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Albert-Laszlo Barabasi: He knows your route (Wired UK) - 0 views

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    "This article was taken from the June issue of Wired magazine. Be the first to read Wired's articles in print before they're posted online, and get your hands on loads of additional content by subscribing online Human habits -- what we do, when, where and how often -- are the realm of psychology and economics. But physics? "Good science usually starts with data," says 43-yearold Albert-László Barabási, a physicist at Northeastern University in Boston. "Whether you study atoms or people, measuring things is the first step to understanding." Barabási analyses location data from mobile phone users, mapping the daily movements of millions of people over months. For his most recent study, he and his team studied data from 50,000 people randomly pulled from a research pool of ten million. They concluded that human mobility patterns are very regular -- up to 93 percent predictable."
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Comment Keolis roule à l'open source et à l'open data - 0 views

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    "Depuis cinq ans, Canal TP emmène aussi Keolis sur les voies de l'Open data, via notamment une collaboration avec OpendataSoft, plate-forme d'hébergement de données ouvertes, qui permet à la SNCF ou aux collectivités local de publire leurs données. Mais ouvrir ses données exploitables, notamment en temps réel, à un coût. Keolis est donc plus favorable au modèle freemium (gratuit sauf pour une utilisation massive ou sans partage des développements). Il revient à ses clients, généralement des agglomérations, d'en décider. "On veut passer de l'open data à l'open service, explique le directeur de Canal TP. Fournir toujours la même donnée brute, pour le même service, était innovant en 2010 à Rennes, mais cela ne l'est plus. Aujourd'hui, il est plus intéressant de disposer d'API et d'accéder aux interfaces de programmation. C'est pour cette raison que nous avons ouvert le code de Navitia.""
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Will Uber's Latest Scandal Finally Make People Worry About Big Data? - 0 views

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    "But the notion that a company which probably knows where you live (or at least, where you get picked up from regularly) and where you go late at night, could be accessing data on your movements is concrete and arresting - in precisely the way that the idea of a company like Google tracking your movements online isn't. Could Uber's slip-up be the incident that finally makes consumers start becoming more concerned about privacy as a practical, rather than just theoretical, issue? And even more importantly, are we seeing the future of disputes over Big Data, as online services become more and more integrated with our everyday lives? It'll be interesting to see."
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Strava - 0 views

  • Metro data enables deep analysis of cyclist and pedestrian activity including popular or avoided routes, peak commute times, intersection wait times, and origin/destination zones. Metro processes this data for compatibility with geographic information system (GIS) environments.
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    "Strava Metro makes riding, running and walking in cities better. Millions of people upload their rides and runs to Strava every week via their smartphone or GPS device. Metro anonymizes and aggregates this data and then partners with departments of transportation and city planning groups to improve infrastructure for bicyclists and pedestrians."
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Renault will remotely lock down electric cars - Karsten on Free Software - 0 views

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    "This means that Renault has some way of remotely controlling the battery charging process. According to the Spiegel article, the Zoe (and most or all other electric cars) collect reams of data on how you use them, and send this data off to the manufacturer without your knowledge. This data tells the company where you are going, when, and how fast, where you charge the battery, and many other things besides. We already knew that Tesla was doing this with its cars since the company's very public spat with a journalist who reviewed one of their cars for the New York Times. Seeing the same thing in a mass market manufacturer like Renault makes clear just how dangerous this trend is."
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Comment Groupama utilise l'open data pour limiter les accidents de la route - Les Echos - 0 views

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    "L'assureur lance une plate-forme gratuite permettant de choisir le trajet le moins accidentogène. Il s'est servi des données gouvernementales d'accidentologie, désormais en open data."
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Connecting data and technology for smarter transport systems | TheCityFix - 0 views

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    "Although transport globally is faster and more automated than ever, accessibility and quality of service remain key issues. Connectivity between these emerging technologies can unlock the potential for big data to expand access and improve the quality of transport systems in cities around the globe."
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Open Data et transports : l'Afrique a tant à nous apprendre ! - Innovation & ... - 0 views

