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Twitter est-il plus polarisé qu'on le pensait ? - Quartz.com - 0 views

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    Une étude de Twitter portée par le Pew Research Center et la Fondation de recherche sur les médias sociaux souligne que sur Twitter la séparation politique est forte et les visions politiques opposées ont peu d'interconnexion entre elles. Bienvenue à l'ère des foules polarisées ! Les chercheurs ont mis à jour plusieurs formes de polarisation des débats... : la polarisation politique, les foules serrées, les grappes communautaires (qui ont des connexion modérées), les pôles de marque (les marques et célébrités sont examinées par des utilisateurs peu connectés), les réseaux de diffusion (où les gens influents exercent leur pouvoir) et les réseaux de soutiens. Voir aussi : http://www.pewinternet.org/2014/02/20/mapping-twitter-topic-networks-from-polarized-crowds-to-community-clusters/
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Internet : la longue traîne n'a-t-elle toujours été qu'une utopie ? - Slate.fr - 0 views

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    Retour sur l'ouvrage d'Anita Elberse, professeure d'économie à Harvard, "Blockbusters" : plus que jamais à l'ère d'internet, c'est la tête et non la traine qui garde le pouvoir, à savoir les grosses productions et non les niches. La dynamique du gagnant qui rafle la mise est encore plus forte sur le net. Au cinéma, si les Majors prennent des risques avec les blockbusters, c'est parce que la promotion et l'invasion sont la meilleure façon de s'assurer contre les risques sur un marché par définition incertain. Anita Elberse étend sa démonstration à d'autres domaines culturels : édition, musique, sport... mais également dans le numérique, via Apple ou Netflix qui se transforme en studio, ou YouTube qui se met à créer des chaines et à mettre en avant les plus visibles. Pour Anita Elberse, l'allégorie de la longue traine tient de l'utopie. La logique Mainstream prend encore plus de puissance avec les outils numériques. Ce qui n'est pas sans effets collatéraux : manque de prise de risque, frilosité créative... réduction de la diversité et développement d'une polarisation extrême entre blockbuster et le reste. La conclusion de David Lacombled est finalement amusante, parce qu'elle reprend celle qu'on entend partout : internet a cependant un rôle à jouer pour réactiver la longue traine... et qu'il suffit que les citoyens promeuvent la diversité pour y remédier. C'est, il me semble croire que la façon dont le net est conçu est sans effet, alors que l'accélération de l'effet superstar en ligne montre exactement l'inverse. Perso, j'ai tendance à penser que pour créer la longue traine, il va nous falloir changer d'internet...
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La gauche n'aide plus les défavorisés, la droite est incapable d'offrir un ca... - 0 views

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    Pour Eric Le Boucher, "le plus grand déficit dont souffre la France n'est pas économique, il est intellectuel". Tous les partis politiques ne cherchent que la victoire politique, aucun ne pense la société... Et les solutions magiques et radicales, si elles étaient mis en oeuvre, décevraient encore plus ceux qui y croient. La gauche ne parvient pas à sortir les catégories défavorisées de la pauvreté et la droit est incapable d'offrir un capitalisme populaire. L'étatisme de gauche et le libéralisme de droite ont échoué tous les deux. Pour Eric Le Boucher, comme pour d'autres, la politique doit s'appliquer à rendre le pouvoir aux gens.
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Ce que les nouvelles technologies peuvent changer à la nature même du pouvoir... - 0 views

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    Pour Benoît Thieulin, président du CNNum, les décideurs politiques et économiques n'ont pas pris suffisamment conscience des capacités de traitement rendus possibles par les nouvelles technologies. Reste que la culture du secret en politique est aussi allé trop loin, jusqu'à échapper à tout contrôle démocratique. Les nouvelles technologies nous poussent à trouver un nouvel équilibre.
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Est-ce que les révélations de la NSA ont quelque chose à voir avec la gouvern... - 0 views

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    Pour Milton Mueller, ceux qui participent de la gouvernance de l'internet semblent penser qu'il n'y a pas de lien entre les révélations d'Edward Snowden et la manière dont l'internet est géré. C'est en partie vrai. La capacité d'espionnage de la NSA n'a rien à voir avec la façon dont les Etats-Unis gouvernent l'Icann. Mais d'un autre côté, nous nous faisons des illusions si nous pensons que la façon dont l'internet mondial est régit peut-être détachée du jeu de pouvoir politique entre Etats.
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Paye pour exister ! - Le dernier blog - 0 views

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    Google et Facebook réintroduisent de la hiérarchie dans le réseau Internet qui s'est toujours caractérisé par l'égalité entre les personnes qui y sont connectées, en faisant payer la visibilité des commentaires ou la possibilité d'adresser des messages directs à des gens avec qui nous ne sommes pas en relation. Le pouvoir que nous accordons aux plates-formes continue de se retourner contre nous à mesure qu'ils sont en situation de monopole et nous en situation de dépendance.
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Elargir la critique du consumérisme de l'information de Morozov - Medium - 1 views

