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[pop-up] urbain

Il fait le tour des États-Unis à l'arrière des trains | Kinzeuro - 0 views

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    "Un iPhone et un sac de couchage Un jeune photographe américain, Kevin Ross, s'est lancé un défi pour le moins atypique : traverser les États-Unis à l'arrière de trains de marchandise et avec pour seul bagage un iPhone et un sac de couchage. Fini le confort, fini la routine : cet artiste a choisi l'aventure et il n'oubliera sûrement pas cette expérience de si tôt. Une vie de nomade aux États-Unis implique toutefois des difficultés. Il explique, à ce propos : « Les choses ne se passaient pas toujours comme prévu. Plus d'une fois, nous sommes montés dans des trains sans même connaître sa destination : ces moments-là sont libérateurs, très puissants. » Le tour des États-Unis à l'aventure Tout commence lorsqu'un ami propose à Kévin de l'accompagner de Californie au Colorado en montant à l'arrière de trains de marchandises. Pas rassuré, il accepte quand même, car la peur représente pour lui une des meilleures raisons de se lancer. Le groupe d'amis s'est lancé, enchaînant les trains et les nouvelles destinations. L'artiste a ainsi immortalisé son périple, ses réussites, ses galères, mais aussi de nombreux paysages époustouflants, des vues imprenables des États-Unis à couper le souffle. Retrouvez toutes les photos prises avec l'iPhone de Kévin Russ sur son Tumblr."
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La Chine inaugure sa «Nouvelle route de la soie» (et le trajet en train le pl... - 0 views

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    "Le 18 novembre, un train de fret est parti de la ville de Yiwu dans l'est de la Chine pour rejoindre Madrid 21 jours plus tard en passant par l'Asie centrale, ce qui en fait la ligne de chemin de fer la plus longue en service (13.000 kilomètres). La ville de départ est une place de marché où se négocient de nombreuses marchandises de petite taille produites dans les usines chinoises. L'ouverture de cette ligne s'intègre dans un vaste plan de soutien étatique aux infrastructures et à la logistique de plusieurs milliards pour améliorer le transport de marchandises et d'énergie, plan qui porte le nom grandiloquant de «Nouvelle route de la soie», détaille le site Think Advisor. Comme les caravanes qui emprutaient la route mythique, la nouvelle ligne de fret traverse le Kazhakstan, pays qui investit lui-même plusieurs milliards dans cette route pour réduire encore le temps de trajet. "
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L'Ile-de-France veut un big bang de la logistique urbaine | Les Echos - 0 views

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    C'est l'autre face du transport. Moins médiatique que les trottinettes, vélos en libre-service et offres de mobilité plus conventionnelles telles que trains de banlieue, trams, bus et taxis, l'explosion du transport de marchandises préoccupe la région Ile-de-France. Au point de mobiliser les professionnels de la logistique pour trouver des solutions plus efficaces en termes d'organisation et d'impact sur l'environnement. Le conseil régional est sur le point de lancer un appel à manifestation d'intérêt sur le sujet. Objectif : mieux organiser les flux de marchandises grâce à une régulation qui reste à définir. « Pour la première fois, la part de la voiture recule, de 5 %, dans les déplacements de personnes, c'est historique mais pourtant il y a de plus en plus en plus d'embouteillages », déclare Valérie Pécresse. Pour la présidente de la région, le phénomène s'explique par l'explosion du commerce électronique avec, pour corollaire, celle de la logistique de distribution . « L'Ile-de-France est déjà une région de livraison de colis mais on va se faire livrer de plus en plus et il va falloir mettre l'imagination au pouvoir pour faire face aux besoins en évitant la pollution et les embouteillages car ces livraisons se font à 90 % par la route. » Des drones et des tunnels Valérie Pécresse n'exclut rien en évoquant « les drones, le transport fluvial, des tunnels logistiques ou des petits conteneurs chargés sur des petits camions électriques ». Rien à voir cependant avec les projets de transport nocturne de colis par le RER qui avaient émergé - sans suite - dans les années 1990-2000 ou les simulations, plus récentes, d'insertion de trams fret dans le trafic passagers. « La démarche du conseil régional répond à un principe de réalité, explique un bon connaisseur du dossier. La logistique représente 375.000 emplois, soit 7 % de l'emploi salarié en Ile-de-France, et 51.000 d'entre eux vont être à renouveler. C'est aussi
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Gabriel Plassat - 0 views

