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hubert guillaud

La culture de l'échec des startups détruit-elle l'innovation ? - Wired - 0 views

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    Pour la designer Erika HALL, l'échec est devenu à la mode dans la Silicon Valley... Parce que le risque d'échec est bien plus bas qu'il n'a jamais été... Et parce que nul ne se préoccupe plus de la recherche. Aujourd'hui, on parle de prototypage rapide, de startups agiles... Autant de concepts qui visent à éviter de se confronter à la recherche. Pourtant la recherche est préciseuse. Elle ne consiste pas seulement à demander aux gens ce qu'ils veulent ou comment ils se sentent. Et elle devrait être un outil plus utilisé qu'il ne l'est. Les focus groupes ne disent pas grand chose de comment les gens se comportent. Les gens peuvent vous dire qu'ils veulent plus de films de qualité, alors qu'en fait ils regardent des vidéos de chats sur le net. La recherche appliquée est plus que jamais utile aux affaires, estime la designer, parce qu'elle seule aide à comprendre les gens, à faire le tri entre l'irrationnel et le réalité... L'échec est maintenant un badge d'honneur . Quelque part le long du chemin , il a obtenu d'être cool de réduire son risque d'échec. Ce genre de pensée peut-être bien pour les entrepreneurs de se concentrer uniquement sur ​​leur risque personnel et la peur de l'échec, mais il a un réel coût financier, culturel , et la possibilité pour les entreprises. ( Le coût d'opportunité inclut tous les besoins qui ne sont pas satisfaits , car ils ne sont pas arrivées à se produire à un entrepreneur solitaire ou d'une équipe étroitement ciblées . ) Cette attitude est également embrassé et promu par des investisseurs de risque parce que la sagesse commune est que les investissements à haut risque ont un plus grand potentiel de hausse. Pour être franc : de nombreux VCs ne se soucient pas de savoir si un seul placement particulier connaît un succès à long terme. Ils ne se soucient que d'un pourcentage des entreprises dans leur portefeuille les filets d'un rendement élevé. Donc un résultat positif pour les investi
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Et si nos entreprises se mettaient aussi à partager ? - Ouishare.net - 0 views

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    La consommation collaborative s'est jusqu'à présent surtout développée du côté des consommateurs, estime Clément Alteresco pour Ouishare.net, mais si demain les entreprises s'en préoccupaient ? Et l'auteur de dresser une intéressante listes de services existant permettant par exemple à une entreprise de louer des parkings vides, de revaloriser des invendus ou sa capacité de production, de partager ses bureaux, ou du troc entre entreprises... Reste bien sûr à dépasser le blocage culturel et le manque de confiance. Le partage B2B est-il l'avenir de l'optimisation financière des entreprises en temps de crise ?
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Fiscalité du numérique : vers une taxation des données - LesEchos.fr - 0 views

  • La difficulté des Etats à taxer les profits des entreprises du numérique a plusieurs causes. Leurs activités sont d'abord en perpétuelle évolution, «  de sorte qu'il est difficile d'y identifier des points de stabilité, y compris pour a sseoir un impôt », juge le rapport. Elles dissocient ensuite presque systématiquement le lieu d'établissement du lieu de consommation. Elles peuvent ainsi facilement transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Et elles «  sont d'emblée organisées en vue de tirer le meilleur parti des différences de systèmes fiscaux ». Résultat : la richesse créée est difficile à localiser, et à fiscaliser. Outre leur faible niveau d'imposition, le point commun des grandes entreprises du numérique est leur capacité à exploiter les données, celles que les utilisateurs saisissent volontairement mais aussi toutes les « traces » qu'ils laissent derrière eux lorsqu'ils naviguent sur Internet. Ces données sont «  la ressource essentielle de l'économie numérique » et son principal levier de rentabilité, concluent les auteurs.
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    Les Echos reviennent sur le rapport Colin et Collin de proposition pour une réforme de la fiscalité numérique mandaté par Bercy. "La difficulté des Etats à taxer les profits des entreprises du numérique a plusieurs causes. Leurs activités sont d'abord en perpétuelle évolution, « de sorte qu'il est difficile d'y identifier des points de stabilité, y compris pour a sseoir un impôt », juge le rapport. Elles dissocient ensuite presque systématiquement le lieu d'établissement du lieu de consommation. Elles peuvent ainsi facilement transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Et elles « sont d'emblée organisées en vue de tirer le meilleur parti des différences de systèmes fiscaux ». Résultat : la richesse créée est difficile à localiser, et à fiscaliser. Outre leur faible niveau d'imposition, le point commun des grandes entreprises du numérique est leur capacité à exploiter les données, celles que les utilisateurs saisissent volontairement mais aussi toutes les « traces » qu'ils laissent derrière eux lorsqu'ils naviguent sur Internet. Ces données sont « la ressource essentielle de l'économie numérique » et son principal levier de rentabilité, concluent les auteurs." Dès lors, les auteurs proposent d'agir à deux niveaux : à l'échelon international en incluant dans la notion d'établissement stable de l'OCDE, sur laquelle se fonde la fiscalité des entreprises de l'OCDE, le "travail gratuit" des utilisateurs qui fournissent des données. Au niveau national, en proposant une fiscalité fondée sur la collecte et l'exploitation des données. Une fiscalité incitative pour moduler l'impôt et inciter les entreprises à la transparence et à la vertu. Mais l'administration a-t-elle les outils adaptés pour contrôler les données taxées ?
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Les pôles de compétitivité français sont trop nombreux et pas assez innovants... - 0 views

