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hubert guillaud

La science de la compassion - NYTimes.com - 0 views

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    Le docteur David DeSteno responsable du Groupe de recherche sur les émotions sociales de l'université de Northeastern - http://www.socialemotions.org - revient dans cette intéressante tribune du New York Times sur plusieurs expériences sur la compassion menées avec des publics cobayes. Ce que suggèrent ces expériences c'est que la compassion que nous éprouvons pour les autres n'est pas uniquement fonction de ce qui leur arrive : si nos esprits dressent une association entre la victime et nous-mêmes - même si elle est relativement trivial, comme de taper des mains ensemble de façon synchrone pour déclencher un sentiment de communauté - la compassion que nous éprouvons pour sa souffrance est considérablement amplifiée. 
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Ces ordinateurs qui rendent fous les marchés fincanciers - Humanite.fr - 0 views

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    "e qui est étonnant avec le trading haute fréquence, c'est qu'à part les grandes institutions spéculatives qui ont les moyens d'investir dans la technique et dans les salaires des programmeurs d'algorithmes, tout le monde est contre. Sans pour autant que personne ne se risque à faire quoi que ce soit de peur de faire s'effondrer le système. Car on peut considérer le HFT comme de la concurrence déloyale : à ce jeu, les petits porteurs perdent forcément. Autrement dit, gagner à la bourse coûte de plus en plus cher. Il ya a aujourd'hui plus de 10 fois plus de cotations (estimation de la valeur d'une action) avant transaction qu'il y a 4 ans. Et lorsqu'une machine fait 10000 cotations à la seconde, l'humain est perdant. Les marchés deviennent de plus en plus fous, surréalistes et inhumains, mais rapportent aussi de moins en moins d'argent, à de moins en moins de personnes. Et si les ordinateurs étaient en train de tuer la finance ? C'est en tout cas la thèse de Paul Jorion"
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Comment les smartphones créent-ils une nouvelle fracture numérique ? - ColorLines - 0 views

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    La fracture numérique de demain n'est peut-être pas où l'on croit, souligne le magazine CoulourLines édité par le Centre de recherche appliqué, un think tank américain qui se bat pour la justice raciale. Il ya 234 millions d'abonnés au téléphone cellulaire aux États-Unis, dont 45,5 millions via des smartphones, qui forment désormais le principal moteur du marché. Aux Etats-Unis, les smartphones sont surtout achetés par des gens de couleurs, qui les adoptent plus rapidement que les consommateurs blancs et ont une plus grande diversité d'usage que ces derniers. Les recherches du Pew Internet - http://www.pewinternet.org/Reports/2010/Mobile-Access-2010.aspx - montrent que les latinos ou les noirs américains sont plus susceptibles que les blancs de naviguer sur internet, recevoir et envoyer des mails, utiliser les médias sociaux ou produire et publier des contenus depuis leurs téléphones. Pourquoi ? Beaucoup estiment que les smartphones sont un moyen abordable d'accéder à l'internet, beaucoup moins cher qu'un ordinateur et une connexion haut débit. 18 % des noirs américains utilisent uniquement leurs smartphones pour se connecter en ligne et 16 % des Latinos, alors que ce n'est le cas que de 10 % des américains blancs. Alors que 33 % des blancs utilisent leur téléphone pour surfer sur le net contre 51 % des Latinos et 46 % des noirs Américains. Quelque soit les usages (par exemple les usages politiques), on retrouve partout cette prédominance du smartphone dans les communautés de couleur américaines au détriment de l'internet haut débit. Cela s'explique en partie du fait que, selon le plan national haut débit de la commission des communication fédérale, la moitié des Latinos américains et 40 % des afro américains n'ont pas accès à l'internet haut débit chez eux. Aux Etats-Unis, 60 % des foyers sont connectés à des services internet haut débit. La raison de ce niveau encore assez faible s'explique parce que l'abonnement es
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Apple se joint à la guerre contre le RSS - Sydney Morning Herald - 0 views

