En conséquence, le financement sera réparti entre les collectivités locales et les automobilistes. Les premières contribueront pour « plus de 50 % en moyenne pour les opérations routières d’intérêt local. Le complément proviendra d’une faible augmentation des péages, limitée de 0,1 % à 0,4 % par an de 2019 à 2021 », a précisé le secrétaire d’Etat. Rien à voir avec le plan de relance de 2015. En contrepartie de la prise en charge des 3,2 milliards d’investissement, les sociétés privées d’autoroutes ont obtenu un rallongement de deux ans et demi en moyenne de la durée des concessions.