Skip to main content

Home/ Mobilités/ Group items tagged ville-moyenne

Rss Feed Group items tagged

[pop-up] urbain

Les opposants à la gratuité - 0 views

  •  
    "La gratuité a donc le vent en poupe, elle apparaît comme une solution qui répond à la fois aux enjeux environnementaux, en favorisant les alternatives à l'automobile, et aux enjeux sociaux, en favorisant le droit au transport et le pouvoir d'achat des ménages. Or, les 9 et 10 janvier derniers, la FNAUT et l'UTP ont voté une « position commune » dont le titre en lui-même est évocateur: « Pour un développement durable du service de transport public, non à la gratuité totale« . Cette position commune se présente comme un argumentaire détaillé contre la gratuité, il permet donc de mieux cerner ce qui soude et réunit les opposants à la gratuité des transports en commun. Venant de la FNAUT et de l'UTP, deux associations sérieuses et respectées, on s'attend donc à un argumentaire en béton qui va réduire à néant les « illusions de la gratuité ». On va être déçu. Déjà, le titre du communiqué en dit long, cela pourrait être un jeu de mots, mais il s'agit plus probablement d'une énième utilisation éculée du terme « développement durable ». Car ici, il ne faut pas comprendre que le transport public serait éventuellement un outil du développement durable, mais plutôt que le seul moyen de « développer » le transport public sur le long terme est de le rendre payant pour les usagers. Cette seule affirmation est déjà un non-sens car dans les faits, les recettes commerciales, c'est-à-dire la vente de titres de transport, représentent une très faible part du financement des transports en commun, allant d'en moyenne 15% pour les petites agglomérations à 23% pour les plus grandes agglomérations de France (1). Dit autrement, le financement des transports en commun en France est déjà assuré entre 77% et 85% par les contribuables et les entreprises. Bien pire, dans certaines villes, les recettes de billetterie sont inférieures aux frais de perception (2). Ce qui veut dire, tenez-vous bien, qu
[pop-up] urbain

La Chine lance le premier tramway à hydrogène. Avantage: il n'émet que de l'e... - 0 views

  •  
    "Cette initiative s'inscrit dans la prise de conscience environnementale qui semble devenir de plus en plus visible dans le pays. Dans la ville de Qingdao, sur la côte est chinoise, un nouveau type de locomotive vient de faire son apparition dans les rues. S'il ressemble un peu au Shinkansen, le TGV japonais, ce tram orange fabriqué par la compagnie Sifang ne peut pas dépasser les 70 km/h. «Mais dans la Chine enfumée, la vitesse n'est aussi importante que ce que laisse le tram sur son passage: il n'émet que de l'eau», explique le site Bloomberg, et c'est là le plus important. Grâce à une batterie à hydrogène embarquée, les trois rames d'un tram peuvent rouler 100 kilomètres et transporter jusqu'à 380 passagers. Encore mieux, il ne faut que trois minutes pour la recharger. «La distance moyenne d'une piste de tram est de 15 kilomètres, explique l'un des responsables du projet à l'agence Xinhua, cela veut dire qu'une recharge est suffisante pour trois aller-retour.» «Il n'y a donc aucun impact sur l'environnement, sans pour autant perdre en praticité», ajoute le site Science Alert avant de rappeler le coût dérisoire de ce genre d'énergie."
[pop-up] urbain

Et si Uber révolutionnait le transport sanitaire ? - 0 views

  •  
    "Une étude de l'Université du Kansas publiée en octobre dernier s'est penchée sur l'impact de l'arrivée d'Uber sur l'utilisation des ambulances. Analysant les données dans 766 villes américaines où l'entreprise californienne s'est implantée, les chercheurs ont remarqué une baisse moyenne de l'utilisation d'ambulances de 7% consécutive à l'arrivée du service de VTC. Pour expliquer cette baisse, des chercheurs ont prouvé que l'arrivée d'Uber en Californie avait contribué à réduire le nombre de personnes ivres au volant : avec moins d'accidents liés à l'alcoolémie, on dénombrerait moins d'interventions d'ambulance. Cette thèse n'a pas pu être généralisée, mais force est de constater que les statistiques jouent en faveur d'Uber. À New York, le temps de réponse médian d'un Uber est de 2,4 minutes dans Manhattan et de 3 minutes dans les quartiers alentours. Le temps d'une ambulance serait plutôt de 10 minutes, en comptant 4 minutes de l'appel au dépêchement du véhicule, puis environ 6 minutes pour rejoindre le lieu en question. Du simple au quadruple donc…"
[pop-up] urbain