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    Avec sa nouvelle version de système d'exploitation, Apple vient de faire disparaître les fils RSS de son navigateur. Durant les 12 derniers mois, c'est Twitter et Facebook qui ont a leur tour fait disparaître progressivement la plupart de leurs fils RSS. Et Google+ n'en a jamais proposé. Peu à peu, c'est un moyen simple et facile d'accéder à l'information qui disparaît regrette le chroniqueur du Sydney Herald. L'avantage du RSS c'est que personne ne le contrôle, rappelle le chroniqueur. Mais pour Google, Twitter, Facebook ou Apple, l'information ne doit pas être libre, elle doit être monétisée. Ces géants tirent avantage à ce que vous ne puissiez sortir de leurs plateformes. L'attaque contre le RSS a le même objectif que quand Facebook a récemment changé les emails de ses utilisateurs par des emails @Facebook.com. Pourtant, ce que ne dit pas le chroniqueur, c'est que RSS n'a pas disparu. RSS ne s'est jamais imposé auprès du grand public. Il devient plus invisible. Il passe désormais par les API, pour les développeurs (et donc avec des conditions d'utilisations et de monétisation peut-être plus clair).
hubert guillaud

Nos tweets vendus. De quel droit ? - Owni.fr - 0 views

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    Twitter a récemment vendu, pour 250 millions de dollars, nos gazouillis, aux sociétés Gnip et Datasift qui pourront proposer des services depuis l'exploitation de ces archives. Car, contrairement à ce que l'on pense, les Tweets n'échangent pas seulement 140 caractères, comme le montrait la cartographie du code d'un Tweet réalisé par Raffi Krikorian : http://www.demainlaveille.fr/2011/12/26/ce-quun-message-sur-twitter-peut-cacher-comme-informations/. Lionel Maurel en profite pour dresser l'archéologie des CGU de Twitter et montrer leur évolution dans le temps et rappeler les nombreuses polémiques liées au droit de propriété qui a secoué la plateforme. Le numérique tricote "d'inextricables sacs de noeuds contractuels", dont même les plus pertinents juristes n'esquissent que des pistes...
hubert guillaud

Kickstarter's ne sauvera pas les artistes des menottes de l'industrie du divertissement - Slate.com - 0 views

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    Evgeny Morozov ne pense pas que le financement participatif puisse redéfinir le processus de création, même si Kickstarter distribue plus d'argent que le National Endowment for the Arts. Une étude récente signale que 75 % des 47 000 projets sont livrés en retard, voir toujours remis, et notamment auprès des projets qui ont le plus de succès (contrairement à ce que l'on pourrait penser), sans que le site ne soit doté de possibilité de recours. Une étude récente s'est intéressé à la production de documentaires sur ces plateformes et montre que le financement participatif bénéficie plus à certains types de films que d'autres : les films militants. Il rend difficile les enquêtes journalistiques épineuses. Pour Morozov, cela montre bien que Kickstarter ne saurait être une alternative à la production, mais bien un supplément, qui ne produit pas les mêmes contenus. Certains contenus auront plus de mal que d'autres à trouver des financements participatifs, pas plus qu'ils ne sauraient affaiblir la domination des chaînes de télé sur la production documentaire. Kickstarter n'aidera pas à émanciper les artistes. Bien sûr, tout cela ne donne pas d'arguments pour s'opposer à ce type de financement, juste d'être lucide sur ses finalités.
hubert guillaud

Vie privée : la plus belle des ruses de Mark Zuckerberg - Antonio A. Casilli :: BodySpaceSociety - 0 views

