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GPA : Contribution de No Maternity Traffic à la Conférence de la Haye | Allia... - 0 views

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    "Des représentantes de No Maternity Traffic ont été reçues par le Secrétariat de la Conférence de la Haye de droit international privé le 4 septembre 2015 ; elles ont transmis une contribution écrite qui alerte des graves atteintes aux droits des femmes et des enfants que provoque la pratique de la gestation pour autrui. La Conférence de la Haye de droit international privé (HCCH) est une organisation intergouvernementale mondiale chargée de la coopération juridique, spécialement en ce qui concerne la famille et le droit des enfants. La HCCH a été mandatée pour travailler sur la question de la maternité de substitution depuis 2011, en raison des enjeux humains, éthiques et juridiques que cette pratique soulève au niveau international, notamment concernant l'établissement de la filiation des enfants. Dans sa contribution écrite, No Maternity Traffic a souligné qu'une convention internationale régissant les effets de la maternité de substitution présupposerait d'en accepter le principe, alors que la maternité de substitution viole gravement les droits et la dignité des femmes et des enfants. No Maternity Traffic invite donc la Conférence - et les 79 Etats membres qui en font partie - à s'interroger d'abord sur la pratique de la maternité de substitution en elle-même au regard de la dignité des enfants et des femmes, mais aussi au regard du droit international en vigueur. No Maternity Traffic, qui regroupe des associations internationales et dont Alliance VITA est un membre actif, demande par ailleurs au Conseil de l'Europe de s'engager pour l'interdiction effective de toute forme de GPA. Pour signer la pétition : www.nomaternitytraffic.eu ."
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CAIRN - Recherches familiales - S'approprier les codes. Mise en scène et sign... - 0 views

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    "L'ouverture du mariage aux couples de même sexe en France pose de nouveaux enjeux scientifiques, jamais étudiés jusqu'à ce jour dans la mesure où il s'agit d'une possibilité récente. Si le mariage a longtemps été critiqué pour sa dimension « hétérosexiste » [1] [1] On se réfère ici à une définition du terme « hétérosexiste »…, instituant une hiérarchie entre les relations, comment les couples de même sexe s'approprient-ils un modèle dont ils étaient historiquement exclus, et plus précisément quelles sont les différentes fonctions des codes associés de manière sous-jacente à la cérémonie ? Les codes représentent en effet un « mode d'emploi pour agir avec les autres, et aussi avec soi-même » [2] [2] Martine SEGALEN, Rites et rituels contemporains, Armand Colin,…. En d'autres termes, les codes fonctionnent comme un ensemble de conventions collectivement admises qui permettent d'interpréter le rituel en l'inscrivant dans une « récurrence des formes, nécessaire pour fournir un cadre à l'expérience, pour donner à force de répétitivité les allures d'un langage dont chacun partage les symboles » [3] [3] Ibid., pp. 93-94.. Même si la cérémonie du mariage est loin d'être homogène et connaît de nombreuses variations en fonction des périodes historiques, des régions, mais aussi des milieux sociaux [4] [4] Michel BOZON, « Sociologie du rituel du mariage », Population,…, un certain nombre de règles relativement ancrées et structurantes fonctionnent comme un cadre de référence. On peut d'ailleurs tenter de les objectiver grâce aux nombreux guides visant à faciliter l'organisation rituelle. Le Guide Blanc du Mariage recense en ligne les établissements spécialisés par région, et les classe ainsi par thématique : lieux de réception, traiteurs et pâtissiers, robes de mariée, costumes, coiffeurs et bijoutiers, orchestres, fleuristes, faire-part et menus, repo
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Terra Nova - Les femmes et le partage des espaces publics : pour la mixité - 0 views