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    "Structurellement cet objet industriel aspire à lui toutes les innovations en matière d'efficacité énergétique, d'optimisation systémique et d'adaptation "retardée" à tous les contextes pour maximiser sa productivité. Géré par des professionnels, acheté par des professionnels, conduit par des professionnels, il va poursuivre les mêmes tendances historiques : excellence énergétique, hyperspécialisation aux besoins des utilisateurs, intégration dans un système logistique complexe. Puis il va franchir un cap majeur dans probablement moins de 10 ans : la transparence totale des émissions polluantes et émissions de GES. Ce sera le premier véhicule qui communiquera ses émissions en temps réel à ces clients, aux collectivités, et aux marchandises livrées elle-même. Même si les critères énergie/environnement ne sont qu'une partie des éléments guidant le choix d'un produit ou d'un service, ne pas les afficher ne sera pas accepté par les clients. Avec l'Internet des Objets (lire l'étude du Commissariat à la stratégie et la prospective, La dynamique d'Internet - Prospective 2030), le camion n'a pas fini d'être à l'avant garde des transports."
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Vélogistique commerciale - 0 views

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    "Le vélo ne sert pas seulement à transporter des marchandises d'un point à un autre. Il est également parfaitement adapté à l'activité commerciale au sens large. En d'autres termes, le vélo apparaît comme le plus court chemin entre le vendeur et le client, dans la mesure où le vendeur peut amener ses produits jusqu'au client. L'activité commerciale liée au vélo date sans doute de l'apparition du vélo lui-même. Mais, avec l'apparition des vélos-cargos, tricycles en particulier, l'activité commerciale à vélo a pu réellement prendre son envol. En effet, il devient possible avec un vélo adapté d'avoir sa propre boutique ambulante à vélo. En la matière, les possibilités du vélo sont infinies, depuis les cantines à vélo traditionnelles d'Asie jusqu'aux triporteurs européens modernes spécialisés dans la vente de café par exemple. La vente de détail de produits alimentaires se prête en effet particulièrement bien au vélo. Le vélo permet de transporter un stock suffisamment important de produits et d'aller les vendre à l'endroit exact où se trouve la clientèle, endroit qui peut varier selon les heures ou les jours de la semaine. Dit autrement, le vélo permet d'être toujours là où se trouvent les acheteurs en fonction de ce que l'on a à leur vendre. Également, le vélo est particulièrement adapté aux endroits où se rencontrent les plus grandes concentrations piétonnes, comme les rues piétonnes ou les places publiques par exemple. Il prend moins de place qu'un camion ou qu'une camionnette tout en ne polluant pas l'air respiré par les passants-consomnateurs."
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Libérons l'imagination pour créer une culture des mobilités - 0 views

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    "Nous sommes au seuil d'un changement de paradigme aussi bien d'échelles que de rythmes qui est encore au stade de l'amorce. Celui-ci sera enclenché à partir du moment où se diffusera dans le corps social une culture de la mobilité et un apprentissage quotidien et évolutif. En perpétuelle extension, la ville n'est pas condamnée à subir son délitement et sa fragmentation en isolats autonomes (condominiums, gathered communities). La mobilité lui offre cette perspective de rester vivable, solidaire, ouverte et passante afin de permettre quotidiennement la rencontre à condition que l'on puisse inventer, adapter, imaginer, diversifier. La piste la plus mise en avant par les prospectivistes est l'intégration complète par les smarts grids de sous-systèmes de flux d'énergies, de marchandises, de voyageurs, de chaleurs, de services, d'informations.Quoi qu'il en soit et comme disait Bernanos : « L'avenir est quelque chose qui se surmonte. On ne subit pas l'avenir, on le fait. »"
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Interventions du Séminaire Mobilités Muations - 0 views

