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[pop-up] urbain

TRANSIT-CITY : ET SI LES TAXIS NE POUVAIENT S'EN SORTIR QU'EN RÉINVENTANT L'O... - 0 views

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    "Dans mon précédent post je me demandais si les sociétés de VTC comme Lyft ou Uber pourraient amener à une nouvelle réflexion sur l'objet automobile. Cette question était née d'une récente campagne de Lyft proposant des visions très décalées d'aménagements intérieurs de voitures - voir là. Aujourd'hui j'ai eu envie de prendre le contre-pied de ma question d'hier en me demandant si les VTC n'allaient pas empêcher une nouvelle réflexion sur l'objet taxi et notamment sur son habitacle ? Je m'explique : la véritable innovation des VTC n'est pas dans le véhicule - ce sont des voitures classiques et très traditionnelles - mais dans la mise en relation d'un "chauffeur non professionnel" avec un client. Aujourd'hui ce modèle fonctionne bien et à ringardiser les taxis classiques.  Sauf que à trop insister sur cette mise en contact, on a oublie un peu vite qu'un VTC comme un taxi cela transporte avant tout des gens et donc des corps qui ont besoin de place, de confort et éventuellement d'un certain nombre de services que n'offrent jamais les taxis comme les VTC. La seule exception notable à cette règle étant en terme d'espace les fameux taxis londoniens. C'est d'ailleurs face à ce constat que les voitures traditionnelles était souvent peu servicielles et mal adaptées à beaucoup de demandes, que la ville de New-York avait lancé en 2007 un concours d'idées sur le taxi du futur (concours d'où sont tirés les concept cars de ce post) - voir là."
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Chauffeurs pour Uber, « on a l'impression d'être des machines » - 0 views

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    "Ce matin, devant le Palais des Congrès, à Paris, quelques dizaines de chauffeurs de VTC (voiture de tourisme avec chauffeur) discutent par petits groupes. Au terme d'une « opération escargot », démarrée aux abords des aéroports d'Orly et de Roissy, les voitures se sont arrêtées sur le rond-point de la porte Maillot. À l'appel des associations SETP, CAPA-VTC et Actif-VTC, les chauffeurs protestaient contre les conditions de travail imposées par les sociétés Uber et Chauffeur privé, éditeurs d'application de réservation sur smartphone. Dans leur ligne de mire, la récente réduction de 20 % des tarifs de course. La baisse de chiffre d'affaires qui en résulte est importante selon les chauffeurs, même si elle reste difficile à mesurer, car tout dépend du nombre de courses réalisées. Il y a quelques mois, un chauffeur Uber pouvait toucher « entre 2 000 et 3 000 euros par mois », explique Mourad, passé de Uber à Chauffeur privé. Depuis octobre et la baisse du tarif minimum à la course chez Uber, passé de 8 à 5 euros. « Ça payait un peu mieux » chez Chauffeur privé, indique-t-il. Payait, car l'application française a, elle aussi, décidé de réduire le prix minimum des courses, de 8 à 6 euros. Des tarifs ultra-compétitifs pour résister à l'offre de plus en plus concurrentielle des taxis. La difficulté, pour les chauffeurs de VTC, c'est que, sur ces sommes, il leur faut encore déduire 20 % de commission et 10 % de TVA. « Le salaire est maintenant autour de 1 200, 1 500 euros maximum par mois », estime Mourad. Non loin de lui, Akim s'énerve : « En ce moment, moi, c'est plutôt 800 ! » Et pour atteindre ces revenus, encore faut-il compter jusqu'à 10 heures de travail par jour !"
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[pop-up] urbain » Taxis contre VTC, querelles de cochers (Chronos) - 0 views