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    L'Institut de l'entreprise a récemment tiré le bilan critique des Pôles de compétitivité - rapport http://www.institut-entreprise.fr/index.php?id=1670 - qui ont reçus 4,5 milliards de financement publics entre 2005 et 2011 pour ne produire que 1,5 % des brevets français et créér que 5 % de start-ups. 1 projet sur 4 débouche sur une innovation. L'Institut propose de réduire le nombre de Pôle à 10 ou 15 (plutôt que 71 actuellement) et se concentrer sur les secteurs à fort potentiel (l'Allemagne ne compte que 15 clusters et le Royaume Uni que 7). Sur les 85 technologies d'avenir identifiées par le ministère de l'industrie - http://www.industrie.gouv.fr/tc2015/ - seules 13 sont correctement couvertes par les Pôles. L'Institut recommande de renforcer la capacité des Pôles à accompagner les objets jusqu'à leur mise sur le marché. Les grandes entreprises ont peu bénéficié des Pôles alors qu'elles représentent 62 % de la recherche et 53 % des exportations. Et le privé ne participe pas assez au financement des structures. Face à ce maigre bilan, il faudrait démanteler des pôles comme le recommande le rédacteur en chef des Echos, Daniel Fortin : http://www.lesechos.fr/opinions/edito/0202428802056-touche-pas-a-mon-pole-517437.php Et ce alors que selon le dernier classement des champions européens de l'innovation de Thomson Reuters, se distinguent 13 entreprises françaises : http://www.challenges.fr/economie/20121205.CHA3846/plus-d-entreprises-francaises-en-2012-qu-en-2011-parmi-les-champions-mondiaux-de-l-innovation-thomson-reuters.html grâce à ses grands groupes et aux instituts de recherche publics. Si les Pôles sont reconduits pour 3 ans, ils vont devoir désormais se focaliser sur les retombées économiques, l'industrialisation et la diffusion des innovations dans les produits et service, rappelle le gouvernement : http://www.usinenouvelle.com/article/les-poles-de-competitivite-doivent-desormais-meriter-leur-nom.N187300
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Entreprises, non, vous ne voulez pas être une start-up - Press42 - 0 views

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    Les grandes entreprises veulent toutes fonctionner comme des start-ups, alors que celles-ci rêvent de devenir des géants, estime Alex Barrera de Press42. Mais pourquoi des adultes voudraient-ils redevenir des enfants ? Avant de vouloir redevenir des start-ups, les grandes entreprises devraient se demander quel est leur problème. Pas appliquer les méthodologies des autres, non mais trouver la leur. "Discutez avec vos employés", estime Alex Barrera. Même si votre entreprise en compte 150 000. Choisissez-en une petite partie. Passez du temps avec eux. Allez vous asseoir avec eux. Déjeunez et travaillez avec eux. Si vous n'avez pas le temps de le faire, ne vous plaignez pas de votre sort alors. Car c'est ce que les start-ups apprennent. Elles cherchent où est le problème.
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Quand le marketing des Big Data devient de la surveillance - Scientific American - 0 views

