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[pop-up] urbain

Unmasked! The Mexico City superhero wrestling for pedestrians' rights | Cities | The Gu... - 0 views

  • The traffic light turns red at the corner of Avenida Juárez and Eje Central, the busiest pedestrian crossing in Mexico City, used by around 9,000 people every hour. Tonight, a driver stops his grey Peugeot exactly on the crossing where the masses are trying to pass. His car is now a steel barrier for those trying to reach the Palacio de Bellas Artes. A masked man dressed in black makes his way through the river of people, walking purposefully towards the Peugeot. His black and white striped cape, reminiscent of a zebra crossing, flaps behind him. He goes to the car, flings his cape over his shoulder, and pushes the Peugeot backwards to make space. “My name is Peatónito, and I fight for the rights of pedestrians,” he says, introducing himself.
  • The driver smiles and reverses willingly and eventually the pair shake hands. With the pedestrian crossing again flowing as it should, Peatónito heads back to the pavement where he will wait until he is needed again. The traffic light turns green.
  • The triumphs are tangible. This August, Mexico City’s government presented a new set of road traffic regulations with reduced speed limits on primary routes (that is, slower routes) from 70km/h to 50km/h. The reduced speed limit isn’t a mere whim on the part of the activists; it’s possible to measure how dangerous the streets of the capital are. In Mexico City, 52 accidents in every 1,000 are fatal. In the entire country, the rate is 39 deaths for every 1,000 accidents.
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  • Another battle that has been fought and won is the implementation of “Vision Zero”, a series of public policies aimed at eradicating road traffic deaths, which activists worldwide have been backing for years.
  • The Netherlands, Sweden and the UK are among the pioneering countries to adopt Vision Zero (the first two just under 20 years ago). Then came US cities like Chicago, New York, Boston, San Francisco, and eight more. In Mexico, the initiative has been taken up – at least as a point of discussion – in Torreón, an industrial city in the state of Coahuila, and in Mexico City.
  • If today pedestrians are at the centre of Mexico City’s new road traffic regulations – having relegated cars from the top of the agenda – it is in large part the result of years of activism influencing the city’s policies on road traffic safety.
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    "Clogged with traffic, crippled by poor infrastructure - the capital is notoriously hard to navigate on foot. Enter Peatónito, the activist fighting for safer streets"
[pop-up] urbain

Passion Multipla « RETARD → Magazine - 0 views

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    "Mon intérêt pour le Multipla a commencé par de simples blagues, la première fois que j'ai vu cette voiture et son bourrelet inesthétique l'année passée. Au même titre que les claquettes-chaussettes, le mulet et les chemises dragon, le Multipla est emblématique du mauvais goût. « On dirait deux voitures différentes collées ensemble », résume un ami. Il m'arrivait donc pour plaisanter de prétendre avoir un goût pour cette voiture, élue la moins réussi esthétiquement par Auto info, le Journal de Montréal ou encore Caradisiac. Le Multipla est un incontournable. Puis un jour, je me suis sérieusement demandé qui étaient les possesseurs de Multipla et comment un tel design avait-il pu être approuvé. La question me taraudait. Existait-il des gens aimant sincèrement les Multiplas ? Les responsables de chez Fiat s'étaient-ils dit que ce design plairait ?"
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Calculer son temps de parcours quel que soit le mode de transport, Analyses - 0 views

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    "Bus, métro, vélo, voiture ? De nombreuses applications permettent déjà aux citadins d'estimer leur temps de parcours. Thales a présenté la semaine dernière un prototype de la génération suivante, permettant à un utilisateur de smartphone de calculer en temps réel son itinéraire pour n'importe quel mode de transport et même en les associant. Pour être réellement opérationnel, le calculateur devra être connecté avec les systèmes des transporteurs (SNCF, RATP…) mais aussi aux applications de covoiturage et d'autopartage ainsi qu'aux systèmes d'information sur la circulation. Le prototype préindustriel de Thales a été dimensionné pour suivre 41 millions de trajets quotidiens dans le périmètre du Grand Paris et pourrait assister 1 million de personnes en temps réel. En cas de panne ou d'embouteillage, il est même capable de recalculer l'itinéraire. « Il répond parfaitement au projet annoncé en février par le ministre des Transports de disposer d'un calculateur d'itinéraire multimodal national à l'horizon 2015 », explique-t-on chez Thales."
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Pas de prime pour inciter à venir en vélo au travail - Le Quotidien Auto - 0 views