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    "« Que les taxis se rassurent : le gouvernement les protège. » C'est, en substance et résumé par Le Figaro, le message envoyé par le législateur après les mobilisations de la corporation en janvier dernier et les négociations qui ont suivi. L'objet du litige ? L'essor fulgurant des véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC), qui marcheraient de manière un peu trop ostensible sur les plates-bandes bien fleuries des taxis. Au-delà du contentieux économique, cette querelle est un cas d'école pour qui s'interroge sur les enjeux du numérique urbain. En effet, l'émergence des VTC est très directement liée au numérique, s'appuyant sur les smartphones pour proposer des courses en quasi-temps réel. Et c'est précisément là que le bât blesse."
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VTC : SnapCar signe un partenariat majeur avec la SNCF | Relations presse SnapCar - 0 views

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    Lancée en septembre 2012, SnapCar a déjà converti une centaine d'entreprises aux Voitures de Tourisme avec Chauffeurs (VTC) grâce à son offre Business. Un développement qui se poursuit : la SNCF vient de lui confier le transport des passagers de 4 gares, dont la Gare du Nord. Le nouveau service « Porte à Porte » de la SNCF permet aux clients réservant un train au départ ou à l'arrivée de compléter le dernier tronçon de leur voyage avec un transport routier depuis ou jusqu'à leur domicile.
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Les bouchons ont empiré à San Francisco à cause de Uber et Lyft, selon une étude - 0 views

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    "Une bonne partie de l'encombrement des rues de San Francisco serait aussi due aux VTC vides qui roulent en attente de clients, un phénomène appelé "deadheading". Les ralentissements sont également aggravés par "l'effet prise en charge et dépose", lorsque les véhicules s'arrêtent pour prendre ou déposer un passager. En six ans, les retards dus aux embouteillages ont augmenté de 62%, alors qu'ils auraient cru de 22% sans les VTC, selon un modèle qui a montré sa précision et a été validé par le comité de lecture de Science."
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A Shanghaï, les travailleurs des campagnes interdits de VTC - 0 views

  • Les Shanghaïens vont se remettre à circuler à l’ancienne, en taxi. A partir de jeudi 26 janvier, seules les voitures immatriculées à Shanghaï pourront utiliser la plate-forme Didi, qui domine le marché des VTC en Chine. La mesure avait été adoptée fin décembre 2016 par plusieurs municipalités, dont Pékin, Canton et Shenzhen. Mais la ville la plus peuplée de Chine est la première à l’appliquer. Samedi 21 janvier, les chauffeurs non shanghaïens ont été informés par SMS que leur temps sur la plate-forme était compté. Un coup dur pour Didi – 97 % de ses 410 000 chauffeurs qui travaillent à Shanghaï n’ont pas le permis de résidence (hukou) de la ville – et pour les conducteurs eux-mêmes.
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    "Didi, la plate-forme qui domine le marché, a informé ses chauffeurs que seuls ceux qui sont munis d'une plaque d'immatriculation shanghaïenne seraient désormais acceptés."
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L'industrie du taxi à la frontière de l'innovation | L'Âge de la multitude - 0 views

