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[pop-up] urbain

Au Japon, un bus autonome reconnecte les seniors à la Smart City - L'Atelier ... - 0 views

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    "Au Japon, un bus autonome s'aventure dans des régions isolées pour assurer le transport des personnes âgées. La zone rurale japonaise de Nishikata est une région isolée des centres urbains. A vol d'oiseau, la ville de Tokyo par exemple, se trouve à près de 115 km. De surcroit, l'âge moyen de la population approche les 65 ans, un âge où il n'est plus si aisé de prendre le volant. Les bus et les taxis y sont également rares, si bien que pour les habitants de Nishikata se déplacer en ville représente une double difficulté. A dessein, l'Etat Japonais a mis en service une ligne de bus autonome à destination des personnes âgées pour relier la région à la ville dotée d'un centre médical la plus proche. Desservie par le Robot Shuttle Dena, cette navette autonome de 6 places permet ainsi de redonner de la mobilité et de l'autonomie aux personnes âgées et de réduire la fracture spatiale et sociale des zones urbaines qui connaissent un fort taux de veillissement de la population. Seul frein, la vitesse lente de la navette la rend assez peu utile dans des situations d'urgence médicale. Si tout se passe pour le mieux néanmoins, le Japon prévoie de connecter d'autres régions rurales et d'ajouter sur le trajet du bus autonome d'autres arrêts comme la banque et les centres commerciaux. En tout cas le bus autonome se déploie sur les routes des smart cities comme à la campagne."
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REGARDS SUR LE NUMERIQUE | Shuffle city, une interface pour la ville intelligente - 0 views

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    "Le cabinet de design Alloybuild imagine avec Shuffle City (ou ville-navettes) un scénario de développement alternatif pour les villes américaines. Ce projet propose une exploration visuelle d'un Boston libéré de ses infrastructures de stationnement, qui porte au passage une vraie recommandation politique pour la ville intelligente : dépasser radicalement le modèle de propriété de la voiture."
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Le financement incertain des transports publics, Actualités - 0 views

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    "Le secteur des transports en commun ne veut pas être la première victime de la suspension de l'écotaxe. Il y a quelques mois, le gouvernement a lancé un appel à projets pour favoriser le développement des transports urbains, avec une enveloppe de 450 millions d'euros à la clef. Nouvelles lignes de tramways, de bus ou encore de navettes fluviales : près de 120 projets ont été présentés par des collectivités locales, qui escomptent obtenir grâce à cette démarche le coup de pouce nécessaire pour boucler leur dossier. Problème : c'est l'Agence de financement des infrastructures de transport (Afitf) qui doit apporter les 450 millions. Or les ressources de l'Afitf pour 2014 devaient être générées en grande partie... par le produit de l'écotaxe poids lourds. Le Groupement des autorités en charge de transport (GART), qui regroupe les élus suivant ces dossiers, redoute donc que le choix des projets à financer ne soit repoussé. Une préoccupation d'autant plus aiguë que les élections municipales approchent..."
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Sky tran : le transport du futur bientôt dans nos villes - Le journal du Week... - 1 views

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    "Le sky tran est un moyen de transport révolutionnaire mis au point par les ingénieurs de la Nasa, et qui pourrait voir le jour à Toulouse. Pour certains, ces navettes suspendues permettraient de limiter les embouteillages."
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Dans les coulisses du métro automatique de l'aéroport de Roissy - 0 views

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    "Avant le CDGVal, un autre mode de transport était prévu pour acheminer le public aux différents terminaux de Roissy. Le SK 6 000, du nom de ses créateurs Soulé et Kermadec, un système de télécabines tractées par câble aurait ainsi dû voir le jour en 1996. Son avantage : il est deux fois moins cher que le métro automatique. Seulement, ce mini-métro, qui fonctionne pendant un temps au parc des expositions de Villepinte (93), s'avère peu adapté à un aéroport : les navettes sont trop lentes et pas assez fréquentes pour absorber le flux de voyageurs de Roissy et le risque de pannes est important. Surtout, la sécurité n'est pas assurée. « Les télécabines ne s'arrêtaient pas mais ralentissaient aux stations, se souvient Augustin de Romanet, PDG d'ADP, alors à la direction du Budget qui avait pu emprunter le SK en test sur la plate-forme. J'ai moi-même failli me prendre une porte. Alors j'imaginais difficilement la japonaise de 80 ans avec sa malle Vuitton l'emprunter. On ne pouvait pas se permettre un col du fémur cassé par jour ». Après sept ans de travaux et de déboires techniques, le SK est officiellement enterré par ADP en juin 1999… avec une ardoise salée d'1Md de Francs (soit 194 M€) à régler. Une histoire qui rappelle celle de Noisy-le-Grand où le SK a également été testé (1 km de voies aménagé et des cabines achetées)… pour être finalement abandonné en 1993 constituant l'un des plus grands désastres financiers du département."
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Quelles alternatives à la voiture individuelle, hors des villes ? - 0 views

