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France Stratégie - Un nouvel âge pour l'école maternelle ? - 0 views

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    Pionnière dans l'accueil universel des enfants, l'école maternelle française a longtemps bénéficié d'une excellente réputation, au point de servir de modèle à l'étranger. Aujourd'hui, une comparaison européenne conduit à un tableau quelque peu différent, pour trois raisons. Tout d'abord, la France présente une dépense par élève relativement faible et des classes de taille importante. Ensuite, notre école maternelle se caractérise par une forte et constante focalisation sur la préparation aux apprentissages formels de l'école élémentaire, que l'on ne retrouve pas - avec une telle ampleur -chez nos voisins. Une inflexion récente et des textes o ciels qui appellent à prendre en compte le développement de l'enfant dans toutes ses dimensions - sensorielle, motrice, cognitive, sociale et affective - n'ont pas effacé cette « primarisation » de la maternelle. La formation des enseignants de maternelle, poussée mais peu spécialisée, n'a fait qu'accentuer la tendance. Enfin, le modèle français, dual, avec une forte césure entre l'accueil des 0-3 ans et la préscolarisation à partir de cet âge, apparaît désormais de plus en plus isolé face au développement en Europe des systèmes « intégrés » d'accueil du jeune enfant, qui traitent comme un bloc la période allant de la première année à l'âge de la scolarité obligatoire. Comment tirer parti de ces constats pour dessiner l'avenir de l'école maternelle française ? À court terme, il serait pertinent d'expérimenter un renforcement de l'encadrement des élèves, en le hissant à la moyenne de l'OCDE. Il conviendrait aussi d'améliorer la spécialisation des enseignants et la qualification des agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem), et de mieux accompagner les innovations pédagogiques initiées par les enseignants. À plus long terme, l'évolution vers un système intégré, regroupant progressivement
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DRESS - Synthèse - IVG État des lieux et perspectives d'évolution du système ... - 0 views

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    La Commission sur les données et la connaissance de l'interruption volontaire de grossesse (IVG), mise en place en 2015 par Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, dans le cadre du programme national d'action pour améliorer l'accès à l'IVG en France, publie aujourd'hui son rapport. Ce rapport, intitulé « IVG : état des lieux et perspectives d'évolution du système d'information », synthétise les travaux menés pendant un an par la Commission. Il rappelle que le nombre d'IVG en France est stable depuis une dizaine d'années, avec 218 100 IVG réalisées en 2015, et marqué par d'importantes disparités régionales. Il montre que si les conditions d'accès à l'IVG sont globalement satisfaisantes, des difficultés persistent, en particulier chez les femmes les plus jeunes ou connaissant une situation socio-économique précaire. Il souligne le besoin d'améliorer les connaissances concernant d'une part l'adéquation de l'offre aux attentes des femmes (accessibilité géographique, délais de prise en charge, méthodes proposées et accompagnement), et d'autre part leur parcours compris au sens large, englobant la contraception avant et après l'IVG. Parmi les recommandations de la Commission, l'élaboration d'un tableau de bord régional, à la demande des Agences régionales de santé, est déjà engagée, dans la perspective des plans d'actions régionaux d'accès à l'IVG. Faisant l'objet de la mesure 8 du programme national d'action présenté par Marisol Touraine le 16 janvier 2015 et chargée d'établir un état des lieux partagé de la pratique de l'IVG en France et du parcours des femmes, la commission sur les données et la connaissance de l'IVG a réuni les producteurs de données, des représentants des professionnels de santé, des chercheurs et des institutions et associations concernées par l'IVG. Elle a été pilotée par la Direction de la recherche, des Ã
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DREES - Rapport complet - IVG Etat des lieux et perspectives d'évolution du ... - 0 views

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    La Commission sur les données et la connaissance de l'interruption volontaire de grossesse (IVG), mise en place en 2015 par Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, dans le cadre du programme national d'action pour améliorer l'accès à l'IVG en France, publie aujourd'hui son rapport. Ce rapport, intitulé « IVG : état des lieux et perspectives d'évolution du système d'information », synthétise les travaux menés pendant un an par la Commission. Il rappelle que le nombre d'IVG en France est stable depuis une dizaine d'années, avec 218 100 IVG réalisées en 2015, et marqué par d'importantes disparités régionales. Il montre que si les conditions d'accès à l'IVG sont globalement satisfaisantes, des difficultés persistent, en particulier chez les femmes les plus jeunes ou connaissant une situation socio-économique précaire. Il souligne le besoin d'améliorer les connaissances concernant d'une part l'adéquation de l'offre aux attentes des femmes (accessibilité géographique, délais de prise en charge, méthodes proposées et accompagnement), et d'autre part leur parcours compris au sens large, englobant la contraception avant et après l'IVG. Parmi les recommandations de la Commission, l'élaboration d'un tableau de bord régional, à la demande des Agences régionales de santé, est déjà engagée, dans la perspective des plans d'actions régionaux d'accès à l'IVG. Faisant l'objet de la mesure 8 du programme national d'action présenté par Marisol Touraine le 16 janvier 2015 et chargée d'établir un état des lieux partagé de la pratique de l'IVG en France et du parcours des femmes, la commission sur les données et la connaissance de l'IVG a réuni les producteurs de données, des représentants des professionnels de santé, des chercheurs et des institutions et associations concernées par l'IVG. Elle a été pilotée par la Direction de la recherche, des Ã
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Familles rurales - Synthèse - Les accueils de loisirs sans hébergement en mil... - 0 views