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    Wessel van Rensburg revient sur le dernier livre d'Evgeny Morozov qui dénonçait le fait que l'échangede nos données contre l'accès gratuit aux services nous mène inexorablement à l "apocalypse de l'information", c'est-à-dire à la fois à la surveillance, à la perte d'autonomie voir même à la fin de la démocratie... Wessel van Rensburg critique un point très particulier de l'argumentation de Morozov, le fait que la gratuité empêche à nos échanges d'être cryptés de bout en bout, afin de pouvoir y développer des services spécifiques. Pour Wessel van Rensburg l'absence de cryptographie est surtout liée à la mauvaise ergonomie que génèrent ces services. Est-ce pour autant une raison pour rejeter le cryptage ? Et si le design s'intéressait au sujet pour voir comment améliorer l'expérience utilisateur ? Peut-être que van Rensburg a raison et que Morozov met peut-être un peu vite de côté, ce qui nous pousse à partager et échanger ?
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Service Public 2.0 - Institut de l'entreprise - 0 views

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    L'Institut de l'Entreprise, think tank patronal proche du Medef, vient de publier une note intitulée "Service Public 2.0" produite par Elisabeth Lulin. Cette note, riche en exemples, propose des pistes sur l'évolution des services publics et les replace face à une tension avec laquelle les "innovateurs sociaux" britanniques sont familiers depuis l'arrivée au pouvoir de David Cameron : les valeurs de la "coproduction de service public", de "l'Etat-plateforme" sont-elles de gauche, de droite ou dépassent-elles ce clivage ? Cette coproduction sert-elle avant tout à accompagner le retrait général de l'action publique et la privatisation de cette action au profit des entreprises (très peu citées) ? Peut-elle produire plus de sécurité, de lien, de solidarité, ou bien un peu moins ? Quelles conditions mènent-elles à une issue plutôt que l'autre ?
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Le mouvement humain suffira à alimenter l'internet des objets en électricité ... - 0 views

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    Nos mouvements génèrent suffisamment d'énergie pour transmettre des données à 1 kb/s. Les chercheurs ont étudié l'énergie inertielle que nous produisons et ont d'ailleurs constaté que nous n'en produisons que 7% d'une journée, le reste du temps, nous sommes plutôt passifs. Pourra-t-on demain utiliser nos fitbits pour récupérer de l'énergie ? Au-delà, les fonds de recherche importants sont actuellement investis dans la conception de dispositifs informatiques ne fonctionnent à des niveaux de puissance assez faible pour bénéficier de la récupération d'énergie. Ce qui semble clair à partir de cela et d'autres travaux ne l'Internet des objets est à venir et fait, si les problèmes de pouvoir une fois ressemblait à un écueil, ce n'est plus un souci. Ref: arxiv.org/abs/1307.0044: Movers and Shakers: la récupération d'énergie cinétique pour l'Internet des objets
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Rencontre avec les pirates qui veulent jailbreaker l'internet - Wired - 0 views

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    Klint Finley est allé à la rencontre de l'Indie Web movement (le mouvement pour un web indépendant) qui tenait récemment une rencontre, autour de Ward Cunningham, l'inventeur du wiki, de Kevin Marks, le responsable des web services de British Telecom ou Brad Fitzpatrick, le créateur de Live Journal... Des hackers qui développent des alternatives open source au web des grandes sociétés, comme Camlistore, une alternative open source à Google Drive. L'idée est de créer un web qui se comporte comme une seule entité. Bien qu'animé par des gens qui travaillent chez Google, Facebook ou Twitter, le web indépendant travaille à s'en défaire. Parmi les outils qui sont en train d'être mis au point, on trouve des alternatives à Twitter ou Facebook comme StatusNet ou Diso (le réseau social distribué)... ou encore Diaspora devenu Mark.io depuis le décès de son fondateur. Plutôt que de remplacer les silos des acteurs majeurs de l'internet, le mouvement se défini par sa volonté à construire des outils qui vous permettent d'héberger vos données et machines, mais également de les partager via le net. Ce qu'on appelle le POSSE (Publish on your Own Site, syndicate elsewhere). Au début, ils ressemblent à n'importe quel autre tripotée de geeks technologie. Mais alors vous avez un préavis d'un d'entre eux est Ward Cunningham, l'homme qui a inventé le wiki, la technologie a fait Wikipedia sous-tend. Et il ya Kevin Marks, l'ancien vice-président des services Web à British Telecom. Oh, et ne manquez pas Brad Fitzpatrick, créateur du site de blogs LiveJournal séminal et, plus récemment, un codeur qui travaille dans la salle des machines de l'empire en ligne de Google. Emballé dans une petite salle de conférence, cette bande hétéroclite de développeurs de logiciels doit pedigree numérique hors normes, et theyhave une mission à l'avenant. Ils espèrent jailbreaker l'internet. Ils appellent cela le mouvement de la bande indie, en vue de créer un
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Le problème avec les algorithmes : ils magnifient les mauvais comportements -... - 0 views