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    Remarques déplacées, mains baladeuses, agressions verbales ou sexuelles... La dénonciation de telles pratiques, courantes dans l'espace public, rend compte d'une prise de conscience, encore récente et partielle, et contribue à définir le partage sexué des espaces publics comme un problème politique à part entière. Les femmes n'ont pas un accès égalitaire à la ville ni la pleine liberté de leurs mouvements dans les circulations urbaines. Longtemps sous-estimés ou déniés, les multiples éléments qui limitent leur participation à l'espace public sont désormais mieux pris en compte, et la gravité de certaines atteintes est désormais publiquement dénoncée. Des initiatives comme le vote cet été en France d'un nouveau délit visant le « harcèlement de rue » témoignent d'une mobilisation inédite et d'une réponse politique nouvelle. Cette prise de conscience recouvre, cependant, des approches parfois contradictoires qui engagent des représentations concurrentes des formes d'occupation de l'espace souhaitables et légitimes. En effet, une forme politisée de dénonciation du sexisme peut conduire à des solutions renforçant une logique sécuritaire étendue à l'occupation de la rue, au risque de renforcer une gestion policière des espaces publics. Une autre perspective, au contraire, cherche à renforcer la mixité des usages urbains. Elle suppose une démarche plus large, intégrant une autre conception de l'aménagement urbain, plus participative et plus soucieuse de la diversité des usages. Pour changer de regard sur l'accès aux espaces communs, il faut identifier des usages spécifiques de la ville, liés à la division sexuée des tâches et des métiers, reconnaître des mobilités différentes, identifier l'impact sur la vie quotidienne des aménagements urbains, trop souvent encore conçus pour un actif adulte et implicitement masculin. En s'inspirant d'expériences menées dans une série de villes européennes et fr
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Pour un développement complet de l'enfant et de l'adolescent | France Stratégie - 0 views

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    "À la suite de l'adoption du plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté et pour l'inclusion sociale, le Premier ministre a demandé à France Stratégie de constituer une commission chargée d'élaborer une stratégie nationale pour l'enfance et l'adolescence. Le présent rapport, qui résulte du travail conduit sous la présidence de François de Singly, surprendra sans doute. Plutôt que de dresser le catalogue des dispositifs à réformer et des mesures à introduire, il nous invite d'abord à déposer les œillères avec lesquelles trop souvent nous examinons séparément les politiques de l'éducation et de la famille, ou bien segmentons les approches de l'enfance, de l'adolescence et de la jeunesse. Plutôt que de partir des politiques publiques, et des objectifs nécessairement partiels de ceux qui en ont la responsabilité, il nous suggère de centrer notre attention sur les jeunes et les adolescents eux-mêmes. Il y a deux motifs à cette démarche. Le premier est qu'il est impossible de faire comme si la pauvreté monétaire, qui touche plus d'un tiers des familles monoparentales, le manque de centaines de milliers de places d'accueil collectif pour la petite enfance et l'échec scolaire étaient des problèmes extérieurs les uns aux autres. Le second est qu'une politique publique compartimentée en autant de silos qu'il se trouve de ministères compétents et d'objectifs distincts manque nécessairement son objet : celui d'un développement à la fois cognitif, personnel et social, qui se construit à travers ces divers âges de la vie que nous nommons enfance, adolescence et jeunesse. En proposant une stratégie visant le « développement complet » de tous les enfants, le rapport de François de Singly et Vanessa Wisnia-Weill invite à réexaminer nos politiques au regard d'un objectif englobant. Cette ambition ne résulte pas seulement d'une démarche conceptuelle - encore que celle-ci fournisse sa colo
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Ministère de l'économie - Prévention de l'exposition des mineurs aux contenus... - 0 views

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    Le développement d'Internet a conduit à un développement exponentiel de l'accès à des contenus pornographiques. La pornographie a été longtemps cantonnée dans des revues ou des cinémas spécialisés. Tel n'est plus le cas aujourd'hui et les contenus pornographiques font désormais l'objet d'une consommation de masse : plus de 20 millions de visiteurs uniques par mois en France fréquentent des sites pornographiques. Il était compliqué pour des mineurs d'avoir accès à de tels contenus, en général limité aux revues ou cinémas spécialisés : aujourd'hui plus d'un mineur âgé de plus de 15 ans sur 2 a déjà vu une vidéo pornographique sur internet et de façon plus préoccupante, cette proportion a augmenté pour les mineurs de 37% en 3 ans ½. Il existe une législation, pénale et civile qui permet de prévenir l'accès des mineurs à de tels contenus. L'article 227-24 du code pénal prohibe la diffusion de contenus pornographiques accessibles à des mineurs. La loi pour la confiance dans l'économie numérique impose aux plateformes de vidéos de concourir à la lutte contre la diffusion de contenus pornographiques accessibles aux mineurs et permet de faire bloquer les sites qui ne comportent pas de telles mesures. Pour autant, malgré ce dispositif, nombre de sites de vidéos pornographiques qui sont, dans une écrasante majorité, installés à l'étranger, ne comportent aucune mesure de prévention pour les mineurs. Les réseaux sociaux ont adopté des comportements différents vis-à-vis des contenus pornographiques, certains prohibant pour des raisons de stratégie mondiale tous contenus explicites, d'autres laissant ces images circuler librement, sans aucune mesure de prévention pour les mineurs
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Site Internet de la Préfecture de Police - Communiqué de presse Evénements en... - 0 views