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    "Faisant suite à une série d'article sur le séminaire Mobilités Mutations présentant les livrables Prospectives et Projets, ainsi que les défis identifiés pendant le séminaire, toutes les interventions ont été mises en formes et regroupées. Elles sont téléchargeables ainsi que le programme : 1er Jour :  - Institut de la Mobilité durable, Romain Beaume - Renault, Lomig Unger & Edwin Mootoosamy - Orange Labs, Valérie Peugeot - Polyconseil, groupe Bolloré, Olivier Colas - Ecomobilité Ventures, Edouard Combette - la FING, Jacques-françois Marchandise - Ouishare, Antonin Leonard - SNCF, Dominique Laousse - IBM, Thomas Baudel - Volvo Trucks, Bernard Favre - Nicolas Colin, l'âge de la multitude (à venir) 2ème Jour :  - Michelin Solutions, Franck Estoquié - Grand Lyon , Jean Coldefy - Transdev, Marie-catherine Beaudoux - Blablacar, Frédéric Mazzella - Projet BMA, CCI Rennes, Jean-luc Hannequin & Alain Somat - Groupe Chronos, Bruno Marzloff"
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La livraison du dernier kilomètre | Apur - 0 views

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    "L'acheminement plus durable des marchandises jusqu'au client est un défi quotidien dans un contexte où la diminution de la pollution de l'air représente un véritable enjeu de santé publique et où les besoins d'une distribution au plus près du consommateur final augmentent. La logistique du dernier kilomètre s'adapte et innove pour répondre à ces exigences. Cette note dresse un état des lieux des évolutions du secteur et fait le point sur les grandes tendances à l'œuvre aujourd'hui."
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La crise des services de livraison à domicile | nippon.com - Infos Japon - 0 views

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    "L'essor des ventes en ligne entraîne une progression constante de la quantité de marchandises que traitent les services de livraison à domicile. Cela impose en permanence de longues heures de travail aux livreurs, afin d'offrir aux clients la commodité qu'ils recherchent, et le secteur est actuellement confronté à une grave crise. Ogawa Kôsuke, un fin connaisseur du secteur des transports et de la logistique, ainsi que des industries de services, propose quelques pistes pour la surmonter."
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De la contre-productivité globale. La critique de la mobilité et la crise du ... - 0 views