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    "S'il a confirmé que "la pratique du vélo est bonne pour la santé", notamment car elle protège de l'obésité, maintient la masse musculaire voire peut prévenir certains cancers, le rapporteur Gérard Bapt (PS), médecin de profession, s'y est montré défavorable car "cela représenterait une charge supplémentaire pour l'employeur et une perte de recettes supplémentaire pour la Sécurité sociale". Un second amendement prévoyait la création d'une "indemnité kilométrique vélo" que l'employeur pourrait verser à ses salariés comme participation aux frais de déplacement entre le domicile et le lieu de travail. Une telle indemnité, facultative, bénéficierait d'une réduction de cotisations sociales pour inciter les entreprises à la mettre en place."
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Inside the Fake Town Built Just for Self-Driving Cars | WIRED - 0 views

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    "MOTOWN IS TRYING to take back some swagger from Silicon Valley. The dominance of software in automobiles these days in everything from infotainment systems to safety and the coming autonomous revolution has made the San Francisco Bay Area a hub for the auto industry. Several leading automakers have set up shop there so they're close to universities, research partners like Apple and NASA, and all the young talent. On any given day, there's a good chance you'll spot self-driving cars from the likes of Google, Audi, Nissan, and Delphi roaming the streets. Michigan is eager to get (back) in on the action. The University of Michigan's Mobility Transformation Center worked with the state DOT and companies like Ford, GM, Honda, as well as Nissan and Delphi to create a test center where automakers can refine the most advanced technologies with no possible risk to the public."
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TRANSIT-CITY / B2 FURTIF, UNE AUTRE HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE - 0 views

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    "Contrairement à Léonard de Vinci, Archigram ou François Dallegret, on pourrait regretter qu'une architecture nomade ou mobile perde son essence "architecturale" dès lors qu'elle devient un artefact auto-mobile : roulant flottant ou volant. En apparence, tout fonctionne comme si la cause en était la perte de fondation et de lourdeur, ou bien la capacité d'une locomotion faisant de cet habitacle un véhicule pilotable. Or il ne s'agit bien évidement pas que de cela. Si l'on admet encore couramment qu'il existe bien un métier d'architecte naval, l'équivalent pour les véhicules terrestres, aéronautiques ou astronautique ne vaut pas - ou fort peu. Dès lors qu'un certain niveau de technicité et/ou de sérialité s'impose dans la production, l'architecte cède la priorité à l'art de l'ingénieur ou au designer industriel."
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The symbolic simplicity of Mexico City's metro signs | Cities | The Guardian - 0 views

  • When work began in 1967, Mexico City’s metro system signified a dramatic modernisation of the cityscape. Making room for the metro meant clearing away some familiar aspects of the urban landscape, as well as introducing residents to the strange new spaces of the network’s underground tunnels and stations. To integrate this new layer of urban infrastructure with the existing city’s pre-Columbian, colonial, and contemporary layers, the authors of the subway relied on a pictographic system. Lance Wyman, a New York-based graphic designer, designed icons to identify each metro station. Instead of a name, this new geographic entity was visually connected to an existing historical or geographical feature.
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    "Lance Wyman's pictorial system for Mexico City's metro created visual links between familiar surface spaces and the more abstract subterranean space"
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Goodyear imagine un pneu capable de recharger la batterie d'un véhicule élect... - 0 views

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    "Il s'agit d'un pneu capable de convertir la chaleur qu'il génère en énergie, pour alimenter la batterie d'un véhicule électrique."
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La Cour de cassation estime que les livreurs à vélo sont des salariés, et non... - 0 views

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    "Dans un arrêt rendu mercredi, la plus haute juridiction française statue pour la première fois sur la qualification du contrat liant un livreur à une plate-forme numérique."
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Bornes électriques pas assez fréquentées pour être rentables - Challenges.fr - 0 views

