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La gratuité des transports en commun - 0 views

  • mon objectif est de vous informer de la création de la page wikipédia « Gratuité des transports en commun« . Cette page n’existait pas encore récemment, ce qui semble surprenant au vu de l’actualité récente sur le sujet et au vu de l’expérience française en la matière. J’ai donc entrepris de la traduire partiellement de l’anglais mais en la « francisant » quelque peu. Surtout, j’ai essayé de conserver l’esprit de neutralité propre à une encyclopédie comme Wikipédia. Et la chose n’est pas forcément évidente sur un tel sujet! Chacun se fera son idée et il faut rappeler de toute manière qu’un article Wikipédia est destiné à être modifié, amélioré, amendé, etc.
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    "La gratuité des transports en commun est un sujet que les professionnels de la communication diraient « clivant ». Il y a les farouchement « pour » et les farouchement « contre » comme si le véritable débat relevait de choix idéologiques, entre partisans « bolchéviques » et opposants « ultra-libéraux » de la gratuité. Certains brandissent la gratuité comme une arme anticapitaliste, d'autres alimentent les peurs en parlant de « faillite des transports publics ». Difficile d'avoir un débat serein sur le sujet et on a même pu le constater récemment sur Carfree France lorsqu'on a fait état des propos du président de la FNAUT affirmant que « la gratuité est une idée dangereuse« . Disons-le tout de suite, dans les faits, il est difficile de connoter politiquement la gratuité des transports publics, qui a été mise en place par des élus de l'ensemble de l'échiquier politique (de l'UMP à Compiègne au PC à Aubagne). Lors des dernières élections municipales, la proposition de la gratuité a été portée par des listes de gauche comme de droite. Alors, la gratuité est-elle vraiment dangereuse et si oui, pour qui ou pourquoi? Il y a quand même quelque chose qui devrait alerter les personnes critiques de la gratuité. Une vingtaine de villes en France ont instauré la gratuité des transports en commun depuis 1971. A vrai dire, aucune n'est revenue en arrière, mis à part peut-être le cas très spécifique de Provins, où la gratuité s'est arrêtée en 2000, mais il s'agissait d'une exception historique qui datait de l'époque d'Alain Peyrefitte! Si toutes ces villes trouvaient la gratuité « dangereuse », ou même tout simplement trop chère, inefficace ou inutile, on peut supposer qu'elle l'auraient supprimée. Et pourtant, c'est plutôt l'inverse que l'on constate, à savoir une accélération du nombre de villes qui passent à la gratuité sur la période récente. Lors des d
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Les opposants à la gratuité - 0 views

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    "La gratuité a donc le vent en poupe, elle apparaît comme une solution qui répond à la fois aux enjeux environnementaux, en favorisant les alternatives à l'automobile, et aux enjeux sociaux, en favorisant le droit au transport et le pouvoir d'achat des ménages. Or, les 9 et 10 janvier derniers, la FNAUT et l'UTP ont voté une « position commune » dont le titre en lui-même est évocateur: « Pour un développement durable du service de transport public, non à la gratuité totale« . Cette position commune se présente comme un argumentaire détaillé contre la gratuité, il permet donc de mieux cerner ce qui soude et réunit les opposants à la gratuité des transports en commun. Venant de la FNAUT et de l'UTP, deux associations sérieuses et respectées, on s'attend donc à un argumentaire en béton qui va réduire à néant les « illusions de la gratuité ». On va être déçu. Déjà, le titre du communiqué en dit long, cela pourrait être un jeu de mots, mais il s'agit plus probablement d'une énième utilisation éculée du terme « développement durable ». Car ici, il ne faut pas comprendre que le transport public serait éventuellement un outil du développement durable, mais plutôt que le seul moyen de « développer » le transport public sur le long terme est de le rendre payant pour les usagers. Cette seule affirmation est déjà un non-sens car dans les faits, les recettes commerciales, c'est-à-dire la vente de titres de transport, représentent une très faible part du financement des transports en commun, allant d'en moyenne 15% pour les petites agglomérations à 23% pour les plus grandes agglomérations de France (1). Dit autrement, le financement des transports en commun en France est déjà assuré entre 77% et 85% par les contribuables et les entreprises. Bien pire, dans certaines villes, les recettes de billetterie sont inférieures aux frais de perception (2). Ce qui veut dire, tenez-vous bien, qu
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Les « Gilets jaunes », un peuple de la route - Délinquance, justice et autres... - 0 views

