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Exposition "Tu nais, tuning, tu meurs" | Musée d'Art et d'Industrie de Saint-Etienne - 0 views

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    "Forme déclinante de la culture populaire et ouvrière post-industrielle, le tuning (de l'anglais to tune : régler, accorder un instrument) n'a fait l'objet d'aucune appropriation de la part des institutions culturelles et artistiques. En tant que pratique sauvage, le tuning interroge d'une manière déconcertante la relation à l'objet dans les sociétés post-industrielles. L'exposition Tu nais, tuning, tu meurs, vise à confronter les valeurs du tuning à celles du design. À la lumière du tuning, il s'agit ici de considérer la question du beau à nouveaux frais et de dénoncer certaines impasses de la culture matérielle. Entre design et art contemporain, et par le recours à l'objet « tuné », à la vidéo, à l'installation, à la photographie, au graphisme, à la mode, à la création numérique, etc., l'exposition montre le tuning ou les tunings (au sens étendu… qui finit par inclure même certaines formes de design), en les interrogeant comme autant de formes vivantes de la culture matérielle contemporaine."
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De la contre-productivité globale. La critique de la mobilité et la crise du coronavirus | Forum Vies Mobiles - Préparer la transition mobilitaire - 0 views

  • C’est néanmoins autre chose qui semble être à l’œuvre, une forme étrange d’auto-annihilation du système de transport, telle que discutée par Ivan Illich et ses collaborateurs sous le vocable de « contre-productivité »
  • La contre-productivité 2 désigne une situation dans laquelle l’usage d’un mode de transport par un grand nombre d’usagers rend l’usage de ce mode de transport impossible. L’exemple classique est celui du bouchon : lorsqu’un grand nombre d’automobilistes circule en même temps sur une route, chacun devient un obstacle insurmontable pour l’autre. C’est la congestion. Et par un effet boule de neige, le bus sera à l’arrêt et nulle place ne sera laissée au marcheur.
  • Parce que trop d’usagers ont utilisé certains modes de déplacement rapides, ils ont participé à la diffusion d’un virus et rendu impossible l’usage de tous les moyens de déplacement, même les moins problématiques.
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  • On pourrait parler de contre-productivité différée, c’est-à-dire d’un usage qui n’est pas empêché immédiatement, mais plus tard, une fois qu’il aura été réalisé en masse et que ses conséquences se font sentir.
  • L’industrialisation des transports consiste en la transformation d’une variété de manières de se déplacer, inscrites dans des contextes locaux et riches de sens, en un petit nombre de moyens de transport standards qui constituent des commodités. À mesure que sont abandonnés les usages vernaculaires au profit des usages modernes, les personnes dépendent de plus en plus du système industriel de transport, par dévalorisation du vernaculaire, du qualitatif et de l’auto-produit, mais aussi par la perte des compétences et des conditions de possibilité d’une production autonome.
  • Comment les critiques de la mobilité envisageaient-ils des alternatives à cette dynamique d’écrasement de l’individu par le système industriel ? Tout d’abord, ils proposaient des mobilités autonomes, reposant sur les efforts de l’individu. La marche et l’usage du vélo sont deux manières de développer ses capacités de se déplacer. Dans le contexte actuel, il s’agit des moyens de se déplacer qui limitent le plus à la fois les contaminations possibles et la contre-productivité inhérente aux modes rapides.
  • Confinés, nombreux sont les citadins qui ne peuvent plus se déplacer. Toutefois, ils continuent de faire se déplacer d’autres individus et des marchandises, parce que nous sommes pour la plupart totalement dépendants des réseaux de transport, afin d’acquérir les commodités nécessaires à notre vie quotidienne. Ce besoin de commodités met en danger ceux qui transportent les marchandises, qui sont ceux qui doivent nous les livrer, mais aussi nous-mêmes, puisque le risque de transmission existe à chaque interaction. De ce fait, ce n’est pas seulement la mobilité des individus qui pose problème, mais aussi le transport des commodités.
