Skip to main content

Home/ Mobilités/ Group items tagged dirigeable

Rss Feed Group items tagged

[pop-up] urbain

Airbia, le zeppelin du futur | Usbek & Rica - 0 views

  • Le dirigeable Airbia a été conçu pour accueillir 400 passagers. Il est censé se déplacer à une vitesse moyenne de 150 km/h et à une altitude comprise entre 30 et 500 mètres.
  • Pour se déplacer et faire du surplace, Airbia utilise de l’hélium. Un gaz plus léger que l’air, incombustible, peu coûteux à produire et dont l’impact écologique est limité.
  • Le projet Airbia est assez simple à mettre en oeuvre. Il nécessite seulement l’installation de plate-formes aériennes pour permettre aux passagers d’embarquer et de débarquer facilement. Ce zeppelin n’a pas été pensé pour couvrir de longues distances, mais plutôt pour se déplacer entre les banlieues les plus excentrées et les centre-villes.
  •  
    "Emblème du rétrofuturisme, le ballon dirigeable a été sacrifié sur l'autel du progrès technique et de la vitesse. Pourtant, jusqu'à la « catastrophe du Hindenburg », en 1937, il s'agissait bien de l'engin le plus ambitieux jamais conçu par les humains. Après un siècle au placard, le zeppelin redevient à la mode. Designers et architectes ont retrouvé la foi dans ce moyen de transport original, à la fois propre et silencieux. C'est le cas notamment d'Irene Shamma et Alexandros Tsolakis, dont le projet de ballon dirigeable, baptisé Airbia, a été pensé comme un modèle pour le transport collectif urbain du futur."
[pop-up] urbain

autoactu.com - l'information automobile professionnelle - 0 views

  •  
    "Je parle d'engins qui peuvent voler bas, à 300 ou 400 mètres d'altitude, qui peuvent présenter une faible empreinte environnementale et qui ne sont pas bruyants. Si nous prenons ces trois paramètres, l'une des solutions pourrait être le dirigeable. Il ne s'agirait pas là d'un mode de transport individuel mais d'un mode de transport collectif qui présente l'avantage de pouvoir s'arrêter à tout moment contrairement à un avion. On peut très bien imaginer l'utilisation de dirigeable pour transporter des gens habitants en banlieue vers l'hyper centre de Paris. Mais il n'y a pas que les engins volants. Utiliser l'espace aérien pour décongestionner les routes peut se faire autrement. On pourrait par exemple utiliser davantage les téléphériques et beaucoup d'urbanistes s'y intéressent. L'installation d'un téléphérique sur le plateau de Saclay est d'ailleurs envisagée. Avec le téléphérique, nous pourrions en plus assurer une mobilité individuelle en imaginant qu'à la place des cabines actuelles, les gens utilisent des petits véhicules à roues pouvant s'accrocher et se détacher du câble pour retrouver la route quand ils le souhaitent. Nous sommes là dans un scénario prospectif mais tout à fait réalisable."
[pop-up] urbain

Truck 2020 : et si l'avenir du camion préfigurait celui de l'automobile ? - 0 views

  • En effet, la professionnalisation des acheteurs de véhicules légers neufs, le développement à venir des services de mobilité conduisent à une mutation lourde dans le mode de commerce des automobiles. A ce titre, l’industrie du camion pourrait bien préfigurait les changements de modèles économiques du monde automobile, comme les technologies majeures qu’elle lui a apportées (turbocompresseur, injection directe, common rail, combustion homogène…).
  • IBM analyse l’écosystème complet du transport de marchandises, incluant le développement urbain, les contraintes environnementales, les spécificités locales de plus en plus grandes dans un monde globalisé, mais également les évolutions du travail.
  •  
    "Après Automotive 2020, Clarity beyond chaos, IBM nous propose, avec Truck 2020, une vision des 10 prochaines années de l'industrie du camion et bien au-delà. S'appuyant sur un large réseau de consultant, et sur des entretiens menés avec 93 dirigeants de 13 pays représentant la totalité de la chaîne de valeur, IBM identifie 5 actions impératives à mener par ce secteur."
[pop-up] urbain

Hyperloop : le voyage du futur, en capsule et à 1.200 km/h - technologie - Di... - 0 views