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    "Une référence commune, la route Les formes spatiales du mouvement correspondent à un monde bien particulier, celui de la route ; la route et non la rue, par définition urbaine. Car c'est bien ce ruban d'asphalte des mobilités extra-urbaines qui voit fleurir depuis plusieurs semaines non seulement des actions mais aussi des revendications d'un groupe qualifié de protéiforme. Avant même les journées de manifestations au cours desquelles ils se sont déplacés dans la rue, symbole d'une certaine citadinité, c'est sur la route qu'ils se sont reconnus et fait connaître. Et s'il est encore difficile d'établir une typologie des acteurs du mouvement, ils s'identifient avant tout par un dénominateur commun : celui d'être des usagers de la route qui, bien au-delà de sa seule fonction, incarne un mode de vie, une composante de l'Habiter comme expérience géographique du rapport des individus et des groupes à l'espace. Mobilisés d'abord contre la hausse des taxes du diesel (leur carburant de prédilection), adoptant comme étendard le gilet jaune (obligatoire dans chaque véhicule), ils se sont rassemblés autour des carrefours et des axes routiers en appelant comme signe de soutien le « klaxon ». Il s'agit donc à l'origine d'un mouvement d'automobilistes, du moins de personnes témoignant d'un attachement à la route, un territoire qu'ils occupent, revendiquent et tentent de rendre visible."
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Department For Transport - It's Everyone's Journey (pubs anglaises par Nexus / Smith & ... - 0 views

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    "Si il y a bien un pays qui produit un tas de pubs 2D bien classes, c'est bien l'Angleterre (et même si ils sortent du programme MEDIA, ça ne changera sans doute pas ça). En témoigne cette campagne animée en 2 spots baptisée Department For Transport - It's Everyone's Journey, dont l'idée est de promouvoir les bons comportements de chacun dans les transports en commun londoniens, en particulier envers les personnes souffrant de handicaps. C'est produit le studio Nexus, réalisé par Smith & Foulkes, et à la direction de l'animation on retrouve Bishoy Gendi."
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Et si les transporteurs publics faisaient plus... - A lire ailleurs - 0 views

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    "Aux Etats-Unis, les femmes utilisent plus massivement les transports publics que les hommes (55% des voyageurs sont des femmes, mais ce taux monte jusqu'à 64% à Philadelphie). La raison principale : le fait que leurs salaires soient moins élevés que ceux des hommes, explique Sarah Goodyear pour le CityLab. Mais le fait qu'elles l'utilisent plus que les hommes ne veut pas dire qu'elles s'y sentent bien. Pourtant, les transports en communs sont encore bien peu adapté à ce public.  "Les responsables du marketing de nombre de produits de consommation font très attention aux femmes, notamment parce que ce sont les femmes qui font la plupart des achats dans les familles. Imaginez si plusieurs systèmes de transports en communs aux Etats-Unis commençaient à faire la même chose. Le résultat créerait sans doute des systèmes de transports meilleurs et plus attractifs pour tous.""
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La gratuité des transports en commun va-t-elle faire décroître l'usage de la ... - 0 views

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    "Plusieurs collectivités ont engagé une réflexion sur la gratuité des transports publics en Île-de-France. Cette démarche s'inscrit dans un débat autour de la place de la voiture en zones denses, qui, outre la consommation d'espace, génère une pollution perçue comme étant la première cause d'anxiété chez les habitants. L'Île-de-France détient le record d'Europe de bouchons, avec 400 km recensés quotidiennement. Il s'agit ainsi, avec cette mesure, de rendre les transports en commun plus attractifs. Cela va-t-il vraiment se passer comme le pensent les initiateurs de la gratuité ? Ces débats lancés par les responsables politiques autour de la gratuité des transports publics, du péage urbain montrent bien que le couple actuel « plus d'infrastructures et régulation des flux automobiles par la congestion » interroge sur sa soutenabilité et son efficacité en matière environnementale, dont les enjeux sont colossaux et urgents. Les records annuels toujours dépassés en matière d'émissions de CO2 et de températures appellent à des mesures à forts impacts (voir, à ce titre, un récent article du blog du Monde, très bien documenté et particulièrement alarmant[1])."
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Le trottinettiste, ce nouveau « Jay-Walker » - Innovation & mobilité - 0 views