  • La folie de la modernité s’exprime bien là, dans cette « loi » : tout usage massif d’un mode de déplacement rapide tend à rendre impossible son usage, mais aussi les autres manières de se déplacer. Toute accélération du rythme d’un usage dépassant un certain seuil tend à créer de la paralysie. Or, les vitesses de déplacement ont beaucoup augmenté, tout comme l’usage des moyens de transport longue distance comme l’avion. Ainsi, parvenus à un développement tentaculaire, nos réseaux de transport sont devenus nos filets, comme l’origine du terme (« réseau » vient du latin retis, filet) aurait dû nous le rappeler.
  • L’ascèse volontaire, le choix de ne pas agir, est une forme de liberté, qu’il s’agisse de refuser d’utiliser la voiture ou de s’auto-confiner, tandis qu’être réduit à l’impuissance par le système industriel est plus proche de la servitude.
  • À mesure que le système industriel étend ses mailles, l’individu est de plus en plus dépendant et impuissant. Il est bloqué par les bouchons, les files d’attente. Se déplacer est devenu dangereux ou impossible, mais seul ou en famille et sans déplacement, il est dépourvu des moyens d’assurer sa subsistance. L’immobilité maximale qui devrait permettre de lutter contre la pandémie est donc largement hors d’atteinte, par l’incapacité de l’individu, d’un groupe d’amis, d’une famille ou d’une commune, à assurer une auto-production suffisante.
  • D’ailleurs, moins appréciés par les usagers que les manières plus individuelles de se déplacer, quelle collectivité publique aura encore les moyens de ces infrastructures de luxe, avec l’endettement gigantesque résultant de la pandémie actuelle ? Quant à la voiture, tout le monde sait déjà qu’elle est le symbole même de la contre-productivité, par la congestion, l’usage du pétrole et la diminution de l’activité physique de ses usagers.
  • Cela signifie aussi que les mégalopoles sont trop grandes. Elles rendent l’individu dépendant des commodités, réduisent ses capacités d’autoproduction, multiplient les distances entre les lieux de vie, rendent le confinement moins supportable par leur absence d’espaces pour « respirer ». Elles sont aussi le lieu historique du bouchon, comme on le raconte à propos de la Rome antique où Jules César fut contraint d’interdire les véhicules entre six heures et seize heures pour éviter la paralysie de la ville.
  • Les villes de taille « moyenne » du type de Salzbourg des années 1960, vantée par Kohr, représentent un autre modèle. Elles comportent toutes les aménités de la ville, peuvent reposer sur la campagne environnante pour être approvisionnée et pour les loisirs – plus accessibles tant pour les riches et que pour les pauvres –, ont la taille nécessaire pour offrir une université ou un opéra. Il s’agit des mêmes villes dans lesquels les habitants sont d’ores et déjà les moins dispendieux en dioxyde de carbone
  • La crise actuelle n’est pas le résultat d’un accident ou d’un système de transport qui serait trop chaotique et dont les effets seraient surprenants et imprévisibles. C’est l’ordre de sa diffusion généralisée qui rend possible la congestion et la paralysie, selon les voies de circulation et les vitesses élevées des moyens de transport.
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    "Alors qu'au début du mois d'avril 2020, plus de la moitié des habitants de la planète sont confinés, il n'a jamais été aussi nécessaire d'interroger le rôle de notre système global de mobilité. Dans cette perspective, les critiques de la mobilité des années 1970 sont des guides sûrs. Celles-ci offrent à la fois une perspective sur un facteur d'expansion de l'épidémie devenue pandémie - le système de transport - et les pistes pour aménager le système de transport de l'après-crise."
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La bataille pour le contrôle de la voiture du futur est lancée, Editos & Analyses - 0 views

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    "Avec l'avènement des véhicules autonomes, Google, Apple ou encore Uber veulent s'imposer dans l'automobile en faisant basculer la voiture d'un produit industriel à un objet de « soft » et de services à forte valeur ajoutée. Mais  les constructeurs n'ont pas dit leur dernier mot..."
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Transit City Consommateurs nomades - 0 views