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    "L'Observatoire Cetelem n'a pas quantifié précisément la question de la rentabilité de la charge publique. Toutefois, son Directeur Flavien Neuvy ne nie pas son importance : "Les hypermarchés installent des bornes sur leurs parkings mais elles ne leur rapportent pas d'argent. Pas davantage aux collectivités locales, qui soignent leur image lorsqu'elles installent des bornes." En vérité, c'est un pari sur l'avenir que font ces acteurs : "L'espoir est qu'un jour, le parc de véhicules électriques sera suffisant pour amortir le coût d'installation des bornes." Toutefois, rien ne garantit que le point d'équilibre sera jamais atteint. Même les hypermarchés peinent à savoir si les chariots remplis par leurs clients attirés par la gratuité de la charge électrique compensent son coût. "Je pense que les collectivités devraient considérer la pertinence de la gratuité de la recharge, de même qu'elles réfléchissent à assumer le coût de la gratuité des transports publics", conclue Flavien Neuvy.  "
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Les ateliers vélo : fabriques d'autonomie et de modes de vie ? | Forum Vies M... - 0 views

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    "Les ateliers d'autoréparation de vélos se sont développés en France depuis une dizaine d'années. À travers l'apprentissage de la réparation du vélo, ces collectifs ont des visées variées : les uns visent essentiellement à accroître l'autonomie, d'autres militent également pour l'écologie ou s'inscrivent dans un engagement politique plus large (LGBTI, anti-capitalisme, auto-gestion…). Ces collectifs ont été jusqu'à présent très peu étudiés dans la littérature scientifique. Au-delà du gain d'autonomie permis par l'apprentissage d'une pratique, la participation à ces ateliers engage-t-elle un changement plus global dans le mode de vie des individus et dans leur vision de la société ?"
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De la contre-productivité globale. La critique de la mobilité et la crise du ... - 0 views