  • Jacques Rosselin avait publié l’information il y a quelques jours, mais un éditorial du 11 avril dernier écrit par Jean-Christophe Tortora, président-directeur général de La Tribune, lui a donné beaucoup plus d’ampleur : suite à une plainte contre X déposée par Nicolas Rousselet, PDG du groupe G7, Jean-Christophe Tortora et moi-même sommes mis en examen pour diffamation. L’origine de cette plainte est un texte intitulé « Les fossoyeurs de l’innovation », publié le 15 octobre 2013 sur le blog de L’Âge de la multitude et reproduit le même jour sur le site de La Tribune à la demande d’Eric Walther, directeur de la rédaction. Ce texte, qui discute la vision de l’innovation de Nicolas Rousselet, a été écrit dans le contexte de la préparation du fameux décret dit des « 15 minutes », dont il était l’un des défenseurs les plus visibles. L’annonce de cette mise en examen a déclenché un débat de fond autour de la question de l’innovation – tant la surprise a été grande à l’idée qu’une prise de position sur cette question cruciale pour l’avenir de la Nation puisse donner lieu à un procès pénal. Une multitude de personnes, connues ou inconnues, m’ont exprimé des marques de soutien, et je les en remercie chaleureusement. Un #hashtag a même pris son envol. Des arbitres se sont curieusement interposés pour essayer de renvoyer les protagonistes dos à dos. Quant à moi, je voudrais saisir cette occasion pour refaire le point sur la question de l’innovation.
  • Lorsque nous avons entrepris d’écrire L’Âge de la multitude, Henri Verdier et moi-même avions l’ambition, immodeste, d’expliquer la révolution numérique et ses conséquences aux décideurs de notre pays. Notre objectif était de démontrer que l’économie numérique n’est pas un phénomène marginal indigne d’intérêt pour nos responsables politiques et nos capitaines d’industrie, mais au contraire une économie en plein essor dominée par quelques grandes entreprises américaines, géants industriels qui jouent plusieurs coups à l’avance sur le grand échiquier de l’économie globale. Bref, une question très sérieuse qui mérite l’attention prioritaire de nos dirigeants au plus haut niveau. Pour l’instant, le numérique dévore le monde exclusivement depuis les Etats-Unis. Mais d’autres pays peuvent désormais prendre leur part de cette voracité, pourvu que la compréhension de l’économie numérique soit partagée par leurs élites – c’est à cet effort de compréhension qu’Henri et moi avons souhaité contribuer avec L’Âge de la multitude.
  • Ce qui est en jeu, dans l’économie numérique, c’est l’avenir de notre pays : notre croissance, nos emplois, nos services publics, notre protection sociale. Si nous réussissons la transition numérique de l’économie française, alors nous resterons l’un des pays les plus développés du monde ; si, au contraire, nous échouons, nous devrons renoncer à notre modèle social et deviendrons progressivement pour les Etats-Unis ce que les anciennes colonies françaises ont été pour la France prospère des Trente glorieuses : une source de matière première (dans l’économie numérique = de la R&D et des données) et un simple marché de débouchés où plus aucune entreprise ne paiera d’impôts – les entreprises étrangères parce qu’elles n’auront même pas besoin de s’établir sur notre territoire pour y faire des affaires ; les entreprises françaises parce que leurs marges seront anéanties par de vains efforts de compétitivité.
  • ...1 more annotation...
  • Pour réussir la transition numérique de notre économie, la première étape consiste à réaliser que celle-ci est parvenue à la frontière de l’innovation. Cette frontière est le stade du développement économique où le rattrapage des économies les plus avancées est achevé et où seule l’innovation peut générer de nouveaux gains de productivité. Tous les indicateurs de notre économie révèlent notre échec à nous développer à la frontière de l’innovation : la croissance est faible ; les entreprises ne parviennent pas à reconstituer leurs marges ; le développement économique (c’est-à-dire l’augmentation du revenu par tête) est comme interrompu : comme le montre le graphique ci-dessus, nous avons depuis vingt ans été dépassés ou rattrapés par le Royaume-Uni, l’Allemagne et Israël. Depuis plusieurs décennies, la France s’est plus ou moins arrêtée d’innover et a choisi d’opter pour des efforts de développement centrés sur les débouchés à l’export (= la mondialisation), l’optimisation des chaînes de production (= le restructuring, le downsizing, le reengineering, etc.), la sophistication de la finance (= la crise de 2008) et finalement la baisse du coût du travail (= le pacte de responsabilité).
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Et si Uber révolutionnait le transport sanitaire ? - 0 views

