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hubert guillaud

Psychologik : Un nouveau système classe intelligemment les média - 0 views

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    Common Sense Media - http://www.commonsensemedia.org - a mis en place un système de classement des contenus qui développe toute une palette d'appréciation des compétences mises en oeuvre par le contenu : raisonnement, créativité, autonomie, responsabilité et éthique, etc.
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La découverte sociale contre la sociabilité - The New Inquiry - 0 views

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    Dans "L'amour au temps des algorithmes", Dan Slater estime que la rencontre en ligne devient une découverte sociale. Mais n'est-ce pas là l'effet de la rationalisation de la sociabilité par les algorithmes, interroge Rob Horning pour The New Inquiry. Que se passe-t-il quand nos rencontres sont médiées par des entreprises, des algorithmes ? Que devient notre autonomie individuelle ? La sociabilité est-elle désormais guidée par nos relations sociales ? Or, ce qui rend la sociabilité agréable, estime Leo Bersani dans "Sociability and Cruising", c'est l'abandon de l'individualité et non pas sa réaffirmation. Alors que la sociabilité est un oubli de soi, la découverte sociale repose sur nos intérêts communs pour faciliter la rencontre. La capacité à éprouver la sociabilité réside dans la capacité à être pleinement soi-même, ce qui suppose, dans un contexte de médias sociaux, de pouvoir être pleinement anonyme. Nous devons cesser de penser l'identité comme quelque chose qui peut être agrandi quantitativement, estime Rob Horning.
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Le passage au clavier tactile - Christian Fauré - 0 views

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    En nous faisant part de son expérience personnelle - son passage du clavier au clavier tactile -, Christian Fauré pointe du doigt ce que l'intégration logicielle change au matériel. Et comment les nouvelles fonctionnalités transforment notre rapport à la machine... Ce qui n'est pas sans poser de question sur notre autonomie... 
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La bêtise connective - HuffingtonPost.fr - 0 views

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    Pour le philosophe Vincent Cespedes, auteur de "L'ambition ou l'épopée de soi", la France ne traverse pas une crise conjoncturelle, mais un problème psychobureautique, pour faire référence aux travaux du sociologue américain Robert King Merton. Il s'agit d'une tendance à sacraliser les règles. "A force d'exiger des salariés et des fonctionnaires de se conformer le plus strictement possible aux prescriptions de leur poste, on leur inculque un attachement viscéral aux règles, bien au-delà de la simple adhésion pragmatique. On érige ainsi la psychorigidité au rang des vertus organisationnelles, faisant passer l'application du règlement au-dessus de l'intérêt des clients et des prestataires eux-mêmes. Prudence, méthode et discipline deviennent de véritables handicaps, qui interdisent l'adaptation à la nouveauté et l'agilité procédurale. Conséquences de cette surconformité acquise : une intériorisation des règles (devenues fins en soi et non plus moyens pour atteindre des buts); une diminution des relations interindividuelles; une attitude soumise et passive qui fait fi -- souvent sous le mode de la frustration -- de toute autonomie et de toute créativité." L'intelligence connective, elle, est mue par deux pulsions antagonistes, mais trouvant une émulation prodigieuse grâce aux nouvelles technologies : le désir de liberté et le désir de communauté. Le but devient alors de viser un idéal commun et d'en tirer un plaisir maximal. Pour le philosophe, c'est ce qui explique qu'un vaste marché aux causes et jouissance se soit ouvert sur la toile, composé d'extrémismes de tout poils et d'ayatollahs du dimanche. Pour le philosophe, la grande responsable est l'école, qui continue de faire de la sélection par l'obéissance inconditionnelle aux règles.
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Faire des robots plus comme nous - NYTimes.com - 0 views