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    En partenariat avec la CCMSA, Familles Rurales a réalisé une étude sur les Accueils de loisirs en milieu rural. Cette demande au cabinet Eexiste répond à un double objectif : mieux comprendre les réalités des ALSH en milieu rural dégager des pistes objectives d'aides et dispositifs adaptés à leurs besoins. L'étude s'est déroulée lors du dernier trimestre 2017 sur tous les types d'ALSH. À RETENIR L'étude confirme certaines tendances déjà observées. Elle apporte des éléments pour ouvrir quelques débats et guider les politiques publiques. 1 - UNE EXTRÊME DIVERSITÉ Le panel étudié montre une grande variété de réalités locales liées à la diversité des ruralités (démographie, moyens…). 2 - DES ACCUEILS DE QUALITÉ CONFORMES À LA RÈGLEMENTATION MALGRÉ LES CONTRAINTES Les accueils optimisent les moyens disponibles pour proposer une offre pédagogique de qualité en respect des exigences et des objectifs posés (encadrement, fréquentation, accueil du handicap…). Des marges de progrès subsistent, notamment pour les locaux. 3 - DES SPÉCIFICITÉS RURALES ET DES ATOUTS ASSOCIATIFS Des particularismes liés aux territoires se dégagent : centres de petite taille, mixité des âges, adéquation aux besoins, proximité avec la nature, intergénération. Les centres reflètent les valeurs portées par les associations. 4 - DES ÉVOLUTIONS ET DES TENDANCES CONVERGENTES Les territoire s bougent, les compétences changent. L'intercommunalité s'est imposée. La concentration se renforce. Des centres sont repris par les collectivités et la commande publique se développe. Les différences sont notoires entre des accueils périscolaires qui se structurent et les extrascolaires. Leur gestion administrative est devenue très complexe. 5 - DES QUESTIONNEMENTS À L'ATTENTION DES ACTEURS PUBLICS Les territoires s'agrandissent, la question de la proximité se pose. En dépit des derniers dispositifs, la coéduc
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Familles rurales - Etude - Les accueils de loisirs sans hébergement en milieu... - 0 views

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    En partenariat avec la CCMSA, Familles Rurales a réalisé une étude sur les Accueils de loisirs en milieu rural. Cette demande au cabinet Eexiste répond à un double objectif : mieux comprendre les réalités des ALSH en milieu rural dégager des pistes objectives d'aides et dispositifs adaptés à leurs besoins. L'étude s'est déroulée lors du dernier trimestre 2017 sur tous les types d'ALSH. À RETENIR L'étude confirme certaines tendances déjà observées. Elle apporte des éléments pour ouvrir quelques débats et guider les politiques publiques. 1 - UNE EXTRÊME DIVERSITÉ Le panel étudié montre une grande variété de réalités locales liées à la diversité des ruralités (démographie, moyens…). 2 - DES ACCUEILS DE QUALITÉ CONFORMES À LA RÈGLEMENTATION MALGRÉ LES CONTRAINTES Les accueils optimisent les moyens disponibles pour proposer une offre pédagogique de qualité en respect des exigences et des objectifs posés (encadrement, fréquentation, accueil du handicap…). Des marges de progrès subsistent, notamment pour les locaux. 3 - DES SPÉCIFICITÉS RURALES ET DES ATOUTS ASSOCIATIFS Des particularismes liés aux territoires se dégagent : centres de petite taille, mixité des âges, adéquation aux besoins, proximité avec la nature, intergénération. Les centres reflètent les valeurs portées par les associations. 4 - DES ÉVOLUTIONS ET DES TENDANCES CONVERGENTES Les territoire s bougent, les compétences changent. L'intercommunalité s'est imposée. La concentration se renforce. Des centres sont repris par les collectivités et la commande publique se développe. Les différences sont notoires entre des accueils périscolaires qui se structurent et les extrascolaires. Leur gestion administrative est devenue très complexe. 5 - DES QUESTIONNEMENTS À L'ATTENTION DES ACTEURS PUBLICS Les territoires s'agrandissent, la question de la proximité se pose. En dépit des derniers dispositifs, la coéduc
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Unicef - La situation des enfants dans le monde 2017 : Les enfants dans un mo... - 0 views