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    "Les systèmes de mobilité informelle et les plateformes de données et Open Data en Afrique. Une très belle journée d'échanges organisée par l'AFD (Agence Française de Développement) qui commence à prendre ces sujets au sérieux comme levier d'amélioration des systèmes de transport dans les pays où elle intervient, donc de valorisation de ses investissements. Échanges inspirants avec des intervenants et porteurs de projet de grande qualité ! Digital Matatus à Nairobi au Kenya, Transport For Cairo en Egypte, Accra Mobility au Ghana mettent en avant le potentiel de ces transports dits « artisanaux », pour une ville résiliente et fluide. Quelles sont les conditions pour que du « chaos » émerge un système remarquablement structuré, intégré et adapté à la demande ?"
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OpenStreetMap achève la collecte des limites communales | J'ai du bon data - 0 views

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    "La communauté OpenStreetMap (OSM) vient de finaliser le tracé collaboratif des limites des 36 680 communes françaises. Né en 2004, le projet OSM s'est basé, pour ce tracé, sur les fichiers du cadastre de la Direction générale des finances publiques pour créer petit à petit ce fichier."
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Le Big Data à la SNCF pour sécuriser les accès aux trains - La Revue du Digital - 0 views

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    "Enfin, Barbara Dalibard rêve de pouvoir faire payer les données de la SNCF. « Mon idée serait un système où les données seraient payantes. Le prix serait d'autant plus élevé que l'on est une grande entreprise, et faible pour une startup pour ne pas brider l'innovation. C'est une réflexion en cours, pour créer un cercle vertueux » décrit-elle. Faire payer Google Elle estime à 1 milliard d'euros la valeur qui part chez Google chaque année rien qu'en ce qui concerne les données d'horaires de train dans toute l'Europe.  « En Europe, on est très mal armé pour valoriser les données que l'on produit » regrette-t-elle. Et on la sent plutôt remontée contre ces firmes qui n'ont pas mis un « kopeck dans le système ferroviaire » et qui tirent toute la valeur de ses données."
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Better city cycling routes? There's an app for that | Guardian Sustainable Business | T... - 0 views

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    "From Toronto to Glasgow, cities have been partnering with tech businesses to harness cyclist data to inform and improve cycling infrastructure"
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De la contre-productivité globale. La critique de la mobilité et la crise du ... - 0 views