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    "Une étude de l'Université du Kansas publiée en octobre dernier s'est penchée sur l'impact de l'arrivée d'Uber sur l'utilisation des ambulances. Analysant les données dans 766 villes américaines où l'entreprise californienne s'est implantée, les chercheurs ont remarqué une baisse moyenne de l'utilisation d'ambulances de 7% consécutive à l'arrivée du service de VTC. Pour expliquer cette baisse, des chercheurs ont prouvé que l'arrivée d'Uber en Californie avait contribué à réduire le nombre de personnes ivres au volant : avec moins d'accidents liés à l'alcoolémie, on dénombrerait moins d'interventions d'ambulance. Cette thèse n'a pas pu être généralisée, mais force est de constater que les statistiques jouent en faveur d'Uber. À New York, le temps de réponse médian d'un Uber est de 2,4 minutes dans Manhattan et de 3 minutes dans les quartiers alentours. Le temps d'une ambulance serait plutôt de 10 minutes, en comptant 4 minutes de l'appel au dépêchement du véhicule, puis environ 6 minutes pour rejoindre le lieu en question. Du simple au quadruple donc…"
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Le Taxi, une plateforme "made in France" - Le Lab OuiShare x Chronos - Medium - 0 views

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    "L'arrivée en France des VTC et la concurrence qu'ils ont engendrée a posé de nombreux problèmes et soulevé un fort mécontentement, particulièrement dans les grandes villes. Pour y faire face, et moderniser une profession mise à mal par le numérique, l'État a lancé Le Taxi. Un clic, un taxi Start-up d'État créée en 2015, Le Taxi est une plate-forme numérique qui regroupe les données des exploitants de taxi agréés, et met en relation chauffeurs et clients via des applications partenaires (Tedycab, Triperz, Zaleou, etc.). Elle permet à un usager de géolocaliser les taxis disponibles autour de lui, et aux chauffeurs de se rendre visibles et disponibles en temps réel."
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Les automobiles commencent à évoluer face à leurs nouveaux usages - L'Express... - 0 views

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    ""Jusqu'à maintenant, la place reine dans les véhicules, c'était celle du conducteur. A partir du moment où on est sur du véhicule de type taxi ou VTC qui grâce à Uber est en explosion, on s'aperçoit que la place importante devient la place arrière droite""
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Philippe Gargov - Taxis contre VTC, querelles de cochers - Blog - Groupe Chronos - 0 views

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    "Malheureusement pour eux, les taxis ont choisi une autre voie en préférant rester l'oeil vissé sur le rétroviseur. On sait comment l'histoire va se terminer : les deux principaux opérateurs finiront bien, d'ici quelques années, par s'aligner sur ces innovations. De la même manière qu'ils ont fini par proposer des applications de taxis géolocalisés et partagés sous la pression des usagers. A l'identique, les constructeurs auto ont fini par se positionner sur la voiture servicielle et les médias traditionnels par se lancer sur le marché des pure-players... L'histoire semble se répéter et c'est bien dommage. Car à la sortie, les start-up ne sont pas les seules pénalisées : la vraie victime est l'usager lui-même, bridé dans ses agilités."
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Les 12 choses que vous ne savez pas sur les taxis | L'interconnexion n'est pl... - 0 views