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    Malgré la présence en ligne massive des enfants - un internaute sur trois dans le monde est un enfant - trop peu de mesures sont prises pour les protéger des dangers du monde numérique et pour augmenter leur accès à un contenu en ligne sûr, selon un rapport du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) publié lundi. Le rapport intitulé 'La situation des enfants dans le monde en 2017 : les enfants dans un monde numérique' présente le premier regard de l'UNICEF sur les différentes façons dont la technologie numérique affecte la vie des enfants, en identifiant les dangers et les opportunités. Il affirme que les gouvernements et le secteur privé n'ont pas suivi le rythme du changement, exposant les enfants à de nouveaux risques et laissant de côté des millions d'enfants défavorisés. « Pour le meilleur et pour le pire, la technologie numérique est maintenant un fait irréversible de nos vies », a déclaré le Directeur exécutif de l'UNICEF, Anthony Lake. « Dans un monde numérique, notre double défi est de savoir comment atténuer les inconvénients tout en maximisant les avantages d'Internet pour chaque enfant ». Le rapport explore les avantages que la technologie numérique peut offrir aux enfants les plus défavorisés, y compris ceux qui grandissent dans la pauvreté ou qui sont affectés par des crises humanitaires. Cela inclut augmenter leur accès à l'information, renforcer leurs compétences numériques pour le monde du travail, et leur donner une plate-forme pour se connecter et s'exprimer. Mais environ un tiers des jeunes dans le monde - 346 millions - ne sont pas en ligne, ce qui exacerbe les inégalités et réduit la capacité des enfants à participer à une économie de plus en plus numérique. Le rapport examine également comment Internet accroît la vulnérabilité des enfants aux risques, y compris l'utilisation abusive de leurs renseignements personnels, l'accès à du contenu préjudiciable et la cyberintimidat
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SOS Homophobie - Rapport annuel 2016 - 0 views

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    Les trois quarts des 200 témoignages concernant les discriminations au sein de la famille ou de l'entourage proche reçus par SOS Homophobie (données 2015) signalent des formes de rejet de la part des proches et plus de 40 % des insultes au sein de la famille [1]. 15 % des homosexuels qui témoignent se disent victimes d'agressions physiques de la part de leurs proches. Sept témoignages sur dix impliquent les parents eux-mêmes. Avant l'annonce à la famille de leur orientation sexuelle, les jeunes ayant entendu leurs parents désigner les homosexuels comme anormaux ou malades, renoncent à se dévoiler et « vivent dans la crainte de la réaction de leurs parents et la honte de devoir se cacher », notent les auteurs du rapport. Au moment du « coming-out » [2], les réactions familiales sont parfois très violentes. La remise en cause de leur éducation, de leur religion et du modèle familial traditionnel conduit une partie des parents à des menaces ou à du chantage envers leurs enfants (18 % des témoignages). Des formes de privation de libertés (interdiction de sortie, d'avoir un copain ou une copine, rétention de courrier, changement d'établissement scolaire, etc.) font peser un climat de défiance là où, en principe, la confiance est de mise. L'altération des relations familiales peut être vécue très difficilement par ces jeunes.
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Confusion | Le Blog du Synode - 0 views

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    "Quel premier bilan tirer de ces deux synodes consacrés à la famille ? Il me semble pertinent de les remettre dans la perspective de l'intention du pape qui les a convoqués. Si on suit attentivement ses déclarations et ses choix depuis plus de deux ans, il semble clair que l'objectif premier était de susciter un débat dans toute l'Eglise afin de l'amener à vivre une « conversion pastorale ». Soucieux que l'Eglise se mette en situation d' « hôpital de campagne », le Saint-Père souhaite lever certains obstacles rendant incompréhensible et même scandaleuse aux yeux de nombre de nos contemporains la morale de l'Eglise sur la sexualité et le mariage. Reprenant de facto l'agenda du cardinal Martini exposé en 1999 au synode sur l'Europe, il cherche comment dénouer certains « nœuds disciplinaires». Plutôt qu'une Eglise comme celle de saint Jean-Paul II apparaissant édicter des lois inaccessibles et donc contre-productives et mortifères, il souhaite promouvoir une Eglise en phase avec l'âge du care (le « prendre soin » en pleine expansion dans les sociétés occidentales postmodernes), c'est-à-dire une Eglise proche de la vulnérabilité des personnes, de leurs échecs et de leurs tortueux itinéraires biographiques. Bref, une Eglise proche et tendre (le pape a lui-même parlé de « révolution de la tendresse »), et non plus une Eglise hautaine et culpabilisante. D'où le désir de se mettre à l'école de «la pédagogie divine » et de viser « l'intégration » de tous ceux qui se sentent rejetés par un discours vu comme moralisateur et excluant. A l'aune de ce défi, il est normal que la discussion se soit focalisée sur l'accès des fidèles divorcés et remariés civilement, tant cette question cristallise les enjeux cités. Ce sujet s'est imposé comme central non pas parce qu'il serait la marotte des médias mais par la volonté même du pape qui dès le retour des JMJ de Rio (été 2013) a lancé
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IFOP - Grand âge et enjeux du vieillissement : quel est l'état de l'opinion s... - 0 views