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    "La privacy n'a pas disparu, elle s'est transformée. De droit individuel, elle est devenue une négociation collective. Une négociation entre les Etats, les entreprises et les acteurs de la société civile pour décider qui a le droit d'accéder aux données personnelles et à quelles fins. Une négociation entre les utilisateurs mêmes, pour avoir le droit de décider chaque jour ce qu'ils vont partager et avec qui. Les révélations d'Edward Snowden, l'ancien employé de la CIA qui a dévoilé le système de surveillance de la masse par la National Security Agency, ont montré que la vie privéeest encore, douloureusement, au centre du débat public. Le « DataGate » a également été instrumental pour mettre en évidence l'ambiguïté et la duplicité de Facebook, tantôt complice, tantôt victime de la NSA. Se multiplient désormais les pressions contradictoires de la part des gouvernements nationaux qui d'une part imposent de révéler et d'autre part de protéger les données personnelles de leurs citoyens. Facebook risque dans les prochaines années d'être déchiré par ces tensions politiques et juridiques, auxquelles jusqu'à présent l'entreprise a réagi en niant l'évidence. ces tensions pourraient, en dernière instance, représenter des signes avant-coureurs de son déclin culturel." Antonio Casilli.
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Si vous doutez que les médias sociaux changent le monde, regardez en Ukraine - Forbes - 0 views

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    Pour Greg Satell, les manifestations actuelles en Ukraine semblent une continuation de la révolution Orange de 2004. Les différences entre les deux permettent peut-être de comprendre l'impact des médias sociaux sur les soulèvements politiques. Durant ce type d'évènement, vous êtes tout le temps à la recherche d'information sur ce qu'il se passe et sur ce qu'il faut éviter. L'information divulgué sur les réseaux sociaux sur la corruption des oligarques et politiciens a incontestablement alimenté la colère. Le contrôle des médias, pilier des régimes autocratiques, est devenue une chimère à l'ère des réseaux sociaux. Reste que s'ils permettent de perturber le jeu politique, ils ne permettent pas de l'organiser au-delà. Pour cela, la hiérarchie, l'organisation sont prépondérantes.
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Quand le marketing des Big Data devient de la surveillance - Scientific American - 0 views

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    La chercheuse Kate Crawford revient sur Turnstyle - http://www.getturnstyle.com -, une entreprise qui a placé des centaines de capteurs le long des rues commerçantes de Toronto pour identifier les téléphones des passants afin de fournir des études marketing aux commerces locaux (cf. http://online.wsj.com/news/articles/SB10001424052702303453004579290632128929194 ). Et la chercheuse de s'inquiéter de la collusion entre le secteur public et privé pour promouvoir une collecte de donnée sans limite pour maximiser les possibilités d'affaires. Pour Kate Crawford, les entreprises de marketing ont bien lancé une charte de bonnes pratiques, mais cette charte pose de nombreux problèmes. D'abord parce que toutes les données sont devenues personnelles. Parce que l'opt-out pour indiquer qu'on ne désir pas être tracé est trop complexe. L'autorégulation de ce secteur ne sera pas suffisant, clame la chercheuse. Pour ces entreprises, les individus doivent agir comme des entreprises, négocier leur information au meilleur prix dans un marché sans friction où tout le monde comprend comment fonctionne la techno et les ramifications du partage de données. Mais ce modèle ne reflète pas une seconde la profonde inégalité de situation à laquelle nous sommes confrontés. Ceux qui détiennent les outils d'analyses ont beaucoup plus de pouvoir que les autres. Dans le débat sur la vie privée, la focalisation sur la responsabilité individuelle ne suffit pas. Car le problème dépasse l'individu. Il est systémique. Nous sommes maintenant confrontés à des expériences à grandes échelles où les gens sont dans un état de participation forcée, sans réelle capacité à en négocier les termes. Nous avons besoin d'un débat sur l'éthique de la fouille et de la collecte de données.
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L'organisation d'un débat public sur des questions scientifiques ou techniques est impossible. A cause d'eux | Slate.fr - 0 views

