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[pop-up] urbain

La livraison du dernier kilomètre | Apur - 0 views

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    "L'acheminement plus durable des marchandises jusqu'au client est un défi quotidien dans un contexte où la diminution de la pollution de l'air représente un véritable enjeu de santé publique et où les besoins d'une distribution au plus près du consommateur final augmentent. La logistique du dernier kilomètre s'adapte et innove pour répondre à ces exigences. Cette note dresse un état des lieux des évolutions du secteur et fait le point sur les grandes tendances à l'œuvre aujourd'hui."
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La trottinette électrique : l'avenir du transport multimodal - 0 views

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    "De plans d'action en livres blancs, l'Europe souhaite développer une nouvelle vision de l'usage des déplacements. Toutes les grandes villes y vont de leur plan de mobilité, lancent leur projet de transport propre en développant les tramways, bus (y compris électriques), elles favorisent les zones 30, investissent dans leurs infrastructures cyclables... Certes, il y a encore énormément à faire, et les réalisations sont faites avec plus ou moins de bonheur, mais on n'avait encore jamais jusque-là ressenti une telle prise de conscience. Tout le monde recherche l'innovation en mobilité... Mais si les grandes lignes se dessinent, deux points majeurs subsistent : la gestion du « premier et du dernier kilomètre », et le développement du multimodal. Les transports en commun, aussi développés soient-ils, ne vous emmènent pas de votre logement à votre bureau, et, que dire si vous voulez en plus faire vos courses ? Le vélo, quand on habite à 30 km de son boulot, exige une vraie motivation. Des efforts apparaissent du côté de la SNCF par exemple, avec des emplacements à vélo dans le train ou encore une offre de location à l'arrivée. Cependant, pour ceux qui n'ont pas de lignes aménagées, qui prennent le RER ou le bus, ou qui n'ont pas de solutions pour leur trajet gare/maison : que faire ? Objectivement, prendre le RER ou le bus avec un vélo, même pliant, reste un défi de chaque instant. C'est pourquoi, si l'on ne souhaite pas que la voiture reste reine en ville, des solutions plus « pratiques » et efficaces de transport multimodal sont nécessaires. En plein essor, la trottinette électrique est une solution astucieuse pour ces premiers / derniers kilomètres."
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Bâti 2030: La mobilité, un facteur de mutation urbaine - 0 views