  • C’est néanmoins autre chose qui semble être à l’œuvre, une forme étrange d’auto-annihilation du système de transport, telle que discutée par Ivan Illich et ses collaborateurs sous le vocable de « contre-productivité »
  • La contre-productivité 2 désigne une situation dans laquelle l’usage d’un mode de transport par un grand nombre d’usagers rend l’usage de ce mode de transport impossible. L’exemple classique est celui du bouchon : lorsqu’un grand nombre d’automobilistes circule en même temps sur une route, chacun devient un obstacle insurmontable pour l’autre. C’est la congestion. Et par un effet boule de neige, le bus sera à l’arrêt et nulle place ne sera laissée au marcheur.
  • Parce que trop d’usagers ont utilisé certains modes de déplacement rapides, ils ont participé à la diffusion d’un virus et rendu impossible l’usage de tous les moyens de déplacement, même les moins problématiques.
  • ...11 more annotations...
  • On pourrait parler de contre-productivité différée, c’est-à-dire d’un usage qui n’est pas empêché immédiatement, mais plus tard, une fois qu’il aura été réalisé en masse et que ses conséquences se font sentir.
  • L’industrialisation des transports consiste en la transformation d’une variété de manières de se déplacer, inscrites dans des contextes locaux et riches de sens, en un petit nombre de moyens de transport standards qui constituent des commodités. À mesure que sont abandonnés les usages vernaculaires au profit des usages modernes, les personnes dépendent de plus en plus du système industriel de transport, par dévalorisation du vernaculaire, du qualitatif et de l’auto-produit, mais aussi par la perte des compétences et des conditions de possibilité d’une production autonome.
  • Comment les critiques de la mobilité envisageaient-ils des alternatives à cette dynamique d’écrasement de l’individu par le système industriel ? Tout d’abord, ils proposaient des mobilités autonomes, reposant sur les efforts de l’individu. La marche et l’usage du vélo sont deux manières de développer ses capacités de se déplacer. Dans le contexte actuel, il s’agit des moyens de se déplacer qui limitent le plus à la fois les contaminations possibles et la contre-productivité inhérente aux modes rapides.
  • Confinés, nombreux sont les citadins qui ne peuvent plus se déplacer. Toutefois, ils continuent de faire se déplacer d’autres individus et des marchandises, parce que nous sommes pour la plupart totalement dépendants des réseaux de transport, afin d’acquérir les commodités nécessaires à notre vie quotidienne. Ce besoin de commodités met en danger ceux qui transportent les marchandises, qui sont ceux qui doivent nous les livrer, mais aussi nous-mêmes, puisque le risque de transmission existe à chaque interaction. De ce fait, ce n’est pas seulement la mobilité des individus qui pose problème, mais aussi le transport des commodités.
  • La folie de la modernité s’exprime bien là, dans cette « loi » : tout usage massif d’un mode de déplacement rapide tend à rendre impossible son usage, mais aussi les autres manières de se déplacer. Toute accélération du rythme d’un usage dépassant un certain seuil tend à créer de la paralysie. Or, les vitesses de déplacement ont beaucoup augmenté, tout comme l’usage des moyens de transport longue distance comme l’avion. Ainsi, parvenus à un développement tentaculaire, nos réseaux de transport sont devenus nos filets, comme l’origine du terme (« réseau » vient du latin retis, filet) aurait dû nous le rappeler.
  • L’ascèse volontaire, le choix de ne pas agir, est une forme de liberté, qu’il s’agisse de refuser d’utiliser la voiture ou de s’auto-confiner, tandis qu’être réduit à l’impuissance par le système industriel est plus proche de la servitude.
  • À mesure que le système industriel étend ses mailles, l’individu est de plus en plus dépendant et impuissant. Il est bloqué par les bouchons, les files d’attente. Se déplacer est devenu dangereux ou impossible, mais seul ou en famille et sans déplacement, il est dépourvu des moyens d’assurer sa subsistance. L’immobilité maximale qui devrait permettre de lutter contre la pandémie est donc largement hors d’atteinte, par l’incapacité de l’individu, d’un groupe d’amis, d’une famille ou d’une commune, à assurer une auto-production suffisante.
  • D’ailleurs, moins appréciés par les usagers que les manières plus individuelles de se déplacer, quelle collectivité publique aura encore les moyens de ces infrastructures de luxe, avec l’endettement gigantesque résultant de la pandémie actuelle ? Quant à la voiture, tout le monde sait déjà qu’elle est le symbole même de la contre-productivité, par la congestion, l’usage du pétrole et la diminution de l’activité physique de ses usagers.
  • Cela signifie aussi que les mégalopoles sont trop grandes. Elles rendent l’individu dépendant des commodités, réduisent ses capacités d’autoproduction, multiplient les distances entre les lieux de vie, rendent le confinement moins supportable par leur absence d’espaces pour « respirer ». Elles sont aussi le lieu historique du bouchon, comme on le raconte à propos de la Rome antique où Jules César fut contraint d’interdire les véhicules entre six heures et seize heures pour éviter la paralysie de la ville.
  • Les villes de taille « moyenne » du type de Salzbourg des années 1960, vantée par Kohr, représentent un autre modèle. Elles comportent toutes les aménités de la ville, peuvent reposer sur la campagne environnante pour être approvisionnée et pour les loisirs – plus accessibles tant pour les riches et que pour les pauvres –, ont la taille nécessaire pour offrir une université ou un opéra. Il s’agit des mêmes villes dans lesquels les habitants sont d’ores et déjà les moins dispendieux en dioxyde de carbone
  • La crise actuelle n’est pas le résultat d’un accident ou d’un système de transport qui serait trop chaotique et dont les effets seraient surprenants et imprévisibles. C’est l’ordre de sa diffusion généralisée qui rend possible la congestion et la paralysie, selon les voies de circulation et les vitesses élevées des moyens de transport.
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    "Alors qu'au début du mois d'avril 2020, plus de la moitié des habitants de la planète sont confinés, il n'a jamais été aussi nécessaire d'interroger le rôle de notre système global de mobilité. Dans cette perspective, les critiques de la mobilité des années 1970 sont des guides sûrs. Celles-ci offrent à la fois une perspective sur un facteur d'expansion de l'épidémie devenue pandémie - le système de transport - et les pistes pour aménager le système de transport de l'après-crise."
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Uber ouvre ses données sur les temps de déplacement en région parisienne - 0 views