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    "1° le marché du sandwich qui progresse de + 10% l'an ( 9,6 milliards de francs de CA en 1999 ). Il se vend tous les jours un million et demi de sandwichs en France. Tout le monde veut profiter de cette croissance du marché du sandwich. Les moyennes surfaces de type Monoprix& Prisunic ont développé des linéaires entiers de produit à consommer immédiatement, suivant en cela ce que faisait depuis longtemps une enseigne comme Mark's and Spencer. Et les grandes surfaces suivent le mouvement dans toute l'Europe, en développant les rayons traiteurs et plats préparés, marché qui a crû de + 20% en 2001. Aux Etats-Unis, on parle de "home meal replacement" pour définir cette nouvelle offre qui fait une concurrence directe aux restaurants. 2° la distribution automatique: + 10% l'an, elle aussi ( 7,9 milliards de francs de CA en 2000 ). Déjà 40 % des français la pratiquent sur leurs lieux de passage et 31 % à leur lieu de travail et, un récent sondage révélait qu'une nette majorité en voulait davantage. Il faut dire que sur ce créneau, la France compte un certain retard, puisque l'on ne compte que 17 machines pour 1 000 habitants, contre 30 pour 1 000 habitants au Japon. Plus perfectionnées et intelligentes, les nouvelles générations de machines proposent aussi bien des salades que des plats préparés chauds, comme du cassoulet, du poulet au curry ou des pizzas, le tout avec couverts et serviette. 3° Les produits de snacking ( plus de 5% des nouveaux produits lancés chaque année sur le marché français sont consacrés aux nouvelles formes de grignotages ). Du yaourt « Zap » de Yoplait au « Pack » de McDonald's, en passant par la bouteille de Vittel dotée d'un bouchon "sport", les nouveaux sachets sticks de Nescafé ou la charcuterie prédécoupée en sachets individuels , les industriels multiplient les versions nomades de leurs produits. Début 1999, la marque Justin Bridou a ainsi lancé une nouveau saucisson prédécoupé avec le slogan p
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La marche à pied, nouvel enjeu des transports urbains, Actualités - 0 views

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    "L'Union des transports publics (UTP), l'organisation patronale du secteur, et le Groupement des autorités responsables de transport (GART), qui fédère les élus en charge de ce dossier, viennent de publier une série de recommandations dans lesquelles ils préconisent entre autres de «  réintégrer le mode "marche à pied" dans l'organisation des offres de transport public, et travailler à une optimisation de cette pratique ». Selon Jean-Pierre Farandou, PDG de Keolis, la filiale de la SNCF, l'enjeu n'a rien d'anecdotique : «  La mobilité commence et finit par la marche à pied. Ne pas le prendre en compte peut nuire à l'attractivité des transports en commun. Dans les zones industrielles par exemple, si le trajet entre l'arrêt de bus et la destination est compliqué du fait de l'absence de trottoirs, les gens préféreront prendre leur voiture. »"
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Futur : quels moyens de transport ? | Blog Déclic - 0 views

  • L’avion des villes : le Fanwing
  • Le train à sustension magnétique : le Transrapid
  • Le géant des airs : l’Aeros-ML
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  • Le yacht des mers : le Phœnix 1000
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    "Les industriels, designers et ingénieurs rivalisent d'imagination dans la création de transports originaux, plus rapides, plus sûrs, plus économes et bien sûr plus écologiques."
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Réinventer la roue | Passage Saint Bernard - 0 views

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    "De la même manière que l'industrie automobile produit chaque année des concept cars sensés contenir en elles les ingrédients des voitures de demain, des individualités proposent régulièrement de nouveaux concepts de véhicules. La principale différence à ce jour est que si l'innovation dans l'automobile est aux mains des industriels, les moyens de locomotion doux ne nécessitent pas les même investissements et permettent à des acteurs plus petits de prototyper et proposer leurs solutions. "
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Mobilités urbaines : puis viendront de nouveaux industriels - 0 views

