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hubert guillaud

There's More to Life Than Being Happy - Emily Esfahani Smith - The Atlantic - 0 views

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    "C'est la poursuite du bonheur qui contrarie le bonheur". Quel est le sens de la vie ? Dans son bestseller, le survivant de l'holocauste, Viktor Frankl, estime que la différence entre ceux qui sont morts et ceux qui ont survécu à l'horreur des camps, tenait au sens de la vie. Ceux qui ont trouvé du sens, même dans les pires circonstances se sont avérés plus résistants à la souffrance que les autres. La dernière liberté, estimait Frankl, est de pouvoir choisir son attitude face à n'importe quelle circonstance. Selon un sondage Gallup, 60 % des Américains se sentent heureux. Mais selon le Center for Disease Control, 40% n'ont pas découvert un but satisfaisant à leur vie. Dans une récente étude du Journal de psychologie positive, mener une vie heureuse est associé à être un "preneur", alors que mener une vie pleine de sens, correspond au fait d'être un "donneur". Le bonheur caractérise une vie égocentrique voire égoïste où les besoins et les désirs sont facilement satisfaits, ou les enchevêtrements complexes sont évités. La vie heureuse correspond à une vie sans stress ou inquiétude. Mais la poursuite du bonheur est associée à un comportement égoïste. Au contraire, les gens qui ont des vies significatives, riches, l'obtiennent plutôt en apportant du bonheur aux autres. Et ce qui différencie les animaux des êtres humains n'est pas la poursuite du bonheur, mais celle du sens, qui est unique à l'homme... Prendre soin des autres donne un sens à la vie, mais ne fait pas nécessairement de nous des gens heureux. La signification, le sens de la vie, n'est pas seulement se transcender soi-même, mais plus encore transcender le moment présent, quand le bonheur est ressentie dans l'ici et maintenant.
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Relationships Are More Important Than Ambition - Emily Esfahani Smith - The Atlantic - 0 views

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    En psychologie, il y a peu de recherches sur l'ambition, souligne Emily Esfahani Smith pour The Atlantic, mais une récente étude longitudinale s'est intéressé aux conséquences de celle-ci. Ce sont les enfants les plus consciencieux, extravertis et issu d'un milieu socio-économique aisé qui s'avèrent être les plus ambitieux. Si les plus ambitieux ont tendance à aller dans les meilleurs écoles, à gagner plus d'argent, quand il s'agit de bien être, les résultats sont plus mitigés. L'ambition est faiblement reliée avec le bien être et négativement associée à la longévité. Les gens ambitieux sont souvent heureux de ce qu'ils ont accomplis dans leur vie, leur bonheur ne peut se faire au détriment des relations personnelles. Et de faire référence au psychologue Tim Kasser auteur du "Prix élevé du matérialisme" qui a montré que la recherche de valeurs matérialistes (argent, possessions...) entraîne une baisse du bien-être et plus de détresse chez les individus et est même préjudiciable aux relations. Les gens qui croient aux valeurs matérialistes ont des relations interpersonnelles plus pauvres et contribuent moins à la communauté et ils ont plus tendance à utiliser les autres pour atteindre leurs propres objectifs. Une étude a montré que les relations sociales sont primordiales dans le bonheur... Autant de recherches qui montrent que la limitation de notre liberté n'est pas préjudiciable à notre bien être, au contraire. L'absence de contraintes est préjudiciable à notre bonheur.
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Tous pirates - error 404 - 0 views

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    "Jamais au grand jamais je n'aurais pu penser que le but ultime du capitalisme était la poursuite du rêve communiste", explique Julien Breitfeld en revenant du LeWeb à Londres qui portait sur l'économie collaborative. Pas un des économistes et sociologues de gauche (même un Polanyi) n'avait prédit le recyclage de l'idée du partage, de la collectivisation des moyens de production chère à Marx, par le capitalisme. "Le code libre, c'est une richesse commune, exploitée par tous, mais dans une asymétrie d'échanges. S'il fait le bonheur de communautés (celles d'Ostrom), il fait aussi le bonheur de la sphère privée. Ainsi, les flux économiques apparaissent comme une captation de valeur sur des territoires et des individus hors marchés (de l'Europe vers les US, du libriste vers Microsoft) à coût nul, pour être ensuite revendus aux producteurs initiaux. Le libre, c'est un peu l'Afrique qui importe son chocolat après avoir vendu à prix dérisoire ses fèves de cacao." "Le succès de Kickstarter (et d'Ulule, de KissKissBankBank, et de tant d'autres) procède de la faillite de l'économie réelle : tous ces entrepreneurs en devenir ne trouvent plus d'argent via les acteurs traditionnels. Et, si le financement collaboratif n'est pas une invention (les startupeurs connaissent bien le "friend and family funding") le web a permis, une fois de plus, d'industrialiser des pratiques à la marge." "Le crowdfunding, ce devrait être une bourse pour petits "petits porteurs". Or, ces derniers sont des investisseurs sans droit ni titre... Par contre, l'entreprise créée est bien soumise aux lois du marché, et certaines peuvent devenir de vrais succès. Même si le projet est intéressant, voire quasi d'utilité publique, ce qui est choquant c'est de voir que le marché profite in fine d'un risque qui n'est pas assumé par lui, mais par des tiers, lesquels s'appauvrissent car ils mobilisent leur épargne." Pour Julien Breitfeld il faut distinguer le marché de l'
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« Le malheur français, c'est quelque chose qu'on emporte avec soi » | Rue89 - 0 views