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    Les algorithmes apprennent et répètent nos comportement, ce qui facilite la commodité, mais tend à répéter des traits ou des erreurs à l'infini, estime John Burn-Murdoch pour le Guardian. La caractéristique des algorithmes à reproduire la prise de décision humaine peut être une arme à double tranchant. Récemment, une université britannique a ainsi développé un modèle informatique pour rationaliser son processus d'admission qui a exacerbé la discrimination sexuelle et raciale. Des biais de sélection ont aussi été découverts sur Linked-in : lycée, université, pays de résidences peuvent devenir des critères excluants. Avons-nous donné trop de pouvoir aux machines ?
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Commodify Us: Nos données à nos conditions - Furtherfield - 0 views

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    Le collectif artistique de Commodify Inc. produit des projets pour aider les individus à exploiter leurs capacités financières en ligne. Leur intention est de corriger le déséquilibre du pouvoir dans les marchés où les utilisateurs n'ont aucun contrôle sur les transactions effectuées avec leurs données personnelles. Ils ont réalisé divers projets artistiques et des interventions sur les médias sociaux comme, le jeu Give Me My Data ou le Web 2.0 Suicide Machine. Leur nouveau projet, Commodify.Us (Marchandisez-nous) est une plateforme pour que les utilisateurs puissent reprendre le contrôle de l'exploitation commerciale de leurs données personnelles. http://commodify.us/
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Répandre l'alphabétisation par la diffusion d'internet - The Atlantic - 1 views

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    Comme le souligne Phil Nichols l'alphabétisation a toujours été plus que juste la capacité à lire. Et pourtant, que penser de l'initiative lancée par Facebook et d'autres acteurs des nouvelles technologies autour de Internet.org, une organisation visant à accroître considérablement l'accès à Internet pour "les deux tiers du monde qui ne sont pas encore connectés". Si on comprend bien l'intérêt économique des majors du net à développer leur marché, reste que depuis les révélations de Snowden, l'objectif semble avoir aussi une toute autre connotation, qui n'a plus grand chose d'un idéal. La déclaration suggère un lien intrinsèque entre connectivité et progrès, tout en évitant d'expliciter de quel progrès il est question. Phil Nichols décortique l'argumentation du site avec le discours pronant l'alphabétisation du début du 20e siècle. Comme l'internet, l'alphabétisation a été alors réifiée comme quelque chose ayant une valeur intrinsèque, quelque chose capable de stabiliser et démocratiser la société par elle-même. Les théories de l'alphabétisation ont suggéré que partout où elle a été introduite elle a eut pour conséquence d'introduire des changements cognitifs, sociaux, économiques et scientifiques. Alors que certains savants comme Claude Lévi-Strauss ou Jack Goody ont essayé d'éviter de faire des jugements de valeur dans leurs comparaisons, nous avons longtemps différencier les sociétés sans écritures des sociétés avec. Au fil du temps l'idée que les cultures lettrées étaient moralement et intellectuellement supérieurs est devenu une banalité, inexacte, mais largement partagée. Il a fallut attendre les années 1980 pour que la force bienveillante de l'alphabétisation commence à être attaquée par des chercheurs comme Sylvia Scribner, Michael Cole, Shirley Brice Heath montrant que l'alphabétisation, en soi, ne garantit aucune augmentation des aptitudes intellectuelles ou de la mobilité sociale. En
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Comment la technologie détruit la classe moyenne - NYTimes.com - 1 views

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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
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affordance.info: Confiance biométrique : se mettre le digital dans l'oeil. - 0 views

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    Avec l'annonce du nouvel iPhone équipé de la technologie TouchID, Apple envisage de s'accaparer notre corps. Demain, faudra-t-il payer pour pouvoir s'extraire du vertige du panoptique ? Échapperons-nous à l'opt-out biométrique ?
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There's More to Life Than Being Happy - Emily Esfahani Smith - The Atlantic - 0 views