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    "L'industrie automobile rassemble d'innombrables talents et compétences étendues, distribuées dans de vastes organisations hiérarchisées, ordonnées, verticalisées. Des constructeurs puis des équipementiers de rang 1 à N et des ressources intellectuelles dans des laboratoires et des cabinets mondiaux d'ingénierie composent cette filière. Quand le contexte est stable et prévisible, cette organisation conçoit et produit en même temps des composants, des véhicules et des processus permettant de faire "plus vite, plus loin, plus distribué, moins cher". Ces processus se composent de méthodes de validation, conception, production mais également d'organisation. Ils représentent l'histoire en capitalisant les erreurs/réussites du passé pour ne pas les oublier."
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Gabriel Plassat - 0 views

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    "Structurellement cet objet industriel aspire à lui toutes les innovations en matière d'efficacité énergétique, d'optimisation systémique et d'adaptation "retardée" à tous les contextes pour maximiser sa productivité. Géré par des professionnels, acheté par des professionnels, conduit par des professionnels, il va poursuivre les mêmes tendances historiques : excellence énergétique, hyperspécialisation aux besoins des utilisateurs, intégration dans un système logistique complexe. Puis il va franchir un cap majeur dans probablement moins de 10 ans : la transparence totale des émissions polluantes et émissions de GES. Ce sera le premier véhicule qui communiquera ses émissions en temps réel à ces clients, aux collectivités, et aux marchandises livrées elle-même. Même si les critères énergie/environnement ne sont qu'une partie des éléments guidant le choix d'un produit ou d'un service, ne pas les afficher ne sera pas accepté par les clients. Avec l'Internet des Objets (lire l'étude du Commissariat à la stratégie et la prospective, La dynamique d'Internet - Prospective 2030), le camion n'a pas fini d'être à l'avant garde des transports."
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La voiture autonome du futur est une baie vitrée sur quatre-roues - 0 views

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    "Les voitures autonomes n'appartiennent plus au futur et ce n'est qu'une question de temps avant de les voir sur l'autoroute. En attendant, un designer industriel partage sa vision du véhicule sans pilote urbain. Baptisé Vitreous, le concept propose une nouvelle solution de mobilité urbaine et autonome. Il s'agit d'un véhicule entièrement habillé de verre dont l'habitacle a été revisité au profit de l'espace. Pouvant accueillir quatre passagers, le projet met l'accent sur la flexibilité de son intérieur. Ainsi, l'espace peut être configuré en fonction du besoin et les sièges peuvent être agencés de plusieurs manières : face à face, inversé… Les larges parois de verre devraient permettre aux passagers de bénéficier d'une vue panoramique durant le trajet. Dépourvue de volant, la voiture est intelligente et se contrôle à distance. Ses technologies embarquées lui permettent d'esquiver les obstacles et d'emmener les passagers à bon port. Vitreous est le fruit de l'imaginati"
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Le covoiturage de courte distance : un pari incertain - 0 views

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    "L'organisation pratique des trajets domicile-travail a également pour spécificité d'être beaucoup moins souple (s'il est envisageable de faire un détour pour déposer un passager lors d'un trajet ponctuel de longue distance, c'est nettement moins le cas lors des trajets quotidiens pour se rendre sur son lieu de travail). Deux points qui, en limitant l'offre disponible, pourraient rendre difficile l'atteinte d'une masse critique nécessaire au bon fonctionnement de ce type de plateformes - sujettes aux problématiques courantes des économies de réseau. Enfin, le risque d'évasion de la plateforme et d'organisation informelle une fois le partenaire de covoiturage trouvé est élevé - un fait qui contraindra les plateformes à réfléchir attentivement aux modalités d'adhésion à la plateforme et aux services annexes que celle-ci pourrait proposer. La progression des offres de covoiturage de courte distance illustre le développement plus global d'un modèle de mobilité « à la demande » - le passage d'une logique industrielle basée sur la transaction et la propriété à une logique servicielle orientée davantage sur l'usage (ou l'accès au sens développé par Jérémy Rifkin) des véhicules. On le voit, si cette évolution a le potentiel de transformer profondément les pratiques de mobilité quotidienne des individus, le pari de la progression durable du covoiturage de courte distance est toutefois loin d'être gagné d'avance."
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TRANSIT-CITY / URBAN & MOBILE THINK TANK: ET SI ON POUVAIT ENFIN S'ASSEOIR AUTREMENT DANS UNE VOITURE ? - 0 views