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    "Les auteurs, comme les commentateurs et les pouvoirs publics, sont parfois tentés de considérer les 92% d'usagers restant (ces trottinettistes qui auraient été piétons, cyclistes ou usagers de transport en commun), comme négligeables, peu dignes d'intérêt. Ils avaient déjà une alternative vertueuse, peut-être même plus vertueuse. Il s'agit là d'un raisonnement en silo, et non en système. Si on raisonne en système de mobilité, on doit considérer le « système voiture » et le « système MaaS - Mobility as a Service », qui s'opposent pour une large part (Olivier Razemon nous rappelle à raison qu'il ne faut pas hésiter à les opposer, c'est même salutaire). En incluant dans le MaaS bien plus que l'application multimodale qui nous est marquetée aujourd'hui, mais tous les services et infrastructures mis à notre disposition pour nous déplacer sans voiture individuelle. Il faut donc y inclure la marche aussi bien que le vélo, les transports en commun, les services de vélo-trottinettes libre-service, et les VTC-taxis dans une certaine mesure."
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Bâti 2030: La mobilité, un facteur de mutation urbaine - 0 views

  • Si les politiques ne semblent pas toujours l'avoir compris, les urbanistes et spécialistes des transports sont eux bien conscients de la direction dans laquelle doivent se porter les efforts : la modification des comportements, et non la multiplication des infrastructures ou des types de transport. Comme le dit Jean-Christophe Chadanson, directeur d’études à l’Agence d’urbanisme de la Communauté Urbaine de Bordeaux, « il faut passer d’un modèle où on a investi beaucoup d’argent dans les infrastructures à un autre où on met aussi de l’argent dans ce qui favorise la marche, le vélo et les changements de comportement. Chacun doit devenir multimodal, prendre un jour la voiture, un autre le vélo, la marche, les transports en commun. Ce comportement, il faut l’aider à émerger, c’est une autre forme d’investissement ».
  • L'équilibre à atteindre entre l'efficacité des transports et la limitation de leurs nuisances incitent à concevoir, plutôt que de nouveaux moyens de transport, de nouvelle façon d'appréhender la mobilité. En ce sens, de nouveaux concepts tendent à émerger, comme l'holoptisme, c'est-à-dire l'intelligence collective, qui permettrait de manière positive à chaque citoyen de mesurer son impact dans la société et son environnement et d'adapter ses comportements. Le covoiturage participe d'une certaine manière de ce concept, mais certaines sociétés ont développé des applications propres comme GoToo, qui permet à son utilisateur de gagner des points à mesure qu'il se déplace de manière responsable.
  • Autre idée en vogue, l'économie de fonctionnalité. Il s'agit ici de remplacer la vente pure et simple d'un produit par la vente d'un service, qui permet à la fois de réaliser des économies pour son utilisateur (vous ne payez que ce que vous consommez réellement) comme pour le prestataire. Elle propose soit un modèle serviciel centré sur l'usage (mise à disposition d'un véhicule que je paye en fonction du nombre de kilomètres), soit un modèle de solution intégrée (comme l'Autolib'). Les champs de l'innovation sont ici infinis et peuvent permettre de répondre, de manière subtile et équilibrée, aux enjeux de la mobilité aujourd'hui. La multiplication des stations de rechargement des fameuses BlueCars est déjà un signe visible de cette économie de la fonctionnalité.