  •  
    "L'entrepreneur Elon Musk, déjà patron de Tesla Motors et de l'entreprise privée d'exploration spatiale SpaceX, a dévoilé lundi un nouveau mode de transport. Hyperloop n'est encore un concept, mais s'il devait voir le jour, Los Angeles et San Francisco ne serait plus séparés que par un voyage de 35 minutes.   "Hyperloop consiste en un tube à basse pression avec des capsules, transportées à faible et grande vitesses sur la longueur du tube", explique le document de 57 pages destiné à présenter le projet d'un nouveau mode de transport. Le principe s'inspire de celui des capsules qui permettent de transporter, notamment dans les supermarchés, des sommes d'argent vers le coffre au moyen de capsules pressurisées envoyées dans des tuyaux. "Les capsules sont posées sur coussins d'air pressurisés", précise le fascicule.  Des passagers prennent place dans la capsule, elle-même introduite dans le tube.  Elon Musk n'en est pas à son premier essai dans le domaine de l'innovation. Il dirige l'entreprise Tesla Motors qui commercialise une voiture électrique révolutionnaire et qui a développé SpaceX, une société d'exploration spatiale."
[pop-up] urbain

Mobilité et travail, vers quoi se dirige-t-on ? » Demain La Ville - Bouygues ... - 0 views

  •  
    "Le travail semble soumis à une double contrainte : une tentation croissante, facilitée par le développement des technologies de communication, de rompre le lien entre travail et bureau, lui-même renforcé par le coût immobilier pour les entreprises et les aspirations légitimes des salariés ; de l'autre le constat qu'une part de plus en plus importante de la productivité tient à la capacité des employés à coopérer, à travailler en grande proximité et que la « conf call » ne remplace pas encore une discussion impromptue autour de la machine nespresso."
[pop-up] urbain

INFOGRAPHIE. Piétons de tous les pays, traversez… | Courrier international - 0 views

  •  
    "Jan schwochow. Designer et journaliste, il dirige à Berlin l'agence Golden Section Graphics, qui publie deux fois par an InGraphics, une revue bilingue en allemand et en anglais entièrement dédiée à la visualisation de l'information. Avec son équipe, il collabore régulièrement avec des médias comme Die Zeit et The New York Times Magazine. L'infographie que nous publions ici, parue dans InGraphics, s'inspire du vif débat qui a traversé l'Allemagne unifiée dans les années 1990 à propos de l'harmonisation ou non des feux de signalisation."
[pop-up] urbain

Les illusions de l'Hyperloop | AlterEco+ Alterecoplus - 0 views

  •  
    "L'Hyperloop, comme tous les projets qui visent à accélérer les déplacements, renforce les logiques de polarisation et de concentration à l'œuvre autour des lieux desservis. Des logiques qui ont déjà montré leurs effets pervers : métropoles gigantesques, gentrification, problèmes d'accessibilité, congestion, longs acheminements vers les gares… En somme, l'Hyperloop pourrait n'être qu'un TGV accéléré (et a priori plus compétitif car moins cher selon les plaquettes du projet). Et cela, alors que ce dernier est en train de rencontrer les limites de son modèle en France dès lors que les grandes métropoles sont désormais largement desservies."
[pop-up] urbain

Futur : quels moyens de transport ? | Blog Déclic - 0 views

  • L’avion des villes : le Fanwing
  • Le train à sustension magnétique : le Transrapid
  • Le géant des airs : l’Aeros-ML
  • ...1 more annotation...
  • Le yacht des mers : le Phœnix 1000
  •  
    "Les industriels, designers et ingénieurs rivalisent d'imagination dans la création de transports originaux, plus rapides, plus sûrs, plus économes et bien sûr plus écologiques."
[pop-up] urbain

L'industrie du taxi à la frontière de l'innovation | L'Âge de la multitude - 0 views