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    La chercheuse Kate Crawford revient sur Turnstyle - http://www.getturnstyle.com -, une entreprise qui a placé des centaines de capteurs le long des rues commerçantes de Toronto pour identifier les téléphones des passants afin de fournir des études marketing aux commerces locaux (cf. http://online.wsj.com/news/articles/SB10001424052702303453004579290632128929194 ). Et la chercheuse de s'inquiéter de la collusion entre le secteur public et privé pour promouvoir une collecte de donnée sans limite pour maximiser les possibilités d'affaires. Pour Kate Crawford, les entreprises de marketing ont bien lancé une charte de bonnes pratiques, mais cette charte pose de nombreux problèmes. D'abord parce que toutes les données sont devenues personnelles. Parce que l'opt-out pour indiquer qu'on ne désir pas être tracé est trop complexe. L'autorégulation de ce secteur ne sera pas suffisant, clame la chercheuse. Pour ces entreprises, les individus doivent agir comme des entreprises, négocier leur information au meilleur prix dans un marché sans friction où tout le monde comprend comment fonctionne la techno et les ramifications du partage de données. Mais ce modèle ne reflète pas une seconde la profonde inégalité de situation à laquelle nous sommes confrontés. Ceux qui détiennent les outils d'analyses ont beaucoup plus de pouvoir que les autres. Dans le débat sur la vie privée, la focalisation sur la responsabilité individuelle ne suffit pas. Car le problème dépasse l'individu. Il est systémique. Nous sommes maintenant confrontés à des expériences à grandes échelles où les gens sont dans un état de participation forcée, sans réelle capacité à en négocier les termes. Nous avons besoin d'un débat sur l'éthique de la fouille et de la collecte de données.
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Les problèmes avec les incubateurs, et comment les résoudre - Harvard Busines... - 1 views

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    Difficile pour un incubateur de distinguer le bon grain de l'ivraie. Et les quelques 7500 pépinières d'entreprises qui existent à travers le monde ont toutes tendance à connaître le même type d'échec, estime Sramana Mitra. Or les incubateurs doivent surmonter 2 écueils : fournir une valeur réelle (et pas seulement de l'espace de bureau) et mesurer le succès de leur apport. Or 2 choses permettent de déterminer si une entreprise peut prendre son envol avec succès et de manière durable : une opportunité de marché validée avec des clients prêts à payer pour un produit ou un service et un produit ou un service qui traite une telle opportunité. "Les seuls incubateurs je considère comme «réel» sont ceux qui aident les entrepreneurs à réaliser ces deux objectifs", estime Sramana Mitra qui a commis une étude sur le sujet des incubateurs. Enfin, les incubateurs doivent aider les entrepreneurs à gérer leurs entreprises que ce soit par la formation ou en l'aidant à trouver des gestionnaires compétents. Or, la plupart des incubateurs utilisent le financement comme une mesure de réussite, alors que la plupart des entreprises n'en ont pas nécessairement besoin. L'objectif des entreprises est de trouver la validation du client, pas du financement. Le risque, quand l'incubateur utilise le financement comme indice de mesure et qu'il essaye de forcer les entrepreneurs inexpérimentés à se faire financer alors qu'ils risquent d'échouer. Bien sûr, aider les entrepreneurs à se connecter avec des investisseurs est un service important, mais l'auteur de recommander que les incubateurs soient découplés du financement...
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Les fossoyeurs de l'innovation - L'Âge de la multitude - 2 views

