Skip to main content

Home/ Famille/ Group items tagged des

Rss Feed Group items tagged

Veille & Documentation

Défenseur des droits - Dossier de presse - De la naissance à 6 ans : au comm... - 0 views

  •  
    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
Veille & Documentation

Défenseur des droits - Rapport complet - De la naissance à 6 ans : au commen... - 0 views

  •  
    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
Veille & Documentation

Défenseur des droits - Synthèse - De la naissance à 6 ans : au commencement ... - 0 views

  •  
    De la naissance à 6 ans : au commencement des droits. Le Défenseur des droits vous présente son rapport enfant 2018. En voici les principaux enseignements : Nous avons voulu cette année nous intéresser aux tous jeunes enfants, de leur venue au monde à leurs six ans, afin d'explorer si et comment leurs droits étaient appréhendés et effectivement mis en œuvre. Quelle est la place réellement faite aux bébés et aux très jeunes enfants au sein de la société, des politiques publiques et des institutions ? Deux constats principaux : - Le petit enfant a des droits, dont il jouit dès la naissance sans attendre d'accéder au langage ou à la connaissance. - L'effectivité de ces droits est déterminante pour le développement de l'enfant. Il est déterminant que l'État et les acteurs institutionnels et professionnels se mobilisent pour la petite enfance, car elle est le temps des fondations du développement du petit humain. Bien que des évolutions positives sont à constater, les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants sont encore trop insuffisamment garantis dans notre société aujourd'hui. Les politiques publiques actuelles doivent s'adapter aux besoins individuels de chaque petit enfant. Le Défenseur des droits recommande de : - Réaliser des études impact avant l'élaboration de tout PJL - Protéger le petit enfant de toute forme de violence - Mettre fin à l'enfermement des enfants en centre de rétention administrative - Garantir les liens familiaux de l'enfant placé. L'évolution de la société et son impact sur les droits, les besoins fondamentaux et l'intérêt supérieur des tout petits enfants nécessite aujourd'hui de construire de nouvelles politiques dédiées et adaptées Le Défenseur des droits recommande de : - - Promouvoir l'égalité des sexes. - - Investir la question de l'exposition aux écrans. -Faire de l'accès à la culture un droit fondamental
Veille & Documentation

Vers le Haut - Education : Comment éviter le "retour à l'anormal" ? : 5 leçon... - 1 views

  •  
    La fermeture générale de tous les établissements scolaires, des établissements de petite enfance et de toutes les activités éducatives extrascolaires pendant plusieurs semaines est un fait historique sans précédent hors période de vacances. Il a et aura un impact majeur sur l'éducation de millions de jeunes. A travers ce rapport, découvrez les grandes tendances que ce confinement a amplifiées ou révélées ; les réponses apportées par les acteurs éducatifs et 23 propositions tirées de ces actions pour améliorer durablement notre système éducatif. 5 leçons du confinement pour inspirer un changement durable Le confinement a joué le rôle de révélateur ou d'accélérateur de grandes tendances qui existaient déjà : > Le décrochage d'une partie des jeunes et des enfants, touchés par des inégalités, des violences et une pauvreté encore plus aiguës ; > La nécessité de réinventer la relation éducative, notamment à l'école ; > Le rôle incontournable des familles au cœur de l'éducation ; > La transformation des conditions de l'éducation par le numérique, un outil à apprivoiser pour le mettre vraiment au service des jeunes générations. > A ces défis s'ajoutent ceux de l'aide sociale à l'enfance, qui a continué à prendre en charge les jeunes placés avec un engagement particulièrement fort des éducateurs, dans des circonstances extrêmement exigeantes. Pour limiter les dégâts éducatifs, dans l'urgence, les acteurs de terrain ont imaginé des réponses afin de s'adapter aux enjeux immédiats. Jeunes et familles, enseignants, professionnels de la petite enfance, acteurs de l'aide sociale à l'enfance… ont déployés des trésors d'imagination, de réactivité, d'engagement lors de ce confinement. On a aussi perçu en creux les graves carences de notre système éducatif et l'insuffisance de certains acteurs qui n'ont pas pris la mesure de la crise. Les réponses à cette crise, source d'i
Veille & Documentation

IFOP - Les Français, l'homoparentalité et la question des droits des homosexu... - 0 views