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  • Aujourd'hui, c'est la "sanctuarisation" de certains espaces, réservés aux piétons et transports en commun, qui modifie profondément le paysage urbain. Nécessité économique et sécuritaire, la mobilité concentre aujourd'hui un grand nombre des contraintes produites par l'urbanité : densité de population, taille des agglomérations (donc nécessité d'un réseau de transports rapides et denses), pollution, nuisances diverses, sécurité, etc. Mais les meilleures infrastructures ne peuvent entraîner de modifications des comportements si elles n'apportent pas de progrès visibles. Face à l'urgence des contraintes, et notamment la disparition programmée du pétrole, l'innovation en matière de mobilité sera à l'origine, ou au moins un facteur important, d'évolution rapide de nos villes. Reste à savoir quelle mobilité nous voulons et donc à quoi ressemblera la ville de demain. Verticale ?
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    "Qui l'eût cru ? La mesure de circulation alternée, mise en place lundi à Paris et alentours, a été, si l'on reste au premier niveau d'analyse, un succès : 25% à 30% de bouchons en moins (voire même 60% sur certains axes aux heures de pointe) ; seulement 143 kilomètres d'embouteillage en Ile-de-France (contre deux fois plus habituellement) ; 90% de véhicules à numéro impair, 5 122 contraventions ; 61% et 33% de hausse respective des locations pour le Vélib' et l'Autolib'. Cette mesure (presque) nouvelle en France (elle existe par exemple à Sao Paulo sous le nom de "rodízio municipal") a modifié sur une journée la manière dont la population de Paris appréhende les transports quotidiens : transports publics, vélo, covoiturage et même congés exceptionnels. L'espace urbain lui-même s'en est trouvé modifié avec la réduction de la pollution, des nuisances sonores mais aussi de la pollution visuelle. Le signe que peu à peu, les "nouvelles" mobilités peuvent changer la ville. Les campagnes électorales, et notamment celles pour la Mairie de Paris, sont révélatrices des enjeux qui entourent la question des transports en milieu urbain. Si ces derniers continuent de répondre à leur mission première, à savoir permettre le déplacement quotidien des habitants, ils sont aujourd'hui confrontés à des contraintes contradictoires : d'un côté, ils doivent être plus performants, plus rapides et plus denses ; de l'autre, ils sont censés être sûrs, rentables, peu onéreux tout en étant respectueux de l'environnement et silencieux. Un vrai casse-tête chinois ! Or, aujourd'hui, et c'est ce qui apparaît dans la plupart des programmes politiques, le débat sur les transports à Paris oppose les détracteurs de la voiture, qui considèrent que ses nuisances sont trop importantes par rapport à ses apports en milieu urbain, face à ses partisans, qui n'y voient pas d'alternatives crédibles. L'absence de nouvelles solutions ? Cette dualité peut
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La double peine de ceux qui habitent loin - Libération - 0 views