  • Si les politiques ne semblent pas toujours l'avoir compris, les urbanistes et spécialistes des transports sont eux bien conscients de la direction dans laquelle doivent se porter les efforts : la modification des comportements, et non la multiplication des infrastructures ou des types de transport. Comme le dit Jean-Christophe Chadanson, directeur d’études à l’Agence d’urbanisme de la Communauté Urbaine de Bordeaux, « il faut passer d’un modèle où on a investi beaucoup d’argent dans les infrastructures à un autre où on met aussi de l’argent dans ce qui favorise la marche, le vélo et les changements de comportement. Chacun doit devenir multimodal, prendre un jour la voiture, un autre le vélo, la marche, les transports en commun. Ce comportement, il faut l’aider à émerger, c’est une autre forme d’investissement ».
  • L'équilibre à atteindre entre l'efficacité des transports et la limitation de leurs nuisances incitent à concevoir, plutôt que de nouveaux moyens de transport, de nouvelle façon d'appréhender la mobilité. En ce sens, de nouveaux concepts tendent à émerger, comme l'holoptisme, c'est-à-dire l'intelligence collective, qui permettrait de manière positive à chaque citoyen de mesurer son impact dans la société et son environnement et d'adapter ses comportements. Le covoiturage participe d'une certaine manière de ce concept, mais certaines sociétés ont développé des applications propres comme GoToo, qui permet à son utilisateur de gagner des points à mesure qu'il se déplace de manière responsable.
  • Autre idée en vogue, l'économie de fonctionnalité. Il s'agit ici de remplacer la vente pure et simple d'un produit par la vente d'un service, qui permet à la fois de réaliser des économies pour son utilisateur (vous ne payez que ce que vous consommez réellement) comme pour le prestataire. Elle propose soit un modèle serviciel centré sur l'usage (mise à disposition d'un véhicule que je paye en fonction du nombre de kilomètres), soit un modèle de solution intégrée (comme l'Autolib'). Les champs de l'innovation sont ici infinis et peuvent permettre de répondre, de manière subtile et équilibrée, aux enjeux de la mobilité aujourd'hui. La multiplication des stations de rechargement des fameuses BlueCars est déjà un signe visible de cette économie de la fonctionnalité.
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  • Aujourd'hui, c'est la "sanctuarisation" de certains espaces, réservés aux piétons et transports en commun, qui modifie profondément le paysage urbain. Nécessité économique et sécuritaire, la mobilité concentre aujourd'hui un grand nombre des contraintes produites par l'urbanité : densité de population, taille des agglomérations (donc nécessité d'un réseau de transports rapides et denses), pollution, nuisances diverses, sécurité, etc. Mais les meilleures infrastructures ne peuvent entraîner de modifications des comportements si elles n'apportent pas de progrès visibles. Face à l'urgence des contraintes, et notamment la disparition programmée du pétrole, l'innovation en matière de mobilité sera à l'origine, ou au moins un facteur important, d'évolution rapide de nos villes. Reste à savoir quelle mobilité nous voulons et donc à quoi ressemblera la ville de demain. Verticale ?
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    "Qui l'eût cru ? La mesure de circulation alternée, mise en place lundi à Paris et alentours, a été, si l'on reste au premier niveau d'analyse, un succès : 25% à 30% de bouchons en moins (voire même 60% sur certains axes aux heures de pointe) ; seulement 143 kilomètres d'embouteillage en Ile-de-France (contre deux fois plus habituellement) ; 90% de véhicules à numéro impair, 5 122 contraventions ; 61% et 33% de hausse respective des locations pour le Vélib' et l'Autolib'. Cette mesure (presque) nouvelle en France (elle existe par exemple à Sao Paulo sous le nom de "rodízio municipal") a modifié sur une journée la manière dont la population de Paris appréhende les transports quotidiens : transports publics, vélo, covoiturage et même congés exceptionnels. L'espace urbain lui-même s'en est trouvé modifié avec la réduction de la pollution, des nuisances sonores mais aussi de la pollution visuelle. Le signe que peu à peu, les "nouvelles" mobilités peuvent changer la ville. Les campagnes électorales, et notamment celles pour la Mairie de Paris, sont révélatrices des enjeux qui entourent la question des transports en milieu urbain. Si ces derniers continuent de répondre à leur mission première, à savoir permettre le déplacement quotidien des habitants, ils sont aujourd'hui confrontés à des contraintes contradictoires : d'un côté, ils doivent être plus performants, plus rapides et plus denses ; de l'autre, ils sont censés être sûrs, rentables, peu onéreux tout en étant respectueux de l'environnement et silencieux. Un vrai casse-tête chinois ! Or, aujourd'hui, et c'est ce qui apparaît dans la plupart des programmes politiques, le débat sur les transports à Paris oppose les détracteurs de la voiture, qui considèrent que ses nuisances sont trop importantes par rapport à ses apports en milieu urbain, face à ses partisans, qui n'y voient pas d'alternatives crédibles. L'absence de nouvelles solutions ? Cette dualité peut
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Livraison : ces start-up qui se positionnent sur le dernier kilomètre - JDN - 0 views

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    "Quand Colisweb et Deliver.ee s'insèrent dans les tunnels d'achat pour proposer les coursiers de leurs réseaux, Tok Tok Tok intègre le dernier kilomètre à des prestations d'achat délégué."
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Le véhicule autonome ne peut s'envisager que partagé - 0 views

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    "Les élus sont donc confrontés à un enjeu majeur : comment réduire les fractures territoriales ? Le véhicule autonome semble être la « solution miracle »… Chacun se met à rêver de villes sans pollution, ni congestion, où la mobilité serait accessible à tous les citoyens : enfants, personnes âgées, personnes handicapées, avec ou sans permis de conduire, et ce, en toute sécurité et sans incivilité. Toutefois, il ne faudrait pas que cette innovation révolutionnaire tourne au cauchemar. En effet, si le véhicule autonome est utilisé individuellement, à nombre constant de véhicules, le trafic automobile ne cessera de croître pouvant entraîner une hausse de la congestion de l'ordre de 20 à 30 %… Pour permettre au véhicule autonome de tenir toutes ses promesses - offrir le droit à la mobilité au plus grand nombre de citoyens, réduire les fractures territoriales, améliorer la qualité de l'air -, les élus locaux ont un rôle essentiel à jouer. Il leur faut œuvrer à ce que le véhicule autonome soit partagé, et l'intégrer dans leur stratégie globale de mobilité. Par exemple, une flotte de véhicules autonomes partagés ou une navette à la demande en rabattement direct avec les lignes de transport public permettront de drainer les voyageurs vers des lignes « rapides » à la place des voitures particulières. Les collectivités locales pourront ainsi étoffer leurs offres pour les premiers et derniers kilomètres, dans les « déserts de mobilité », sur des plages horaires plus larges, ou encore pour les personnes en difficulté dans l'exercice de la mobilité, permettant de réduire la congestion en ville de plus de 20 %."
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Resto.Paris - 0 views

