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[pop-up] urbain

La rue est à elles (les voitures) - Rue89 - L'Obs - 0 views

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    "A quoi sert une rue ? La question mérite son lot de chansons, de poèmes et de combats. Mais la triste réponse qui s'impose le plus souvent à nous est la suivante : les rues servent à faire passer les voitures. C'est que nous montre l'artiste Karl Jilg avec cette brillante illustration où les zones de la rue qui sont interdites aux piétons sont représentées par un précipice que l'on peut traverser sur de simples planches pas très fiables."
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L'autopartage, un modèle d'avenir pour les uns, un irritant pour les autres |... - 0 views

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    "Pour contrer les désagréments liés au stationnement sur rue des véhicules en libre service, la Ville de Calgary déploie actuellement plusieurs solutions. « Nous avons mis en place des amendes assez élevées pour que les gens de car2go déplacent les voitures quand ils voient qu'il y en a trop sur une rue en particulier », explique le conseiller municipal de la métropole albertaine André Chabot. Les car2go étant majoritairement de petites voitures de marque Smart qui ne requièrent pas d'espaces de stationnement pleine longueur, Calgary a créé 150 microstationnements réservés aux véhicules de car2go, au bout de certaines rues, dans des espaces où des automobiles de taille normale n'entreraient pas."
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Dans les rues d'Athènes, on se rassemble autour de la cuisine nomade - 0 views

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    "Des tréteaux et des planches, quelques grosses gamelles, un réchaud à gaz et le tour est joué, la cuisine nomade s'installe. Sur une place publique, à la fête des écoles, dans une réunion de quartier, un concert ou une rencontre débat... La cuisine nomade se promène dans les rues d'Athènes et des environs. Fondée par quelques bénévoles d'une association de quartier, European village, son but est de participer aux événements de la communauté, en fournissant de bons repas à prix modique. Reporterre les a croisés à Hellinikon, à côté d'Athènes, lors d'un festival des alternatives."
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TRANSIT-CITY / URBAN & MOBILE THINK TANK: LA RUE COMME USINE DU FUTUR ? - 0 views

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    "Tout l'intérêt de ces petit schémas est de nous conduire à penser la rue comme un lieu de production notamment via de nouvelles configurations possibles d'engins roulants que nous auront du mal à continuer à appeler voiture - voir "Lego intérieur / extérieur". Mais on peut aussi aller plus loin en imaginant que les camions et les bus qui abritent aujourd'hui des fab labs mobiles - voir là - deviennent de véritables usines nomades autonomes, le camion automatique étant lui aussi prévu pour très bientôt - voir là et là. Et là on s'inscrit dans une autre histoire qui est en déjà en germe avec "Mobifactory", mais aussi dans "Quand le camion préfigure le travail connecté et surveillé du futur"."
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Notifications | LinkedIn - 0 views

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    " La piétonisation de la rue n'a pas seulement consisté en un changement de statut réglementaire : des plantes sont sorties de terre, des terrasses en bois ont été construites, des dizaines d'œuvres artistiques attirent l'œil du passant tandis qu'une vaste peinture au sol s'étend tout au long de la rue. Le projet surprend à bien des égards, tant dans sa gestation que dans son processus de réalisation, et ouvre la voie à de grandes perspectives en matière d'appropriation locale et de valorisation urbaine."
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La Bike Life - L'Équipe explore - 0 views

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    "À vélo, la rue leur appartient Ils sont jeunes et déboulent par centaines dans les rues de Paris pour faire du vélo urbain et du wheeling un art de vivre. Portrait de ces « bikers » qui progressent hors des clous mais se veulent les pionniers d'un sport d'un nouveau genre."
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DEUX DEGRES » Tarzan, les Lianes et la nature en ville - 0 views