  • Côté transport d’abord, un premier paradoxe est que les investissements réalisés en faveur des transports collectifs ont principalement profité aux habitants des centres urbains, et donc aux couches les plus aisées. Ces dernières décennies, des investissements significatifs ont cependant été consentis pour améliorer la desserte des banlieues et des espaces périurbains, mais les limites semblent bien être atteintes : entre 2000 et 2012, la surface des zones délimitées par les «périmètres de transport urbain» a doublé ; corrélativement, la densité des territoires desservis a baissé de 30 %, passant d’environ 1000 habitants au km² à moins de 700. Et cela, sans que la «part de marché» des transports collectifs augmente de manière significative.
  • Côté logement ensuite, on aboutit à un constat semblable : l’étalement urbain n’a pas permis, loin s’en faut, de juguler l’augmentation des prix immobiliers. D’où un autre paradoxe : la part du logement dans le budget des ménages a pratiquement doublé depuis 1970. Et cela, malgré un effort significatif de l’Etat dans divers mécanismes d’aide au logement, au point que certains analystes avancent l’idée que ces mécanismes ont contribué eux-mêmes à alimenter la spéculation immobilière.
  • Les transports et leurs infrastructures ne doivent plus être simplement considérés comme une sorte de variable d’ajustement pour compenser l’absence de régulation des marchés fonciers et immobiliers, mais bien plutôt comme une composante à part entière d’un urbanisme plus économe d’espace et d’énergie en même temps qu’à taille plus humaine. Cela passe par la mise en place de dispositifs qui permettent aux communes de récupérer une part significative de la rente foncière, avec des obligations de résultats quant aux possibilités offertes aux couches modestes et aux classes moyennes d’habiter dans les villes centres ou en proche banlieue.
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    "Il faut aller au-delà, car le temps presse. Les transports et leurs infrastructures ne doivent plus être simplement considérés comme une sorte de variable d'ajustement pour compenser l'absence de régulation des marchés fonciers et immobiliers, mais bien plutôt comme une composante à part entière d'un urbanisme plus économe d'espace et d'énergie en même temps qu'à taille plus humaine. Cela passe par la mise en place de dispositifs qui permettent aux communes de récupérer une part significative de la rente foncière, avec des obligations de résultats quant aux possibilités offertes aux couches modestes et aux classes moyennes d'habiter dans les villes centres ou en proche banlieue. Il faut aussi légiférer pour mettre un terme à l'urbanisation des terres agricoles. Et enfin, agir concrètement pour la mixité sociale, et quand cela est nécessaire, pour la mixité fonctionnelle des noyaux centraux de nos villes et de leurs banlieues."
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Des transports gratuits ? Non des transports communs - 0 views

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    "Et si le débat sur la gratuité des transports, relancé à Paris et en Île-de-France, était autant une question de sémantique que de choix de société ? Sociologue spécialiste de la mobilité, Bruno Marzloff livre son analyse. Dunkerque ou Paris relancent bruyamment la question de la gratuité des transports publics. La ville championne mondiale du gratuit, Tallinn (440.000 habitants, Estonie), revendique depuis 2012 l'efficacité d'une mesure généralisée aux résidents. Pourtant les réticences s'arc-boutent, ranimant une controverse qui s'embrase à chaque annonce. Sans doute faut-il changer de focale et de vocabulaire. Parle-t-on vraiment de gratuit ou de commun ? Ne retourne-t-on pas à l'essence des transports comme bien commun ? Les transports publics gratuits recruteraient surtout des marcheurs et des cyclistes. C'est un des arguments des détracteurs de la gratuité. Pas faux, mais elle recrute aussi des laissés pour compte de la mobilité, et par ailleurs on ne cesse de croiser d'autres déserteurs de la marche sur des vélos et des trottinettes électriques. Autre réplique, la gratuité serait inflationniste. En effet, et c'est même l'objectif de permettre à plus d'usagers d'accéder à une mobilité choisie et raisonnée. Objection plus forte : la vérité des prix ? Mais elle n'a jamais existé pour l'usage de la voiture particulière."
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Mortalité, pollution: sur la route des inégalités | AlterEco+ Alterecoplus - 0 views

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    "Face aux accidents de la route et à la pollution automobile, nous sommes « tous responsables », nous dit la prévention routière. Ne pas rouler trop vite, bien attacher sa ceinture, ne pas conduire sous l'emprise de l'alcool… C'est par l'attitude attentive et prévoyante de chacun que, à en croire la communication officielle, les drames pourront être évités et la planète préservée. Des messages pleins de bon sens, mais qui occultent un fait désormais bien établi par les sociologues : l'inégalité des diverses classes sociales en matière d'exposition à la mortalité routière et de contribution à la pollution environnementale."
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Se rendre à vélo au travail rend plus heureux - 0 views

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    "Naturellement, le faible temps de trajet entre le domicile et le travail participe à ce bien-être. Mais ce n'est pas la seule raison. A temps de trajet équivalent, les cadres cyclistes se disent davantage satisfaits de leurs bureaux que leurs collègues empruntant les transports en commun. Les cyclistes ont la même note de bien-être que ceux qui viennent à pied au travail, pourtant ces derniers ont en moyenne un temps de trajet plus court."
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Géographies en mouvement - Jamais sans mon SUV - Libération.fr - 0 views

