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"La démocratisation du vélo s'observe, logiquement et inévitablement, à travers la multiplication de commerces dédiés. Si la plupart prennent la forme de magasins standards, d'autres cherchent à donner un certain cachet à ce mode de transport, dont le côté "tendance" est indéniable en occident. Ces magasins prennent donc des noms bigarrés : "bicycles stores", "bike shops" et autres boutiques de vélo "vintage" pullulent, souvent autour d'un modèle économique assez trivial mais qui déjà prend la forme d'une hybridation, à mi-chemin entre atelier, magasin de vélo et boutique de vêtements. On y trouvera donc de quoi réparer son vélo ou personnaliser ses atours de cycliste : casques, gants gilets ou même parkas... D'autres vont tout de même un peu plus loin, en mutualisant au sein d'un même lieu, différents types de services plus ou moins relatifs au vélo. L'objectif est simple : il s'agira d'offrir aux cyclistes un lieu qui lui soit véritablement réservé, et ainsi de constituer une "communauté" cycliste autour de ce mode de transport qui s'avère souvent une passion. On retrouve ici le même type de réflexion que pour les tiers-lieux de coworking, ou comment le regroupement de services et activités permet de répondre aux besoins émergent (et donc encore mal définis) d'une pratique en plein essor."

bar / café / cantine bio / réparation de vélo

"he streets of New York just got a lot brighter. Uprooted Flower Truck is a fully mobile florist on wheels, and they're setting up shop to offer flowers to their clients wherever they may be. Armed with a bright and playful truck design, this mobile business is an awesome alternative to your local florist."

"The broader the experiences of self-driving vehicles, the better prepared they will be for real-world driving. The run-in also highlights the long list of rare situations the cars will have to master before they can replace human drivers. After all, what happens when a self-driving car approaches a downtown intersection with multiple cyclists on fixed-gear bikes, and a herd of pedestrians?"

"ldo Cancino Estrada, another Design Academy Eindhoven graduate who's work was showcased at this years Dutch Design Week, has made a social scenario in which street vending is turned into a creative platform for designers and street vendors to meet."

"heely's Café is a café franchise on wheels that wants to become a global brand with their Wheely's parked in cities all around the world. Starbucks be afraid, be very afraid."

"Everywhere he goes, he says, he sees a particular type of cyclist: a working-class person - usually a minority and often a recent immigrant - riding to work on whatever type of bike he can get his hands on. Those cyclists are men and women for whom biking isn't an environmental cause or a response to an urban trend but a means of transportation that's cheaper than a car and faster than walking. "You can just tell they're using the only transportation option they've got," McReynolds said. "Those people are pretty much invisible.""

"Flexitaérien, néologisme assumé, désignera celui qui ne prend pas systématiquement l'avion, qui essaie de l'éviter, parce que l'avion, ça pollue, ça fait du bruit, et surtout ça émet énormément de CO2. Les enjeux de ce débat émergeant sont résumés dans cet excellent article de la journaliste du Monde Pascale Krémer, ici. La discussion fait rage. Certains prônent le renoncement total à l'avion. Finies les découvertes de pays lointains, les visites à des amis expatriés, les reportages au Caire ou à Kiev, les conférences à Montréal ou à Fort-de-France. D'autres, à l'opposé, prônent de ne rien changer. Après tout, s'il y a des avions et des aéroports, c'est pour qu'on s'en serve. Et puis, d'ailleurs, « on n'a pas le choix », ajoutent-ils parfois, sans craindre la provocation. Et entre ces deux positions radicales, toute la panoplie du flexible, de la déontologie personnelle, du « cadre moral que chacun se fabrique de bric et de broc », comme dit Pascale Krémer, qui livre aussi un « mode d'emploi » destinés aux accros à l'avion."

"La plateforme lance un service inédit de mutualisation qui permet de recevoir plusieurs plats de restaurants différents, dans la même commande. La guerre qui oppose les plateformes de livraison n'en finit pas de faire bouger les lignes. Dernière initiative en date, Frichti, connu pour son engagement pour le bien manger, propose dorénavant aux internautes, de regrouper dans la même commande, plusieurs restaurants. Mais pas seulement, puisque la plateforme offre aussi la possibilité d'ajouter tous ses services dont le Super Marché ou encore les plats maison Frichti. Avec une garantie timing qui reste à 20 mn sans payer plus cher la livraison… Une vraie gageure ! Pour ce lancement, 13 restaurateurs ont répondu présents et seront accessibles sur la plateforme au cours des 4 prochains mois. D'ores et déjà Mavrommatis et sa cuisine grecque, Pastavino avec ses pastas et ses pizzas, le MOF pâtissier Christophe Michalak, le spécialiste du sushi Côté Sushi, le pro des pokés bowls Inuï, le spécialiste de la cuisine Thaï Kinn Khao, le concept de cuisine sichuanaise Plus de Piment ou encore le kebab revisité Barak font partie du premier wagon. Suivra fin juin l'enseigne de cuisine de Kait Otium, puis début juillet, ce sera le représentant des spécialités du moyen Orient Levantine. Enfin, à la rentrée, Papadoom Kitchen avec ses plats indiens, Blend et ses burgers gourmet et enfin les recettes de cuisine mexicaine de Luz Verde."