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    "Dijon, Lille, Caen, Bordeaux, le vocabulaire de la nature en ville s'est propagé aux transports en commun. Imaginez le désastre pour de nouveaux habitants plein d'espoirs, qui arrivent dans une ville qui se vante de ses Lianes, lorsqu'ils découvrent qu'il s'agit… de bus ? Imaginez l'un de ces nouveaux habitants, appelons-le Tarzan, qui arrive de sa région pleine de richesses naturelles, en se disant qu'il va pouvoir se déplacer comme chez lui, avec de la nature et des arbres dans chacune des rues. Nous, en tout cas, on va essayer de l'imaginer.  Tarzan s'installe avec sa famille dans un nouvel écoquartier situé au nord de la ville. Il peut profiter des parcs publics pour grimper de temps en temps et crier à sa guise. En effet, son hurlement, dans son T3 de 51m², risquerait de gêner bon nombre de ses voisins, surtout que la laine de mouton dans les murs de l'écoquartier n'offre pas une isolation sonore optimale. Tarzan doit aussi se déplacer. Et là, c'est le drame ! Des bus toutes les demi-heures, parfois à attendre dans le froid et la pluie, avec un changement de ligne obligatoire pour rejoindre le centre-ville et le commerce de bananes bio de proximité qu'il a ouvert avec Jane. Conformément à son programme électoral, le maire de la commune décide qu'à l'horizon 2050, chacune des rues de la ville sera agrémentée de nombreux arbres. Le paysagiste en charge du projet annonce qu'il aura recours à des essences d'arbres tropicaux et exotiques. Tarzan n'est pas satisfait. Les pollens des nouveaux arbres exotiques lui font fréquemment couler du nez. C'est vrai que les arbres sont jolis, mais les pollens sont très agressifs, inadaptés au milieu local et provoquent de graves crises d'allergies chez beaucoup de gens. Mais bon, Tarzan sait que parfois il faut savoir faire des sacrifices vis-à-vis de la nature. Il décide alors de militer pour monter un dossier de création de Lianes à Haut Niveau
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Il font du kayak dans les rues de Montpellier : golem13 - 0 views

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    " département de l'Hérault est victime de violentes pluies orageuses depuis hier lundi 29 septembre. Le département a été placé en vigilance rouge par Météo France. A Montpellier, où il est tombé des pluies diluviennes entre 12h et 16h, tous les transports en commun ont été stoppés rapporte Ouest-France. Dans les rues, on a pu observer certaines personnes sur des embarcations assez insolites."
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Les courses de rue illégales d'Okinawa | VICE France - 0 views

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    "Okinawa est une destination rêvée pour tout street racer. Nagayoshi est l'un d'eux. Il fait des courses dans les rues de sa ville depuis des décennies et semble ne pas être prêt à s'arrêter, malgré la répression de plus en plus forte et la récente mort de l'un de ses acolytes. Dans un esprit proche de celui de Paul Walker, ces pilotes dépensent des dizaines de milliers de yens japonais pour avoir la voiture la plus rapide - et la plus puissante - de la ville."
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Impact mobylette sur la mobilité urbaine au Vitenam | Demain la Ville - 0 views