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    "En attendant quand on s'interroge sur cette question de la diversité des intérieurs automobiles, c'est une nouvelle fois chez les militaires que l'on trouve les idées les plus stimulantes - voir "Nouvelle approche ?" dans la lignée de nos réflexions esquissées dans "Et si c'était les militaires qui inventait la mobilité du futur ?" On en trouve de nouvelles preuves avec les recherches que conduisent actuellement plusieurs industriels américains pour inventer la Jeep du futur qui aura vocation à remplacer le Hummer au sein de l'US Army dans les années qui viennent. On voit dans ces projets des réflexions sur l'assise et sur les bagages qui renouvellent enfin l'approche automobile, un peu à l'image de ce que tentent certains avec les voitures ultra low-cost en Afrique - voir "Une autre approche automobile"."
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TRANSIT-CITY / B2 FURTIF, UNE AUTRE HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE - 0 views

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    "Contrairement à Léonard de Vinci, Archigram ou François Dallegret, on pourrait regretter qu'une architecture nomade ou mobile perde son essence "architecturale" dès lors qu'elle devient un artefact auto-mobile : roulant flottant ou volant. En apparence, tout fonctionne comme si la cause en était la perte de fondation et de lourdeur, ou bien la capacité d'une locomotion faisant de cet habitacle un véhicule pilotable. Or il ne s'agit bien évidement pas que de cela. Si l'on admet encore couramment qu'il existe bien un métier d'architecte naval, l'équivalent pour les véhicules terrestres, aéronautiques ou astronautique ne vaut pas - ou fort peu. Dès lors qu'un certain niveau de technicité et/ou de sérialité s'impose dans la production, l'architecte cède la priorité à l'art de l'ingénieur ou au designer industriel."
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Ouvrons un nouvel espace pour innover dans les nouvelles mobilités - 15marches - 0 views

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    "La mobilité a changé. La manière d'innover a changé. Il est urgent de compléter les dispositifs de soutien à l'innovation pour répondre aux nouveaux défis : comment faire levier du numérique et aider les start-up à faire évoluer l'ensemble de l'écosystème ? Comment fédérer ces acteurs autour de la nouvelle filière industrielle des mobilités ? Qu'attendent les entrepreneurs ? L'ADEME a fait réaliser une étude auprès d'experts et d'acteurs de l'innovation pour tenter de répondre à ces questions"
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Le véhicule autonome en quête de son futur | Publications | EXPERTISE - 0 views

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    "Curieusement, le véhicule autonome est mal en point. Les acteurs classiques de la voiture la survendent. Les nouveaux en rajoutent : de Waymo (Google) à Mobileye (Intel) en passant par Apollo (Baidu), etc., sans compter les acteurs de la cartographie, des assurances, des médias, des VTC, de la location de flotte, etc. pour imaginer de toute pièce un marché fictif dont les futurs utilisateurs ne voient évidemment pas le développement promis à longueur de média. Ce qui explique que "On sent déjà la fin des illusions" avant même que l'offre ne s'installe, selon le propos d'un expert hollandais. C'est un fantasme, presque un mensonge. On préempte l'avenir sans que rien ne garantisse les développements escomptés. Pour éviter de se poser les bonnes questions, les industriels en viennent à considérer ces développements comme acquis. "Tout est fait !", clame en substance le patron de Navya. Et les institutionnels abondent, alors que les homologations n'existent même pas ; aucun pays n'autorise la conduite sans chauffeur hors expérimentation. La voiture automatisée est certes en progrès au plan technologique mais pas au point de lancer une offre. Soyons clairs : la filière n'est pas prête."
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Véhicule hors d'usage : immersion dans le recyclage automobile - 0 views