  • C’est néanmoins autre chose qui semble être à l’œuvre, une forme étrange d’auto-annihilation du système de transport, telle que discutée par Ivan Illich et ses collaborateurs sous le vocable de « contre-productivité »
  • La contre-productivité 2 désigne une situation dans laquelle l’usage d’un mode de transport par un grand nombre d’usagers rend l’usage de ce mode de transport impossible. L’exemple classique est celui du bouchon : lorsqu’un grand nombre d’automobilistes circule en même temps sur une route, chacun devient un obstacle insurmontable pour l’autre. C’est la congestion. Et par un effet boule de neige, le bus sera à l’arrêt et nulle place ne sera laissée au marcheur.
  • Parce que trop d’usagers ont utilisé certains modes de déplacement rapides, ils ont participé à la diffusion d’un virus et rendu impossible l’usage de tous les moyens de déplacement, même les moins problématiques.
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  • On pourrait parler de contre-productivité différée, c’est-à-dire d’un usage qui n’est pas empêché immédiatement, mais plus tard, une fois qu’il aura été réalisé en masse et que ses conséquences se font sentir.
  • L’industrialisation des transports consiste en la transformation d’une variété de manières de se déplacer, inscrites dans des contextes locaux et riches de sens, en un petit nombre de moyens de transport standards qui constituent des commodités. À mesure que sont abandonnés les usages vernaculaires au profit des usages modernes, les personnes dépendent de plus en plus du système industriel de transport, par dévalorisation du vernaculaire, du qualitatif et de l’auto-produit, mais aussi par la perte des compétences et des conditions de possibilité d’une production autonome.
  • Comment les critiques de la mobilité envisageaient-ils des alternatives à cette dynamique d’écrasement de l’individu par le système industriel ? Tout d’abord, ils proposaient des mobilités autonomes, reposant sur les efforts de l’individu. La marche et l’usage du vélo sont deux manières de développer ses capacités de se déplacer. Dans le contexte actuel, il s’agit des moyens de se déplacer qui limitent le plus à la fois les contaminations possibles et la contre-productivité inhérente aux modes rapides.
  • Confinés, nombreux sont les citadins qui ne peuvent plus se déplacer. Toutefois, ils continuent de faire se déplacer d’autres individus et des marchandises, parce que nous sommes pour la plupart totalement dépendants des réseaux de transport, afin d’acquérir les commodités nécessaires à notre vie quotidienne. Ce besoin de commodités met en danger ceux qui transportent les marchandises, qui sont ceux qui doivent nous les livrer, mais aussi nous-mêmes, puisque le risque de transmission existe à chaque interaction. De ce fait, ce n’est pas seulement la mobilité des individus qui pose problème, mais aussi le transport des commodités.
  • La folie de la modernité s’exprime bien là, dans cette « loi » : tout usage massif d’un mode de déplacement rapide tend à rendre impossible son usage, mais aussi les autres manières de se déplacer. Toute accélération du rythme d’un usage dépassant un certain seuil tend à créer de la paralysie. Or, les vitesses de déplacement ont beaucoup augmenté, tout comme l’usage des moyens de transport longue distance comme l’avion. Ainsi, parvenus à un développement tentaculaire, nos réseaux de transport sont devenus nos filets, comme l’origine du terme (« réseau » vient du latin retis, filet) aurait dû nous le rappeler.
  • L’ascèse volontaire, le choix de ne pas agir, est une forme de liberté, qu’il s’agisse de refuser d’utiliser la voiture ou de s’auto-confiner, tandis qu’être réduit à l’impuissance par le système industriel est plus proche de la servitude.
  • À mesure que le système industriel étend ses mailles, l’individu est de plus en plus dépendant et impuissant. Il est bloqué par les bouchons, les files d’attente. Se déplacer est devenu dangereux ou impossible, mais seul ou en famille et sans déplacement, il est dépourvu des moyens d’assurer sa subsistance. L’immobilité maximale qui devrait permettre de lutter contre la pandémie est donc largement hors d’atteinte, par l’incapacité de l’individu, d’un groupe d’amis, d’une famille ou d’une commune, à assurer une auto-production suffisante.
  • D’ailleurs, moins appréciés par les usagers que les manières plus individuelles de se déplacer, quelle collectivité publique aura encore les moyens de ces infrastructures de luxe, avec l’endettement gigantesque résultant de la pandémie actuelle ? Quant à la voiture, tout le monde sait déjà qu’elle est le symbole même de la contre-productivité, par la congestion, l’usage du pétrole et la diminution de l’activité physique de ses usagers.
  • Cela signifie aussi que les mégalopoles sont trop grandes. Elles rendent l’individu dépendant des commodités, réduisent ses capacités d’autoproduction, multiplient les distances entre les lieux de vie, rendent le confinement moins supportable par leur absence d’espaces pour « respirer ». Elles sont aussi le lieu historique du bouchon, comme on le raconte à propos de la Rome antique où Jules César fut contraint d’interdire les véhicules entre six heures et seize heures pour éviter la paralysie de la ville.
  • Les villes de taille « moyenne » du type de Salzbourg des années 1960, vantée par Kohr, représentent un autre modèle. Elles comportent toutes les aménités de la ville, peuvent reposer sur la campagne environnante pour être approvisionnée et pour les loisirs – plus accessibles tant pour les riches et que pour les pauvres –, ont la taille nécessaire pour offrir une université ou un opéra. Il s’agit des mêmes villes dans lesquels les habitants sont d’ores et déjà les moins dispendieux en dioxyde de carbone
  • La crise actuelle n’est pas le résultat d’un accident ou d’un système de transport qui serait trop chaotique et dont les effets seraient surprenants et imprévisibles. C’est l’ordre de sa diffusion généralisée qui rend possible la congestion et la paralysie, selon les voies de circulation et les vitesses élevées des moyens de transport.
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    "Alors qu'au début du mois d'avril 2020, plus de la moitié des habitants de la planète sont confinés, il n'a jamais été aussi nécessaire d'interroger le rôle de notre système global de mobilité. Dans cette perspective, les critiques de la mobilité des années 1970 sont des guides sûrs. Celles-ci offrent à la fois une perspective sur un facteur d'expansion de l'épidémie devenue pandémie - le système de transport - et les pistes pour aménager le système de transport de l'après-crise."
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Embouteillages monstres, travaux secrets… 6 arguments faux contre le « plan v... - 0 views