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    "Communiqué de presse Evénements en marge de - la manif pour tous - Ces trois derniers jours, plusieurs initiatives d'opposants au projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe, se réclamant pour un certain nombre d'entre eux de « la manif pour tous », ont engendré des troubles à l'ordre public dans la capitale. Outre que ces personnes ont tenté à 5 reprises de se rassembler et de manifester sans déclaration préalable, en violation de la loi (article L. 211-1 du code de la sécurité intérieure), elles ont à chaque fois refusé d'obtempérer aux appels à la dispersion formulés par les forces de l'ordre, certains manifestants n'hésitant pas à faire usage de violence ou de provocation à leur encontre. Des déambulations sur la voie publique de petits groupes, sans parcours défini, ont par ailleurs entraîné d'importantes perturbations à la circulation sur des grands axes de la capitale. Ces initiatives présentent un risque pour les participants eux-mêmes et des accidents de la circulation ont été évités de justesse. Au total, depuis vendredi 12 avril au soir, 201 personnes ont été interpellées suite à leur participation à l'un de ces rassemblements. 68 ont été placées en garde à vue. La préfecture de police appelle les dirigeants du collectif « La Manif pour tous » à la responsabilité. Si la liberté de manifester est un droit constitutionnel, elle doit s'exercer dans le respect d'un certain nombre de conditions prévues par le législateur que la préfecture de police est chargée de faire respecter à Paris. En application de la loi, si d'éventuelles nouvelles actions de ce type devaient avoir lieu, organisateurs et participants s'exposeraient à être interpellés et éventuellement à faire l'objet de sanctions pénales lundi 15 avril 2013 Retour "
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Eurostat - La vie des femmes et des hommes en Europe - 0 views

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    À la maison, au travail, à l'école … … il existe de grandes différences entre les vies des femmes et des hommes en Europe, mais il y a également des similitudes. Cette publication numérique « La vie des femmes et des hommes en Europe - un portrait statistique » se propose de comparer les femmes et les hommes dans leurs vies de tous les jours. Elle montre également comment la vie quotidienne des femmes et des hommes peut être semblable ou différente dans les pays européens. Cette publication comporte trois chapitres : Vivre, grandir, vieillir... : ce chapitre est consacré à la démographie et à la santé, avec par exemple des données sur l'espérance de vie, les mères et les pères célibataires, la perception que nous avons de notre santé, etc. Il montre également qu'en Europe, malgré nos différences, les femmes et les hommes sont satisfaits de leur vie au même niveau. Apprendre, travailler, gagner sa vie... : ce chapitre présente des données sur le niveau d'éducation, la conciliation entre les vies professionnelle et familiale, le travail à temps plein et à temps partiel, les écarts de rémunération entre les sexes, les cadres supérieurs féminins et masculins, etc. Il souligne non seulement les différences structurelles, mais aussi les inégalités entre les femmes et les hommes. Manger, acheter, surfer, avoir une vie sociale... : ce chapitre se concentre sur les habitudes alimentaires et les comportements sociaux, les activités de loisirs et les pratiques sur Internet, avec par exemple des données sur la consommation de tabac et d'alcool, l'indice de masse corporelle, la fréquentation du cinéma, l'utilisation des réseaux sociaux, et les achats en ligne. Une dernière partie est consacrée à la garde et à l'éducation des enfants et aux tâches ménagères. Cette publication numérique contenant des textes courts, des graphiques interactifs, des photos, a été développée par Eurostat en collaboration
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Sur les unions de personnes de même sexe. Diocèse d'Angoulême | Expression libre - 0 views