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    "C'est la poursuite du bonheur qui contrarie le bonheur". Quel est le sens de la vie ? Dans son bestseller, le survivant de l'holocauste, Viktor Frankl, estime que la différence entre ceux qui sont morts et ceux qui ont survécu à l'horreur des camps, tenait au sens de la vie. Ceux qui ont trouvé du sens, même dans les pires circonstances se sont avérés plus résistants à la souffrance que les autres. La dernière liberté, estimait Frankl, est de pouvoir choisir son attitude face à n'importe quelle circonstance. Selon un sondage Gallup, 60 % des Américains se sentent heureux. Mais selon le Center for Disease Control, 40% n'ont pas découvert un but satisfaisant à leur vie. Dans une récente étude du Journal de psychologie positive, mener une vie heureuse est associé à être un "preneur", alors que mener une vie pleine de sens, correspond au fait d'être un "donneur". Le bonheur caractérise une vie égocentrique voire égoïste où les besoins et les désirs sont facilement satisfaits, ou les enchevêtrements complexes sont évités. La vie heureuse correspond à une vie sans stress ou inquiétude. Mais la poursuite du bonheur est associée à un comportement égoïste. Au contraire, les gens qui ont des vies significatives, riches, l'obtiennent plutôt en apportant du bonheur aux autres. Et ce qui différencie les animaux des êtres humains n'est pas la poursuite du bonheur, mais celle du sens, qui est unique à l'homme... Prendre soin des autres donne un sens à la vie, mais ne fait pas nécessairement de nous des gens heureux. La signification, le sens de la vie, n'est pas seulement se transcender soi-même, mais plus encore transcender le moment présent, quand le bonheur est ressentie dans l'ici et maintenant.
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"Red State" App Life360 Helps Families Track Themselves - Liz Gannes - Mobile - AllThingsD - 0 views

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    Pouvoir savoir où sont ses enfants, son mari... ? C'est désormais possible avec des applications dédiées comme Life360 qui permet d'enregistrer des utilisateurs qui choisissent de partager leur localisation avec vous. Une application qui bat Foursquare ou Path à leurs propres jeux et dispose déjà de 52 millions d'utilisateurs, soit plus que Foursquare (40 millions, Path, 20). Mais il existe déjà d'autres applications plus sélectives comme Twist ou Glympse qui permet de partager des localisations à certain moment ou quand on doit se rejoindre par exemple.
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Pouvoir et agir - Volle.com - 0 views

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    "Nous ne pourrons réussir, dans le monde que l'informatisation transforme, que si nous abandonnons la conception hiérarchique de l'organisation." Michel Volle
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École numérique : de quoi parle-t-on ? - Sciences Humaines - 0 views

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    "Depuis le début du XXe siècle, du cinéma aux jeux sérieux, en passant par la télévision et les MO7 du plan informatique pour tous, beaucoup de nouvelles technologies n'ont pas tenu leurs promesses éducatives. À chaque fois, on a cru pouvoir moderniser l'école grâce aux nouvelles technologies. Je crois qu'il est temps d'admettre que ce n'est pas une bonne façon de poser le problème. L'école a sans doute besoin d'être plus efficace et plus juste. Quand nous saurons comment faire cela, alors nous saurons en quoi les façons d'apprendre, d'enseigner et d'organiser l'école doivent être modifiées, alors seulement nous pourrons savoir quelle contribution telle technologie, nouvelle ou ancienne, peut apporter à cette amélioration. Dans l'attente, nous sommes condamnés à innover un peu au hasard, en essayant quelque chose dans l'espoir que ça marchera, et en nous préparant à être déçus.) Au cours des trente dernières années d'innovations « un peu au hasard », nous avons appris beaucoup de choses. Nous avons appris que les conditions d'intégration des nouvelles technologies à l'école dépendaient de leur utilité, de leur simplicité et de leur compatibilité avec ce qui se passe dans la classe. Nous avons appris que leur utilité résidait essentiellement dans leur effet positif sur la motivation, l'engagement, le plaisir des élèves ; sur la richesse et la complexité des contenus que l'on peut aborder ; sur l'interactivité et la possibilité de personnaliser l'apprentissage pour un élève singulier. Mais nous avons appris que ces plus-values en termes d'utilité s'obtenaient souvent au détriment de la simplicité. Nous avons dû admettre que les évaluations proposées par un ordinateur sont souvent rudimentaires mais qu'elles offrent la possibilité de mieux suivre l'activité d'un élève, d'augmenter le nombre d'évaluations et de favoriser l'autoévaluation. Nous a
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La prochaine frontière de la domotique ? La présence - GigaOm - 0 views

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    L'un des problèmes de la domotique c'est la présence, estime Stacey Higginbotham. Comment la maison sait-elle dans quelle pièce vous êtes ? Et si on utilisait les téléphones mobiles pour savoir où vous êtes dans la maison et détecter une présence avec plus de précision via les technologies sans fil courtes portées ? Nous faudra-t-il emporter notre téléphone partout avec nous chez nous ? Et quid de ceux qui n'en portent pas ? Nous allons pouvoir laisser les enfants dans le noir et faire que la télé ne s'allument pas pour nos parents plus facilement ;-).
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