  • 1/ Une profession très masculine. 93% des taxis parisiens sont des hommes. "Il y a plus d’hommes chez les sage-femmes que de femmes taxis", constate Mme Wauquiez. 2/ Des taxis et des ambulanciers. On compte en France 55 000 taxis, dont 20 000 à Paris. Et pourtant, dès qu’on quitte le centre de la capitale et les aéroports, que l’on soit dans l’est parisien, en proche banlieue, dans une métropole régionale ou une ville moyenne, il devient aléatoire de trouver un véhicule. Où sont les 35 000 autres taxis ? Que font-ils ? Réponse : ils conduisent des malades à l’hôpital. C’est le "transport assis de personnes". A lire aussi : "la France, cet étrange pays où le taxi fait l'ambulancier".
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    "Paiement par carte bancaire, couleur "sobre" unique, voie réservée sur l'autoroute ou aménagement des gares et aéroports. Derrière ce catalogue de mesures contenues dans le rapport du député Thomas Thévenoud (PS, Saône-et-Loire) se cache une ambition : faire du taxi une "alternative à la voiture individuelle". Selon ce rapport, remis ce 24 avril au Premier ministre, les voitures de tourisme avec chauffeur (VTC), concurrents des taxis depuis la libéralisation intervenue en 2009, devront aussi se plier à une certaine réglementation. En revanche, le délai de 15 minutes entre la commande et la charge (le quart d'heure de Manuel Valls), suspendu par le Conseil d'Etat, est supprimé. Mais au-delà de cette rivalité et de ses effets pour les clients, connaissez-vous vraiment le taxi, savez-vous comment il fonctionne, quels sont ses droits et ses devoirs, ses petits ennuis et son jargon ? Voici les 12 choses que vous ne savez (peut-être) pas sur les taxis. Un panorama réalisé avec l'aide de Marie-Xavière Wauquiez, auteure du livre Taxis, l'avenir en 3D publié grâce au système de crowdfunding Kisskissbanbank en mars 2014."
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L'appli qui divise par deux le coût du taxi - 0 views

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    "Leur appli vous indique qui, autour de vous, se rend dans votre quartier, lorsque vous êtes sur le point de quitter un aéroport ou une gare. Tel un Tinder du taxi (ou VTC) en commun, vous swipez ensuite jusqu'à trouver le ou les gens avec lesquels vous souhaitez faire le trajet. Les 60€ sont donc divisés par deux au minimum et le prix de votre taxi n'atteint plus celui de votre billet d'avion low cost. Parfois l'arithmétique ça a du bon."
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La manifestation des taxis dérape en France: «Les chauffeurs Uber, on a envie... - 0 views

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    "Palettes qui brûlent sur le périphérique, bretelles d'accès à l'aéroport de Roissy bloquées et confrontations tendues, parfois violentes, avec les chauffeurs de VTC (voiture de transport mise à disposition de manière payante avec son chauffeur) : les chauffeurs de taxi manifestent leur colère en France pour « faire respecter la loi ». Des centaines de taxis en colère ont convergé jeudi matin autour des aéroports parisiens et dans la capitale française, pour dénoncer la « concurrence sauvage » de l'application mobile UberPOP. Les incidents se multiplient à Paris alors que la manifestation est prévue partout en France."
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Avec Haystack, vous pouvez vous faire de l'argent sur les places de parking p... - 0 views

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    "Après Uber, le service de réservation et de revente de places de parking, pourrait être au centre des prochaines controverses. Après les compagnies de VTC comme Uber contre les taxis, voici l'appli Haystack contre les municipalités américaines. Lancée en juin sur iOS, l'appli permet de réserver une place de parking en centre-ville moyennant quelques dollars. Le principe est simple (voir la vidéo ci-dessus): avant de libérer sa place, l'automobiliste publie sa situation géographique sur l'appli. Le demandeur de place arrive et récupère alors le spot. Il lui en coûtera 3 dollars prévelés électroniquement, dont 75 cents sont récupérés par l'entreprise, et 2,25 par l'offreur de place. Le maire de Boston a fait savoir que l'appli de parking Haystack, disponible dans la ville depuis mi-juillet, n'était pas la bienvenue sur ses trottoirs."
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Bridj, le service de bus qui se met au rythme des... - A lire ailleurs - 0 views