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    "Au sein du Groupe PSA, le recyclage des véhicules est pris en compte dès l'étape de conception. Les critères de sélection des matériaux entrant dans la composition des véhicules sont de plus en plus stricts et visent à favoriser les filières de valorisation et de recyclage. Pour garantir un taux de recyclage élevé, le Groupe veille notamment à utiliser des matériaux aptes à être recyclés et à réduire la diversité des matières plastiques dans les véhicules. Ces mesures facilitent le tri post-broyage et permettent d'optimiser la rentabilité des filières de récupération. Groupe PSA évalue également l'impact de ses innovations sur la recyclabilité de ses futurs véhicules. Il peut ainsi identifier, bien en amont, les actions à engager avec ses fournisseurs et avec les filières de recyclage."
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L'industrie du taxi à la frontière de l'innovation | L'Âge de la multitude - 0 views

  • Jacques Rosselin avait publié l’information il y a quelques jours, mais un éditorial du 11 avril dernier écrit par Jean-Christophe Tortora, président-directeur général de La Tribune, lui a donné beaucoup plus d’ampleur : suite à une plainte contre X déposée par Nicolas Rousselet, PDG du groupe G7, Jean-Christophe Tortora et moi-même sommes mis en examen pour diffamation. L’origine de cette plainte est un texte intitulé « Les fossoyeurs de l’innovation », publié le 15 octobre 2013 sur le blog de L’Âge de la multitude et reproduit le même jour sur le site de La Tribune à la demande d’Eric Walther, directeur de la rédaction. Ce texte, qui discute la vision de l’innovation de Nicolas Rousselet, a été écrit dans le contexte de la préparation du fameux décret dit des « 15 minutes », dont il était l’un des défenseurs les plus visibles. L’annonce de cette mise en examen a déclenché un débat de fond autour de la question de l’innovation – tant la surprise a été grande à l’idée qu’une prise de position sur cette question cruciale pour l’avenir de la Nation puisse donner lieu à un procès pénal. Une multitude de personnes, connues ou inconnues, m’ont exprimé des marques de soutien, et je les en remercie chaleureusement. Un #hashtag a même pris son envol. Des arbitres se sont curieusement interposés pour essayer de renvoyer les protagonistes dos à dos. Quant à moi, je voudrais saisir cette occasion pour refaire le point sur la question de l’innovation.
  • Lorsque nous avons entrepris d’écrire L’Âge de la multitude, Henri Verdier et moi-même avions l’ambition, immodeste, d’expliquer la révolution numérique et ses conséquences aux décideurs de notre pays. Notre objectif était de démontrer que l’économie numérique n’est pas un phénomène marginal indigne d’intérêt pour nos responsables politiques et nos capitaines d’industrie, mais au contraire une économie en plein essor dominée par quelques grandes entreprises américaines, géants industriels qui jouent plusieurs coups à l’avance sur le grand échiquier de l’économie globale. Bref, une question très sérieuse qui mérite l’attention prioritaire de nos dirigeants au plus haut niveau. Pour l’instant, le numérique dévore le monde exclusivement depuis les Etats-Unis. Mais d’autres pays peuvent désormais prendre leur part de cette voracité, pourvu que la compréhension de l’économie numérique soit partagée par leurs élites – c’est à cet effort de compréhension qu’Henri et moi avons souhaité contribuer avec L’Âge de la multitude.
  • Ce qui est en jeu, dans l’économie numérique, c’est l’avenir de notre pays : notre croissance, nos emplois, nos services publics, notre protection sociale. Si nous réussissons la transition numérique de l’économie française, alors nous resterons l’un des pays les plus développés du monde ; si, au contraire, nous échouons, nous devrons renoncer à notre modèle social et deviendrons progressivement pour les Etats-Unis ce que les anciennes colonies françaises ont été pour la France prospère des Trente glorieuses : une source de matière première (dans l’économie numérique = de la R&D et des données) et un simple marché de débouchés où plus aucune entreprise ne paiera d’impôts – les entreprises étrangères parce qu’elles n’auront même pas besoin de s’établir sur notre territoire pour y faire des affaires ; les entreprises françaises parce que leurs marges seront anéanties par de vains efforts de compétitivité.
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  • Pour réussir la transition numérique de notre économie, la première étape consiste à réaliser que celle-ci est parvenue à la frontière de l’innovation. Cette frontière est le stade du développement économique où le rattrapage des économies les plus avancées est achevé et où seule l’innovation peut générer de nouveaux gains de productivité. Tous les indicateurs de notre économie révèlent notre échec à nous développer à la frontière de l’innovation : la croissance est faible ; les entreprises ne parviennent pas à reconstituer leurs marges ; le développement économique (c’est-à-dire l’augmentation du revenu par tête) est comme interrompu : comme le montre le graphique ci-dessus, nous avons depuis vingt ans été dépassés ou rattrapés par le Royaume-Uni, l’Allemagne et Israël. Depuis plusieurs décennies, la France s’est plus ou moins arrêtée d’innover et a choisi d’opter pour des efforts de développement centrés sur les débouchés à l’export (= la mondialisation), l’optimisation des chaînes de production (= le restructuring, le downsizing, le reengineering, etc.), la sophistication de la finance (= la crise de 2008) et finalement la baisse du coût du travail (= le pacte de responsabilité).
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Inside the Fake Town Built Just for Self-Driving Cars | WIRED - 0 views