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    L'innovation c'est le changement du modèle d'affaires et non pas la mise en place de barrières réglementaires. "Dans un cadre juridique hostile à l'innovation, on voit bien qu'une politique publique de soutien financier à l'innovation est vaine. On peut allouer tout l'argent qu'on veut à OSEO, à BPI France, à la sanctuarisation du CIR et du statut de jeune entreprise innovante, les entreprises ainsi financées ne parviennent pas à lever du capital puisque les gestionnaires de fonds identifient parfaitement les barrières juridiques à l'entrée sur les différents marchés et en déduisent qu'un investissement dans les entreprises concernées ne pourra jamais être rentable. En présence de verrous juridiques protégeant la rente des entreprises en place, l'argent public dépensé pour soutenir l'innovation est comme de l'eau froide qu'on verserait sur une plaque chauffée à blanc : elle s'évapore instantanément." "Il ne peut exister qu'une seule politique publique de l'innovation. Son motif est que l'innovation est le principal facteur de la croissance et moteur du développement économique. Sa règle cardinale est que toutes les décisions de politique publique, sans exception, doivent être prises dans un sens favorable à l'innovation : en matière de financement de l'économie ; en matière de réglementation sectorielle ; en matière de fiscalité et de protection sociale. Aucune autre politique publique que celle-là ne peut être favorable à l'innovation." C'est là où il y a le moins d'innovation que l'inégalité est la plus forte affirmait Edmund S. Phelps : http://opinionator.blogs.nytimes.com/2013/02/24/less-innovation-more-inequality/?_r=1
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Jean-Michel Truong veut transformer les aides aux entreprises en dots pour les citoyens... - 1 views

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    Le philosophe Bernard Girard revient sur un livre confidentiel publié par Jean-Michel Truong, "Reprendre" qui explique que les aides annuelles de l'Etat aux entreprises (201 milliards d'euros) représentent le montant des bénéfices des entreprises françaises. Si on supprimait ces aides, la dette publique disparaîtrait d'elle-même, estime Truong. Mais ce serait plus astucieux de transformer ces aides en crédits offerts aux citoyens afin de rendre l'argent de l'Etat aux citoyens. Pour que les entreprises puissent bénéficier de ces mannes, il faudra alors qu'elles embauches ou développent des services attractifs pour les citoyens. Truong s'intéresse guère aux conséquences de sa proposition sur l'économie, sur les secteurs qui en profiteront plus que d'autres... Son sujet est de lancer une idée en l'air.
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Comment sortir du piège de l'e-mail ? - LeMonde.fr - 0 views

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    Nous traitons 40 à 78 messages par jour en moyenne. Au bureau, les directions cherchent à juguler le flux pour éviter l'overdose. L'e-mail va-t-il connaître le même sort que ses ancêtres ? Résultat, le temps passé sur la boite mail diminue et l'audience des services de mails est en berne. Le problème n'est pas tant le spam, qui n'est pas pris en compte par ces études, que nos comportements : démultiplication des échanges pour organiser une réunion, un projet... Multiplication des interventions sur un même document... L'e-mail devient un outil de management : où tout le monde se met en copie comme pour se déresponsabiliser (70% des e-mails sont des mails "parapluie") et le mail est devenu le symbole de la souffrance et des conflits larvés. On se permet par e-mails des choses que l'on ne dirait pas en face. Pour réagir, les entreprises prennent des mesures drastiques : interdiction d'envoyer des e-mails après 18h, journées sans e-mails... pour sensibiliser à la mauvaise utilisation de l'outil. Les entreprises se tournent aussi vers d'autres solutions comme les réseaux sociaux internes... encore faut-il convaincre qu'ils ne sont pas de nouveaux outils de surveillance. Enfin, les entreprises sont frileuses face aux coûts de ces nouveaux déploiements : les gens ouvrent leurs emails puis leurs autres outils de communication... Ils s'ajoutent les uns aux autres, même s'ils permettent aussi de désengorger parfois les outils mal utilisés. Bref, la régulation des échanges dans l'entreprise n'est pas si simple et focalise sur les outils avant les pratiques.
hubert guillaud

La mobilité et le MDM tirent l'adoption d'App Store privés en entreprise - Zdnet - 0 views

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    "La croissance des terminaux mobiles en entreprise et l'adoption des solutions de MDM (mobile device management) vont tirer le développement des magasins d'applications privés d'après Gartner. D'ici 2017, 25% des entreprises devraient ainsi disposer d'un App Store privé, pronostique le cabinet."
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La montée du Darwinisme numérique - Brian Solis - 0 views