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    ""Movement", c'est ce site lancé en début d'année sur lequel le service de transport partage une partie de ses données, sous licence Creative Commons*. Disposer d'un compte Uber suffit, donc, pour y accéder gratuitement. La capitale française est la septième ville à être intégrée à l'outil.    DES "INSIGHTS" PLUTÔT QUE DE LA DATA BRUTE Uber ne lâche pas grâcieusement ses (précieuses) données temps réel mais va publier tous les trois mois des "tendances" tirées de l'activité de ses chauffeurs. Le site démarre avec la publication des "temps de trajet" entre les zones de Paris (à l'échelle des communes, ou infracommunal, via le découpage "Iris"). Il est possible de remonter jusqu'en 2016, de faire des comparatifs entre périodes données, en isolant certains jours de la semaine, voire des créneaux horaires précis. Les données explorées peuvent être téléchargées pour être croisées avec d'autres jeux de données externes."
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An interactive map of migrating birds - Benjamin Becquet - 0 views

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    "Some weeks ago, there was a hackathon at my work at CARTO. The goal was to experiment with all the mapping tools we build and to propose original ways of presenting spatial data. I looked for some nice open datasets we could use, and of course I searched first for nature-related data. That's how I stumbled upon this set of GPS positions of birds from Northern Europe, on the Global Biodiversity Information Facility, a website that will never leave my bookmarks from now on. Eventually our hackathon team decided to go with another topic, but I wanted to come back to this bird dataset on my own to build something cool with it."
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In Pursuit of Big Data, Mexico City Mapathon Gamifies Crowdsourcing - Next City - 0 views

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    "exico City has over 1,500 ya-kinda-just-gotta-know-about-them bus routes making up one of the largest bus systems in the world. The buses, or "peseros," are the primary mode of public transit in the city, accounting for 60 percent of Mexico City's commutes. That's 14 million rides a day. But nobody knows exactly where all of the buses go. There is no official route map. Pinning down the system and all its routes presents a daunting task, but this month, a group of collaborators achieved it by creating a citywide participatory mobile app game. They relied on crowdsourcing, cell phones and algorithms to make it happen."
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Le véhicule connecté, porteur d'enjeux autour des données | LINC - 0 views

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    "On voit aujourd'hui apparaître des initiatives pour rendre la maîtrise de leur données aux conducteurs (comparables aux projets de Self  Data, dont MesInfos de la Fing). La Fédération internationale de l'automobile a lancé la campagne MyCarMyData, dont l'objectif est que chacun puisse décider quand et avec qui leur véhicule partage des données, que le partage ne soit pas imposé, hormis pour des obligations légales. L'objectif de la FIA est de donner à chacun la liberté de choisir les services auxquels sont reliés le véhicule, tout au long de son cycle de vie. Au Etats-Unis, des initiatives d' « autorégulation » voient le jour. Les constructeurs automobiles ont ainsi adopté une déclaration de grands principes qui entend donner des gages aux possesseurs de voitures concernant le sort réservé à leurs données. Un rapport  du sénateur Edward J. Markey, publié en février 2015, questionne l'efficacité de cette protection, notamment eu égard au risque de prise de contrôle à distance du véhicule et au manque de garanties solides apportées à l'utilisateur concernant ses données."
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Where New Yorkers Have the Most Bike Crashes - John Metcalfe - The Atlantic Cities - 0 views

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    "New York is a large city that sees a large number of bike collisions. Thanks to MIT's pioneering "You Are Here" team, we now can visualize where these wrecks have occurred, and deduce problem areas that feature an unusual amount of two-wheeled carnage.  The team took collision data provided by the NYPD and geolocated it with Google Maps API to make a series of interactive maps, using orange dots to show where collisions have happened and red lines to denote roads with large clusters of wrecks. The time frame is August 2011 to February 2014, a sufficient enough period to establish a historical web of skidding tires and bodies hitting metal that stretches all across the five boroughs. The MIT guys say they created these "in the hope that those streets might be made safer for riders." (Note that they include only crashes involving physical harm, and that not everyone reports their scrape-ups to the police.) The maps have a couple minor issues, like a tiny scattering of ghost dots in the middle of nowhere. But all in all, they're an informative peek at a world-class city's cycling-based pain and suffering, caused by distracted or impaired driving, errors in judgment, and just plain bad luck. There are also a few neat bells and whistles: graphs ranking the roadways by number of accidents, for example, and a "Street View" option revealing the landscape around each wreck site."
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Et si l'intelligence artificielle simplifiait votre trajet domicile-travail ? - 0 views