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    Michel Laberganti donne la parole à Pièce et Main d'oeuvre (PMO), ce groupe d'activistes qui refusent le débat public sur les questions scientifiques, n'hésitant pas à venir faire raffut et tapage lorsqu'ils sont organisés. Un quarteron de ministres en retraite s'est insurgé. Pour PMO, la formule du débat public, comme ceux mis en place par la Commission nationale du débat public sert à masquer ce qui n'est qu'une opération de communication pour obtenir l'adhésion à une nouvelle technologie. Opposés aux sociologues spécialistes des controverses, ils dénoncent des formes de débat qui visent à la prévention et à l'apprivoisement des contestations. Car participer, c'est accepter. Les débats substituent des leurres à la confrontation politique de fond, occultant la dissymétrie entre ceux qui ont le pouvoir d'agir et sont qui n'ont que leur expression. Dans la vie réelle, la décision ne tient qu'au rapport de force. PMO récuse expertise et contre-expertise. Les citoyens sont tous compétents pour les affaires de la Cité, qu'elles portent sur le nucléaire, les OGM, les nanotechnologies ou le numérique. Pour PMO, les experts devraient mêmes être exclus des débats, étant juges et partis. Ce n'est que si les citoyens décident de construire des sous-marins ou des centrales nucléaires que les experts devraient être invités à dire comment y parvenir. Scientifiques et technocrates ont tout intérêt à l'organisation scientifique de la société, puisque c'est pour eux le moyen d'assumer leur pouvoir. "L'expertise dépouille la population de sa compétence politique en dépolitisant les prises de décision". Si la technologie est le progrès, pourquoi notre société hypertechnologie n'est-elle pas le paradis ? "Le progrès technologique n'est synonyme ni de progrès humain, ni de progrès pour la société". Les opposants à la technologie sont toujours parodiés comme ceux qui promeuvent le retour à la bougie. Choisir la sobriété énerg
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Cartographie des accidents de la circulation à New York - The Atlantic Cities - 0 views

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    Le hacker John Krauss a utilisé les données de la police de New York pour créer une cartographie des accidents de la circulation à New York : http://nyc.crashmapper.com Si leur localisation n'est pas parfaitement exacte (les accidents sont attachés à des blocs, pas à des coordonnées géographiques exactes), Ben Wellington sur son blog dédié à l'analyse quantitative des données de New York, a utilisé ces données pour créer une carte des secteurs dangereux de New York, ceux où se produisent le plus d'accidents : http://iquantny.tumblr.com/post/77684693503/visualizing-traffic-safety-as-we-prepare-for-vision montrant que 23% des accidents de la circulation se concentrent sur 5% de la ville. Cela ne signifie pas pour autant que ces endroits sont plus dangereux que d'autres (il faudrait pour cela prendre en compte la densité du trafic notamment). Mais c'est une base de discussion pour regarder ce qui ne va pas là où les accidents sont les plus nombreux...
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La vision par ordinateur utilise les caméras publiques pour traquer les gens - Wired.com - 0 views

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    Cara - https://imrsv.com - est un système en cours de tests dans des centres commerciaux américains. Il utilise des caméras pour détecter visages et caractéristiques personnelles des passants afin de permettre aux magasins d'utiliser ces informations pour leurs démarches marketing. Placemeter - http://placemeter.com -, lui, compte et dénombre les passants qui voient les vitrines des magasins... Florent Peyre, le fondateur de Placemeter parle "d'internet des lieux". Pas de reconnaissance facilale, ici, juste de la détection (genre, âge, ethnie...), ce qui signifie que l'enjeu n'est pas d'identifier les passants... Toute la question est de savoir jusqu'où ira la granularité de ces informations ?
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La psychologie des commentaires en ligne - The New Yorker - 0 views