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    Pour Claudia Senik, spécialiste de l'économie du bonheur, la raison pour laquelle les Français se sentent moins heureux que les habitants des autres pays développés serait à chercher dans le système scolaire. C'est lui qui fabrique la mélancolie française, par son élitisme qui produit fort peu de confiance en soi.
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Hapilabs - 0 views

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    Une fourchette qui vous aide à ne pas manger trop vite, une montre pour enregistrer vos moments de bonheur d'une simple pression et un capteur pour vous motiver à brûler des calories... Tels sont les gadgets de la mesure de soi proposés par HapiLabs.
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Quantifier son conjoint - Huffington Post - 0 views

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    L'année dernière, le mouvement Quantified Self montrait encore quelques tabous, expliquait-on : http://www.internetactu.net/2011/12/15/quantified-self-33-les-tabous-de-la-mesure/ Il est fort possible que ceux-ci soient en train de tomber (déjà !). Bianca Bosker pour le Huffington Post revient sur la mode du Quantified Spouse. L'entrepreneur américain Dave Asprey - http://www.bulletproofexec.com - s'est soumis à un régime sexuel très strict l'année dernière afin de trouver comment son plaisir sexuel maximisait son bien-être. Il a également mesurer son sommeil à lui et son épouse. Il conseille aux époux de surveiller le cycle d'ovulation de leurs épouses et la fréquence de leurs ébats pour mieux comprendre ce qui perturbe le bonheur conjugal. Une femme utilise ainsi ces outils pour surveiller le poids de son mari et ses habitudes de sommeil à distance. Certains couples estimes que les données les a aider à être plus respectueux de l'état de leur conjoint et de ses besoins. En étant au courant du score de sommeil de l'autre, le conjoint peut prêter plus d'attention à vous, car il sait que vous serez fatigués ou reposé. Les données fournissent un objet de communication pour le couple.
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Des dépenses plus heureuses ? - NYTimes.com - 0 views

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    Pour Elizabeth W. Dunn et Michael Norton auteurs de "Happy Money : The Science of Smarter Spending" ne sont pas très enthousiastes sur Square, le système de paiement mobile, un système de paiement qui favorise la gratification instantanée et rend la dépense invisible, ce qui a tendance à nous faire surconsommer. Des études ont montré que ceux qui payent avant de recevoir leur bien étaient plus heureux de celui-ci que ceux qui payent ensuite. Retenir son plaisir d'acheter augmente non seulement l'excitation d'anticipation, mais également le plaisir lui-même. Le défi pour la prochaine génération d'innovation bancaire résident dans l'intégration de la science du bonheur.
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Nous ne voulons pas qu'une économie de la croissance - LeMonde.fr - 1 views

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    La recherche du bonheur ne peut se confondre avec la recherche de la croissance. La satisfaction matérielle compense-t-elle notre sentiment d'une liberté bafouée ? Non, explique Hugo de Gentile, étudiant à l'EM Lyon. Non, nous devons changer nos priorités (notamment par un travail moins anxiogène). Les jeunes y sont prêts. 
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Soyons réalistes, demandons le bonheur | Slate - 0 views

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    Jean-Marc Proust revient sur le livre de l'économiste Daniel COhen, Homo economicus. Si les inégalités sociales sont toujours là, l'égalité culturelle résultante de la démocratisation des loisirs semble faire disparaître les distinctions sociales chères à Bourdieu. L'aspiration à la "haute culture s'estompe. Nous avons tout, le "désir" semble finit. L'égoïsme gangrène les rapports sociaux. La frénésie de consommation s'accompagne d'une étrange morosité.
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Making It - The New Yorker - 0 views