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    "MOTOWN IS TRYING to take back some swagger from Silicon Valley. The dominance of software in automobiles these days in everything from infotainment systems to safety and the coming autonomous revolution has made the San Francisco Bay Area a hub for the auto industry. Several leading automakers have set up shop there so they're close to universities, research partners like Apple and NASA, and all the young talent. On any given day, there's a good chance you'll spot self-driving cars from the likes of Google, Audi, Nissan, and Delphi roaming the streets. Michigan is eager to get (back) in on the action. The University of Michigan's Mobility Transformation Center worked with the state DOT and companies like Ford, GM, Honda, as well as Nissan and Delphi to create a test center where automakers can refine the most advanced technologies with no possible risk to the public."
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TRANSIT-CITY / MOBILE FACTORY : LE CAMION DE POMPIER COMME MODÈLE ? - 0 views

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    "Pour prolonger mon précédent post "Sans usine fixe ?", je voulais vous proposer ces quelques images de camions et de containers de pompiers.  Et si c'était plus ou moins à cela que devaient ressembler les mobile factories de demain ?"
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La Chine inaugure sa «Nouvelle route de la soie» (et le trajet en train le plus long du monde) | Slate.fr - 0 views

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    "Le 18 novembre, un train de fret est parti de la ville de Yiwu dans l'est de la Chine pour rejoindre Madrid 21 jours plus tard en passant par l'Asie centrale, ce qui en fait la ligne de chemin de fer la plus longue en service (13.000 kilomètres). La ville de départ est une place de marché où se négocient de nombreuses marchandises de petite taille produites dans les usines chinoises. L'ouverture de cette ligne s'intègre dans un vaste plan de soutien étatique aux infrastructures et à la logistique de plusieurs milliards pour améliorer le transport de marchandises et d'énergie, plan qui porte le nom grandiloquant de «Nouvelle route de la soie», détaille le site Think Advisor. Comme les caravanes qui emprutaient la route mythique, la nouvelle ligne de fret traverse le Kazhakstan, pays qui investit lui-même plusieurs milliards dans cette route pour réduire encore le temps de trajet. "
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