  • C’est néanmoins autre chose qui semble être à l’œuvre, une forme étrange d’auto-annihilation du système de transport, telle que discutée par Ivan Illich et ses collaborateurs sous le vocable de « contre-productivité »
  • La contre-productivité 2 désigne une situation dans laquelle l’usage d’un mode de transport par un grand nombre d’usagers rend l’usage de ce mode de transport impossible. L’exemple classique est celui du bouchon : lorsqu’un grand nombre d’automobilistes circule en même temps sur une route, chacun devient un obstacle insurmontable pour l’autre. C’est la congestion. Et par un effet boule de neige, le bus sera à l’arrêt et nulle place ne sera laissée au marcheur.
  • Parce que trop d’usagers ont utilisé certains modes de déplacement rapides, ils ont participé à la diffusion d’un virus et rendu impossible l’usage de tous les moyens de déplacement, même les moins problématiques.
  • ...11 more annotations...
  • On pourrait parler de contre-productivité différée, c’est-à-dire d’un usage qui n’est pas empêché immédiatement, mais plus tard, une fois qu’il aura été réalisé en masse et que ses conséquences se font sentir.
  • L’industrialisation des transports consiste en la transformation d’une variété de manières de se déplacer, inscrites dans des contextes locaux et riches de sens, en un petit nombre de moyens de transport standards qui constituent des commodités. À mesure que sont abandonnés les usages vernaculaires au profit des usages modernes, les personnes dépendent de plus en plus du système industriel de transport, par dévalorisation du vernaculaire, du qualitatif et de l’auto-produit, mais aussi par la perte des compétences et des conditions de possibilité d’une production autonome.
  • Comment les critiques de la mobilité envisageaient-ils des alternatives à cette dynamique d’écrasement de l’individu par le système industriel ? Tout d’abord, ils proposaient des mobilités autonomes, reposant sur les efforts de l’individu. La marche et l’usage du vélo sont deux manières de développer ses capacités de se déplacer. Dans le contexte actuel, il s’agit des moyens de se déplacer qui limitent le plus à la fois les contaminations possibles et la contre-productivité inhérente aux modes rapides.
  • Confinés, nombreux sont les citadins qui ne peuvent plus se déplacer. Toutefois, ils continuent de faire se déplacer d’autres individus et des marchandises, parce que nous sommes pour la plupart totalement dépendants des réseaux de transport, afin d’acquérir les commodités nécessaires à notre vie quotidienne. Ce besoin de commodités met en danger ceux qui transportent les marchandises, qui sont ceux qui doivent nous les livrer, mais aussi nous-mêmes, puisque le risque de transmission existe à chaque interaction. De ce fait, ce n’est pas seulement la mobilité des individus qui pose problème, mais aussi le transport des commodités.
  • La folie de la modernité s’exprime bien là, dans cette « loi » : tout usage massif d’un mode de déplacement rapide tend à rendre impossible son usage, mais aussi les autres manières de se déplacer. Toute accélération du rythme d’un usage dépassant un certain seuil tend à créer de la paralysie. Or, les vitesses de déplacement ont beaucoup augmenté, tout comme l’usage des moyens de transport longue distance comme l’avion. Ainsi, parvenus à un développement tentaculaire, nos réseaux de transport sont devenus nos filets, comme l’origine du terme (« réseau » vient du latin retis, filet) aurait dû nous le rappeler.
  • L’ascèse volontaire, le choix de ne pas agir, est une forme de liberté, qu’il s’agisse de refuser d’utiliser la voiture ou de s’auto-confiner, tandis qu’être réduit à l’impuissance par le système industriel est plus proche de la servitude.
  • À mesure que le système industriel étend ses mailles, l’individu est de plus en plus dépendant et impuissant. Il est bloqué par les bouchons, les files d’attente. Se déplacer est devenu dangereux ou impossible, mais seul ou en famille et sans déplacement, il est dépourvu des moyens d’assurer sa subsistance. L’immobilité maximale qui devrait permettre de lutter contre la pandémie est donc largement hors d’atteinte, par l’incapacité de l’individu, d’un groupe d’amis, d’une famille ou d’une commune, à assurer une auto-production suffisante.
  • D’ailleurs, moins appréciés par les usagers que les manières plus individuelles de se déplacer, quelle collectivité publique aura encore les moyens de ces infrastructures de luxe, avec l’endettement gigantesque résultant de la pandémie actuelle ? Quant à la voiture, tout le monde sait déjà qu’elle est le symbole même de la contre-productivité, par la congestion, l’usage du pétrole et la diminution de l’activité physique de ses usagers.
  • Cela signifie aussi que les mégalopoles sont trop grandes. Elles rendent l’individu dépendant des commodités, réduisent ses capacités d’autoproduction, multiplient les distances entre les lieux de vie, rendent le confinement moins supportable par leur absence d’espaces pour « respirer ». Elles sont aussi le lieu historique du bouchon, comme on le raconte à propos de la Rome antique où Jules César fut contraint d’interdire les véhicules entre six heures et seize heures pour éviter la paralysie de la ville.
  • Les villes de taille « moyenne » du type de Salzbourg des années 1960, vantée par Kohr, représentent un autre modèle. Elles comportent toutes les aménités de la ville, peuvent reposer sur la campagne environnante pour être approvisionnée et pour les loisirs – plus accessibles tant pour les riches et que pour les pauvres –, ont la taille nécessaire pour offrir une université ou un opéra. Il s’agit des mêmes villes dans lesquels les habitants sont d’ores et déjà les moins dispendieux en dioxyde de carbone
  • La crise actuelle n’est pas le résultat d’un accident ou d’un système de transport qui serait trop chaotique et dont les effets seraient surprenants et imprévisibles. C’est l’ordre de sa diffusion généralisée qui rend possible la congestion et la paralysie, selon les voies de circulation et les vitesses élevées des moyens de transport.
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    "Alors qu'au début du mois d'avril 2020, plus de la moitié des habitants de la planète sont confinés, il n'a jamais été aussi nécessaire d'interroger le rôle de notre système global de mobilité. Dans cette perspective, les critiques de la mobilité des années 1970 sont des guides sûrs. Celles-ci offrent à la fois une perspective sur un facteur d'expansion de l'épidémie devenue pandémie - le système de transport - et les pistes pour aménager le système de transport de l'après-crise."
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Confinement : au Pérou, des centaines de personnes se lancent sur les routes - 0 views