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    "Bridj est un nouveau service de bus qui vient de se lancer dans la région de Boston, une région où le transport est compliqué et qui subit de nombreuses perturbations liées au lancement de nouvelles offres, notamment via les VTC comme Uber qui y auraient déjà pris 30% des parts des taxis, rapporte le New York Times. Bridj affrète des bus tout confort (avec connexion Wi-Fi) très différents de l'offre de l'autorité publique des transports de la région. Mais sa particularité principale est que les trajets et les horaires sont déterminés par des algorithmes, afin de maximiser l'offre, adapter ses trajets au trafic et mieux s'adapter à la demande. Certes, le prix est près du double de celui du métro et du bus (environ 6$ pour faire un trajet qui en coûterait la moité avec l'offre publique), mais avec un confort de voyage, un temps de transport réduit, et une meilleure adaptation des parcours que l'offre publique. Dans Next City, le directeur scientifique de Bridj explique que les contraintes institutionnelles qui régissent les agences du transport public les ont jusqu'à présent empêché d'innover. Visiblement, ce temps est terminé. Lors d'un parcours, le chauffeur a demandé aux gens présents dans le bus s'ils voulaient que le bus s'arrête un peu plus près d'un campus du MIT où beaucoup se rendaient. "
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Taxis/VTC : et si Facebook mettait tout le monde d'accord par K.O. - 0 views

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    "Notre confrère Business Insider a repéré une demande de brevet déposée par le réseau social autour des événements gérés sur les pages. Comme vous pourrez le voir sur les illustrations ci-dessous, l'idée consiste à enrichir les pages événements en indiquant si l'on s'y rend et par quel moyen. Dès lors, la personne pourrait proposer de partager son voyage en déterminant le nombre de personnes qu'elle peut accueillir, son trajet ou encore le prix proposé. Pour déterminer les affinités lorsque plusieurs offres existent (ce qui ne manquera pas d'arriver), Facebook utiliserait les très nombreuses informations dont il dispose pour gérer les affinités selon les goûts affichés des différents participants."
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La micromobilité va-t-elle dévorer l'automobile ? - 15marches - 0 views

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    "Après les VTC et les vélos sans station, les trottinettes électriques partagées envahissent nos rues, pour le meilleur et pour le pire. Les nouvelles technologies bouleversent la manière de produire, distribuer et consommer de la mobilité. D'où viennent ces services ? Quelles sont leurs ambitions ? Que peuvent faire les villes ? Cette présentation analyse un phénomène qui est beaucoup plus qu'un effet de mode : le logiciel dévore la mobilité, un mode de transport après l'autre."
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L'Instant Urbain - La Fabrique de la Cité, Septembre 2017 - 0 views

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    "Le 22 septembre, par un court communiqué, l'autorité organisatrice des transports londoniens, Transport for London (TfL), fermait les portes de la ville à Uber après avoir multiplié, quelques jours plus tôt, le coût de la licence de chauffeur privé par mille. En décidant de ne pas renouveler l'autorisation d'opérer de l'entreprise californienne après son expiration le 30 septembre, TfL faisait l'audacieux choix de priver 3,5 millions de Londoniens du service de VTC et de déposséder Uber de son plus gros marché européen. Cette décision, dont Uber a fait appel, marque un tournant dans un jeu où l'entreprise posait jusqu'alors ses conditions. Dans le sillage de Londres, New York et San Francisco ont déclaré à leur tour réfléchir aux moyens de resserrer leur contrôle sur Uber. Après avoir fait preuve, au choix, d'une indifférence de facto bienveillante à l'égard d'Uber ou de démarches timides de régulation, les métropoles mondiales changent de ton. Face au mantra cher à la Silicon Valley, « Move Fast and Break Things », ne sont-elles pas en train de répondre : « Move at our pace and comply with our rules » ? Assurément, l'épisode londonien n'intervient pas à un moment neutre pour Uber. Dara Khosrowshahi, nouveau CEO d'Uber, entend trancher avec les positions jugées agressives qu'Uber a pu tenir par le passé. Après la décision de TfL, Uber a d'ailleurs changé de posture, appelant au dialogue. La crise avec Londres pourrait avoir valeur de test pour l'entreprise : et si, face à la fronde grandissante, une entreprise issue de l'économie dite collaborative choisissait vraiment d'aller vers plus de… collaboration avec les municipalités ?"
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