Des trottinettes en libre-service gratuitement pour se déplacer autrement - 0 views

  •  
    "Initiée par le Conseil municipal des jeunes, il s'agit d'une volonté du Maire de faire de la pédagogie auprès de ses administrés dans le cadre d'un plan global de déplacements à l'échelle de l'agglomération montpelliéraine. En clair, l'objectif est d'inciter les gens à laisser tomber leur voiture et de prendre de nouveaux réflexes en faisant mieux que le vélo. En pratique, le service « BE TROTTI » s'adresse à tous les habitants de la commune qui peuvent emprunter gratuitement une des 150 trottinettes mises à disposition par la mairie.L'idée est de les familiariser et les sensibiliser aux modes de transports dits « actifs » (dont la seule énergie est humaine) mais pas que. « Au début ça a pu paraître un peu saugrenu et finalement on s'aperçoit que cela a un vif succès. Nous avons une gare TER à Baillargues qui nous place à 8 minutes du centre-ville de Montpellier et là c'est fabuleux car contrairement à un vélo qui est encombrant, nous arrivons à entrer dans les TER, à plier notre trottinette et arrivés sur Montpellier on la déplie. C'est quand même quelque chose de beaucoup plus pratique »."
[pop-up] urbain

Neuilly-sur-Seine domestique l'« axe majeur » entre l'Etoile et la Défense - 0 views

  •  
    "Moyennant une facture de près de 60 millions d'euros, la tonitruante artère à deux fois cinq ou six voies, bordée de contre-allées envahies par les voitures, cédera la place, en 2022, à de larges trottoirs, des terrasses, des espaces verts, des pistes cyclables, etc."
[pop-up] urbain

Mobilité urbaine & déplacements en mobylette à Hanoi | Demain la Ville - 0 views

  • Comme la majorité des Hanoïens, Vinh se déplace en mobylette, ou plutôt vit en mobylette. Les urbanistes évoquent même une « population de centaures » pour parler des habitants de la capitale ! Ici, mis à part les vendeurs ambulants, rares sont ceux qui font plus de quelques mètres à pied. Dans certains marchés, on fait ses courses en scooter, parfois on fait la sieste allongé entre le guidon et le siège – preuve d’un sens de l’équilibre très abouti. Sur le bord du Lac de l’Ouest, très prisé des jeunes couples, on s’installe sur la selle pour conter fleurette, faute de bancs publics en nombre suffisant. Certains même y font leur séance d’abdominaux.
  • Ce choix de véhicule affecte le mode vestimentaire des hanoïens. Les hanoïennes conductrices en particulier sont très équipées sur leur moto: un casque la plupart du temps…ce qui n’est pas une évidence en Asie du Sud-Est ; une veste intégrale (couvre-mains, capuche) dans un matériau similaire à celui d’une couverture de survie pour ne pas avoir chaud et, surtout, ne pas bronzer ; un masque pour se protéger de la pollution directement émise par les pots d’échappement qui les entourent dans la circulation. Régulièrement assortis, ces accessoires témoignent d’une coquetterie scrupuleuse. En passagères, elles s’assoient souvent en amazone avec un équilibre déconcertant malgré les zigzags de la mobylette.
  • L’interdiction des camions au sein de l’aire urbaine d’Hanoï entre 9 et 21h facilite cela. Un autre élément très clair participe de ce phénomène, très peu de conducteurs se laissent aller à de fortes accélérations ou à des freinages brutaux. La vitesse reste assez limitée et ce quelque soit l’heure, même quand les rues sont désertes au milieu de la nuit. La moyenne se situe aux alentours de 35 km. Difficile d’être plus précis puisque la majeure partie des compteurs de vitesse gardent désespérément l’aiguille alignée sur le zéro.
  • ...3 more annotations...
  • e klaxon
  • Les règles de circulation sont plutôt souples, donnant le sentiment d’un chaos organisé. Les feux, équipés d’un minuteur, sont plus indicatifs qu’autre chose. L’attention et la capacité d’adaptation que cela demande à chaque motard sont dès lors plus importante qu’en France. Personne n’a tort, personne n’a raison, et quand on voit sur le côté de la route un scooter remonter sur plusieurs mètres l’axe à contre-sens, on l’évite simplement, en ponctuant d’un léger coup de klaxon sans agressivité pour lui signaler notre présence. Il semblerait que de manière plutôt saine les hanoïens ne mettent pas de fierté particulière dans le fait de conduire. Ici, on ne critique jamais la conduite d’un autre motard, on s’adapte en souplesse. Le sentiment de toute-puissance qu’offre la voiture n’existe pas sur une mobylette.
  • De même, le nombre de passagers peut souvent être rocambolesque comparé aux standards occidentaux. Il n’est pas rare que la mobylette transporte toute la famille : le père conduit, avec un enfant devant lui, debout ou assis sur une chaise adaptée, la mère est assise derrière avec le petit dernier dans les bras.
  •  
    "La première surprise que réserve Hanoï, capitale du Vietnam, concerne le mode de transport. Ici la mobylette est partout, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'elle règne en maîtresse incontestée et tyrannique ! Les tenants et aboutissants de ce choix de mode de transport sont nombreux et souvent inattendus. Quoiqu'il en soit, ils témoignent d'une capacité d'adaptation forte dans un environnement contraint."
[pop-up] urbain