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    L'anonymat des commentateurs en ligne favorise ce que le psychologue John Suler a appelé "l'effet de désinhibition". Selon une étude, les commentateurs anonymes ont plus tendance à être inciviles que les intervenants non anonymes. Mais l'anonymat encourage également la participation - car on n'a plus a se démarquer individuellement - et stimule la pensée créative car favorise la prise de risque. Les études montrent aussi que si les commentateurs anonymes étaient plus susceptibles d'être à contre-courant ou plus extrêmes que les commentateurs non-anonymes, ils étaient beaucoup moins susceptibles de faire changer d'opinion ceux qui les lisent : l'anonymat rend moins influent et moins crédible. Comme l'a montré Alfred Bandura, la responsabilité personnelle devient plus diffuse dans un groupe ce qui encourage l'agressivité, les raccourcis mentaux... ce qui favorise les évaluations simplistes de problèmes complexes. Reste que commenter est une façon de partager une expérience ou une réalité.
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Salut OLPC - OLPC News - 0 views

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    OLPC News rappelle que l'OLPC (le modèle d'ordinateur portable XO1) a 8 ans... et qu'il semble en passe de disparaître. Les pièces de rechange sont devenues difficiles à trouver. Et l'organisation OLPC semble ne plus accorder d'aide à son développement... Sugar, le logiciel pour apprendre à programmer, semble connaître la même déshérence. OLPC Boston n'a plus de bureau. Et Nicholas Negroponte, l'initiateur et défenseur du programme, semble depuis s'être consacré au X-Prize project : http://www.xprize.org Cela ne veut pas dire que l'idée d'OLPC est morte. OLPC Miami continue des déploiements en Uruguay, au Perou, au Rwanda et a licencié les droits commerciaux de la marque à Sakar/Vivitar pour développer la tablette XO : http://www.xotablet.com "L'excitation, l'énergie et l'enthousiasme qui nous a rassemblé est parti. OLPC est mort. A sa place, la technologie est devenue une réalité dans l'éducation, mais nous devons toujours être vigilants de la manière dont elle est utilisée". Dans les commentaires, certains afficionados semblent très opposés à ce constat. Est-ce l'OLPC qui est mort ou est-ce OLPC News ?
hubert guillaud

Elargir la critique du consumérisme de l'information de Morozov - Medium - 1 views

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    Wessel van Rensburg revient sur le dernier livre d'Evgeny Morozov qui dénonçait le fait que l'échangede nos données contre l'accès gratuit aux services nous mène inexorablement à l "apocalypse de l'information", c'est-à-dire à la fois à la surveillance, à la perte d'autonomie voir même à la fin de la démocratie... Wessel van Rensburg critique un point très particulier de l'argumentation de Morozov, le fait que la gratuité empêche à nos échanges d'être cryptés de bout en bout, afin de pouvoir y développer des services spécifiques. Pour Wessel van Rensburg l'absence de cryptographie est surtout liée à la mauvaise ergonomie que génèrent ces services. Est-ce pour autant une raison pour rejeter le cryptage ? Et si le design s'intéressait au sujet pour voir comment améliorer l'expérience utilisateur ? Peut-être que van Rensburg a raison et que Morozov met peut-être un peu vite de côté, ce qui nous pousse à partager et échanger ?
hubert guillaud

GitHub : le Hub d'innovation de l'internet - Technology Review - 1 views

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    GitHub a créé un réseau social où les programmeurs se réunissent, font le travail et ce sans patrons, e-mails ou réunions, souligne Tom Simonite pour la Technology Review. Github, avec ses 3,6 millions d'utilisateurs deviendra-t-il le prochain grand réseau social ? Et pourtant, ce n'est qu'un lieu de stockage, de mise à jour et d'échange de code logiciel pour développeurs. Un réseau social construit autour de la création d'objets de valeur, explique le PDG de ce Facebook pour geeks, Tom Preston-Werner. Cette plaque tournante de l'innovation logicielle dont les membres à 78 % viennent d'en-dehors des Etats-Unis est aussi devenu un des premiers lieux de recrutement de développeurs. La force de Github est de permettre de s'impliquer dans un projet facilement.
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Des règles pour la surveillance en magasin - NYTimes.com - 0 views