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    "Il existe dans notre diocèse deux groupes de chrétiens concernés par l'homosexualité : un groupe de partage tous les deux mois existe déjà à Angoulême pour les personnes homosexuelles (hommes et femmes) de notre région. Et un groupe de partage destiné aux parents ayant des enfants homosexuels. Ces deux groupes de paroles font partie de l'association Devenir Un en Christ Les prises de position de l'Église, ou du moins de certains évêques qui se sont exprimés et des fidèles qui les ont relayées au moment de la loi sur le mariage pour tous, sont souvent apparues comme violemment hostiles. Ces positions étaient-elles partagées par ceux qui sont restés silencieux? L'Église de France n'a pas toujours eu une parole suffisamment positive et constructive, et ses paroles négatives exprimées lors du Pacs sont restées dans les mémoires. Nombre de personnes homosexuelles que nous connaissons ont été tentées de quitter l'Église à ce moment, et certaines ne reviendront pas; la blessure est trop profonde. Ces situations restent aujourd'hui taboues, cachées, on n'en parle pas au grand jour. Une grande majorité de prêtres n'y est pas préparée, et la majorité des assemblées paroissiales (génération âgée le plus souvent) n'a pas reçu de l'Église les paroles d'accueil et d'attention nécessaires. Un grand nombre de personnes homosexuelles croyantes et engagées dans les paroisses cachent cette dimension de leur vie, de peur au mieux de ne pas être comprises et au pire d'être exclues de leur communauté. Il faut accueillir les personnes homosexuelles comme les autres et pour cela convertir le regard de la communauté et des pasteurs. À cette fin, il faut convertir le regard de chacun et certainement donner aux responsables une formation concrète sur cette réalité. Il faut diffuser largement le travail des moralistes qui, il y a trente ans déjà, travaillaient sur ce sujet. À partir de là, nous pourrons construire un vrai projet past
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Message de Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron pour le 15 ao... - 0 views

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    "Le 15 août 2012, le Cardinal André Vingt-Trois, inquiet des menaces qui pesaient sur le mariage et la famille, avec le projet de loi dit de « mariage pour tous », proposait à tous les catholiques de France de porter cette intention dans la prière universelle. Il s'agissait ni plus ni moins, en la fête de l'Assomption de Notre-Dame, patronne principale de notre pays, que de prier pour la France. Cette simple et modeste prière eut des retentissements insoupçonnés, elle réveilla l'âme profonde de notre nation et c'est une mobilisation sans précédent qu'elle entraîna : un débat public, confisqué par un gouvernement et un parlement démocratiquement élus, s'ouvrit ; de nombreuses personnalités du monde des élus et de la société civile, mais aussi des grandes confessions religieuses, dont de très nombreux évêques de France, brisèrent la loi du silence imposé par des lobbies ultra-minoritaires mais exerçant une pression inouïe sur les responsables politiques et la plupart des grands media ; des foules inédites de plus d'un million de personnes, dont de très nombreux jeunes, descendirent dans la rue pour faire entendre leur voix, bravant à trois reprises le mépris du gouvernement, la répression policière, le silence complice des grands media. Et c'est pacifiquement que la force du droit se heurtait à des instances politico-judiciaires s'arrogeant le droit d'user de la force de manière parfaitement illégale. Le rappel à l'ordre de la France par le Conseil de l'Europe pour mauvais traitement policier infligé aux manifestants de la « manifpourtous », et les actions en justice contre de tels agissements, qui éclateront au grand jour dans quelques mois, démontrent cette illégalité."
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CCNE - Avis n° 126 - Avis sur les demandes sociétale de recours à l'assistanc... - 0 views

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    'assistance médicale à la procréation (AMP) recouvre un ensemble de techniques, conçues par le corps médical, puis organisées par le législateur, pour répondre à des infertilités qui révèlent des dysfonctionnements de l'organisme. Les demandes sociétales[1]d'accès à l'AMP reposent sur la possibilité d'utilisation de ces techniques à d'autres fins que celle du traitement de l'infertilité liée à une pathologie. On assiste, en effet, à une augmentation des demandes de recours à l'AMP qui ne s'exprimaient pas jusqu'alors, ou très marginalement, portées à la fois par les évolutions de la société, de la loi française et des lois de certains pays étrangers, et celles de la technique. C'est dans ce contexte que le CCNE a souhaité mener à nouveau une réflexion sur les demandes sociétales d'AMP dans leur ensemble. La réflexion éthique porte sur trois de ces demandes : (1) l'autoconservation ovocytaire chez les femmes jeunes ; (2) les demandes de recours à l'AMP par des couples de femmes et des femmes à titre individuel ; (3) les demandes de gestation pour autrui, de la part de couples hétérosexuels, mais aussi de couples d'hommes et d'hommes seuls. Le CCNE a développé une méthode d'analyse de ces différentes demandes de recours à l'AMP, dans l'intention de proposer des repères et des critères généraux pour éclairer la réflexion éthique. Il s'agit, d'une part, d'éléments techniques et biologiques, d'autre part, de changements dans l'organisation des relations humaines qui s'inscrivent dans le processus. Cette méthode - exposée dans ce chapitre, appliquée ensuite pour chaque cas et chaque technique - permet d'identifier et d'expliciter les principaux questionnements à la source des points de vue sur les nouvelles demandes d'accès aux techniques en matière de procréation.
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UNAF - Donner confiance aux familles : 10 propositions pour un pacte quinquennal en fav... - 0 views