Embouteillages monstres, travaux secrets… 6 arguments faux contre le « plan v... - 0 views

  • 1. Non, le « plan vélo » n’a pas été « lancé en secret » et a même été voté à l’unanimité
  • 2. La mairie et la région proposent bien des alternatives
  • « L’anticipation et la concertation ne font pas partie des plans », a-t-on pu entendre sur RTL, ou « aucune alternative n’est proposée » parmi les détracteurs de la politique municipale, peut-on lire dans Le Parisien. Il existe pourtant des alternatives, très nombreuses, à l’automobile à Paris et dans la proche banlieue : 3 890 km de lignes de bus, avec des couloirs réservés pour fluidifier leur passage ;la Ville de Paris est la première capitale d’Europe la mieux dotée en matière de transports en libre-service (Autolib’, Vélib’, etc.), avec 105 vélos pour 10 000 habitants et 19 voitures pour 10 000 habitants, rapporte Le Parisien ;la ville propose des aides à l’achat de véhicule propre (Paris et proche banlieue) ;Paris dispose d’un métro de grande qualité : 100 % de la population est couverte par un moyen de transport en commun à moins de 1 km ;Enfin Paris et la petite couronne bénéficient d’un tramway périphérique – dont la construction est presque terminée – et qui reliera à terme tous les arrondissements périphériques. Comme le rappelait La Tribune en 2014, comparée à Londres par exemple, Paris brille par une capacité moyenne trois fois supérieure dans ses rames – jusqu’à atteindre saturation sur certaines lignes aux périodes de pointe. Le vélo est justement une des alternatives aux transports en commun, si des pistes cyclables sont en nombre suffisant. Et avec un ticket à 1,90 euro (14,90 euros le carnet de 10), Paris propose un service meilleur marché que la capitale britannique (tarif variable mais situé globalement entre 3,80 euros et 6,50 euros selon la formule). Enfin, selon le bilan des déplacements 2014, 97,9 % des métros sont à l’heure ; un chiffre qui baisse à 87,5 % pour le RER et 88,6 % pour le Transilien, le bus s’en sort un peu mieux avec 90,6 % de ponctualité.
  • ...8 more annotations...
  • 3. Non, le « plan vélo » n’a pas créé les embouteillages
  • Pourtant, le fait de réserver un peu plus d’espace à Paris aux piétons et aux vélos n’a eu qu’un léger impact sur la formation des bouchons, comme le confirment les études, puisqu’il « fallait 10,5 minutes pour traverser le boulevard Saint-Germain le matin en décembre 2015 [contre] 12,1 minutes en décembre 2016 », soit une minute et trente-cinq secondes de plus, environ 10 %, après une période en novembre 2016 où le temps est monté à 14,8 minutes explique Le Parisien. Des chiffres avec un recul d’un an qui semblent accréditer la thèse de « l’évaporation » d’une partie du trafic défendue par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France : moins de voies = moins d’automobiles. Par ailleurs, la circulation à Paris est un problème presque aussi ancien que la capitale française elle-même
  • 4. Non, favoriser le vélo ou les transports en commun plutôt que l’automobile n’est pas une mesure « anti-pauvres »
  • Les chiffres donnent tort à tous les deux, puisque selon un sondage réalisé par MV2 auprès de 1 127 usagers de la route en novembre 2015 pour la Mairie de Paris, 64 % des automobilistes qui circulent dans le centre de Paris appartiennent aux catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP+). Par ailleurs, selon le même sondage, 80 % des automobiles circulant dans le centre de Paris ne transportaient qu’une seule personne.
  • 5. Ce sont les automobiles qui ralentissent les véhicules de police ou de secours, pas les voies cyclables
  • Les voies cyclables à double sens, à l’image de celle du bassin de l’Arsenal ou des voies sur berges piétonnisées, sont également des voies d’urgence et peuvent être empruntées par les véhicules de secours.
  • 6. Ce sont les voitures qui prennent toute la place
  • Et pourtant, s’il y a une politique de rééquilibrage en faveur des piétons et des vélos, celles qui occupent tout l’espace à Paris, ce sont les automobiles : elles occupent 50 % des espaces publics pour seulement 13 % des déplacements. Et elles restent inutilisées 95 % du temps, selon Data Gueule. Dans la rue, une Clio (1,7 m × 4 m) occupe 7 m2 bien qu’elle soit qualifiée de citadine, face aux 7,6 m² du plus « compact » des SUV (1,78 m × 4,3 m), et parfois plus de 9 m² pour une berline (1,9 m × 4,8 m). En comparaison, un vélo n’a qu’une emprise au sol de 1 m² (60 cm × 1,75 m)… et les voies qui lui sont réservées dans la capitale représentent modestement 3 % de la totalité de l’espace public.
  •  
    "Avec la réduction à une voie pour les véhicules motorisés sur les berges de Seine, la polémique sur la place de l'auto fait émerger nombre de contrevérités."
[pop-up] urbain