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    "Longtemps habitué aux autoroutes urbaines nord-américaines, le SUV (Sport utility vehicle) commence à investir le paysage des villes européennes. Un succès en contradiction avec les préoccupations écologiques du moment et avec un usage rationnel des espaces urbains. 200 millions dans le monde, dont 600 000 en France. C'est le nombre de SUV en circulation en 2019, près de six fois plus qu'en 2010, où un modeste total de 35 millions de descendants du tout-terrain roulaient sur la planète. Alors que les classes moyennes des pays émergents, Chine en tête, adoptent de plus en plus d'aspects des modes de vie occidentaux, les SUV représentent aujourd'hui 40% des ventes de véhicules neufs à travers le monde. En Europe, la palme revient à la Suisse, où prospérité économique rime avec grosses bagnoles: plus de la moitié des voitures neuves vendues sont des descendantes des tout-terrain. LES SUV À L'ASSAUT DU CLIMAT Fin 2019, l'Agence internationale de l'énergie publiait une étude sur l'impact énergétique de ces véhicules en train de devenir la normalité, après avoir été réservés aux routes nord-américaines et aux pistes de la savane africaine et du bush australien. Le résultat a de quoi décourager les plus optimistes: loin derrière la production d'électricité mais devant l'industrie lourde et l'aviation, les SUV sont le deuxième contributeur à l'augmentation des émissions mondiales de CO2 entre 2010 et 2018. Avec plus de 700 mégatonnes de dioxyde de carbone, leurs émissions annuelles équivalent à celles de la Grande-Bretagne et des Pays-Bas réunis. On a là un parfait exemple d'effet-rebond, mécanisme bien connu en économie de l'énergie. À poids égal, les voitures consomment moins qu'avant grâce aux progrès techniques… ce qui permet de produire de plus gros modèles et de continuer à consommer autant, voire plus. Sans oublier les SUV électriques, «solution» esquivant les vrais enjeux:
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DHL a refusé de la livrer : sa commune est une « zone à risques » - Rue89 - L... - 0 views

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    "C'est en tombant sur un de nos anciens articles, que Sylvie (le prénom a été changé) nous a contactés. En 2010, Rue89 relatait le témoignage de Mylène Rozet, « victime » de Darty. A l'époque, la jeune femme de Pantin avait dû batailler pour se faire livrer un frigo, au motif qu'elle habitait une « zone à risques ». Cette histoire a bien des points communs avec celle de Sylvie qui a voulu nous confier la sienne."
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Embouteillages monstres, travaux secrets… 6 arguments faux contre le « plan v... - 0 views