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    L'enquête menée par l'Ifop pour le SYNERPA dessine un état des lieux de l'opinion des Français sur le secteur du Grand âge et les enjeux du vieillissement. Le vieillissement s'avère être un enjeu de grande importance pour les Français et leurs proches, malgré une faible anticipation. L'enquête revient également sur les différentes solutions proposées aux familles, leur image et celle du secteur, et détaille leur mode de financement et la place de l'offre privée dans le contexte actuel. Vieillissement et perte d'autonomie, un sujet qui inquiète près des deux tiers des Français … mais que, paradoxalement, ils anticipent peu. Le sujet du vieillissement et de la perte d'autonomie avive la crainte d'une grande majorité de Français (65%), notamment les 50-64 ans (68%). Il est intéressant de constater que chez les jeunes également, bien qu'en retrait au regard de la moyenne mesurée sur l'ensemble des Français, cette préoccupation est non négligeable. Ainsi plus d'un jeune de 18-24 ans sur deux se déclare inquiet (55%). Si cette crainte du vieillissement et de la perte d'autonomie apparait très ancrée au sein de la société il n'en demeure pas moins que paradoxalement, ce n'est pas un sujet dont les Français se saisissent pleinement concrètement. En effet, au-delà de cette inquiétude, « seulement » un Français sur deux déclare penser souvent au vieillissement (49%), une tendance toutefois assez inégale au sein de la population : cette proportion atteint 64% chez les 65 ans et plus, 54% chez les personnes aux revenus modestes, 55% chez les personnes ayant un proche en perte d'autonomie et 64% chez les personnes travaillant au sein d'un établissement médico-social. L'anticipation du vieillissement et le sentiment d'être soi-même concerné touchent respectivement le tiers des Français (33%) et un Français sur cinq (19%). Les plus âgés et les personnes en contact permanent avec les seniors
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HCFEA - Communiqué de presse - Voies de réforme des congés parentaux dans une... - 0 views

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    Un volumineux rapport du HCFEA évalue les "voies de réforme des congés parentaux dans une stratégie globale d'accueil de la petite enfance". Pour le Haut conseil, la "prestation partagée d'éducation de l'enfant" est un échec. Parmi les propositions : verser la PreParE au-delà des deux ans de l'enfant, jusqu'à l'entrée en maternelle, si les parents n'ont pas trouvé de mode de garde. Il est vrai que les chiffres sont plutôt accablants. Le recours à la PreParE a fortement reculé dès sa mise en place (-32% entre 2016 et 2017), "ce qui montre une forte inadaptation de cette prestation aux besoins des familles, liée en partie à la faiblesse de son montant, à ses conditions d'attribution et à la réduction de sa durée". La réforme n'a pas eu non plus les effets annoncés en matière d'égalité des sexes (le nombre de pères partageant un congé parental a au contraire reculé), ni d'impact sur le retour au travail des mères après le congé parental : "En pratique, la réforme s'est traduite par une baisse du nombre des mères se déclarant en congé parental et une augmentation de celles se déclarant au chômage". La seule réussite de la PreParE réside dans l'économie budgétaire de près d'un milliard d'euros réalisée par la Cnaf, ce qui était au demeurant l'objectif principal, à peine dissimulé, de la réforme. Conclusion du HCFEA : "De cet ensemble de constats, on peut déduire qu'une réforme des congés parentaux pris pour s'occuper d'un jeune enfant et de leurs modalités d'indemnisation est indispensable, les dispositions actuelles au travers de la PreParE apparaissant inadaptées". Une prise de position qui donne satisfaction à l'Unaf (Union nationale des associations familiales), qui a toujours été vent debout contre la PreParE. Dans un communiqué du 26 février, l'association se félicite ainsi de ce que "le HCFEA dresse un constat d'échec total".
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Paul Adrien d'Hardemare - ARRÊTER LE PORNO ? FAQ (feat. TANGUY LAFFORGUE & OL... - 0 views