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    Pour illustrer ses propositions, l'UNAF a commandé un sondage IFOP auprès de 790 familles avec enfants à charge. Les résultats de ce sondage confirment que les préoccupations des familles dépassent largement le champ de la branche famille, que la politique familiale doit absolument conserver une dimension globale et que chaque candidat doit y apporter des réponses. - Le top 5 des préoccupations de l'ensemble des familles enquêtées : 1) la sécurité, 2) l'emploi, 3) la qualité de l'enseignement 4) l'équilibre entre vie familiale et vie professionnelle, 5) le coût de la vie. - 82% des familles sont extrêmement ou très préoccupées par l'emploi des membres de leur foyer plus particulièrement les employés, les jeunes parents, les familles ayant des grands enfants et les familles monoparentales. - 82% des familles sont extrêmement ou très préoccupées par l'équilibre entre vie familiale et vie professionnelle et ce quel que soit l'âge des enfants (avec un pic pour 86% des parents d'enfants de 5 à 9 ans). - 82% des familles sont extrêmement ou très préoccupées par la qualité de l'enseignement, avec un pic pour les parents d'enfants de 5 à 9 ans (88%). - 80% des familles sont extrêmement ou très préoccupées par le coût de la vie. - 71% des familles sont extrêmement ou très préoccupées par les questions de logement et plus particulièrement les familles de 2 enfants (76%) qui ont besoin de plus de place. - Enfin, la préoccupation de la sécurité au sens large, première dans toutes les catégories de familles est le signe du besoin généralisé de confiance auquel les politiques doivent répondre par la responsabilité, la stabilité et la pérennité des décisions publiques.
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N° 3084 - Proposition de loi de M. Bruno Le Roux relative à la modification d... - 0 views

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    "Aujourd'hui, en France, plusieurs dizaines de milliers de personnes éprouvent la conviction d'être nées dans le mauvais corps, le sexe leur ayant été biologiquement assigné à la naissance ne correspondant pas à l'expérience intime de leur propre identité sexuelle. Le décalage entre le sexe biologique et l'identité ressentie conduit la majorité de ces personnes à souhaiter vivre socialement dans le genre du sexe opposé à leur sexe biologique et à en adopter l'apparence grâce à un parcours médical, fait notamment d'hormonothérapies et d'opérations chirurgicales, en tout état de cause variable en fonction des individus. On estime entre dix mille et quinze mille personnes actuellement engagées ou ayant accompli un parcours de transition. Le plus souvent profondément ancrée dès l'enfance, la transidentité peut s'affirmer à tout âge et génère dans la plupart des cas de profondes souffrances psychologiques, notamment traduites par un taux de tentatives de suicide estimé à 34 % par une enquête associative en France. À la difficulté d'accepter sa transidentité s'ajoute le malaise social, la personne concernée ne pouvant se reconnaître dans les rôles et apparences culturellement attribués aux hommes et aux femmes. Dans bien des cas, enfin, elle subit l'isolement et le rejet par son entourage, ainsi que de nombreuses discriminations, violences physiques ou sexuelles. Le 8 février 2010, le ministère de la santé établit le décret n° 2010-125 dans lequel les troubles de l'identité de genre (ou transsexualisme) sont supprimés des critères d'admission des affections longue durée (A.L.D. n° 23), dites psychiatriques. Le 6 août 2012, conformément aux engagements du Président de la République, la France a officiellement reconnu la transphobie en ajoutant « l'identité sexuelle » parmi les motifs de discrimination inscrits à l'article 225-1 du code pénal à l'occasion de la loi sur le harcèlement sexuel. La
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The Conversation - Pour les femmes, la flexibilité des horaires de travail se... - 0 views