  •  
    A l'heure où La Manif pour Tous présente ses 40 propositions en vue de la campagne présidentielle, l'Association des Familles Homoparentales (https://adfh.net/) publie les résultats d'une enquête permettant de mesurer l'évolution des positions des Français sur les questions d'homoparentalité (mariage « gay », PMA, GPA…), leurs attentes à l'égard des candidats à l'élection présidentielle sur ces sujets et le candidat politiquement le plus « Gay-friendly » à leurs yeux. Les positions des Français sur les questions d'homoparentalité - Près des deux Français sur trois (62%) se disent opposés à l'abrogation de la loi Taubira - Les Français s'avèrent de plus en plus favorables (59%) à l'ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes - L'idée d'autoriser la GPA aux couples gays reste minoritaire (44%) mais progresse lentement dans l'opinion - Pour une large majorité de Français (64%), les services de l'Etat doivent reconnaitre les enfants nés à l'étranger par GPA dans les pays où cette pratique est légale Les attentes des Français à l'égard des candidats à l'élection présidentielle sur ces sujets A l'issue de l'élection présidentielle, les électeurs souhaitent que le candidat qui sera élu Président prenne certaines mesures favorables aux familles homoparentales. - C'est particulièrement le cas du maintien de la loi Taubira, soutenue par 65% des potentiels électeurs à l'élection présidentielle. - Mais la même proportion d'électeurs, à savoir les deux tiers (65%), souhaite aussi que le futur Président de la République « veille à ce que les services de l'Etat délivrent un livret de famille aux parents français dont les enfants sont nés d'une GPA à l'étranger ». - Enfin, ils sont une nette majorité (56%) à souhaiter que le futur hôte de l'Elysée « accorde aux couples de femmes homosexuelles le droit de recourir aux techniques de procréation médicalement a
Veille & Documentation

INED - L'avortement dans le monde : Etat des lieux des législations, mesures,... - 0 views

  •  
    Suite au référendum irlandais de mai 2018 largement en faveur de l'avortement, seuls deux pays européens, Malte et Andorre, ne donnent toujours pas aux femmes le droit de décider de mettre un terme à une grossesse dans ses premières semaines. Hors des frontières de l'Europe, les situations sont très diverses, mais l'avortement reste illégal ou restreint à certaines conditions dans un grand nombre de pays, notamment ceux du Sud. Cette situation est non seulement contraire au droit de chacune à disposer librement de son corps, mais entre en contradiction avec d'autres droits reconnus internationalement comme le droit à l'égalité de traitement entre les hommes et les femmes, le droit à la santé pour tous ou le droit de décider du nombre et de l'espacement de ses naissances. Cette chronique « Question de Population » propose un vaste panorama international des enjeux autour de l'avortement, des difficultés de mesure et des solutions pour y faire face. Elle fait le point sur les législations en vigueur, les données les plus récentes sur la fréquence de l'avortement et les méthodes en usage, ainsi que les conséquences de l'avortement sur la santé et la vie des femmes. L'avortement est une pratique de régulation de la fécondité utilisée par les femmes en cas d'absence ou d'échec de la contraception. Les législations régulant sa pratique vont, selon les pays, de l'autorisation à la demande de la femme à un accès restrictif voire une interdiction totale. Lorsqu'il est acquis, ce droit est fréquemment remis en question. Les débats entourant la légalisation se centrent sur le droit des femmes, celui de l'embryon et les conséquences sanitaires des avortements non sécurisés. Mais légal ou interdit, les femmes du monde entier recourent à l'avortement, avec de grandes disparités dans l'intensité de sa pratique et de ses conséquences sanitaires et sociales. Les niveaux de sécurité de l'avorteme
Veille & Documentation

Ifop - Regards franco-allemands sur les défis démographiques de l'Europe - 0 views

  •  
    A quelques semaines des élections européennes du mai 2019, Alliance Vita a souhaité connaitre l'opinion des Français et des Allemands sur les grands enjeux démographiques. Cette enquête révèle des conceptions convergentes quant aux solutions à apporter au vieillissement des populations, mais divergentes sur les questions liées à la natalité. Face à la problématique de l'isolement des personnes âgées, les Français et les Allemands retiennent la même hiérarchie entre les solutions proposées dans l'enquête en privilégiant largement des logiques de solidarité (plus de 50% des citations pour « développer des modes d'accompagnement de la dépendance » et « valoriser la solidarité entre les générations »), à des logiques d'ajustement des équilibres démographiques (moins de 30% des citations pour « accroître le recours à l'euthanasie pour les personnes âgées qui le demandent » ; moins de 20% pour « favoriser la venue de populations extra-européennes plus jeunes » et « encourager la natalité »). Si le rapport des Français et des Allemands au vieillissement de la population est assez proche malgré quelques nuances, leurs regards respectifs sur les enjeux liés à la natalité sont en revanche très différents. Les Français retiennent ainsi à égalité « les conditions de vie difficiles pour les familles » (52% des citations) et « la peur de l'avenir » (52%) comme les principales raisons expliquant le décalage entre le désir d'enfant et les naissances effectives. Si les Allemands mettent également « les conditions de vie difficiles pour les familles » en haut de classement (46%), c'est cette fois-ci à égalité avec « la faiblesse des politiques familiales, l'insuffisance des aides accordées aux familles avec enfants » (46% contre 16% seulement en France). On observe enfin que, malgré des situations économiques et sociales très différentes (3,2% de chômage en Allemagne, 8,8% e
Veille & Documentation