  • 1. Non, le « plan vélo » n’a pas été « lancé en secret » et a même été voté à l’unanimité
  • 2. La mairie et la région proposent bien des alternatives
  • « L’anticipation et la concertation ne font pas partie des plans », a-t-on pu entendre sur RTL, ou « aucune alternative n’est proposée » parmi les détracteurs de la politique municipale, peut-on lire dans Le Parisien. Il existe pourtant des alternatives, très nombreuses, à l’automobile à Paris et dans la proche banlieue : 3 890 km de lignes de bus, avec des couloirs réservés pour fluidifier leur passage ;la Ville de Paris est la première capitale d’Europe la mieux dotée en matière de transports en libre-service (Autolib’, Vélib’, etc.), avec 105 vélos pour 10 000 habitants et 19 voitures pour 10 000 habitants, rapporte Le Parisien ;la ville propose des aides à l’achat de véhicule propre (Paris et proche banlieue) ;Paris dispose d’un métro de grande qualité : 100 % de la population est couverte par un moyen de transport en commun à moins de 1 km ;Enfin Paris et la petite couronne bénéficient d’un tramway périphérique – dont la construction est presque terminée – et qui reliera à terme tous les arrondissements périphériques. Comme le rappelait La Tribune en 2014, comparée à Londres par exemple, Paris brille par une capacité moyenne trois fois supérieure dans ses rames – jusqu’à atteindre saturation sur certaines lignes aux périodes de pointe. Le vélo est justement une des alternatives aux transports en commun, si des pistes cyclables sont en nombre suffisant. Et avec un ticket à 1,90 euro (14,90 euros le carnet de 10), Paris propose un service meilleur marché que la capitale britannique (tarif variable mais situé globalement entre 3,80 euros et 6,50 euros selon la formule). Enfin, selon le bilan des déplacements 2014, 97,9 % des métros sont à l’heure ; un chiffre qui baisse à 87,5 % pour le RER et 88,6 % pour le Transilien, le bus s’en sort un peu mieux avec 90,6 % de ponctualité.
  • ...8 more annotations...
  • 3. Non, le « plan vélo » n’a pas créé les embouteillages
  • Pourtant, le fait de réserver un peu plus d’espace à Paris aux piétons et aux vélos n’a eu qu’un léger impact sur la formation des bouchons, comme le confirment les études, puisqu’il « fallait 10,5 minutes pour traverser le boulevard Saint-Germain le matin en décembre 2015 [contre] 12,1 minutes en décembre 2016 », soit une minute et trente-cinq secondes de plus, environ 10 %, après une période en novembre 2016 où le temps est monté à 14,8 minutes explique Le Parisien. Des chiffres avec un recul d’un an qui semblent accréditer la thèse de « l’évaporation » d’une partie du trafic défendue par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France : moins de voies = moins d’automobiles. Par ailleurs, la circulation à Paris est un problème presque aussi ancien que la capitale française elle-même
  • 4. Non, favoriser le vélo ou les transports en commun plutôt que l’automobile n’est pas une mesure « anti-pauvres »
  • Les chiffres donnent tort à tous les deux, puisque selon un sondage réalisé par MV2 auprès de 1 127 usagers de la route en novembre 2015 pour la Mairie de Paris, 64 % des automobilistes qui circulent dans le centre de Paris appartiennent aux catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP+). Par ailleurs, selon le même sondage, 80 % des automobiles circulant dans le centre de Paris ne transportaient qu’une seule personne.
  • 5. Ce sont les automobiles qui ralentissent les véhicules de police ou de secours, pas les voies cyclables
  • Les voies cyclables à double sens, à l’image de celle du bassin de l’Arsenal ou des voies sur berges piétonnisées, sont également des voies d’urgence et peuvent être empruntées par les véhicules de secours.
  • 6. Ce sont les voitures qui prennent toute la place
  • Et pourtant, s’il y a une politique de rééquilibrage en faveur des piétons et des vélos, celles qui occupent tout l’espace à Paris, ce sont les automobiles : elles occupent 50 % des espaces publics pour seulement 13 % des déplacements. Et elles restent inutilisées 95 % du temps, selon Data Gueule. Dans la rue, une Clio (1,7 m × 4 m) occupe 7 m2 bien qu’elle soit qualifiée de citadine, face aux 7,6 m² du plus « compact » des SUV (1,78 m × 4,3 m), et parfois plus de 9 m² pour une berline (1,9 m × 4,8 m). En comparaison, un vélo n’a qu’une emprise au sol de 1 m² (60 cm × 1,75 m)… et les voies qui lui sont réservées dans la capitale représentent modestement 3 % de la totalité de l’espace public.
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    "Avec la réduction à une voie pour les véhicules motorisés sur les berges de Seine, la polémique sur la place de l'auto fait émerger nombre de contrevérités."
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Hanoi, Mumbai, Nairobi : inspirations pour la ville de demain ? - Demain La Ville - Bou... - 0 views

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    "De la nuée de mobylettes aux matatus colorés, le mix transport proposé par les différentes villes est à chaque fois unique et souvent déroutant. Hanoi se caractérise par un réseau de bus publics pour les transports collectifs et une utilisation massive de la mobylette  pour les transports individuels. Mumbai, bien plus étendue s'appuie quant à elle sur un réseau ferré riche complété par de nombreux bus publics, de taxis collectifs tandis que le transport individuel passe souvent par l'utilisation d'un triporteur de la nuée de tuk-tuks qui fendent la ville. A Nairobi, les transports en commun sont exclusivement assurés par des bus privés et la cartographie de ce « réseau » représente un vrai défi. Une partie du transport privé se fait par taxi et mobylette, tandis que posséder sa propre voiture reste, comme dans les deux autres villes-étapes le luxe d'une minorité. Dans les trois métropoles, la marche à pied reste un mode de transport très important."
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Votre téléphone pourrait vous permettre d'éviter d'avoir un accident de voitu... - 0 views