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    "L'inégale répartition entre les hommes et les femmes dans la prise en charge des tâches domestiques et familiales constitue la caractéristique toujours actuelle de l'environnement extra-professionnel des femmes. Les femmes actives font face à une « double journée » de travail, c'est-à-dire qu'elles cumulent dans une même journée obligations professionnelles et familiales/domestiques. Or de nombreux travaux francophones ont montré la difficulté à articuler travail professionnel et travail domestique pour les femmes. En cela, les horaires flexibles peuvent être considérés a priori comme un moyen de mieux organiser le « temps de travail » des femmes (c'est-à-dire la somme des temps de travail professionnel et domestique) et ainsi leur difficulté à concilier vie professionnelle et vie privée. En effet, selon un travail de recherche publié en 2004 « dans les pays à faible taux de natalité et à population active vieillissante, les gouvernements ont souvent recours aux politiques publiques pour augmenter les congés personnels et parentaux, ainsi que pour adapter les horaires de travail afin d'encourager les femmes à intégrer et développer le marché du travail et de les aider à concilier vie professionnelle et futures responsabilités familiales afin de ne pas décourager les naissances ». Nous avons réalisé une étude à l'aide d'un panel constitué à partir de la fusion des enquêtes nationales Conditions de travail 2013 et Conditions de travail-Risques psycho-sociaux 2016 visant à examiner de plus près la portée et les limites de cette solution. Nos travaux nous ont permis de mettre en avant les effets pervers des horaires flexibles à savoir le renforcement des inégalités femmes-hommes se traduisant notamment par des modes d'évaluation de la performance au travail différenciés et une intensification du travail pour les femmes. À noter que par horaires flexibles, nous entendons la possibilité
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Haut Conseil e de la Famille, de l'enfance et de l'âge - Programme de travail... - 0 views

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    Cette note décrit le programme pour 2017 du HCFEA qui a pour mission d'animer le débat public et d'apporter aux pouvoirs publics une expertise prospective et transversale sur les questions liées à la famille et à l'enfance, à l'avancée en âge, à l'adaptation de la société au vieillissement et à la bientraitance, dans une approche intergénérationnelle. Ce programme est composé d'un thème transversal et commun aux trois Conseils qui est : disposer de temps et de droit pour s'occuper de ses enfants, de sa famille et de ces proches en perte d'autonomie. Le Conseil de la famille travaillera plus particulièrement sur la lutte contre la pauvreté des familles et des enfants, la réduction des inégalités, le soutien à la parentalité, le développement de l'accueil du jeune enfant et les ruptures familiales. Le Conseil de l'enfance et de l'adolescence s'attellera quant à lui au suivi régulier de la mise en oeuvre des recommandations de Comité des droits de l'enfant de l'ONU et travaillera plus spécifiquement sur le sujet suivant : les tiers temps/tiers lieu de vie des enfants et des adolescents : états des lieux et perspectives. Le Conseil de l'âge quant à lui se penchera sur les questions liées à la perte d'autonomie, à la santé et à la prise en charge des dépenses de soins des personnes âgées, au logement et au cadre de vie de ces dernières.
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Pour une Église qui débat | Conférence catholique des baptisé-e-s francophones - 0 views

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    "Il n'échappe à personne qu'à l'approche du Synode les déclarations, lettres ouvertes, livres blancs, pétitions, appels de toutes sortes se multiplient et tentent ainsi de faire entendre leur petite voix jusqu'à l'aula synodale. On peut le déplorer car cela donne un peu à croire que la vie ecclésiale ressemble à une guérilla médiatique ou à la gesticulation de plusieurs Panzerdivision bourrées de sondages explosifs. Or, la vie ecclésiale est bien davantage que cela… À condition seulement que nous, catholiques, nous appliquions les excellents principes que notre tradition nous a inculqués, c'est-à-dire que nous n'oubliions pas ce qui devrait être notre honneur, le sensus fidei. Qu'est-ce à dire ? Le sens de la foi découle de ce nous apprennent l'évangile de Jean et le Livre des Actes des Apôtres, à savoir que l'Esprit Saint est répandu sur tous ceux qui croient (ce qu'atteste le baptême), et donc que chacun dans l'Église possède une autorité. Vatican II a remis en lumière cette tradition de toujours. Le concile a rappelé que la parole d'un baptisé, à condition qu'elle soit appuyée sur la mise en pratique de la parole de Dieu, exprime une vérité de foi qui ne peut pas ne pas être entendue. Il a aussi replacé ce sens de la foi des fidèles dans la sphère plus large du sensus fidei fidelium. Cette deuxième acception du même phénomène implique que ce sens de la foi n'anime pas seulement chaque baptisé, mais qu'il est en permanence en circulation entre les divers membres de l'unique peuple de Dieu - magistère, évêques et fidèles du Christ - qui forme l'Église. Le pape, qui légifère une fois qu'il a écouté les fidèles et les évêques, le fait au nom de ce sens de la foi de toute l'Église. Dans l'Église, le pouvoir vient de l'équilibre entre plusieurs pôles : pouvoir de gouverner aux mains du magistère, pouvoir d'enseigner aux mains des théologiens, pouvoir de
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Découvrir la charte - Charte des Départementales - La Manif Pour Tous - 0 views