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    Vidéo / Podcast de frère Paul Adrien avec Olivier Florant (sexologue) et Tanguy Lafforgue (thérapeute comportemental). De plus en plus d'hommes et de femmes, mais aussi d'adolescents, souffrent de comportements compulsifs liés à la sexualité: pornographie, masturbation, tchat, applis de rencontre... et la liste est plus longue qu'on ne l'imagine. Comment s'en sortir ? 80 % des garçons ont été exposés à la pornographie avant l'âge de quatorze ans, 50 % avant celui de douze : l'addiction au sexe virtuel est un enjeu majeur de santé publique. Comment l'obscénité, qui a remplacé l'érotisme, a-t-elle infesté nos vies et nos modes de vie ? Pourquoi des individus sombrent-ils dans sa dépendance ? Comment en sortir, se soigner et retrouver le véritable amour ? C'est à ces questions que répond ici un des premiers sexologues à s'être intéressé à cette pathologie. En neuf grandes séquences, Olivier Florant rappelle comment l'homme moderne est devenu un homme cochon : avènement d'Internet, diffusion massive d'images licencieuses, misère d'une société ultra-consumériste. Il aborde tous les sujets, sans tabou, avec franchise, pour nous délivrer de ce fléau. Il révèle le secret de sa thérapie : contrôler les mécanismes grâce auxquels notre cerveau prend les décisions, surmonter ses peurs et réapprendre à aimer l'autre. Et ce afin de retrouver notre pleine liberté ! Contre le règne de YouPorn, un ouvrage nécessaire, à lire et à partager. Sexologue, fondateur du Cabinet Saint-Paul, Olivier Florant est l'auteur, avec son épouse Marie-Noël, de nombreux livres ayant rencontré un grand succès, notamment Ne gâchez pas votre plaisir, il est sacré. Il est aussi l'auteur, aux Éditions du Cerf, de Aimer après la foudre et l'orage. Tanguy Lafforgue est diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, puis responsable de communication dans des structures chrétiennes pendant 10 ans. Depuis plusieurs an
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INSEE - La situation financière se transmet partiellement de génération en gé... - 0 views

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    "En 2011, 54 % des personnes âgées de 25 à 66 ans estiment que leur situation financière est meilleure, voire bien meilleure, que celle de leur famille quand elles-mêmes étaient adolescentes. Ce jugement favorable est en recul de six points par rapport à 2005, avant la crise de 2008. Il est plus répandu parmi les générations anciennes. Il concerne ainsi 67 % des personnes âgées de 60 ans (nées en 1951), contre seulement 41 % de celles âgées de 30 ans (nées en 1981). D'autres facteurs que l'âge ou la génération augmentent les chances de ressentir une amélioration de sa situation financière par rapport à l'adolescence : avoir grandi au sein d'une famille rencontrant d'importantes difficultés financières, être aujourd'hui en couple sans enfant, être en emploi ou avoir un niveau de vie élevé. La plupart des caractéristiques parentales jouent un rôle dans la formation du niveau de vie de leurs enfants. En particulier, la situation financière des parents se transmet partiellement à leurs enfants : 59 % des personnes dont les parents joignaient très difficilement les deux bouts ont un niveau de vie inférieur à la médiane, contre 44 % de celles dont les parents ne rencontraient aucune difficulté pour payer les dépenses nécessaires. Cette transmission s'effectue principalement via le niveau d'éducation atteint par les enfants : le niveau de vie de ces derniers dépend en grande partie de leur niveau de diplôme, qui est lui-même fortement lié à celui de leurs parents. Ainsi, à niveau de diplôme atteint donné, la situation financière de la famille à l'adolescence n'a plus d'effet significatif sur le niveau de vie actuel. Par contre, elle a un effet résiduel sur la perception par l'individu de sa situation financière actuelle, cette perception faisant aussi intervenir des facteurs psychologiques "
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Prêtres pédophiles : vers des procédures pour établir les responsabilités des... - 0 views