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    Evgeny Morozov, pour le New Yorker, fait une critique sans concession du mouvement Maker. Il en rappelle tout d'abord l'histoire et la fait remonter au début du XXe siècle, avec le mouvement Arts & Crafts, un mouvement de défense de l'artisanat et des réalisations amateurs, sans parvenir à devenir une alternative radicale au travail aliénant des usines, mais plutôt en devenant un loisir de riches. Ce mouvement prônant le retour à l'artisanat a certes dispersé des millions de projets à faire soi-même, mais il a plus favorisé le macramé domestique que l'émancipation des travailleurs. Ce type de mouvement est revenu avec la contre-culture des années 60 : le Whole Earth Catalog de Steward Brand en étant la parfaite illustration. La naissance de l'ordinateur personnel, célébré comme l'outil ultime de l'émancipation ne fait que prolonger le mythe. En 1972, Buckminster Fuller publie Spacewar, un article où il vante les hackers par rapport aux technocrates et planificateurs... L'ordinateur est alors vue comme l'outil de désinstituionalisation de la société. Désormais, le piratage est partout. Mais ce piratage continue (dans les études, le travail, le bonheur...) consiste plus à jouer avec le système qu'à le casser... A jouer, pour pouvoir mieux s'y intégrer. Il n'est pas étonnant alors que les institutions elles-mêmes proposent désormais des hackathons pour se transformer. Les makers ne sont qu'une nouvelle forme de hackers, de pirates. Kevin Kelly, qui était déjà de l'aventure du Whole Earth Catalog, propose Cool Tools, un recueil de conseils pour pirater et fabriquer son quotidien, proposant des méthodes pour créer des sous-vêtements rafraichissant ou des lunettes de toilettes chauffantes. "Ce qu'il faut pour être un fabricant est avant tout une carte de crédit", ironise Morozov. Et Morozov de comparer le mouvement maker au mouvement Arts and Crafts : des amateurs qui aiment fabriquer leurs propres jouets. Le mouvement a ses gou
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La ville du future pourra crowdsourcer l'humeur de ses habitants - L'Atelier: Disruptiv... - 0 views

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    La ville de Vilnius en Lituanie lance le baromètre du bonheur - http://happybarometer.com - demandant à ses habitants de noter leur humeur quotidienne.
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Pourquoi les joueurs ont du mal à décrocher d'un jeu de tir en vue subjective... - 0 views

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    Depuis l'invention de Doom en 1993, le succès des first-person Shooters ne s'est jamais démenti. Pourquoi ? Parce que leurs qualités (la vue subjective, la violence, la tridimensionnalité...) plongent les joueurs dans l'état de Flow, chère au psychologue Mihaly Csikszentmihalyi. Les jeux vidéo sont des systèmes favorisant la prise de décision rapide qui est très stimulante ainsi qu'une plongée dans des expériences que nous n'avons pas régulièrement, alors que nous sommes toujours câblés pour la chasse. Ensuite, le tir à la première personne, nous donne une capacité à contrôler notre environnement qui est un élément fondamental à notre bonheur, analyse Maria Konnikova pour le New Yorker en citant plusieurs études. En 2009, le psychologue Leonard Reinecke signalait déjà que les jeux vidéo étaient étonnamment efficaces pour lutter contre le stress, la fatigue et la dépression...
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Les marques du futur nous aideront à consommer moins - Co.Exist - 0 views

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    Tom Adams, le directeur de FutureBrand, en est convaincu. Alors que pour l'instant les marques nous poussent à la consommation, à l'avenir, elles devront s'adapter aux innombrables outils de mesure dont nous disposerons et nous aider à mieux les consommer et à les consommer moins. A l'avenir, elles vont devoir aider le consommateur à comprendre ce qu'il consomme et l'impact de sa consommation sur sa santé, sa prospérité ou son bonheur, récompensant la loyauté plus que la quantité... Demain, les supermarchés nous vendrons moins de produits dans des emballages plus petits, les services financiers nous aiderons à dépenser moins et les assurances factureront moins ceux dont elle connaitra les comportements individuels... Hum. Vous aussi vous avez du mal à y croire ?
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Google : les secrets de son département des ressources humaines - Slate.fr - 0 views

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    Frahad Manjoo nous amène au coeur du fonctionnement du département de ressources humaines de Google, le People Operation (Pops) dont le fonctionnement s'appuie sur un logiciel sophistiqué destiné au traitement des statistiques recueillies auprès des salariés. L'ambition ici est de dégager des certitudes empiriques sur chaque aspect de la vie des employés de Google -pas uniquement le niveau de salaire ou de prestations approprié mais également des détails d'apparence triviale, comme la taille ou la forme optimale des tables de la cafétéria, ou la longueur de la queue à l'heure du déjeuner. Google a embauché des chercheurs en sciences sociales pour étudier son organisation. En développant une politique très attractive de congé maternité, Google a ainsi considérablement réduit le départ des jeunes mères de son entreprise. Bref, Google mesure les avantages qu'il apporte à ses salariés afin qu'ils fidélise ses employés. Par la mesure, les ingénieurs de Google ont ainsi déterminé que 4 entretiens suffisaient pour embaucher quelqu'un. Les données montrent également que les managers intermédiaires sont utiles. Vers un renouveau du management par les données ? C'est ce que laisse penser ce passionnant article !
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