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    "Charte des candidats aux élections départementales Mes convictions Candidat(e) et demain, peut-être, conseiller(e) départemental(e), j'affirme que : Principe 1 La famille, socle fondamental et avenir de la société, doit être reconnue, protégée et soutenue. Principe 2 Le mariage est l'engagement que prennent un homme et une femme l'un envers l'autre de s'aimer, fonder une famille et éduquer leurs enfants. Principe 3 L'intérêt supérieur de l'enfant est avant tout d'être élevé par son père et sa mère dans la mesure du possible et dans un contexte stable. Principe 4 Tout enfant est né d'un homme et d'une femme. Dès lors, l'altérité sexuelle des parents est indissociable de la conception et de la filiation. Principe 5 L'enfant n'étant la propriété de personne, il ne peut être l'objet d'aucun commerce ni d'aucun don. La grossesse ne peut être l'objet d'aucun contrat. Principe 6 La famille a vocation à jouer un rôle social majeur. C'est le lieu privilégié pour l'exercice du respect, de la solidarité et de la transmission au sein des couples et entre les générations. Principe 7 Il appartient au père et à la mère de déterminer et de choisir l'éducation de leurs enfants. Principe 8 La lutte contre les discriminations doit être menée au nom du principe de la dignité de toute personne humaine. Elle ne peut être détournée et dénaturée au profit d'un militantisme promouvant « l'identité de genre » qui nie l'identité sexuée homme/femme des personnes, réalité objective, inhérente à toute l'humanité. Mes engagements En cohérence avec mes convictions, candidat(e) et demain, peut-être, conseiller(e) départemental(e), je m'engage à : Préserver la neutralité républicaine des collèges : Veiller à ce que les organismes et personnes habilitées par le Conseil Départemental à intervenir dans les collèges publics respectent la neutralité de l'enseignement
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DRESS - L'offre d'accueil collectif des enfants de mons de trois ans en 2015 - 0 views

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    À la fin de l'année 2015, 14 200 établissements accueillent des jeunes enfants de moins de 3 ans. Ils offrent globalement 430 700 places, soit près de 7 600 places de plus qu'en 2014 et 149 300 de plus que 20 ans plus tôt. Les établissements d'accueil collectif proposent aux familles 89 % de l'ensemble des places (crèches collectives, haltes-garderies, jardins d'enfants et établissements multi-accueil), contre 11 % dans les services d'accueil familial (dits « crèches familiales »). À eux seuls, les établissements multi-accueil offrent 69 % des places dans les structures d'accueil collectif, une part qui a fortement progressé en vingt ans puisqu'elle n'était que de 15 % en 1995. Les disparités de taux d'équipements entre départements persistent. Ceux de la région parisienne et ceux du sud de la France disposent d'un nombre de places d'accueil collectif et familial, supérieur à la moyenne nationale, les départements de la moitié nord de la France étant moins bien dotés. L'offre des assistants maternels, directement employés par des particuliers, est évaluée à 977 000 places potentielles et représente 69 % de l'offre totale d'accueil. Ces places ne se répartissent pas géographiquement de la même manière que celles de l'accueil collectif. La physionomie de la répartition territoriale de l'offre d'accueil globale (accueil collectif, accueil familial, assistants maternels et scolarisation des enfants de moins de 3 ans) est ainsi différente. C'est autour d'un axe allant des départements de la Loire-Atlantique à ceux de la Bourgogne-Franche Comté que se situent les départements les mieux dotés.
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Ministère des solidarités et de la santé - Stratégie nationale de soutien à l... - 0 views

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    La stratégie nationale de soutien à la parentalité a été présentée et débattue le 30 mai entre services de l'Etat, collectivités, organismes de protection sociale et associations. Avant son lancement officiel par la ministre des Solidarités et les annonces relatives à la prochaine convention d'objectifs et de gestion Etat-Cnaf, la rencontre visait à prolonger la mobilisation issue de la concertation et à stabiliser un peu plus les "termes du débat". Issue de près d'un an et demi de concertation entre services de l'Etat, collectivités, branche famille et secteur associatif, la stratégie nationale de soutien à la parentalité 2018-2022 a été présentée le 30 mai, lors d'une journée de réflexion et d'échange organisée par la direction générale de la cohésion sociale (ministère des Solidarités et de la Santé). En s'appuyant notamment sur des données scientifiques (sociologie, pédagogie, sciences cognitives), la concertation s'est attachée à "réinterroger les dispositifs de soutien à la parentalité pour leur donner une plus grande cohérence, une plus grande efficacité", mais aussi "une plus grande visibilité et une plus grande accessibilité", a présenté Jean-Philippe Vinquant, directeur général de la cohésion sociale, en préambule de la journée. "Cette stratégie est une politique de prévention précoce, généraliste, universelle, au carrefour d'autres politiques telles que la lutte contre le décrochage scolaire, la santé, le handicap, la prévention des ruptures, la prévention en matière de protection de l'enfance", a ajouté David Blin, chef du bureau des familles et de la parentalité à la DGCS. La stratégie nationale doit permettre aux acteurs de se mettre "d'accord sur les mots, sur les termes du débat", elle doit être "un cadre sur lequel vous appuyer pour le dépasser", a-t-il poursuivi. Invités ainsi à voter pour leurs mots préférés parmi cinq propositions, les participants ont plébiscité trois in
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CNAF - Dossier 190 - Aux confins de la parenté : le don d'engendrement vu par... - 0 views