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    "RTL.fr nous montre dans son article du mercredi 15 avril 2015 que le Vatican va mettre en place des procédures établissant les responsabilités des évêques qui ont couvert des prêtres pédophiles. Le Saint-Siège va mettre en place des procédures juridiques établissant les responsabilités des évêques et des supérieurs coupables d'avoir couvert ou omis de sanctionner des religieux, notamment des prêtres, ayant commis des actes de pédophilie, a annoncé mercredi le porte-parole du Vatican. Ce thème brûlant de la responsabilité a été discuté, en présence du pape François, par le "C9", le groupe de cardinaux qui est chargé de le conseiller et qui s'est réuni de lundi à mercredi. Les associations d'anciennes victimes accusent l'Église, le Vatican et le pape de refuser de poursuivre des responsables hiérarchiques qui ont défendu des religieux ou fermé les yeux sur des actes de pédophilie, mutant parfois des prêtres coupables dans d'autres fonctions. Le C9 a reconnu que les règles "n'étaient pas assez clarifiées pour affronter ce type de problèmes" et a demandé que "des voies soient explorées pour procéder sur le plan juridique face aux abus de pouvoir et aux omissions d'évêques ou de supérieurs d'ordres religieux", a expliqué le père Federico Lombardi au cours d'une conférence de presse."
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HCFEA - Rapport complet - Voies de réforme des congés parentaux dans une stra... - 0 views

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    Un volumineux rapport du HCFEA évalue les "voies de réforme des congés parentaux dans une stratégie globale d'accueil de la petite enfance". Pour le Haut conseil, la "prestation partagée d'éducation de l'enfant" est un échec. Parmi les propositions : verser la PreParE au-delà des deux ans de l'enfant, jusqu'à l'entrée en maternelle, si les parents n'ont pas trouvé de mode de garde. Il est vrai que les chiffres sont plutôt accablants. Le recours à la PreParE a fortement reculé dès sa mise en place (-32% entre 2016 et 2017), "ce qui montre une forte inadaptation de cette prestation aux besoins des familles, liée en partie à la faiblesse de son montant, à ses conditions d'attribution et à la réduction de sa durée". La réforme n'a pas eu non plus les effets annoncés en matière d'égalité des sexes (le nombre de pères partageant un congé parental a au contraire reculé), ni d'impact sur le retour au travail des mères après le congé parental : "En pratique, la réforme s'est traduite par une baisse du nombre des mères se déclarant en congé parental et une augmentation de celles se déclarant au chômage". La seule réussite de la PreParE réside dans l'économie budgétaire de près d'un milliard d'euros réalisée par la Cnaf, ce qui était au demeurant l'objectif principal, à peine dissimulé, de la réforme. Conclusion du HCFEA : "De cet ensemble de constats, on peut déduire qu'une réforme des congés parentaux pris pour s'occuper d'un jeune enfant et de leurs modalités d'indemnisation est indispensable, les dispositions actuelles au travers de la PreParE apparaissant inadaptées". Une prise de position qui donne satisfaction à l'Unaf (Union nationale des associations familiales), qui a toujours été vent debout contre la PreParE. Dans un communiqué du 26 février, l'association se félicite ainsi de ce que "le HCFEA dresse un constat d'échec total".
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HCFEA - Synthèse - Voies de réforme des congés parentaux dans une stratégie g... - 0 views

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    Un volumineux rapport du HCFEA évalue les "voies de réforme des congés parentaux dans une stratégie globale d'accueil de la petite enfance". Pour le Haut conseil, la "prestation partagée d'éducation de l'enfant" est un échec. Parmi les propositions : verser la PreParE au-delà des deux ans de l'enfant, jusqu'à l'entrée en maternelle, si les parents n'ont pas trouvé de mode de garde. Il est vrai que les chiffres sont plutôt accablants. Le recours à la PreParE a fortement reculé dès sa mise en place (-32% entre 2016 et 2017), "ce qui montre une forte inadaptation de cette prestation aux besoins des familles, liée en partie à la faiblesse de son montant, à ses conditions d'attribution et à la réduction de sa durée". La réforme n'a pas eu non plus les effets annoncés en matière d'égalité des sexes (le nombre de pères partageant un congé parental a au contraire reculé), ni d'impact sur le retour au travail des mères après le congé parental : "En pratique, la réforme s'est traduite par une baisse du nombre des mères se déclarant en congé parental et une augmentation de celles se déclarant au chômage". La seule réussite de la PreParE réside dans l'économie budgétaire de près d'un milliard d'euros réalisée par la Cnaf, ce qui était au demeurant l'objectif principal, à peine dissimulé, de la réforme. Conclusion du HCFEA : "De cet ensemble de constats, on peut déduire qu'une réforme des congés parentaux pris pour s'occuper d'un jeune enfant et de leurs modalités d'indemnisation est indispensable, les dispositions actuelles au travers de la PreParE apparaissant inadaptées". Une prise de position qui donne satisfaction à l'Unaf (Union nationale des associations familiales), qui a toujours été vent debout contre la PreParE. Dans un communiqué du 26 février, l'association se félicite ainsi de ce que "le HCFEA dresse un constat d'échec total".
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Synode sur la famille : un changement de programme révélateur - Vie de l'Égli... - 0 views

