jeune designer, qui a ouvert son agence de design et un showroom de mobilier alors qu'elle était en dernière année à l'École Camondo, a séduit le jury en proposant Vélopark, un garage à vélo en canettes d'aluminium recyclées et bouteilles plastiques. Composé d'un seul module juxtaposable jusqu'à obtenir la taille désirée, et dimensionné à une hauteur classique d'assise, le dispositif peut aussi faire office de banc. Et être agrémenté d'un bac à fleurs en rPET (Polyéthylène téréphtalate recyclé). "
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bsahtek. Visages de rerc - 0 views

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    "-Visages de RER : Septembre - Décembre Un thaï, monté à Juvisy, avec un sac de course Christian Dior, lit un livre de Francis Huster sur Christian Dior. Il prépare un scam ? Une rousse, pas trop pâle, pas trop mal, avec une bague à l'index de la main droite, écoute de la musique sur son iphone. Elle fait mine de me snober, les yeux mi clos. Pris de haut le p'tit gars. Avant le snob, je visualisais déjà mentalement la couleur de ses fesses. Une dame, quadra, blanche employée, lit un document interne, didactique, sur la réorganisation de "SFR La Carte". Quand elle remarque que je le lis aussi, elle fait mine de le planquer. Bientôt, plus besoin de prendre le RER pour aller au Pôle Emploi. On est dans la même galère, meuf. Un noir fait un prêche baptistique assis pile en face de moi. C'est un prêche muet car j'ai mon casque sur les oreilles, mais il dit Jésus et conversion suffisamment fort pour que je comprenne le deal. J'écoute "Paul Jonhson - Hear the music". Et je pense à écrire sur "la techno chrétienne" - comme il existe un rock chrétien. De mémoire, je repére déjà quelques morceaux de house, prêches, qui pouvaient entrer dans le label techno chrétienne. (note: Je ne suis jamais allé plus loin). Cette fille se donne des grands airs, rappelant la démarche de Victoria Beckham, mais avec des vêtements qui viennent du chinois de Juvisy. Son physique neutre la rend pourtant attachante. Pourquoi en faire trop quand on peut être simplement attachante ? Elle serait aussi bien en Victoria Thiney - mariée à Gaëtane. Ce petit noir qui dort et qui suce sa tototte, par intermittence, au fond de la poussette est seul sur la plateforme. Sa mère est un peu plus bas et ne l'a pas constamment en visu, assise avec ce que je devine être sa grande soeur. Espérons qu'un membre de L'Arche de Zoé ne monte pas dans le RER. Discussion de trois filles, sorties d'une pub Benetton, maquillées pour aller
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Mobilité urbaine & déplacements en mobylette à Hanoi | Demain la Ville - 0 views

  • Comme la majorité des Hanoïens, Vinh se déplace en mobylette, ou plutôt vit en mobylette. Les urbanistes évoquent même une « population de centaures » pour parler des habitants de la capitale ! Ici, mis à part les vendeurs ambulants, rares sont ceux qui font plus de quelques mètres à pied. Dans certains marchés, on fait ses courses en scooter, parfois on fait la sieste allongé entre le guidon et le siège – preuve d’un sens de l’équilibre très abouti. Sur le bord du Lac de l’Ouest, très prisé des jeunes couples, on s’installe sur la selle pour conter fleurette, faute de bancs publics en nombre suffisant. Certains même y font leur séance d’abdominaux.
  • Ce choix de véhicule affecte le mode vestimentaire des hanoïens. Les hanoïennes conductrices en particulier sont très équipées sur leur moto: un casque la plupart du temps…ce qui n’est pas une évidence en Asie du Sud-Est ; une veste intégrale (couvre-mains, capuche) dans un matériau similaire à celui d’une couverture de survie pour ne pas avoir chaud et, surtout, ne pas bronzer ; un masque pour se protéger de la pollution directement émise par les pots d’échappement qui les entourent dans la circulation. Régulièrement assortis, ces accessoires témoignent d’une coquetterie scrupuleuse. En passagères, elles s’assoient souvent en amazone avec un équilibre déconcertant malgré les zigzags de la mobylette.
  • L’interdiction des camions au sein de l’aire urbaine d’Hanoï entre 9 et 21h facilite cela. Un autre élément très clair participe de ce phénomène, très peu de conducteurs se laissent aller à de fortes accélérations ou à des freinages brutaux. La vitesse reste assez limitée et ce quelque soit l’heure, même quand les rues sont désertes au milieu de la nuit. La moyenne se situe aux alentours de 35 km. Difficile d’être plus précis puisque la majeure partie des compteurs de vitesse gardent désespérément l’aiguille alignée sur le zéro.
  • ...3 more annotations...
  • e klaxon
  • Les règles de circulation sont plutôt souples, donnant le sentiment d’un chaos organisé. Les feux, équipés d’un minuteur, sont plus indicatifs qu’autre chose. L’attention et la capacité d’adaptation que cela demande à chaque motard sont dès lors plus importante qu’en France. Personne n’a tort, personne n’a raison, et quand on voit sur le côté de la route un scooter remonter sur plusieurs mètres l’axe à contre-sens, on l’évite simplement, en ponctuant d’un léger coup de klaxon sans agressivité pour lui signaler notre présence. Il semblerait que de manière plutôt saine les hanoïens ne mettent pas de fierté particulière dans le fait de conduire. Ici, on ne critique jamais la conduite d’un autre motard, on s’adapte en souplesse. Le sentiment de toute-puissance qu’offre la voiture n’existe pas sur une mobylette.
  • De même, le nombre de passagers peut souvent être rocambolesque comparé aux standards occidentaux. Il n’est pas rare que la mobylette transporte toute la famille : le père conduit, avec un enfant devant lui, debout ou assis sur une chaise adaptée, la mère est assise derrière avec le petit dernier dans les bras.
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    "La première surprise que réserve Hanoï, capitale du Vietnam, concerne le mode de transport. Ici la mobylette est partout, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'elle règne en maîtresse incontestée et tyrannique ! Les tenants et aboutissants de ce choix de mode de transport sont nombreux et souvent inattendus. Quoiqu'il en soit, ils témoignent d'une capacité d'adaptation forte dans un environnement contraint."
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