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    "Truffées de capteurs et toujours plus autonomes, les voitures pourraient bien se voir équipées de dispositifs leur permettant d'éviter de percuter des piétons dans l'avenir. C'est en tout cas l'objectif de chercheurs allemands de l'université technique de Munich (TUM). Toujours au stade de prototype, ce système nommé Ko-TAG «pourrait alerter le conducteur quand un piéton est sur le point de se trouver sur la trajectoire de la voiture», rapporte Fast Co.Design. Une communication entre le véhicule et l'individu qui s'appuie sur des transpondeurs, de «minuscules» dispositifs capables d'émettre et de recevoir des signaux, peut-on lire sur le site des scientifiques. Une technologie déjà très utilisée dans l'industrie automobile, note le site français Techno-car, par exemple dans le système de clé sans contact, également susceptible d'être facilement implantée dans des téléphones portables, ou sous «la forme d'une pastille, à glisser dans le cartable d'un écolier par exemple». Et Fast Co.Design d'en détailler le fonctionnement: «En faisant rebondir les signaux entre le transpondeur porté par un piéton et le capteur de la voiture, Ko-TAG peut calculer à quelle distance se trouve la personne et dans quelle direction elle se déplace, permettant à la voiture de préduire si une collision est ou non probable.» "
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Un espace dédié à la lecture numérique dans les aéroports - CNET France - 0 views

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    "Voilà qui rappelle bien sûr le projet Gares Digitales en France, qui propose aussi une partie lecture numérique, avec une offre proposée par Youboox, ou encore à l'étranger l'opération "Lire vous transporte" proposée dans les bus de la ville de Montréal de manière temporaire cette fois-ci.   Proposer un service de lecture numérique gratuit dans les transports est en effet certainement une des meilleures méthodes pour les acteurs du numérique de faire connaître leur offre et de démocratiser la lecture numérique tout en donnant la possibilité aux aéroports, gares et services de transports en commun d'offrir gratuitement un service supplémentaire à leurs usagers. "
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EZ-Link, la nouvelle carte de paiement à la mode asiatique - Transport Shaker... - 0 views

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    " EZ-Link est un portefeuille électronique prenant la forme d'une carte à puce s'utilisant sans contact, qui a été lancée en 2002. C'est un moyen simple et rapide de régler ses déplacements à Singapour et d'autres types de services. Elle utilise la technologie FeliCa de Sony et permet aujourd'hui de payer un bien ou un service dans plus de 10 000 points différents dans la Cité-État. Aujourd'hui essentiellement utilisé dans les services de transports en commun, cette solution tend à se généraliser et à évoluer technologiquement parlant."
[pop-up] urbain

Pourquoi les mannequins ne marchent-elles pas comme nous? | Slate.fr - 0 views

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    "Cet automne, Karl Lagerfeld a fait «manifester» ses mannequins à la fin du défilé Chanel printemps-été 2015. On les a vues marcher de manière presque familière, sauter, danser... Pourtant, ce n'est pas forcément cette image détendue et «normale» qui vient à l'esprit lorsque l'on imagine un top model sur un podium. Dans le catalogue de l'exposition Showtime. Le défilé de mode, le photographe Vincent Lappartient note en effet: «Les neuf dixièmes des présentations sont basés sur l'aller et retour des mannequins [...] ces passages, aux pas normalisés et chronométrés, sont propres au milieu de la mode [...] leur démarche doit être parfaite pour rendre homogène la présentation.» Parfaite, autrement dit, au-dessus du commun des mortels. Et parce qu'elle est normalisée, cette perfection peut donner l'impression que les mannequins marchent tous de la même façon, un peu comme des clones. Est-ce bien la réalité? Et pourquoi cette démarche si étrange?"
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