Quand tu vis à Montluçon, t'es plus vite à Porto qu'à Paris - Rural rules - R... - 0 views

  •  
    "Je les ai imaginés, assistant impuissants au fil des années à la satellisation de leurs commerces, de leurs services, de leurs amis. À la disparition des centres autour desquels ils avaient bâti leur existence. À leur éloignement inexorable des nouveaux codes géographiques. À la création de tous ces gouffres autour de leurs foyers."
[pop-up] urbain

Les 12 choses que vous ne savez pas sur les taxis | L'interconnexion n'est pl... - 0 views

  • 1/ Une profession très masculine. 93% des taxis parisiens sont des hommes. "Il y a plus d’hommes chez les sage-femmes que de femmes taxis", constate Mme Wauquiez. 2/ Des taxis et des ambulanciers. On compte en France 55 000 taxis, dont 20 000 à Paris. Et pourtant, dès qu’on quitte le centre de la capitale et les aéroports, que l’on soit dans l’est parisien, en proche banlieue, dans une métropole régionale ou une ville moyenne, il devient aléatoire de trouver un véhicule. Où sont les 35 000 autres taxis ? Que font-ils ? Réponse : ils conduisent des malades à l’hôpital. C’est le "transport assis de personnes". A lire aussi : "la France, cet étrange pays où le taxi fait l'ambulancier".
  •  
    "Paiement par carte bancaire, couleur "sobre" unique, voie réservée sur l'autoroute ou aménagement des gares et aéroports. Derrière ce catalogue de mesures contenues dans le rapport du député Thomas Thévenoud (PS, Saône-et-Loire) se cache une ambition : faire du taxi une "alternative à la voiture individuelle". Selon ce rapport, remis ce 24 avril au Premier ministre, les voitures de tourisme avec chauffeur (VTC), concurrents des taxis depuis la libéralisation intervenue en 2009, devront aussi se plier à une certaine réglementation. En revanche, le délai de 15 minutes entre la commande et la charge (le quart d'heure de Manuel Valls), suspendu par le Conseil d'Etat, est supprimé. Mais au-delà de cette rivalité et de ses effets pour les clients, connaissez-vous vraiment le taxi, savez-vous comment il fonctionne, quels sont ses droits et ses devoirs, ses petits ennuis et son jargon ? Voici les 12 choses que vous ne savez (peut-être) pas sur les taxis. Un panorama réalisé avec l'aide de Marie-Xavière Wauquiez, auteure du livre Taxis, l'avenir en 3D publié grâce au système de crowdfunding Kisskissbanbank en mars 2014."
[pop-up] urbain