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    "Navettes, covoiturage, vélos électriques… certaines métropoles comme Orléans ou Saint-Nazaire développent des alternatives."
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En banlieue parisienne, la colère monte contre « le train des riches » | L'in... - 0 views

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    "« Les gens voient bien que les trains du quotidien ne sont pas la priorité, contrairement à ce qui est affirmé officiellement. La frustration monte ». Pour Arnaud Bertrand, usager quotidien du RER et fondateur de l'association Plus de trains, la confirmation du CDG Express par le gouvernement, annoncée ce 6 février, risque de provoquer une colère sans précédent parmi les millions d'utilisateurs quotidiens du réseau de transports de la région parisienne. La navette CDG Express, surnommée « le train des riches » (lire cette chronique dans Le Monde), doit relier la gare de l'Est, à Paris à l'aéroport de Roissy, en 20 minutes et au prix de 24€ l'aller. Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec les transports en Ile-de-France, ce projet ne doit pas être confondu avec le Grand Paris Express, le futur super métro souterrain et ses 70 gares, dont le coût total est évalué à près de 40 milliards d'euros."
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Le véhicule autonome ne peut s'envisager que partagé - 0 views

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    "Les élus sont donc confrontés à un enjeu majeur : comment réduire les fractures territoriales ? Le véhicule autonome semble être la « solution miracle »… Chacun se met à rêver de villes sans pollution, ni congestion, où la mobilité serait accessible à tous les citoyens : enfants, personnes âgées, personnes handicapées, avec ou sans permis de conduire, et ce, en toute sécurité et sans incivilité. Toutefois, il ne faudrait pas que cette innovation révolutionnaire tourne au cauchemar. En effet, si le véhicule autonome est utilisé individuellement, à nombre constant de véhicules, le trafic automobile ne cessera de croître pouvant entraîner une hausse de la congestion de l'ordre de 20 à 30 %… Pour permettre au véhicule autonome de tenir toutes ses promesses - offrir le droit à la mobilité au plus grand nombre de citoyens, réduire les fractures territoriales, améliorer la qualité de l'air -, les élus locaux ont un rôle essentiel à jouer. Il leur faut œuvrer à ce que le véhicule autonome soit partagé, et l'intégrer dans leur stratégie globale de mobilité. Par exemple, une flotte de véhicules autonomes partagés ou une navette à la demande en rabattement direct avec les lignes de transport public permettront de drainer les voyageurs vers des lignes « rapides » à la place des voitures particulières. Les collectivités locales pourront ainsi étoffer leurs offres pour les premiers et derniers kilomètres, dans les « déserts de mobilité », sur des plages horaires plus larges, ou encore pour les personnes en difficulté dans l'exercice de la mobilité, permettant de réduire la congestion en ville de plus de 20 %."
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Pourquoi tant de monde déteste le bus ? - 0 views