  • Historiquement, le mode de déplacement de la majeure partie de la population était le vélo. L’adoption de la mobylette s’est opéré brusquement à partir de l’ouverture du pays en 1986. L’importation de ces véhicules depuis le Japon, la Corée ou la Thaïlande a transformé la circulation en quelques années. Après le renversement de la fin des années 1980, le mouvement a continué à prendre de l’ampleur. Ainsi, entre 1995 et 2005, le trafic des cyclomoteurs a été multiplié par six . Outre cette habitude historique du deux roues, la taxation de la voiture, aujourd’hui encore, à 200 %, permet de limiter son développement.
  • Enfin, le tracé des rues – et des nombreuses ruelles – est le meilleur argument pour adopter le scooter comme mode de transport. Les petites ruelles enfantées par une urbanisation souvent spontanée tolèrent la moto mais sont un enfer pour les automobilistes.
  • Le mode d’urbanisation de la ville a fortement favorisé le développement de la mobylette, mais celle-ci influence aussi l’organisation de l’espace. Ainsi, elle envahit les endroits qui, sur les trottoirs, ne sont pas déjà occupés par les commerces et les stands de rue. Souvent, il ne reste presque plus de place au piéton pour marcher. Il est donc obligé de descendre sur la chaussée, ce qui est finalement moins dangereux qu’attendu, ce nouvel élément étant parfaitement intégré par les conducteurs : la vigilance et le respect sont réels.
  • ...3 more annotations...
  • Même si les mobylettes occupent une partie du trottoir, cela ne se fait pas toujours de manière anarchique. Dans les rues où les restaurants sont nombreux, un service de « voiturier » est même organisé. On laisse son véhicule, le voiturier inscrit notre numéro sur le tableau de bord avec un feutre spécial, nous laisse le ticket correspondant et s’occupe de le garer. En fin de soirée, les mobylettes, par dizaines, sont parfaitement organisées et chacun récupère la sienne sans encombre. Plus tard encore, après la fermeture des échoppes, les motos disparaissent, rangées à l’intérieur même du magasin ou de la maison.
  • Un autre impact surprenant concerne les espaces de stationnement privés. La moto nécessitant moins de surface de stationnement, les nouveaux programmes immobiliers de tours qui poussent à la périphérie de la ville se limitent pour certains, malgré leurs 35 étages de logement, à un seul sous-sol de parking ! Ce qui est tout à fait suffisant pour les quelques centaines de mobylettes de la résidence.
  • anoi est aujourd’hui à un moment clé de son évolution. Alors que le simple trafic de mobylettes atteint par endroit le point de saturation à la sortie des bureaux, le Vietnam s’est récemment engagé avec ses partenaires de l’ASEAN (Association des nations de l’Asie du Sud-Est) à baisser les taxations sur les voitures. Si la voiture venait à se généraliser, la situation pourrait rapidement devenir cauchemardesque aux heures de pointe, comme c’est le cas ailleurs en Asie du Sud-Est, à Bangkok notamment où la voiture est bien plus présente
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Etat d'urgence : les Restos du Cœur suspendent les distributions de repas en ... - 0 views

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    "Les camions des Restos du Cœur sont au hangar : Au lendemain des attentats les distributions de repas dans les rues ont été suspendues jusqu'à nouvel ordre. Une décision prise suite à la mise en place de l'état d'urgence et appliquée dans toute la France. Les Restos du Cœur ont suspendu une partie des distributions de repas dans les rues des grandes villes françaises. Contacté par StreetPress, le service communication de l'assoc' explique avoir suspendu ses « activité camion » sur l'ensemble du territoire. Une décision prise au lendemain des attentats de Paris. Si les véhicules sont restés au hangar, c'est « pour des raisons de sécurité, dans le cadre de l'état d'urgence », précise la com' de l'association. L'état d'urgence prévoit en effet l'interdiction des rassemblements sur la voie publique. Or chaque distribution de petits plats déclenche un attroupement."
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DHL a refusé de la livrer : sa commune est une « zone à risques » - Rue89 - L... - 0 views

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    "C'est en tombant sur un de nos anciens articles, que Sylvie (le prénom a été changé) nous a contactés. En 2010, Rue89 relatait le témoignage de Mylène Rozet, « victime » de Darty. A l'époque, la jeune femme de Pantin avait dû batailler pour se faire livrer un frigo, au motif qu'elle habitait une « zone à risques ». Cette histoire a bien des points communs avec celle de Sylvie qui a voulu nous confier la sienne."
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Les « Gilets jaunes », un peuple de la route - Délinquance, justice et autres... - 0 views

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    "Une référence commune, la route Les formes spatiales du mouvement correspondent à un monde bien particulier, celui de la route ; la route et non la rue, par définition urbaine. Car c'est bien ce ruban d'asphalte des mobilités extra-urbaines qui voit fleurir depuis plusieurs semaines non seulement des actions mais aussi des revendications d'un groupe qualifié de protéiforme. Avant même les journées de manifestations au cours desquelles ils se sont déplacés dans la rue, symbole d'une certaine citadinité, c'est sur la route qu'ils se sont reconnus et fait connaître. Et s'il est encore difficile d'établir une typologie des acteurs du mouvement, ils s'identifient avant tout par un dénominateur commun : celui d'être des usagers de la route qui, bien au-delà de sa seule fonction, incarne un mode de vie, une composante de l'Habiter comme expérience géographique du rapport des individus et des groupes à l'espace. Mobilisés d'abord contre la hausse des taxes du diesel (leur carburant de prédilection), adoptant comme étendard le gilet jaune (obligatoire dans chaque véhicule), ils se sont rassemblés autour des carrefours et des axes routiers en appelant comme signe de soutien le « klaxon ». Il s'agit donc à l'origine d'un mouvement d'automobilistes, du moins de personnes témoignant d'un attachement à la route, un territoire qu'ils occupent, revendiquent et tentent de rendre visible."
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"Il faut tuer Jay Walker !" - 0 views