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    La plupart des dirigeants d'entreprise n'utilisent pas les médias sociaux et tenter de les convaincre que les enjeux de demain se situent sur Facebook est une bataille perdue d'avance, estime le spécialiste des réseaux sociaux, présentant son nouveau livre "Business as usual". L'avenir de l'entreprise "consiste à comprendre comment la technologie influe sur la prise de décision et le comportement au point où la reconnaissance de nouvelles opportunités et la capacité de s'y adapter de façon stratégique devient un avantage concurrentiel". Pour dérouler sa démonstration, Brian Solis rappelle que 40 % des entreprises qui étaient dans le top 500 de Fortune en 2000 ne l'étaient plus en 2010. Selon Edward Lawlet et Christopher Worley, auteurs de Built to Change, l'évolution de la liste publiée par Fortune ne cesse de s'accélérer avec les années. Entre 1973 et 1983, 35 % des entreprises avaient disparu de ce classement, entre 1993 et 2003, 60 %... Entre 2003 et 2013, 75 % des entreprises devraient être déclassées. C'est ce que Brian Solis appelle le darwinisme numérique, quand la technologie et la société évolue plus vite que la capacité à s'adapter. 
hubert guillaud

Les petites entreprises aussi auront besoin du Big Data - Harvard Business Review - 0 views

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    Les dirigeants de petites entreprises ne ressentent pas le besoin d'investir dans les données de leurs clients, alors que leurs concurrents, eux, le font. Or, les petites entreprises pourraient tout autant que les grosses bénéficier des données, estiment deux chercheurs. Leur problème demeure de ne pas avoir les ressources et l'expertise pour traiter les données. Une agence régionale du gouvernement britannique a offert à 7 entreprises, qui fournissent des produits à Tesco, des informations provenant des cartes de fidélité de Tesco, le géant des supermarchés. Des données qui leur ont permis de voir les magasins où ils vendaient le mieux leur produit, leur saisonnalité, ce que les gens qui achetaient leurs produits achetaient également, etc. Des ateliers et des données qui leur ont permis de mieux comprendre la concurrence, d'envisager des innovations, de mieux comprendre leurs clients. Un producteur de yahourt s'est ainsi rendu compte que les personnes âgées étaient le marché clé de ses produits et a changé sa stratégie commerciale pour cibler les plus âgés plutôt que les plus jeunes, ce qui a amélioré la productivité de ses événements. "Les Big Data menacent de créer un profond fossé entre ceux qui disposent des données et les autres", c'est aux gouvernements et aux universités de jouer un rôle pour réduire la fracture de la connaissance et de l'expertise. Voir l'étude : http://isb.sagepub.com/content/early/2013/09/29/0266242613502691.full.pdf+html
hubert guillaud

Ce que Prism signifie pour les entreprises françaises | Le Cercle Les Echos - 0 views

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    Pour Fabrice Epelboin, la surveillance massive de la NSA fait porter de gros risques aux entreprises qui prennent un risque inconsidéré, si elle détient un savoir faire industriel particulier ou si elle participe à des appels d'offres, si elle utilise des programmes aussi anodin que Lotus ou Windows (sans parler des offres de Cloud computing, des logiciels de travail collaboratif comme SalesForce, etc.). Le Cloud souverain que prône la ministre de l'économie numérique est un leurre plus qu'une réponse. Aux entreprises de revoir en profondeur les risques qu'elles prennent à l'heure de l'état des révélations, selon que vous ayez ou non quelque chose à cacher au gouvernement américain, à ses alliés, à ses intérêts économiques.
hubert guillaud

Les salariés menacés d'extinction par les distractions quotidiennes ? - Entre... - 0 views

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    La productivité des entreprises stagne. Les travailleurs du savoir sont noyés dans un quotidien professionnel, plombés par les processus, les réunions et les e-mails. La solution ne viendra pas des outils, mais de la culture et des habitudes, rappelle Frédéric Cavazza consistant à lutter activement contre l'email et les réunions intempestives, adopter de nouveaux réflexes et réprimander les comportements toxiques et revoir l'environnement et le rythme de travail.
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L'inculture informatique des dirigeants pénalise les grandes entreprises - Le... - 0 views

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    Selon une enquête auprès des directeurs des systèmes d'information des grandes entreprises, l'informatique est toujours perçu comme un poste de dépenses plutôt que comme un moyen d'améliorer les performances de l'entreprise. Pire, le manque de culture numérique des comités de direction des entreprises a des conséquences directes sur la compétitivité. 
hubert guillaud