Airbia, le zeppelin du futur | Usbek & Rica - 0 views

  • Le dirigeable Airbia a été conçu pour accueillir 400 passagers. Il est censé se déplacer à une vitesse moyenne de 150 km/h et à une altitude comprise entre 30 et 500 mètres.
  • Pour se déplacer et faire du surplace, Airbia utilise de l’hélium. Un gaz plus léger que l’air, incombustible, peu coûteux à produire et dont l’impact écologique est limité.
  • Le projet Airbia est assez simple à mettre en oeuvre. Il nécessite seulement l’installation de plate-formes aériennes pour permettre aux passagers d’embarquer et de débarquer facilement. Ce zeppelin n’a pas été pensé pour couvrir de longues distances, mais plutôt pour se déplacer entre les banlieues les plus excentrées et les centre-villes.
  •  
    "Emblème du rétrofuturisme, le ballon dirigeable a été sacrifié sur l'autel du progrès technique et de la vitesse. Pourtant, jusqu'à la « catastrophe du Hindenburg », en 1937, il s'agissait bien de l'engin le plus ambitieux jamais conçu par les humains. Après un siècle au placard, le zeppelin redevient à la mode. Designers et architectes ont retrouvé la foi dans ce moyen de transport original, à la fois propre et silencieux. C'est le cas notamment d'Irene Shamma et Alexandros Tsolakis, dont le projet de ballon dirigeable, baptisé Airbia, a été pensé comme un modèle pour le transport collectif urbain du futur."
[pop-up] urbain

Contribuer à l'atelier 'La vie robomobile' par deux études sur le véhicule au... - 0 views

  •  
    "A partir de 2015, le sujet du véhicule autonome a commencé à occuper un espace médiatique considérable. D'abord propulsé sur le devant de la scène par les constructeurs automobiles et les géants du numérique, il est devenu un sujet incontournable pour l'acteur public, pour les opérateurs traditionnels de transport et même pour le grand public, dont une petite partie a pu tester ce nouvel objet technique dans le cadre de tests in situ, qui se multiplient. C'est dans ce contexte foisonnant qu'a été lancé l'Atelier prospectif "La vie robomobile", coordonné par le Direction générale des infrastructures, des transport et de la mer (DGTIM) du Ministère de la transition écologique et solidaire. Chronos a été amené à produire deux notes sur la commande de la Mission des transports intelligents (Ministère de la transition écologique et solidaire, DGITM), au titre de l'Assistance à la mise en oeuvre de la PREDIM, pour faire l'objet d'une première publication sous le timbre de l'Atelier prospectif "La vie robomobile" coordonné par la DGITM, qui a été valorisée dans le cadre de son grand Rendez-vous annuel, première édition, le 9 avril 2018. Deux questions avaient été posées à Chronos :   Quel pourrait être l'impact du déploiement des véhicules autonomes sur la pratique des modes actifs ? A quelles conditions le véhicule autonome peut-il avoir un sens en zone peu dense ?    La réalisation de ces deux notes s'est appuyée sur une analyse documentaire ainsi que sur une série d'entretiens avec une vingtaine d'experts en France et à l'étranger. Les deux notes (synthèse + notes complètes) sont téléchargeables ci-dessous. Elles soulèvent en réalité des enjeux qui vont bien au-delà de la pratique du vélo ou de la desserte des territoires ruraux - c'est l'étendue de ces enjeux qui est à la fois extrêmement complexe et passionnante dès lors qu'on aborde le sujet du véhicule autonome."
[pop-up] urbain

Observatoire du transport gratuit - 0 views

  •  
    "L'Observatoire a recensé 109 communes de plus de 20 000 habitants ayant au moins un candidat aux élections municipales proposant la gratuité totale des transports en commun. A noter le traitement particulier de la Métropole de Lyon, volontairement abusivement considérée de notre part comme « une seule commune » sur cette cartographie ; ses habitants votant pour des programmes établis à l'échelle de compétence métropolitaine. "
[pop-up] urbain

A Goma, si t'as un chukudu, t'es le roi de la rue - 0 views

  • Le conducteur est appelé sans cesse pour transporter des denrées, du ciment, du charbon, des sacs de céréales et toutes sortes de charges. Sans moteur, il se faufile dans la circulation et reste très compétitif. Il faut trois jours en moyenne pour construire l'engin à tout faire. Le plus difficile est de bien articuler les parties entre elles à coups de meuleuse et de rabot ou encore avec une simple machette. Certaines pièces recyclées proviennent de motos ou de camions. Se procurer un chukudu revient à 100 dollars
  •  
    "Fierté de Goma (RDC), où elle est née en 1970 et où elle a sa statue, cette sorte de trottinette géante est faite de morceaux de bois de récupération et de quelques pièces métalliques. Ni triporteur, ni camionnette, le chukudu rend bien des services, transportant jusqu'à plusieurs centaines de kilos. Sa fabrication est transmise de père en fils et garantit à son propriétaire travail et revenu."
‹ Previous 21 - 34 of 34
Showing 20 items per page