  • 1. Non, le « plan vélo » n’a pas été « lancé en secret » et a même été voté à l’unanimité
  • 2. La mairie et la région proposent bien des alternatives
  • « L’anticipation et la concertation ne font pas partie des plans », a-t-on pu entendre sur RTL, ou « aucune alternative n’est proposée » parmi les détracteurs de la politique municipale, peut-on lire dans Le Parisien. Il existe pourtant des alternatives, très nombreuses, à l’automobile à Paris et dans la proche banlieue : 3 890 km de lignes de bus, avec des couloirs réservés pour fluidifier leur passage ;la Ville de Paris est la première capitale d’Europe la mieux dotée en matière de transports en libre-service (Autolib’, Vélib’, etc.), avec 105 vélos pour 10 000 habitants et 19 voitures pour 10 000 habitants, rapporte Le Parisien ;la ville propose des aides à l’achat de véhicule propre (Paris et proche banlieue) ;Paris dispose d’un métro de grande qualité : 100 % de la population est couverte par un moyen de transport en commun à moins de 1 km ;Enfin Paris et la petite couronne bénéficient d’un tramway périphérique – dont la construction est presque terminée – et qui reliera à terme tous les arrondissements périphériques. Comme le rappelait La Tribune en 2014, comparée à Londres par exemple, Paris brille par une capacité moyenne trois fois supérieure dans ses rames – jusqu’à atteindre saturation sur certaines lignes aux périodes de pointe. Le vélo est justement une des alternatives aux transports en commun, si des pistes cyclables sont en nombre suffisant. Et avec un ticket à 1,90 euro (14,90 euros le carnet de 10), Paris propose un service meilleur marché que la capitale britannique (tarif variable mais situé globalement entre 3,80 euros et 6,50 euros selon la formule). Enfin, selon le bilan des déplacements 2014, 97,9 % des métros sont à l’heure ; un chiffre qui baisse à 87,5 % pour le RER et 88,6 % pour le Transilien, le bus s’en sort un peu mieux avec 90,6 % de ponctualité.
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  • 3. Non, le « plan vélo » n’a pas créé les embouteillages
  • Pourtant, le fait de réserver un peu plus d’espace à Paris aux piétons et aux vélos n’a eu qu’un léger impact sur la formation des bouchons, comme le confirment les études, puisqu’il « fallait 10,5 minutes pour traverser le boulevard Saint-Germain le matin en décembre 2015 [contre] 12,1 minutes en décembre 2016 », soit une minute et trente-cinq secondes de plus, environ 10 %, après une période en novembre 2016 où le temps est monté à 14,8 minutes explique Le Parisien. Des chiffres avec un recul d’un an qui semblent accréditer la thèse de « l’évaporation » d’une partie du trafic défendue par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France : moins de voies = moins d’automobiles. Par ailleurs, la circulation à Paris est un problème presque aussi ancien que la capitale française elle-même
  • 4. Non, favoriser le vélo ou les transports en commun plutôt que l’automobile n’est pas une mesure « anti-pauvres »
  • Les chiffres donnent tort à tous les deux, puisque selon un sondage réalisé par MV2 auprès de 1 127 usagers de la route en novembre 2015 pour la Mairie de Paris, 64 % des automobilistes qui circulent dans le centre de Paris appartiennent aux catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP+). Par ailleurs, selon le même sondage, 80 % des automobiles circulant dans le centre de Paris ne transportaient qu’une seule personne.
  • 5. Ce sont les automobiles qui ralentissent les véhicules de police ou de secours, pas les voies cyclables
  • Les voies cyclables à double sens, à l’image de celle du bassin de l’Arsenal ou des voies sur berges piétonnisées, sont également des voies d’urgence et peuvent être empruntées par les véhicules de secours.
  • 6. Ce sont les voitures qui prennent toute la place
  • Et pourtant, s’il y a une politique de rééquilibrage en faveur des piétons et des vélos, celles qui occupent tout l’espace à Paris, ce sont les automobiles : elles occupent 50 % des espaces publics pour seulement 13 % des déplacements. Et elles restent inutilisées 95 % du temps, selon Data Gueule. Dans la rue, une Clio (1,7 m × 4 m) occupe 7 m2 bien qu’elle soit qualifiée de citadine, face aux 7,6 m² du plus « compact » des SUV (1,78 m × 4,3 m), et parfois plus de 9 m² pour une berline (1,9 m × 4,8 m). En comparaison, un vélo n’a qu’une emprise au sol de 1 m² (60 cm × 1,75 m)… et les voies qui lui sont réservées dans la capitale représentent modestement 3 % de la totalité de l’espace public.
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    "Avec la réduction à une voie pour les véhicules motorisés sur les berges de Seine, la polémique sur la place de l'auto fait émerger nombre de contrevérités."
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Traffic Circles Are Everywhere in France. Not Everyone Is Happy. - The New York Times - 0 views

