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[pop-up] urbain

« Faut-il doter les métropoles françaises de RER comme Paris ? » - 0 views

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    "Relancer les mobilités collectives implique donc aussi une réflexion sur la densité urbaine autour des arrêts. Les équilibres économiques sont centraux pour penser l'organisation des villes. Le plus grand accès au reste de la métropole, permis par un RER, provoque un accroissement de la demande sur le marché du logement à proximité des stations. Des études montrent que la rigidité de l'offre implique souvent une hausse des prix des loyers plutôt que l'accroissement de la capacité d'hébergement. Ce choc démographique est alors absorbé par les communes voisines, plus éloignées, ce qui conduit à un étalement urbain et… à un usage accru de la voiture."
[pop-up] urbain

Construire la ville des courtes distances: utopie ou avenir? - Economie.blog.lemonde.fr - 1 views

  • Là est le paradoxe de certains automobilistes qui s’échappent de la centralité urbaine pour retrouver l’air vivifiant de la campagne mais qui se retrouvent ainsi dépendants de la voiture individuelle.
[pop-up] urbain

Vivre dans une mini-maison à Pékin - SoonSoonSoon - 0 views

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    "découvrez la Egg House, une mini-maison écolo et design développée par le jeune architecte chinois Dai Haifei. Couverte de sacs remplis de graines de gazon et de sciure de bois, elle contient un lit, un réservoir d'eau, un lavabo, une table de nuit et une lampe alimentée par panneaux solaires. Bref, l'essentiel. Haifai y a vécu pendant deux mois en l'installant dans la rue, en face de son bureau. Une innovation qui s'inscrit parfaitement dans la tendance des tiny-houses qui explose aux États-Unis. "
[pop-up] urbain

Louer un alias pour faire la queue à votre place - SoonSoonSoon - 0 views

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    "Aux Etats-Unis, le nouveau service de Washington Express met à disposition des professionnels d'un nouveau genre. Leur mission: attendre à votre place pour vous faire gagner du temps. Il vous en coûtera 40$ pour une heure de queue devant une administration publique, un peu plus si c'est la Cour Suprême. Ce nouveau service, qui s'inscrit dans la tendance du "outsourcing your life", investit tous les domaines : vous voulez être le premier à acheter le nouvel iPhone? Apple vous propose un Professional iPhone Line Waiter, qui - moyennant quelques dizaines d'euros - fera la queue à votre place le jour du lancement. "
[pop-up] urbain

Brain Magazine - Page Pute - La ligne 13 parait tout à coup être un havre de ... - 0 views

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    Métro de Caracas the Venezualian Way
[pop-up] urbain