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    "Un changement léger - mais significatif - a été apporté au programme du Synode sur la famille qui se déroule actuellement au Vatican, jusqu'au 25 octobre. Du fait du nombre particulièrement important de demandes de prises de parole sur la 3e partie (qui contient notamment les passages les plus discutés sur la question des divorcés-remariés), les interventions des Pères - qui devaient ne débuter que le 14 octobre - ont déjà commencé dans la journée du samedi 10 octobre. Ce changement n'affecte pas le reste de l'organisation : les groupes de travail qui se réunissent aujourd'hui et demain portent eux, comme prévu, exclusivement sur la 2e partie du document de travail (« Le discernement de la vocation familiale »). À partir de mercredi 14, les interventions sur la 3e partie se poursuivront, tandis que les groupes de travail consacrés à cette même partie débuteront à compter du lundi 19 octobre. Ce changement confirme le désir d'un grand nombre de Pères synodaux de pouvoir exprimer devant l'ensemble du Synode leur position sur la question de l'accompagnement des personnes divorcées remariées, et sur la proposition du cardinal Walter Kasper que ceux-ci puissent accéder aux sacrements de l'eucharistie et de la pénitence, sous certaines conditions. Il est possible notamment que les 54 Pères synodaux venus d'Afrique, généralement opposés à toute évolution de la discipline des sacrements à l'égard des personnes qui se trouvent dans cette situation, aient souhaité prendre davantage la parole que l'an dernier. « J'espère qu'ils auront la force de dire ce qu'ils ont à dire », déclarait à leur sujet le cardinal André Vingt-Trois en conférence de presse, le 5 octobre dernier, ajoutant : « Cela ne suffit pas qu'ils aient bien préparé, encore faut-il qu'ils disent ce qu'ils ont préparé ». Si la relative sérénité des premiers jours pouvaient laisser croire que ce sujet était pass
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D'une loi à l'autre, l'IVG continue de se banaliser - Bioéthique - Société | ... - 0 views

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    "Le projet de loi Santé discuté en séance publique à partir du 31 mars jusqu'au 10 avril contient de façon éparse plusieurs dispositions visant à poursuivre la banalisation de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) en France. Hormis la suppression du délai de réflexion qui a d'ores et déjà suscité de nombreuses réactions, d'autres articles et amendements s'inscrivent dans la logique d'assouplissement de la procédure d'IVG afin de rendre l'avortement toujours plus « accessible ». Alors que de plus en plus de médecins répugnent à pratiquer des avortements, en particulier parmi la nouvelle génération, le gouvernement opte pour l'élargissement du personnel médical autorisé à pratiquer des IVG. Ainsi, l'article 31 du projet de loi Santé prévoit que les sages-femmes pourront réaliser l'IVG médicamenteuse. La question de maintenir ou non l'objection de conscience sur l'acte est également venue alimenter les débats. Si un amendement en ce sens a été retiré en commission des Affaires sociales, il ne serait pas surprenant de voir le sujet à nouveau abordé dans l'hémicycle. Enfin, Marisol Touraine avait elle-même annoncé, lors de la présentation de son plan IVG à la mi-janvier, son intention de présenter un amendement gouvernemental au projet de loi Santé. Celui-ci permettrait à des médecins de pratiquer des IVG chirurgicales dans des centres de santé, structures médicales de proximité. Toutes les dispositions relatives à l'IVG présentes dans le projet de loi Santé ont été répertoriées dans une infographie réalisée par le site d'actualité www.genethique.org."
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Les catholiques français et les évolutions de la société - 0 views