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    via Pomélo : Sur le plan professionnel comme personnel, je suis un grand consommateur de Deliveroo et Uber Eats avec 33 commandes passées depuis le début de l'année. Mais j'entends les critiques croissantes à l'encontre de ces géants de la livraison de repas (pourcentage important prélevé aux restaurateurs, course aux promotions qui incite fortement ces derniers à proposer des réductions et tire les prix vers le bas, précarité des livreurs, offre à la qualité très inégale...) et l'arrivée d'une nouvelle plateforme très engagée est une excellente nouvelle qui permettra peut-être d'assainir le marché. Bienvenue donc à Resto.Paris (lancement officiel le 15 septembre, dans la capitale uniquement), que j'appelle le "Robin des Bois du delivery", et à ses promesses alléchantes : 15% de commission (14% pour l'entreprise de livraison, 1% pour la plateforme) au lieu des 25 à 30% pratiqués habituellement et 1% seulement pour le click & collect, livreurs salariés, boîtes réutilisables ou consignables, produits issus de filières durables, cuisine de saison, options végétariennes, plat à moins de 10 euros... On doit l'initiative au rapprochement de trois structures : le logiciel libre CoopCycle, la coopérative de coursiers de vélos cargos Olvo et le label de restauration durable Écotable. Où est le piège vont s'interroger les méfiants... Disons qu'en contrepartie, l'usage est plus contraignant et oblige à s'organiser (disponibilité du lundi au samedi uniquement, 35 euros d'achat minimum avec des frais de livraison de 5 euros - aucun au-delà de 80 euros - nécessité de commander au moins deux heures avant, jusqu'à trois kilomètres de distance pour respecter les zones d'influence des restaurants... ) mais c'est sans doute le prix à payer pour des transactions plus vertueuses. Parmi les tables partenaires (petite sélection pour le moment) : Naturaliste, Original Green, Ressources, Grand Beau, Chez Foucher Mère et Fille ou encore L
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Redonner une place centrale à la marche pour mieux partager la ville - 0 views

  • « Il ne s’agit pas de passer de la jungle à la mono-fonctionnalité, en multipliant les rues piétonnes commerciales et les quais de promenade. Mais d’optimiser l’usage des voiries en favorisant la coexistence dans l’espace et dans le temps des différents modes de déplacement »
  • La rue ne doit plus tant être pensée comme un axe de transit, mais comme un espace où les gens peuvent se rencontrer
  • « La vitesse est une question essentielle, insiste Sonia Lavadinho. Face à la multiplicité des vitesses, on ne peut pas saucissonner les rues avec autant de voies qu’il existe de vitesses. L’idée est de privilégier des zones où il n’y a pas d’autre règle établie d’avance que celle qui dit que c’est le plus faible qui a la priorité », explique-t-elle.
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  • « Si une part des voyageurs optait pour la marche plutôt que de prendre une correspondance pour une ou deux stations, cela permettrait de désaturer certaines lignes. Mais il faut donner envie de faire ce dernier kilomètre à pied. Or, la marche est souvent la grande oubliée des politiques publiques. On développe des zones piétonnes, mais on ne pense pas un vrai plan de “marchabilité” de la ville, qui donne aux gens et la possibilité et l’envie de se déplacer à pied. »
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    "La multiplication des modes de déplacement amène à repenser l'espace public. Or favoriser une compatibilité entre les différentes composantes de cette multimodalité conduit les villes à envisager un ralentissement de la vitesse et à redonner toute leur place aux piétons."
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