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    "Ces familles ont donc tenté le voyage d'abord cachées dans des camions de marchandises, puis ont poursuivi à pied sur les routes de montagne. Des vidéos montrent des hommes portant des baluchons, des enfants et des femmes avec des nourrissons dans les bras, marchant sous un soleil intense. Mais la caravane humaine a été stoppée dans la province liménienne de Huarochiri, au kilomètre 48 de la Carretera Central (« route centrale »), par un barrage des forces de l'ordre. Le gouvernement, tout comme les autorités régionales, craignent que les personnes ne propagent le virus à l'intérieur du pays, et ont proposé de les mettre à l'abri jusqu'à la fin du confinement, le 26 avril. La plupart d'entre elles ont refusé, de peur d'être infectées du fait de la promiscuité. Certaines ont alors tenté de forcer le barrage de police, avant de se faire à nouveau arrêter."
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Suivre la piste du rail indien | Forum Vies Mobiles - Préparer la transition ... - 0 views

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    "Le projet de recherche questionne le modèle d'urbanisation dominant fondé sur le développement de grandes métropoles nourries par une émigration rurale définitive. Une hypothèse originale sous-tend cette étude : les lignes de chemin de fer en Inde ont aidé à créer un modèle de système urbain reliant villages, villes et métropoles dans un réseau d'échanges dense et réversible de personnes, de marchandises, de services et d'imaginaires. L'enjeu de la recherche est de montrer les contours et la forme de ce type de système urbain organisé autour du train et d'aider à formuler des politiques qui permettent de sortir de la dichotomie administrative ville - campagne et prennent en compte les mobilités, particulièrement les mobilités ferroviaires."
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Les livraisons veulent se faire plus discrètes en ville - 0 views

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    "Les camions diesel ont du souci à se faire. La concurrence arrive, électrique pour les petits véhicules, GNV (gaz naturel pour véhicule) destiné aux poids lourds. En 2016, 376 camions au gaz circulaient en France, sur les 47.148 immatriculés, selon les chiffres publiés par le salon Solutrans, dédié au transport routier et urbain, qui se déroule jusqu'à samedi à Lyon. Le transport fluvial peut lui aussi trouver sa place pour acheminer certaines marchandises. En revanche, le drone qui entre par la fenêtre de l'appartement pour livrer un colis relève encore de la science-fiction: "on a du mal à saisir l'intérêt du drone dans une ville", souligne Elisabeth Charrier, le voyant plutôt "pertinent dans une zone rurale éloignée". Pour Guillaume Thibault, associé au sein du cabinet Oliver Wyman, "toutes les villes ne seront pas concernées" à terme par l'essor des drones. "Certaines villes (...) vont prendre des risques et faciliter le développement - je pense à Dubaï par exemple - pour se positionner d'emblée comme un leader"."
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L'Ademe lance un appel à projets pour l'innovation logistique - Actu-Transpor... - 0 views

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    "Le 22 juin dernier, l'Ademe a lancé un nouvel appel à projets de recherche destiné au secteur de la logistique baptisé Translog, qui vise à soutenir des projets "en phase de maturité avancée". Cet appel à projets s'alimente de la " vision 2030-2050" de l'Ademe qui prévoit une approche systémique du transport de marchandises en 2050, l'agence ne désespérant pas de réussir à augmenter les parts modales du transport ferré et du transport par voie maritime et fluviale."
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Philippe Gargov - Culture cycliste, la galaxie des lieux hybrides - Blog - Groupe Chronos - 0 views