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    A l'université Carnegie Mellon, Manuela Veloso a développé des robots, les cobots - http://www.cs.cmu.edu/~coral/projects/cobot/ -, capables d'effectuer des tâches simples comme la livraison du courrier, guider des visiteurs, aller chercher le café... Mais ces robots comptent aussi sur les humains. Comme ils n'ont pas de bras, ils comptent sur les humains pour prendre l'ascenseur. Et d'ailleurs ont été programmé pour demander de l'aide. Sa conceptrice parle d'autonomie symbiotique. Certains disent que c'est de la triche. Mais pour le professeur Veloso, c'est le secret de la véritable autonomie. Car contrairement aux robots d'usines qui vivent dans des environnements protégés, les robots du monde réel vont devoir apprendre à vivre avec nous et donc développer des interactions avec l'homme.
hubert guillaud

En tant qu'ingénieurs, nous devons considérer les implications éthiques de no... - 1 views

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    Pour l'ingénieur Abbas El-Zein, les technologies de surveillances de la NSA ont été mises au point par des hommes. Savaient-ils à quoi serviraient leurs algorithmes ? Ont-ils tenu compte du potentiel d'abus dans leur conception ? Doivent-ils être tenus comme responsables ou ont-ils simplement fait leur travail ? La question est la même quand les ingénieurs développent du matériel pour la défense (même si en fait, il sert surtout a son contraire). Pourtant, quand les médecins utilisent leur savoir pour faire le mal, nous les condamnons sans ambages... Pourquoi la société n'applique-t-elle pas les mêmes normes pour les ingénieurs ? L'ingénieur est devenu le modèle du salarié d'industrie, et l'inconvénient est la perte de leur autonomie. Leur éthique est devenue technique, explique Abbas El-Zein : ils conçoivent pour que les systèmes fassent ce qu'ils sont censés faire, pas pour la façon dont ils doivent être utilisés. Les ingénieurs conduisent des projets complexes techniquement, mais n'ont pas une grande connaissance de la complexité sociale de la technologie. Il est tant que la profession commence à s'engager sur des questions éthiques, politiques et sur les ramifications sociales de leurs inventions...
hubert guillaud

Répandre l'alphabétisation par la diffusion d'internet - The Atlantic - 1 views

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    Comme le souligne Phil Nichols l'alphabétisation a toujours été plus que juste la capacité à lire. Et pourtant, que penser de l'initiative lancée par Facebook et d'autres acteurs des nouvelles technologies autour de Internet.org, une organisation visant à accroître considérablement l'accès à Internet pour "les deux tiers du monde qui ne sont pas encore connectés". Si on comprend bien l'intérêt économique des majors du net à développer leur marché, reste que depuis les révélations de Snowden, l'objectif semble avoir aussi une toute autre connotation, qui n'a plus grand chose d'un idéal. La déclaration suggère un lien intrinsèque entre connectivité et progrès, tout en évitant d'expliciter de quel progrès il est question. Phil Nichols décortique l'argumentation du site avec le discours pronant l'alphabétisation du début du 20e siècle. Comme l'internet, l'alphabétisation a été alors réifiée comme quelque chose ayant une valeur intrinsèque, quelque chose capable de stabiliser et démocratiser la société par elle-même. Les théories de l'alphabétisation ont suggéré que partout où elle a été introduite elle a eut pour conséquence d'introduire des changements cognitifs, sociaux, économiques et scientifiques. Alors que certains savants comme Claude Lévi-Strauss ou Jack Goody ont essayé d'éviter de faire des jugements de valeur dans leurs comparaisons, nous avons longtemps différencier les sociétés sans écritures des sociétés avec. Au fil du temps l'idée que les cultures lettrées étaient moralement et intellectuellement supérieurs est devenu une banalité, inexacte, mais largement partagée. Il a fallut attendre les années 1980 pour que la force bienveillante de l'alphabétisation commence à être attaquée par des chercheurs comme Sylvia Scribner, Michael Cole, Shirley Brice Heath montrant que l'alphabétisation, en soi, ne garantit aucune augmentation des aptitudes intellectuelles ou de la mobilité sociale. En
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