  • Jacques Rosselin avait publié l’information il y a quelques jours, mais un éditorial du 11 avril dernier écrit par Jean-Christophe Tortora, président-directeur général de La Tribune, lui a donné beaucoup plus d’ampleur : suite à une plainte contre X déposée par Nicolas Rousselet, PDG du groupe G7, Jean-Christophe Tortora et moi-même sommes mis en examen pour diffamation. L’origine de cette plainte est un texte intitulé « Les fossoyeurs de l’innovation », publié le 15 octobre 2013 sur le blog de L’Âge de la multitude et reproduit le même jour sur le site de La Tribune à la demande d’Eric Walther, directeur de la rédaction. Ce texte, qui discute la vision de l’innovation de Nicolas Rousselet, a été écrit dans le contexte de la préparation du fameux décret dit des « 15 minutes », dont il était l’un des défenseurs les plus visibles. L’annonce de cette mise en examen a déclenché un débat de fond autour de la question de l’innovation – tant la surprise a été grande à l’idée qu’une prise de position sur cette question cruciale pour l’avenir de la Nation puisse donner lieu à un procès pénal. Une multitude de personnes, connues ou inconnues, m’ont exprimé des marques de soutien, et je les en remercie chaleureusement. Un #hashtag a même pris son envol. Des arbitres se sont curieusement interposés pour essayer de renvoyer les protagonistes dos à dos. Quant à moi, je voudrais saisir cette occasion pour refaire le point sur la question de l’innovation.
  • Lorsque nous avons entrepris d’écrire L’Âge de la multitude, Henri Verdier et moi-même avions l’ambition, immodeste, d’expliquer la révolution numérique et ses conséquences aux décideurs de notre pays. Notre objectif était de démontrer que l’économie numérique n’est pas un phénomène marginal indigne d’intérêt pour nos responsables politiques et nos capitaines d’industrie, mais au contraire une économie en plein essor dominée par quelques grandes entreprises américaines, géants industriels qui jouent plusieurs coups à l’avance sur le grand échiquier de l’économie globale. Bref, une question très sérieuse qui mérite l’attention prioritaire de nos dirigeants au plus haut niveau. Pour l’instant, le numérique dévore le monde exclusivement depuis les Etats-Unis. Mais d’autres pays peuvent désormais prendre leur part de cette voracité, pourvu que la compréhension de l’économie numérique soit partagée par leurs élites – c’est à cet effort de compréhension qu’Henri et moi avons souhaité contribuer avec L’Âge de la multitude.
  • Ce qui est en jeu, dans l’économie numérique, c’est l’avenir de notre pays : notre croissance, nos emplois, nos services publics, notre protection sociale. Si nous réussissons la transition numérique de l’économie française, alors nous resterons l’un des pays les plus développés du monde ; si, au contraire, nous échouons, nous devrons renoncer à notre modèle social et deviendrons progressivement pour les Etats-Unis ce que les anciennes colonies françaises ont été pour la France prospère des Trente glorieuses : une source de matière première (dans l’économie numérique = de la R&D et des données) et un simple marché de débouchés où plus aucune entreprise ne paiera d’impôts – les entreprises étrangères parce qu’elles n’auront même pas besoin de s’établir sur notre territoire pour y faire des affaires ; les entreprises françaises parce que leurs marges seront anéanties par de vains efforts de compétitivité.
  • ...1 more annotation...
  • Pour réussir la transition numérique de notre économie, la première étape consiste à réaliser que celle-ci est parvenue à la frontière de l’innovation. Cette frontière est le stade du développement économique où le rattrapage des économies les plus avancées est achevé et où seule l’innovation peut générer de nouveaux gains de productivité. Tous les indicateurs de notre économie révèlent notre échec à nous développer à la frontière de l’innovation : la croissance est faible ; les entreprises ne parviennent pas à reconstituer leurs marges ; le développement économique (c’est-à-dire l’augmentation du revenu par tête) est comme interrompu : comme le montre le graphique ci-dessus, nous avons depuis vingt ans été dépassés ou rattrapés par le Royaume-Uni, l’Allemagne et Israël. Depuis plusieurs décennies, la France s’est plus ou moins arrêtée d’innover et a choisi d’opter pour des efforts de développement centrés sur les débouchés à l’export (= la mondialisation), l’optimisation des chaînes de production (= le restructuring, le downsizing, le reengineering, etc.), la sophistication de la finance (= la crise de 2008) et finalement la baisse du coût du travail (= le pacte de responsabilité).
1 - 9 of 9
Showing 20 items per page