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    "Avant de reconstruire l'espace public et ses règles explicites d'usage il fallait donc bâtir de toute pièce une nouvelle culture pour aligner les pratiques sur les besoins de la révolution technologique automobile. Une culture qui pose comme un état de fait légitime la prise de pouvoir de la voiture sur la rue, le piéton étant prié de ne pas la déranger. Depuis, la ville a été construite sur cette domination, et un compte à rebours indique encore aux rares piétons qui tentent de traverser les rues de Los-Angeles les quelques secondes qu'il leur reste pour traverser, histoire qu'ils pressent le pas."
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Les vieux diesels, bons pour polluer l'Afrique - 0 views

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    "Des dizaines d'épaves de Golf et de Mercedes sont alignées et empilées sur le bord de la route et jusqu'au pied des immeubles délabrés. Ces voitures-là ont rendu depuis longtemps leur dernier souffle. Mais l'air est irrespirable. Matatus (minibus bondés ornés de graffitis bariolés qui rendent hommage aussi bien à Jésus qu'à Kanye West), camions, voitures… la plupart hors d'âge, jouent du klaxon et du volant pour tenter de progresser de quelques mètres dans un immense flot anarchique qui s'ébroue au milieu des piétons et des vendeurs de rue. Fin de journée banale dans les faubourgs déshérités de Nairobi. Dans quelques années, c'est ici, dans les bouchons de la capitale du Kenya, dans les rues saturées de Kampala, celle de l'Ouganda, ou dans la cohue de Cotonou (Bénin), que se déverseront les millions de diesels dont l'Europe ne veut plus pour ses citoyens. Ils continueront à recracher leurs oxydes d'azote (NOx), ces gaz toxiques responsables de dizaines de milliers de morts chaque année et dont les constructeurs se sont évertués à dissimuler les vrais niveaux d'émission jusqu'au scandale du « dieselgate » et l'aveu du numéro un mondial du secteur, Volkswagen, en 2015. Ce scénario préoccupe l'Organisation mondiale de la santé. « Ce qui nous inquiète, aujourd'hui, avec cette flotte de vieux véhicules diesel, c'est où ils vont finir. Et j'ai déjà une petite idée : le marché africain va être inondé », confie Maria Neira, directrice du département santé publique et environne"
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A Fontenay-aux-Roses, un spectacle redonne la rue aux enfants - Le Parisien - 0 views

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    "Parce qu'elle a mesuré la perte d'autonomie des enfants dans l'espace public, une troupe de théâtre fait jouer des élèves de l'école La Roue A dans les rues de la ville, ce vendredi soir."
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Paris: Après les trottinettes, des bâtons sauteurs dans les rues de la capitale? - 0 views

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    "Après les vélos, les scooters et les trottinettes électriques en libre-service, ou encore les hoverboards, les rues de Paris pourraient voir prochainement arriver les bâtons sauteurs"
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Géographies en mouvement - Jamais sans mon SUV - Libération.fr - 0 views