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    "La démocratisation du vélo s'observe, logiquement et inévitablement, à travers la multiplication de commerces dédiés. Si la plupart prennent la forme de magasins standards, d'autres cherchent à donner un certain cachet à ce mode de transport, dont le côté "tendance" est indéniable en occident. Ces magasins prennent donc des noms bigarrés : "bicycles stores", "bike shops" et autres boutiques de vélo "vintage" pullulent, souvent autour d'un modèle économique assez trivial mais qui déjà prend la forme d'une hybridation, à mi-chemin entre atelier, magasin de vélo et boutique de vêtements. On y trouvera donc de quoi réparer son vélo ou personnaliser ses atours de cycliste : casques, gants gilets ou même parkas... D'autres vont tout de même un peu plus loin, en mutualisant au sein d'un même lieu, différents types de services plus ou moins relatifs au vélo. L'objectif est simple : il s'agira d'offrir aux cyclistes un lieu qui lui soit véritablement réservé, et ainsi de constituer une "communauté" cycliste autour de ce mode de transport qui s'avère souvent une passion. On retrouve ici le même type de réflexion que pour les tiers-lieux de coworking, ou comment le regroupement de services et activités permet de répondre aux besoins émergent (et donc encore mal définis) d'une pratique en plein essor."
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Truck 2020 : et si l'avenir du camion préfigurait celui de l'automobile ? - 0 views

  • En effet, la professionnalisation des acheteurs de véhicules légers neufs, le développement à venir des services de mobilité conduisent à une mutation lourde dans le mode de commerce des automobiles. A ce titre, l’industrie du camion pourrait bien préfigurait les changements de modèles économiques du monde automobile, comme les technologies majeures qu’elle lui a apportées (turbocompresseur, injection directe, common rail, combustion homogène…).
  • IBM analyse l’écosystème complet du transport de marchandises, incluant le développement urbain, les contraintes environnementales, les spécificités locales de plus en plus grandes dans un monde globalisé, mais également les évolutions du travail.
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    "Après Automotive 2020, Clarity beyond chaos, IBM nous propose, avec Truck 2020, une vision des 10 prochaines années de l'industrie du camion et bien au-delà. S'appuyant sur un large réseau de consultant, et sur des entretiens menés avec 93 dirigeants de 13 pays représentant la totalité de la chaîne de valeur, IBM identifie 5 actions impératives à mener par ce secteur."
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Small vehicles of Tokyo. A slim cataloguing of the rich… | by Dan Hill | A ch... - 0 views

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    "I've written enough about walking around the city's neighbourhoods (Ed. Really?) What follows is a quick sampling of a hugely diverse range of small vehicles-the tip of the tip of the iceberg-that also contribute to the quality of the city's streets. I'll no doubt update it with each subsequent trip I take. It's like a version of Richard Scarry's Cars and Trucks and Things That Go, but with an emphasis on the Things That Go rather than the Cars and Trucks. And set in Tokyo. Imagine the drivers as tanuki rather than cats and dogs. When visiting Tokyo, if you are attuned to eating the world with your eyes and particularly the layers of urban life bigger than a cellphone and smaller than a building, one of the first things you'll notice is how comparatively small the vehicles seem to be. Then, the sheer variety of these small vehicles. And then, how these vehicles, by virtue of their humble and appropriate scale and speed, help produce the city's often delightfully humane streets. And then finally, that these small vehicles are scurrying around the world's largest city. By way of comparison, the municipal and commercial vehicles blasting around Manhattan, for example, are more like hulking tanks, built for battle, apparently ready to face off against the army of gargantuan SUVs contesting the same spaces. But in Tokyo, a city three times larger, the small scale of the vehicles makes instinctive sense. I've written before about how Tokyo is actually defined by smallness and slowness, drawing from the great work of Keio University's Darko Radovic and Davisi Boontharm, amongst others."
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