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    Le travail d'Anaïs Martin interrogel e modèle de parenté et les évolutions contemporaines qui le traversent. choisi de le faire sous l'angle de l'assistance médicale à la procréation avec donneur, considérée comme une manière de créer de la filiation et comme un «don d'engendrement». Elle étudie le point de vue non des personnes inséminées, mais des enfants nés de ce «don d'engendrement», à partir d'une quinzaine d'entretiens. L'analyse se déplie selon trois axes: leurs représentations de leur parenté avec le parent infertile (toujours le père en l'occurrence); l'image qu'ils se font du donneur et la place qu'ils lui accordent; les représentations qu'ils se font de l'interdit de l'inceste lorsque les liens génétiques sont inconnus. Cette recherche sur fond de lois bioéthiques se rapproche de celles portant sur l'accouchement. Faut-il lever ou non l'anonymat des donneurs de gamètes? Les personnes souhaitant maintenir le secret de l'identité des donneurs reprochent aux opposant-e-s à la législation actuelle de vouloir «biologiser» la filiation, la parenté génétique passant devant la parenté sociale. Les partisan-e-s d'un changement de loi mettent en avant le droit à accéder aux informations concernant leur venue au monde et craignent d'avoir accidentellement des relations incestueuses avec des personnes nées du même donneur. Ces deux logiques, l'une d'anonymat, l'autre d'accès aux origines, sont portées par deux associations de personnes conçues par don de gamètes -associations dont font partie les personnes rencontrées (âgées de 25 à 37ans) lors d'entretiens de deux heures et demi en moyenne par Anaïs Martin dans le cadre de cette recherche. Qu'ils recherchent leurs origines ou non, ceux qui sont nés d'un don ne remettent jamais en question le statut de leur père social. Ils réaffirment même leur attachement à lui, et à sa parenté, qui se donnent notamme
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Le silence du Synode sur la famille sur la contraception | La-Croix.com - Doc... - 1 views

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    "La première session du Synode sur la famille terminée, Philippe Bacq, sj, s'interroge, dans un article daté du 1er février 2015, sur l'absence dans les débats - notamment de la part des médias qui ont particulièrement insisté sur l'homosexualité et les divorcés remariés -, d'une question pourtant universelle : la régulation des naissances. Un sujet qui a son importance, car il a conduit bien des couples chrétiens à prendre leur distance par rapport à la doctrine du Magistère depuis plus d'un demi-siècle. « Cet article voudrait contribuer à la recherche » sur cette question, explique Philippe Bacq. Ainsi, après avoir présenté les questions posées par l'Instrument de travail du Synode sur la famille, et exposé les arguments du rapport du Synode (la Relatio Synodi et les Lineamenta), le jésuite revisite l'histoire de la doctrine de l'Église concernant le mariage, la procréation et la régulation des naissances. Il effectue un retour sur les notions de « loi naturelle » et de « nature » développées par Thomas d'Aquin en théologie ; un rappel des propos du concile Vatican II sur les fins du mariage, l'amour conjugal et la procréation ; une présentation de l'interprétation et des choix effectués par le pape Paul VI dans son encyclique Humanae vitae - particulièrement sur la contraception - et des réflexions du pape Jean-Paul II à sa suite. Philippe Bacq, en fin de parcours, soulève trois questions qui émergent de l'ensemble de son article. Comment articuler les deux aspects du mariage que sont la relation entre les époux et la transmission de la vie ? Comment interpréter, à la lumière de la théorie de l'évolution et de la psychanalyse, la doctrine du Magistère sur la contraception, la création par Dieu de la nature physique de l'homme et de la femme (ainsi des rythmes biologiques féminins) et de leur non-transgression possible ? Que dire aujourd'hui de l'utilisation de
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