Bâti 2030: La mobilité, un facteur de mutation urbaine - 0 views

  • Si les politiques ne semblent pas toujours l'avoir compris, les urbanistes et spécialistes des transports sont eux bien conscients de la direction dans laquelle doivent se porter les efforts : la modification des comportements, et non la multiplication des infrastructures ou des types de transport. Comme le dit Jean-Christophe Chadanson, directeur d’études à l’Agence d’urbanisme de la Communauté Urbaine de Bordeaux, « il faut passer d’un modèle où on a investi beaucoup d’argent dans les infrastructures à un autre où on met aussi de l’argent dans ce qui favorise la marche, le vélo et les changements de comportement. Chacun doit devenir multimodal, prendre un jour la voiture, un autre le vélo, la marche, les transports en commun. Ce comportement, il faut l’aider à émerger, c’est une autre forme d’investissement ».
  • L'équilibre à atteindre entre l'efficacité des transports et la limitation de leurs nuisances incitent à concevoir, plutôt que de nouveaux moyens de transport, de nouvelle façon d'appréhender la mobilité. En ce sens, de nouveaux concepts tendent à émerger, comme l'holoptisme, c'est-à-dire l'intelligence collective, qui permettrait de manière positive à chaque citoyen de mesurer son impact dans la société et son environnement et d'adapter ses comportements. Le covoiturage participe d'une certaine manière de ce concept, mais certaines sociétés ont développé des applications propres comme GoToo, qui permet à son utilisateur de gagner des points à mesure qu'il se déplace de manière responsable.
  • Autre idée en vogue, l'économie de fonctionnalité. Il s'agit ici de remplacer la vente pure et simple d'un produit par la vente d'un service, qui permet à la fois de réaliser des économies pour son utilisateur (vous ne payez que ce que vous consommez réellement) comme pour le prestataire. Elle propose soit un modèle serviciel centré sur l'usage (mise à disposition d'un véhicule que je paye en fonction du nombre de kilomètres), soit un modèle de solution intégrée (comme l'Autolib'). Les champs de l'innovation sont ici infinis et peuvent permettre de répondre, de manière subtile et équilibrée, aux enjeux de la mobilité aujourd'hui. La multiplication des stations de rechargement des fameuses BlueCars est déjà un signe visible de cette économie de la fonctionnalité.
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  • Aujourd'hui, c'est la "sanctuarisation" de certains espaces, réservés aux piétons et transports en commun, qui modifie profondément le paysage urbain. Nécessité économique et sécuritaire, la mobilité concentre aujourd'hui un grand nombre des contraintes produites par l'urbanité : densité de population, taille des agglomérations (donc nécessité d'un réseau de transports rapides et denses), pollution, nuisances diverses, sécurité, etc. Mais les meilleures infrastructures ne peuvent entraîner de modifications des comportements si elles n'apportent pas de progrès visibles. Face à l'urgence des contraintes, et notamment la disparition programmée du pétrole, l'innovation en matière de mobilité sera à l'origine, ou au moins un facteur important, d'évolution rapide de nos villes. Reste à savoir quelle mobilité nous voulons et donc à quoi ressemblera la ville de demain. Verticale ?
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    "Qui l'eût cru ? La mesure de circulation alternée, mise en place lundi à Paris et alentours, a été, si l'on reste au premier niveau d'analyse, un succès : 25% à 30% de bouchons en moins (voire même 60% sur certains axes aux heures de pointe) ; seulement 143 kilomètres d'embouteillage en Ile-de-France (contre deux fois plus habituellement) ; 90% de véhicules à numéro impair, 5 122 contraventions ; 61% et 33% de hausse respective des locations pour le Vélib' et l'Autolib'. Cette mesure (presque) nouvelle en France (elle existe par exemple à Sao Paulo sous le nom de "rodízio municipal") a modifié sur une journée la manière dont la population de Paris appréhende les transports quotidiens : transports publics, vélo, covoiturage et même congés exceptionnels. L'espace urbain lui-même s'en est trouvé modifié avec la réduction de la pollution, des nuisances sonores mais aussi de la pollution visuelle. Le signe que peu à peu, les "nouvelles" mobilités peuvent changer la ville. Les campagnes électorales, et notamment celles pour la Mairie de Paris, sont révélatrices des enjeux qui entourent la question des transports en milieu urbain. Si ces derniers continuent de répondre à leur mission première, à savoir permettre le déplacement quotidien des habitants, ils sont aujourd'hui confrontés à des contraintes contradictoires : d'un côté, ils doivent être plus performants, plus rapides et plus denses ; de l'autre, ils sont censés être sûrs, rentables, peu onéreux tout en étant respectueux de l'environnement et silencieux. Un vrai casse-tête chinois ! Or, aujourd'hui, et c'est ce qui apparaît dans la plupart des programmes politiques, le débat sur les transports à Paris oppose les détracteurs de la voiture, qui considèrent que ses nuisances sont trop importantes par rapport à ses apports en milieu urbain, face à ses partisans, qui n'y voient pas d'alternatives crédibles. L'absence de nouvelles solutions ? Cette dualité peut
[pop-up] urbain