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    Réalisé par BVA pour le Parisien Aujourd'hui en France Les principaux enseignements de ce sondage : IVG, PMA pour les couples hétérosexuels et mariage pour tous : des mesures validées par les Français et les catholiques, qui heurtent plus sensiblement les catholiques pratiquants réguliers L'homoparentalité cristallise les crispations des catholiques, et plus spécifiquement des catholiques pratiquants Si le droit à l'adoption pour les couples homosexuels est désormais approuvé par une courte majorité de Français (50%), il soulève plus de réticences au sein de la population catholique : seuls 42% des catholiques Français se sont déclarés favorables à l'adoption par les couples de même sexe et ce taux chute à 21% auprès des pratiquants réguliers. Non autorisé en France, le droit pour les couples homosexuels d'avoir recours à la procréation médicalement assistée (PMA) est plus fortement débattu dans l'opinion. Seulement 39% des Français déclarent l'approuver et le soutien à cette mesure est encore plus minoritaire auprès des catholiques dans leur ensemble (30%) et notamment des catholiques pratiquants réguliers (11%). Le souhait d'une Eglise réformiste, en adéquation avec les évolutions de la société Des engagements sur la contraception souhaités par 9 catholiques sur 10 Le statut des prêtres : des évolutions majoritairement attendues. 89% des Français (+4 pts) et 87% des catholiques se déclarent en faveur d'une implication de l'Eglise pour autoriser le mariage des prêtres alors que 85% des Français (+5pts) et 84% des catholiques se disent favorables à ce que l'Eglise donne aux femmes la possibilité d'être prêtre. Le remariage de personnes divorcées constitue également un point sur lequel une ouverture de l'Eglise serait souhaitée. 83% des Français et 83% des catholiques s'y déclarent favorables, tout comme 63% des catholiques pratiquants réguliers.
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IVG : supprimer le délai de réflexion, c'est supprimer le libre-choix - 0 views

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    "e 19 mars dernier, les députés ont voté l'amendement au projet de loi santé qui demande la suppression des 7 jours de réflexion obligatoire jusque-là en vigueur pour les femmes demandant une Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). Après le remboursement à 100% de l'IVG en 2013, la suppression de la condition de détresse et la prétendue reconnaissance d'un « droit fondamental » en 2014, ce rapport encourage à faire de l'IVG une réponse impulsive à une situation imprévue sans laisser aux femmes le temps de la réflexion et donc du libre choix. Il est plus que paradoxal, voire inquiétant, que la Loi Hamon de mars 2014 ait porté à 14 jours le délai de réflexion minimum pour des montants bien plus faibles qu'un achat immobilier, et que pour le devenir de l'être humain (celui de la mère comme celui de l'enfant), on veuille retirer cette prérogative... L'éthique et les droits de l'homme n'auraient-ils plus cours en France ? Par ailleurs, une fois encore, cet amendement a fait l'objet d'un vote nocturne. Est-ce le meilleur moment pour débattre, lorsque la vie d'êtres humains est en jeu ? Ou bien est-ce encore une stratégie gouvernementale pour faire passer « de force » une loi dont il sait qu'elle suscitera polémique et désapprobation ? Le procédé et les méthodes employées sont, une fois de plus, mesquins et condamnables. Ce vote reflète cette volonté mortifère qui prévaut dans notre pays, qui, avec 210 000 avortements annuels et des mesures répétées pour favoriser les IVG, se montre incapable de protéger la vie des plus faibles de ses membres et d'éviter le recours systématique à l'IVG. Les AFC appellent une nouvelle fois et avec insistance à une action politique qui mette tout en œuvre pour chercher des solutions de prévention, et proposer aussi des alternatives et d'aides efficaces afin de résoudre le drame de l'avortement, qui arrête la vie d'un enfant à naître et blesse profondément la femme. Elles inter
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Institut des Politiques Publiques - La réforme des rythmes scolaires : un rév... - 0 views

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    "La réforme des rythmes scolaires de 2013, qui a réalloué une demi-journée de classe au mercredi matin pour les élèves scolarisés en maternelle et à l'école élémentaire, est une petite révolution dans l'organisation des temps sociaux. Cette note montre que les horaires à l'école n'ont pas seulement un impact sur le rythme d'apprentissage des enfants, mais influencent également les décisions d'offre de travail des femmes. L'organisation des temps scolaires est un révélateur de deux types d'inégalités présentes sur le marché du travail : inégalités entre femmes et hommes, et inégalités entre femmes diplômées et non diplômées. Avant l'introduction de la réforme des rythmes scolaires, les femmes dont le plus jeune enfant était en âge d'aller à l'école élémentaire étaient deux fois plus nombreuses que les hommes à ne pas travailler le mercredi, et donc à adapter leur activité professionnelle à la présence des enfants. Par ailleurs, la décision de travailler ou non le mercredi était corrélée au niveau de diplôme, les femmes diplômées du supérieur étant moins nombreuses à travailler le mercredi que les femmes non diplômées, alors même qu'elles travaillent plus d'heures en moyenne par semaine. La réorganisation des temps scolaires prévue par la réforme de 2013 a entraîné une réorganisation du temps de travail des femmes : si la réforme n'a pas eu pour effet à court terme d'accroître le nombre d'heures travaillées par semaine, elle a permis à un plus grand nombre de femmes de travailler le mercredi, entraînant, en moins de deux ans, une réduction de 15 % de leur différentiel de participation ce jour de la semaine par rapport aux hommes."
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