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    "Longtemps habitué aux autoroutes urbaines nord-américaines, le SUV (Sport utility vehicle) commence à investir le paysage des villes européennes. Un succès en contradiction avec les préoccupations écologiques du moment et avec un usage rationnel des espaces urbains. 200 millions dans le monde, dont 600 000 en France. C'est le nombre de SUV en circulation en 2019, près de six fois plus qu'en 2010, où un modeste total de 35 millions de descendants du tout-terrain roulaient sur la planète. Alors que les classes moyennes des pays émergents, Chine en tête, adoptent de plus en plus d'aspects des modes de vie occidentaux, les SUV représentent aujourd'hui 40% des ventes de véhicules neufs à travers le monde. En Europe, la palme revient à la Suisse, où prospérité économique rime avec grosses bagnoles: plus de la moitié des voitures neuves vendues sont des descendantes des tout-terrain. LES SUV À L'ASSAUT DU CLIMAT Fin 2019, l'Agence internationale de l'énergie publiait une étude sur l'impact énergétique de ces véhicules en train de devenir la normalité, après avoir été réservés aux routes nord-américaines et aux pistes de la savane africaine et du bush australien. Le résultat a de quoi décourager les plus optimistes: loin derrière la production d'électricité mais devant l'industrie lourde et l'aviation, les SUV sont le deuxième contributeur à l'augmentation des émissions mondiales de CO2 entre 2010 et 2018. Avec plus de 700 mégatonnes de dioxyde de carbone, leurs émissions annuelles équivalent à celles de la Grande-Bretagne et des Pays-Bas réunis. On a là un parfait exemple d'effet-rebond, mécanisme bien connu en économie de l'énergie. À poids égal, les voitures consomment moins qu'avant grâce aux progrès techniques… ce qui permet de produire de plus gros modèles et de continuer à consommer autant, voire plus. Sans oublier les SUV électriques, «solution» esquivant les vrais enjeux:
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Un challenge sur Twitter pour démocratiser le port de la jupe à vélo - 0 views

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    "Comment est né le hashtag #5jvelotafjupe ?  Sandrine Gbaguidi : J'en ai eu l'idée en avril 2019 après avoir regardé une vidéo de Brut sur Twitter qui donnait la parole à une créatrice de vêtements adaptés aux femmes qui font du vélo. J'ai alors remarqué qu'il était plutôt rare de voir des femmes à vélo habillées de manière féminine, hors période estivale, dans Paris. Ce constat m'a interpellé et je l'ai transformé en un challenge sous forme de hashtag, pour encourager les femmes cyclistes à oser porter la jupe par tous les temps. J'ai obtenu de nombreux retours d'expériences témoignant des contraintes des femmes à « rider » en totale féminité pendant leur semaine de travail. Pourquoi avoir choisi d'associer la jupe et le vélo ?   J'ai choisi la jupe parce que j'adore pédaler en jupe, c'est très confortable. Et il s'avère que c'est un symbole fort de la libération de la femme. Il ne devrait pas y avoir d'interdit vestimentaire sous couvert d'une peur illégitime mais compréhensible liée au harcèlement de rue. Quant au vélo, j'adore la liberté qu'il me procure et le plaisir qu'il m'offre de redécouvrir Paris en surface, et non dans un tunnel de métro sombre et austère. Lorsqu'on a la chance d'être en bonne santé et de savoir pédaler, pourquoi s'en priver ? Surtout qu'on contribue ainsi à rendre la ville plus respirable et qu'on pratique une activité sportive sans s'en rendre vraiment compte. La cycliste parisienne et twitto Sandrine Gbaguidi, alias @Bayibiking, qui a lancé le challenge #5jvelotafjupe sur Twitter en 2019 / @ #5jvelotafjupe - Twitter Quelles ont été les retombées de ce challenge ? Elles ont dépassé mes attentes ! Ce challenge a démontré une vraie solidarité entre cyclistes féminines qui ont pu partager leurs photos et leurs expériences. Certains hommes ont même apporté leur soutien en arborant leur plus beau kilt. Plus il y aura
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Les villes réfléchissent à rendre les rues aux piétons... et à la marche - 0 views

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    "« Le déconfinement représente une opportunité de développer la marche en ville d'abord parce que nous avons besoin de place pour nous distancier physiquement », analyse Paul Lecroart, urbaniste à l'Institut Paris Région. Plus globalement, la crise pourrait également être une occasion de « changer de paradigme et de manière de concevoir nos mobilités et nos modes de vie ». « Beaucoup de gens ont été séduits par la possibilité de redécouvrir leurs quartiers, d'être moins stressés, de moins prendre les transports », explique l'urbaniste. « Auparavant, la marche n'était pas très valorisée, ajoute Anne Faure, urbaniste et présidente de l'association Rue de l'avenir. Pendant le confinement, les gens ont redécouvert que marcher était pratique, efficace, et surtout agréable. »"
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