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    "Karos, une application française, entend simplifier le covoiturage domicile-travail grâce aux dernières technologies de big data et de machine learning. En clair : plus besoin d'indiquer ses trajets, l'application s'occupe de tout."
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  • De son côté, Sidewalk Labs, la filiale de Google, veut vendre les données de géolocalisation des smartphones aux villes pour améliorer leur connaissance des déplacements.
  • Les trottinettes en libre service défraient la chronique en Californie depuis l’été dernier où des sociétés ont implanté sans autorisation des milliers d’engins dans des villes. Succès commercial indéniable, mais exaspération et rejet des autorités et de certaines populations locales. À San Francisco, la stratégie de “Blitzscaling” utilisée par Bird et Lime ne leur a pas réussi : l’autorité des transports de la ville a banni toutes leurs trottinettes, puis engagé un programme pilote remporté par deux autres acteurs.
  • À Los Angeles toujours, l’usage intensif d’Uber et Lyft par les étudiants à l’intérieur même du campus de UCLA (45 000 étudiant-e-s) surprend et inquiète. 11 000 trajets par semaine seraient effectués à l’intérieur même du campus.
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    "Uber veut devenir le "one-stop shop" du transport. De tous les transports. L'application proposera désormais des informations sur les transports publics disponibles à proximité. Lancée à Denver cette semaine, la solution fournira des itinéraires porte à porte et des informations en temps réel. Uber Transit. Pour créer cette fonctionnalité, Uber n'a pas négocié avec chaque autorité de transport l'accès à leurs données. Un partenariat avec l'appli Moovit lui permettra potentiellement d'accéder aux données de 2 700 réseaux de transport dans 88 pays. Smart. Uber Taps Moovit For Its Transit Data"
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Unmasked! The Mexico City superhero wrestling for pedestrians' rights | Cities | The Gu... - 0 views

  • The traffic light turns red at the corner of Avenida Juárez and Eje Central, the busiest pedestrian crossing in Mexico City, used by around 9,000 people every hour. Tonight, a driver stops his grey Peugeot exactly on the crossing where the masses are trying to pass. His car is now a steel barrier for those trying to reach the Palacio de Bellas Artes. A masked man dressed in black makes his way through the river of people, walking purposefully towards the Peugeot. His black and white striped cape, reminiscent of a zebra crossing, flaps behind him. He goes to the car, flings his cape over his shoulder, and pushes the Peugeot backwards to make space. “My name is Peatónito, and I fight for the rights of pedestrians,” he says, introducing himself.
  • The driver smiles and reverses willingly and eventually the pair shake hands. With the pedestrian crossing again flowing as it should, Peatónito heads back to the pavement where he will wait until he is needed again. The traffic light turns green.
  • The triumphs are tangible. This August, Mexico City’s government presented a new set of road traffic regulations with reduced speed limits on primary routes (that is, slower routes) from 70km/h to 50km/h. The reduced speed limit isn’t a mere whim on the part of the activists; it’s possible to measure how dangerous the streets of the capital are. In Mexico City, 52 accidents in every 1,000 are fatal. In the entire country, the rate is 39 deaths for every 1,000 accidents.
  • ...3 more annotations...
  • Another battle that has been fought and won is the implementation of “Vision Zero”, a series of public policies aimed at eradicating road traffic deaths, which activists worldwide have been backing for years.
  • The Netherlands, Sweden and the UK are among the pioneering countries to adopt Vision Zero (the first two just under 20 years ago). Then came US cities like Chicago, New York, Boston, San Francisco, and eight more. In Mexico, the initiative has been taken up – at least as a point of discussion – in Torreón, an industrial city in the state of Coahuila, and in Mexico City.
  • If today pedestrians are at the centre of Mexico City’s new road traffic regulations – having relegated cars from the top of the agenda – it is in large part the result of years of activism influencing the city’s policies on road traffic safety.
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    "Clogged with traffic, crippled by poor infrastructure - the capital is notoriously hard to navigate on foot. Enter Peatónito, the activist fighting for safer streets"
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