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    Désormais, ce sont les magasins physiques qui vont se mettre à observer et collecter des données depuis nos mobiles, comme l'a montré Euclid Analytics... Reste à mettre au point une régulation pour ce nouveau secteur. C'est ce à quoi compte s'atteler le Forum sur l'avenir de la vie privée avec plusieurs start-ups du secteur.
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Comment la technologie détruit la classe moyenne - NYTimes.com - 1 views

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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
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La politique des 20% de temps libre des ingénieurs de Google est-elle morte ? - Quartz - 1 views

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    La possibilité pour les ingénieurs de Google de réserver 20% de leur temps de travail sur un projet personnel n'existe plus, rapporte Christopher Mims pour Quartz. En 2004, Page et Brin estimaient que l'octroi de 20% de temps aux employés pour innover sur leurs projets personnels était l'instrument de la capacité de l'entreprise à innover. Une politique qui a donné naissance à AdSense et Gmail, Google Transit, Google Talk, Google News... Nombre de produits de Google. Mais, petit à petit, la politique s'est infléchie. Google a exigé que les ingénieurs obtiennent l'approbation de la direction à prendre 20% du temps afin de travailler sur des projets indépendants. Depuis peu, la direction de Google décourage les gestionnaires à approuver ce type de projets, notamment du fait du renforcement de la mesure de la productivité de l'entreprise. Bref, si Google expérimente encore, c'est de façon beaucoup moins démocratique, et ce notamment depuis que Larry Page a repris les rennes de la société en janvier 2011 et a signé la fin des Google Labs. Désormais le laboratoire Google X qui le remplace, fait une place à des projets stratégiques plus concertés, comme les voitures autonomes ou les Google Glass. Reste à savoir ce que l'entreprise a perdu ou va perdre de sa capacité à innover en passant d'un modèle à l'autre...
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The Disconnectionists - The New Inquiry - 0 views

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    Pour le sociologue Nathan Jurgenson, la déconnexion de l'internet que prônent certains ne cherche pas tant à restaurer l'autonomie individuelle que d'étouffer le désir d'autonomie que la technologie inspire. L'authenticité personnelle n'a pas connue d'âge d'or : nous n'étions pas plus fidèles à nous-mêmes avant les médias sociaux ! La "detox numérique", visant à se reconnecter au réel, au vrai soi, génère son propre discours... Mais qui fera le tri entre fantasme et réalité, dans ce type de propos ? Pourquoi la préoccupation morale de déconnexion est-elle devenus si populaire ? Pourquoi notre connectivité est-elle devenue moralement toxique, malsaine comme un plaisir qu'il faudrait faire taire ? Les déconnexionnistes, comme les appelle Nathan Jurgenson s'opposent à la simulation. Mais peut-on réduire la complexité de l'authenticité de quelqu'un à son degré de connexion ? Certes, les médias sociaux transforment nos performances identitaires. Il rend le fait de devoir vivre sur scène, devant les autres, plus explicite. En fait, plus ces gens pensent que la connexion menace l'autonomie, et plus ils prônent la déconnexion. "L'obssession de l'authenticité prend racine dans une volonté de délimiter le "normal" et de lui appliquer une prétendue vérité". Le numérique est devenu une maladie. Pour les deconnexionnistes, la déconnexion est le traitement à un problème de santé, un remède à notre techno-anxiété ! Mais la déconnexion n'est-elle pas plutôt et avant tout morale ? N'est-elle une manière d'organiser le contrôle et la gestion de nos nouveaux désirs et plaisirs ? "Le désir d'être entendu, vu, informé via une connexion numérique agréable et pénible, dangereuse et excitante, nécessitant alors une police interne et externe". Derrière la fausse dichotomie réel/virtuel, se cache une dichotomie du sain/toxique et un discours d'austérité visant à réguler nos nouveaux plaisirs. Nos machines de stimulation produi
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