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[pop-up] urbain

This Drone Ambulance Is Totally Wild, And Totally Inevitable | Co.Design | business + d... - 0 views

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    "The idea was born from a team brainstorming session around how health care could become more accessible. The designers first thought about how they could build a better ambulance, and the rise of autonomous vehicles inspired them to consider a self-driving ambulance. Then they thought of helicopters and drones, and the rest developed from there."
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Et si Uber révolutionnait le transport sanitaire ? - 0 views

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    "Une étude de l'Université du Kansas publiée en octobre dernier s'est penchée sur l'impact de l'arrivée d'Uber sur l'utilisation des ambulances. Analysant les données dans 766 villes américaines où l'entreprise californienne s'est implantée, les chercheurs ont remarqué une baisse moyenne de l'utilisation d'ambulances de 7% consécutive à l'arrivée du service de VTC. Pour expliquer cette baisse, des chercheurs ont prouvé que l'arrivée d'Uber en Californie avait contribué à réduire le nombre de personnes ivres au volant : avec moins d'accidents liés à l'alcoolémie, on dénombrerait moins d'interventions d'ambulance. Cette thèse n'a pas pu être généralisée, mais force est de constater que les statistiques jouent en faveur d'Uber. À New York, le temps de réponse médian d'un Uber est de 2,4 minutes dans Manhattan et de 3 minutes dans les quartiers alentours. Le temps d'une ambulance serait plutôt de 10 minutes, en comptant 4 minutes de l'appel au dépêchement du véhicule, puis environ 6 minutes pour rejoindre le lieu en question. Du simple au quadruple donc…"
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Indian talkies | ARTE - 0 views

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    "Au fin fond de la campagne indienne, les cinémas ambulants ont longtemps été la seule source de divertissement. Il y a trente ans, ils étaient près de mille à sillonner le sous-continent. Mais à l'ère du numérique, il n'y a plus que quelques "Touring talkies" à transporter leurs vieilles bobines rayées sur les petites routes de campagne."
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Quand le train de tous les jours se transforme en dortoir ambulant | L'interc... - 0 views

  • On connaît les recommandations solennelles des autorités au sujet du risque de somnolence au volant. On étudie moins ces moments volés, sur une banquette de métro, un siège de TGV ou le pont d’un bateau. Répondant à un appel à témoignages diffusé sur le site lemonde.fr, de nombreux lecteurs nous ont raconté les relations apaisantes, troublées, voire gênantes, entre sommeil et transports.
  • Cheval de fer. Se déplacer, c’est accepter que son corps soit remué par plus fort que soi. Ludovic, habitué du TER entre Laval et Rennes, raconte le train qui "se met en marche avec son oscillation lente et caractéristique, tel un berceau d'acier agité par la main d'un géant". Les effets sont immédiats : "La chaleur envahit petit à petit mon corps en suivant le rail de ma colonne vertébrale. Le paysage défile, les vaches s'estompent et se fondent dans le vert de leurs prés. La force de l'habitude". Stéphane, en Ile-de-France, apprécie, "chose étrange", dit-il, "les MS61 plus que quadragénaires de la RATP", ces vieux RER commandés en 1963. "Malgré le bruit omniprésent et assourdissant, je me sens bercé par le tressaillement du cheval de fer".  Pour "EM", 25 ans, qui vit dans les Hauts-de-Seine, il importe que "le ronronnement soit continu. Combien de fois ne me suis-je pas endormie, blottie contre la vitre d'un train, d'un TGV au RER, emmitouflée dans un manteau ?" Le sommeil est parfois court : "les sessions de 2 à 3 minutes de sommeil léger dans le métro m'apportent une véritable sensation d'apaisement et d'évasion", indique Cédric, 30 ans,
  • à Paris. Mieux vaut alors choisir sa place : contre la vitre, dans le sens de la marche, chacun choisira, mais en évitant "la proximité des sièges pour 4 personnes où se retrouvent souvent des salariés de la SNCF, très bien réveillés et assez bavards...", remarque Julien 41 ans, avocat à Paris.
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    "Le sommeil nous joue des tours. Il ne vient pas quand on le convoque, mais s'impose parfois sans prévenir. Sans crier gare, pourrait-on dire. Justement, le train, mais aussi le bus, le bateau ou la voiture sont des lieux propices à l'endormissement. Ce 28 mars est, comme chaque année depuis 2001, la "journée du sommeil", l'une de ces dates commémoratives qui, coincée entre celle du cerveau ou celle de la gentillesse, amènent les spécialistes et les médias (c'est fait) à évoquer avec entrain, et avec l'aide de quelques sponsors bienveillants, un sujet grave. Cette année, l'Institut national du sommeil et de la vigilance, une association réunissant médecins, chercheurs et divers spécialistes, a choisi ce thème : "sommeil et transport"."
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Mon itinérant lève 300 000 euros pour géolocaliser les food trucks - JDN Web ... - 0 views

