Même si les mobylettes occupent une partie du trottoir, cela ne se fait pas toujours de manière anarchique. Dans les rues où les restaurants sont nombreux, un service de « voiturier » est même organisé. On laisse son véhicule, le voiturier inscrit notre numéro sur le tableau de bord avec un feutre spécial, nous laisse le ticket correspondant et s’occupe de le garer. En fin de soirée, les mobylettes, par dizaines, sont parfaitement organisées et chacun récupère la sienne sans encombre. Plus tard encore, après la fermeture des échoppes, les motos disparaissent, rangées à l’intérieur même du magasin ou de la maison.