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    "Réparer le système de bus coûte bien moins cher que de réparer le train. Le bus est un très petit marché aux yeux d'un économiste, mais très important pour la société. Il ne peut se permettre de proposer le calvaire du Noctilien alors que pour concerner le plus grand nombre, il est en compétition avec Uber, avec Tesla, qui savent donner envie (2). En prenant exemple sur les modes de transport qui ont réussi, le bus doit devenir l'iPhone des modes de transport, comme le TGV a symbolisé l'excellence technologique avant lui. En matière d'image, il faudra commencer par le visuel. Cesser de transformer chaque usager du bus en homme sandwich. Personne ne veut monter dans un véhicule entre deux pubs pour du fromage et des abonnement téléphoniques. Le marquage des véhicules devra lui aussi moins faire la promotion de l'autorité de transport, de la mairie ou de la régie, dont les logos et couleurs envahissent les parois des véhicules. Les services de mobilité partagée privés, comme les navettes d'entreprise ou aéroport, exhibent des véhicules qui ressemblent à des berlines haut-de-gamme. Des couturiers renommés se chargent du design des sièges de train. Pourquoi pas des sièges de bus ? Certaines agglomérations font des efforts sur l'image projetée par leurs moyens de transports, mais elles sont trop peu nombreuses."
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Opinion | Mobilité et tourisme urbain : qui va gagner la bataille du numériqu... - 0 views

  • Selon le dernier baromètre App Annie, ces 4 applications sont parmi les 10 plus téléchargées au monde… c’est dire l’impact que ces nouvelles fonctionnalités auront sur l’expérience des touristes. De son côté, la puissance publique s’est emparée du sujet de la mobilité touristique depuis quelques années, mais avec une approche centrée sur l’offre. Il n’y a qu’à se balader dans la plupart des capitales européennes pour apercevoir le panel de solutions mis à disposition des touristes : navettes aéroport-centre-ville, autobus, vélos en libre-service, trottinettes, mais aussi tarifications spécifiques ou encore pass touristiques… Entre les offres qu’elles gèrent directement et celles qu’elles tentent de réguler (la dernière en date est celle des bus touristiques à Paris), les autorités parient également sur un potentiel de recettes supplémentaires pour financer leurs réseaux "classiques".
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    "Les géants du numérique ont compris l'intérêt d'intégrer la mobilité urbaine dans leur stratégie et multiplient depuis peu les signes en ce sens. Google, après avoir fermé son service "Trips" a lancé son assistant de voyages "Travel". Intégrant les fonctionnalités de Google Flight, ainsi que toute la puissance de Google Maps, il deviendra progressivement l'outil n° 1 des touristes urbains. Booking de son côté a signé des partenariats avec deux géants du VTC : Grab et Didi. Progressivement, les entreprises de transport seront intégrées dans les services proposés par Booking.com, et les services d'hébergement seront disponibles depuis les applications de Grab et Didi. AirBnb n'est pas en reste, et vient de nommer Fred Reid comme directeur de la division transport… un signe ? Enfin, Uber met les bouchées doubles pour améliorer l'expérience de ses clients dans les aéroports et intègre progressivement de nouveaux modes de déplacement dans son app."
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Startup CrossWater Reimagines the Future of Autonomous Water Taxis - Pop-Up City - 0 views

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    "Startup CrossWater is working on autonomous public transport by water. The goal is to have 1 million self-propelled water-taxis in cities all over the world by 2025. We spoke with founder Ral Oz."
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Travailleurs de partout, travailleurs de nulle part - 0 views

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    "10 millions de personnes, soit 40% des actifs (non ce n'est pas une erreur) peuvent être considérées comme des travailleurs mobiles. Ils sont sur le terrain, prennent souvent leur service directement sur leur "lieu de travail" (chez un client, un patient,…), qui peut changer chaque jour voire plusieurs fois par jour. Ils sont agents de sécurité, de maintenance, de surveillance, de nettoyage, artisans, commerciaux, livreurs, soignants,...Pour eux la mobilité est forcément individuelle et motorisée. Ils ne sont pas identifiés correctement par l'étude des déplacements "domicile-travail" ni des "déplacements professionnels". Quand vous êtes chauffeur ou aide à domicile et effectuez 50 à 120 km vers plusieurs destinations différentes chaque jour, se déplacer fait partie intégrante de votre activité. Et toute hausse des coûts de déplacement compte double pour vous."
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Les travailleurs mobiles, un angle mort des politiques publiques - Horizonspublics.fr - 0 views

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    "Cette anonymisation s'accompagne également de leur éclatement géographique. Technicien de ménage, artisan, réparateur, technicien de maintenance, etc., peuvent travailler sur plusieurs sites quelques heures par jour. Un technicien de ménage peut enchaîner jusqu'à six sites différents au cours d'une même journée."
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