"Les données personnelles sont une matière première" - Libération - 0 views

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    "Toute action en ligne génère des données", explique Nicolas Colin, coauteur du rapport sur la fiscalité numérique : "saisir des chaînes de caractères, cliquer sur des liens, télécharger des photos ou simplement parcourir des sites… Amazon s'en sert par exemple pour optimiser son référencement, prévoir les pics de demande ou faire des recommandations. Ces données deviennent donc une matière première dans le processus industriel de création de valeur, sous des formes très diverses - il ne s'agit pas seulement du ciblage publicitaire. On les retrouve dans les capitalisations boursières impressionnantes des entreprises américaines du numérique." "Inciter les entreprises à ne pas être prédatrices des données de leurs utilisateurs, c'est-à-dire ne pas les collecter sans l'expliquer aux internautes et sans les en faire profiter. Ce n'est bon ni pour l'innovation ni pour la croissance. Si certaines entreprises numériques créent beaucoup de valeur, c'est parce qu'elles permettent aux internautes de réutiliser leurs données dans un écosystème, comme le fait la plateforme d'applications de Facebook."
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Pourquoi un mauvais projet IT détruira une grande entreprise dans un futur pr... - 0 views

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    En 2003, Levi Strauss a pris la décision de reconcevoir son système informatique global pour un budget de 5 millions de dollars. Mais en 2008, le montant était de 193 millions et le système mis en place a forcé trois centres de distribution aux Etats-Unis à fermer une semaine ! Une étude vient de regarder les budgets de 1471 projets informatiques de multinationales. En moyenne, le budget est 27% plus cher que prévu, mais un projet sur 6 a un coût qui explose de 200% ! Cela signifie que le dépassement n'est pas une mesure inappropriée, mais que le budget prend peut en compte les risques associés à ce types de projets. Les projets informatiques sont désormais tellement vastes, ils touchent tant d'aspects de l'organisation qu'un risque singulier nouveau apparaît : ils peuvent faire sombrer une entreprise. Pour les chercheurs, ce n'est qu'une question de temps avant qu'un évènement extraordinaire ne se produise, et qu'un projet IT détruise une entreprise.
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Vous pensiez lancer un concours d'innovation ouverte ? Réfléchissez-y encore ... - 0 views

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    Pour Randall S. Wright, responsable du bureau des relations aux entreprises du MIT, les concours d'innovation gagnent en popularité dans les entreprises. Mais rares sont ceux qui apportent des idées que l'entreprise saura mettre en oeuvre. L'innovation nécessite avant tout des gens obsédés, passionnés... Les entrepreneurs ne doivent pas penser que les gens intelligents travaillent ailleurs, mais doivent se recentrer sur le paradigme qui dirige leur entreprise. Ni l'iPhone, ni la Ford T n'ont été le résultat d'un concours... Ils devraient plutôt porter leur attention sur les discours internes différents.
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Si mes données sont un livre ouvert, pourquoi ne puis-je pas les lire ?- NYTi... - 0 views

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    Natasha Singer revient (après ce premier article : http://www.nytimes.com/2013/04/28/technology/personal-data-takes-a-winding-path-into-marketers-hands.html?ref=technology ) sur la non mise à disposition de ses propres données à l'utilisateur. Impossible en effet d'avoir accès à ses propres données de téléphonie mobile auxquels son opérateur accède. Pareil pour son fournisseur électrique ou son club de gym. Nous pouvons certes avec d'autres outils tenter de créer une redondance d'information pour en disposer... Mais les programmes de restitution des données personnelles commencent. San Diego Gas and Electric a mis au point un programme de gestion de l'énergie où les clients peuvent visualiser leur consommation énergétique de manière plus précise. Pour Jules Polonetsky, directeur du forum sur l'avenir de la vie privée - http://www.futureofprivacy.org -, les gens peuvent se sentir plus à l'aise avec l'extraction de données si les entreprises leur montrent les avantages qu'ils peuvent en retirer. Malgré cela, les entreprisent offrent rarement plus aux clients qu'un instantané de leurs activités. Intel a récemment lancé un programme intitulé "Data Economy" destiné à encourager les entreprises à réfléchir à prendre en compte les utilisateurs comme acteur de l'économie de l'information (voir : http://wethedata.org/about/why-we-are-doing-this/ ).
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