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    "Traffic circles are ubiquitous in France, accepted as safer than traditional intersections. But they have also become an emblem of the country's ailments, from urban sprawl to inequality. France loves its roundabouts. They are ubiquitous throughout the country, including in Abbeville, a city of about 25,000. Credit...Aurelien Breeden/The New York Times By Aurelien Breeden Dec. 25, 2019 ABBEVILLE, France - Every day, about 65,000 vehicles cruise through the center of Abbeville, passing by its Gothic church, City Hall and rows of red brick houses, with many drivers on their way to the English Channel about a dozen miles away. But they never stop for a red light. None exist in this town of about 25,000 people. Instead, drivers bank, swerve and loop their way through traffic circle after traffic circle. Their ubiquity in Abbeville is an extreme example of France's unabashed embrace of the roundabout, found in abundance throughout the country and widely credited for making roads safer and less clogged. Even in Abbeville, on a recent morning, workers in fluorescent orange vests and hard hats were breaking ground on yet another traffic circle, as cars were backed up by the construction. Roundabouts played a central role in the Yellow Vests protests, when demonstrators occupied hundreds of the nation's roundabouts, blocking traffic as a way to demonstrate against a despised fuel tax increase in particular and a growing sense of inequality in general. But France's relationship with them has in some ways soured, their very pervasiveness making them a convenient scapegoat for many of France's ills, real or perceived. Pierre Vermeren, a French historian writing in Le Figaro last year, said roundabouts were a "symbol of ugly France" and the "emblem of French malaise." There are no official statistics, but estimates of the total number of traffic circles in France range from 20,000 to 50,000. In the United States - about 18 times bigger and five
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Auvergne-Rhône-Alpes : Un cluster "vélo" émerge en pleine explosion de la fil... - 0 views

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    "En genèse depuis deux ans, le cluster Mobilité Active et Durable (MAD) sera lancé officiellement ce mercredi 10 juin. Il émerge à un moment plus que favorable : les Français se ruent sur les vélos et le secteur connait un bond extraordinaire depuis le déconfinement. Du jamais vu selon les acteurs de la filière régionale. Entrainés par Anne-Sophie Caistiker (Doctibike) et Renaud Collin (Addbike), une dizaine d'acteurs de la "mobilité active" se mobilise depuis 2017 pour fédérer la filière régionale : Benur, Lyon Parc Auto, B2eBike, Kleuster, Tutovelo, Velogik et Labex IMU. Ensemble, ils créent le tout nouveau cluster "Mobilité Active et Durable" (MAD). Créé administrativement en septembre dernier et associé au cluster CARA (European Cluster for Mobility Solutions), il sera lancé officiellement ce mercredi 10 juin. "Notre ambition est d'organiser cette filière afin de la rendre plus visible, plus innovante et plus efficace. Le sujet de la mobilité active n'était pas encore représenté en Auvergne-Rhône-Alpes", explique Anne-Sophie Caistiker, présidente de MAD."
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Pourquoi Renault met en place un Fab Lab interne… | Without Model - 0 views

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    "En commençant l'expédition, nous avions déjà en tête de monter une sorte de Fab Lab interne : un lieu permettant à la fois le prototypage rapide d'idées, l'exploration multidisciplinaire de sujets en construction, en incubation. Un espace de jeu, de rencontre et d'échange aussi, entre les porteurs d'une idée et des métiers clients internes."
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Driving Revolution Infographic - 0 views

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    By Fabernovel
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La gamification : solution pour un trafic routier plus fluide - 0 views

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    Lancé en 2012 par le Stanford Center for Societal Networks, le projet CAPRI cherche à inciter les automobilistes se rendant à Stanford à éviter les heures de pointe (entre 8 et 9h le matin et 5 et 6h en fin de journée). Lorsqu'un automobiliste souscrit au programme, sa voiture est équipée d'une puce RFID (Radio-frequency identification). Cette dernière permet d'enregistrer les horaires d'arrivée et de départ du campus. Si l'automobiliste arrive ou part en dehors des heures de pointe, il se voit attribuer des points. Il peut ensuite dépenser ses points lors d'une loterie sur le site internet du projet pouvant lui faire gagner de 2 à 50$.
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Et si on fermait les rues... aux voitures ? | tendance ville - 0 views

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    Le projet, Lyon en Marche, a permis de rendre piéton pendant deux samedis consécutifs (les 6 et 13 avril) tout un quartier du 1er arrondissement. 
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