L'enfer, dans le métro parisien, c'est les autres - Métropolitiques - 0 views

  • Si la politique parisienne des transports – qui repose principalement sur la réallocation de la voirie des modes polluants (la voiture essentiellement) vers les modes propres (bus, tramway, vélos – a permis de réduire le trafic automobile dans la capitale française de 24 % entre 2000 et 2010, des millions de personnes en paient quotidiennement le prix. Outre les automobilistes, dont les déplacements sont désormais plus chronophages, les usagers des métros et des RER jouissent ainsi de conditions de déplacement plus inconfortables. L’offre de transports publics n’ayant pu croître au même rythme que la demande (+10 % et +22 % respectivement sur 2000‑2010), la densité de passagers dans les wagons a, en effet, substantiellement augmenté (+10 %), la régularité des dessertes restant constante (pour les métros tout du moins). On a lutté contre la congestion routière dans Paris par la congestion routière, ce qui a généré une autre forme de congestion, dans les transports publics ferrés de plus en plus bondés durant les heures de pointe.
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    "Dans le domaine médical, il n'est pas rare que les remèdes prodigués pour lutter contre une maladie s'accompagnent d'effets secondaires indésirables. À l'instar de la situation parisienne, la dégradation du confort des déplacements dans les transports publics peut être considérée comme la « rançon du succès » des politiques anti-voiture."
[pop-up] urbain

La voiture autonome pourrait éliminer les parkings et faire baisser les loyers - 0 views

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    "Pour se représenter la chose, ils précisent que ces taxis intelligents fonctionneraient à mi-chemin entre le principe du covoiturage et celui du transport de colis. Un modèle qui leur permettrait d'arpenter la ville 24h sur 24, en répondant en temps réel aux besoins de n'importe quel passager.   "Pour des villes de taille moyenne, il est concevable qu'un parc automobile de voitures partagées remplace totalement la nécessité des transports publics traditionnels", conclut le rapport. Avantage collatéral de la réduction du nombre de véhicules, la baisse des besoins en stationnement. Avec des économies à la clé. Car, comme l'explique une autre étude menée par Sightline , un institut d'études environnementales américain, le prix de revient du stationnement par habitant dans une métropole comme Seattle est estimé à 246 dollars par mois. "
[pop-up] urbain

La double peine de ceux qui habitent loin - Libération - 0 views

  • Côté transport d’abord, un premier paradoxe est que les investissements réalisés en faveur des transports collectifs ont principalement profité aux habitants des centres urbains, et donc aux couches les plus aisées. Ces dernières décennies, des investissements significatifs ont cependant été consentis pour améliorer la desserte des banlieues et des espaces périurbains, mais les limites semblent bien être atteintes : entre 2000 et 2012, la surface des zones délimitées par les «périmètres de transport urbain» a doublé ; corrélativement, la densité des territoires desservis a baissé de 30 %, passant d’environ 1000 habitants au km² à moins de 700. Et cela, sans que la «part de marché» des transports collectifs augmente de manière significative.
  • Côté logement ensuite, on aboutit à un constat semblable : l’étalement urbain n’a pas permis, loin s’en faut, de juguler l’augmentation des prix immobiliers. D’où un autre paradoxe : la part du logement dans le budget des ménages a pratiquement doublé depuis 1970. Et cela, malgré un effort significatif de l’Etat dans divers mécanismes d’aide au logement, au point que certains analystes avancent l’idée que ces mécanismes ont contribué eux-mêmes à alimenter la spéculation immobilière.
  • Les transports et leurs infrastructures ne doivent plus être simplement considérés comme une sorte de variable d’ajustement pour compenser l’absence de régulation des marchés fonciers et immobiliers, mais bien plutôt comme une composante à part entière d’un urbanisme plus économe d’espace et d’énergie en même temps qu’à taille plus humaine. Cela passe par la mise en place de dispositifs qui permettent aux communes de récupérer une part significative de la rente foncière, avec des obligations de résultats quant aux possibilités offertes aux couches modestes et aux classes moyennes d’habiter dans les villes centres ou en proche banlieue.
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    "Il faut aller au-delà, car le temps presse. Les transports et leurs infrastructures ne doivent plus être simplement considérés comme une sorte de variable d'ajustement pour compenser l'absence de régulation des marchés fonciers et immobiliers, mais bien plutôt comme une composante à part entière d'un urbanisme plus économe d'espace et d'énergie en même temps qu'à taille plus humaine. Cela passe par la mise en place de dispositifs qui permettent aux communes de récupérer une part significative de la rente foncière, avec des obligations de résultats quant aux possibilités offertes aux couches modestes et aux classes moyennes d'habiter dans les villes centres ou en proche banlieue. Il faut aussi légiférer pour mettre un terme à l'urbanisation des terres agricoles. Et enfin, agir concrètement pour la mixité sociale, et quand cela est nécessaire, pour la mixité fonctionnelle des noyaux centraux de nos villes et de leurs banlieues."
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