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    "Le site Monitinerant.com répertorie 250 food trucks adhérents, qu'il aide notamment à trouver des places de stationnement. MonItinérant vient de boucler une levée de fonds d'amorçage de 300 000 euros auprès de business angels situés dans le nord de la France. La start-up fondée en 2012 géolocalise les food trucks pour permettre aux consommateurs de trouver rapidement ceux qui se trouvent autour d'eux. Surtout, Monitinerant.com offre divers services à ses 250 food trucks adhérents : outre la géolocalisation via un boîtier connecté au port diagnostic du véhicule (qui permet également de prévenir tous dysfonctionnements du camion et de couper le moteur en cas de vol), la start-up permet aux itinérants de trouver une place en moins de deux heures grâce à 500 emplacements gérés sur le site. Mon itinérant aide aussi les food trucks à participer à des évènements privatisant des commerces ambulants, et crée des partenariats pour proposer divers avantages à ses adhérents."
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Kamara, vendeur de maïs à la sortie du métro | StreetPress - 0 views

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    "Tous les jours, Kamara, sans-papier mauritanien, se poste à la sortie du métro Château Rouge pour vendre ses épis de maïs chauds. « Si je gagne 25 euros par sac, je suis content », confie le vendeur ambulant, une salière à la main"
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Transilien : la ligne H est mon deuxième bureau - ZEP - 0 views

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    "La ligne H est un véritable bureau ambulant puisque de nombreuses personnes sortent leurs ordinateurs et travaillent, comme moi."
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www.lamontagne.fr - Ussel - USSEL (19200) - Pour couvrir les zones blanches, une subven... - 0 views

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    "« L'achat d'un camion neuf était trop lourd pour moi alors j'ai déposé un dossier au PNR avec l'aide du Conseil général et de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat, précise Philippe Ciblac. Sans cette aide, j'aurai arrêté la tournée. » Un volet humain de sa profession qui lui plaît pourtant particulièrement. « C'est ma bouffée d'oxygène, ce n'est pas du tout la même relation que dans le magasin. La plupart sont des personnes âgées qui ne voient pas grand monde dans la journée alors je leur amène aussi quelques courses, le journal, ce qu'ils me demandent. C'est un service de proximité mais qui se perd. Et nous avons de moins en moins d'habitants aussi. »"
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Mobilité urbaine & déplacements en mobylette à Hanoi | Demain la Ville - 0 views

  • Comme la majorité des Hanoïens, Vinh se déplace en mobylette, ou plutôt vit en mobylette. Les urbanistes évoquent même une « population de centaures » pour parler des habitants de la capitale ! Ici, mis à part les vendeurs ambulants, rares sont ceux qui font plus de quelques mètres à pied. Dans certains marchés, on fait ses courses en scooter, parfois on fait la sieste allongé entre le guidon et le siège – preuve d’un sens de l’équilibre très abouti. Sur le bord du Lac de l’Ouest, très prisé des jeunes couples, on s’installe sur la selle pour conter fleurette, faute de bancs publics en nombre suffisant. Certains même y font leur séance d’abdominaux.
  • Ce choix de véhicule affecte le mode vestimentaire des hanoïens. Les hanoïennes conductrices en particulier sont très équipées sur leur moto: un casque la plupart du temps…ce qui n’est pas une évidence en Asie du Sud-Est ; une veste intégrale (couvre-mains, capuche) dans un matériau similaire à celui d’une couverture de survie pour ne pas avoir chaud et, surtout, ne pas bronzer ; un masque pour se protéger de la pollution directement émise par les pots d’échappement qui les entourent dans la circulation. Régulièrement assortis, ces accessoires témoignent d’une coquetterie scrupuleuse. En passagères, elles s’assoient souvent en amazone avec un équilibre déconcertant malgré les zigzags de la mobylette.
  • L’interdiction des camions au sein de l’aire urbaine d’Hanoï entre 9 et 21h facilite cela. Un autre élément très clair participe de ce phénomène, très peu de conducteurs se laissent aller à de fortes accélérations ou à des freinages brutaux. La vitesse reste assez limitée et ce quelque soit l’heure, même quand les rues sont désertes au milieu de la nuit. La moyenne se situe aux alentours de 35 km. Difficile d’être plus précis puisque la majeure partie des compteurs de vitesse gardent désespérément l’aiguille alignée sur le zéro.
  • ...3 more annotations...
  • e klaxon
  • Les règles de circulation sont plutôt souples, donnant le sentiment d’un chaos organisé. Les feux, équipés d’un minuteur, sont plus indicatifs qu’autre chose. L’attention et la capacité d’adaptation que cela demande à chaque motard sont dès lors plus importante qu’en France. Personne n’a tort, personne n’a raison, et quand on voit sur le côté de la route un scooter remonter sur plusieurs mètres l’axe à contre-sens, on l’évite simplement, en ponctuant d’un léger coup de klaxon sans agressivité pour lui signaler notre présence. Il semblerait que de manière plutôt saine les hanoïens ne mettent pas de fierté particulière dans le fait de conduire. Ici, on ne critique jamais la conduite d’un autre motard, on s’adapte en souplesse. Le sentiment de toute-puissance qu’offre la voiture n’existe pas sur une mobylette.
  • De même, le nombre de passagers peut souvent être rocambolesque comparé aux standards occidentaux. Il n’est pas rare que la mobylette transporte toute la famille : le père conduit, avec un enfant devant lui, debout ou assis sur une chaise adaptée, la mère est assise derrière avec le petit dernier dans les bras.
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    "La première surprise que réserve Hanoï, capitale du Vietnam, concerne le mode de transport. Ici la mobylette est partout, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'elle règne en maîtresse incontestée et tyrannique ! Les tenants et aboutissants de ce choix de mode de transport sont nombreux et souvent inattendus. Quoiqu'il en soit, ils témoignent d'une capacité d'adaptation forte dans un environnement contraint."
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