IFOP - Ecole et orphelin : Mieux comprendre pour mieux accompagner - 0 views

  •  
    L'enquête Ifop pour la Fondation d'entreprise Ocirp est la première enquête nationale d'une telle ampleur à interroger des élèves orphelins et des professionnels de l'éducation dans le but de : - Mieux comprendre le vécu des élèves orphelins, l'impact du décès sur leur scolarité, mais aussi sur leur vie à l'école et les conséquences plus générales. - Mieux cerner les difficultés des enseignants et des personnels de l'éducation confrontés à ces situations de deuil. - Favoriser le début d'une réflexion autour de propositions concrètes pour un meilleur accompagnement des élèves orphelins. Cette étude inédite repose sur des enquêtes quantitatives menées auprès des deux cibles et des entretiens individuels auprès des orphelins et des enseignants. Aussi, cette enquête a été menée auprès de 1 083 individus devenus orphelins au cours de leur scolarité et auprès de 940 professionnels de l'éducation, dont un échantillon de 802 enseignants représentatif de la population enseignante des premier et second degrés. L'enquête s'est appuyée sur des questionnaires autoadministrés en ligne(Cawi - Computer assisted web interviewing). L'élaboration des deux questionnaires(orphelins et professionnels de l'éducation) a bénéficié de l'expertise d'un groupe de travail composé de représentants de partenaires de la Fondation : Afpssu, Apel, Cndr-SP, Cneap, Fnepe, associations de la Fédération Jalmalv, Empreintes, associations du réseau Vivre son deuil, enseignants, médecins et infirmières scolaires, responsables de niveau, psychologues, sociologues, présidents d'associations d'accompagnement au deuil chez l'enfant, adultes orphelins et parents d'orphelins sollicités. Les entretiens qualitatifs ont été réalisés par des psychosociologues de l'Ifop, formés par Guy Cordier, pédopsychiatre spécialiste du deuil chez l'enfant et l'adolescent, auprès de 15 enseignants exerçant du primaire au coll
Veille & Documentation

Sur fond de polémique, la Conférence des évêques de France annule une formati... - 0 views

  •  
    "Face à une levée de bouclier de certains catholiques, la Conférence des évêques de France préfère se passer d'une formation donnée par la philosophe Fabienne Brugère. La décision fait polémique. Faire le « choix de la patience et non pas de l'affrontement ». Décidément, les débats sociétaux autour de la famille ou de la dénommée théorie du genre n'ont pas encore retrouvé en France tout l'apaisement nécessaire au dialogue. Comme le relaye le journal La Croix, le Conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France (CEF), présidé par Mgr Jean-Luc Brunin, devait organiser une conférence en compagnie de la philosophe Fabienne Brugère sur le thème Prendre soin de l'autre, un appel lancé à tous, dans le cadre de la journée nationale de formation des délégués diocésains à la pastorale familiale du 19 mars prochain. Pour certains cependant, la pensée de la philosophe pêcherait par une trop grande proximité avec celle de Judith Butler, une des grandes théoriciennes de la pensée du genre. Si cette affirmation est loin d'être vérifiée, et si la formation devait porter sur une tout autre thématique (celle du soin, un des sujets de prédilection de Fabienne Brugère), plusieurs évêques français ont reçu des courriers de plainte, alors que sur le site internet réputé très à droite Le salon beige, une « supplique à Mgr Pontier [président le la Conférence des Évêques de France ]» recevait 1100 signatures. Devant cette levée de boucliers, Mgr Brunin a préféré jouer l'apaisement en annulant cette rencontre, regrettant pourtant devoir prendre une telle décision. «Maintenir l'intervention aurait abouti à une crispation, qui aurait menacé la communion ecclésiale. » « Tous les chrétiens ne sont pas murs pour s'engager dans une éthique de la rencontre et du dialogue telle que le pape François nous le recommande pourtant », a-t-il expliqué sur le site du journal La Croix. « Où a
Veille & Documentation

Sénat - Délégation à la prospective - Rapport sur l'avenir du pacte entre les... - 0 views

  •  
    Ce rapport étudie la transformation des relations entre les générations et formule une vingtaine de recommandations en vue d'adapter les politiques publiques à la nouvelle donne générationnelle. Sa première partie, faisant le point sur un débat qui court depuis plus de deux décennies, revient sur l'opposition entre une génération parfois qualifiée de « dorée », celle des baby-boomers, et des générations postérieures qui seraient « maltraitées ». Le rapport souligne que, si le Pacte intergénérationnel issu de la Libération est bien traversé de tensions qui menacent sa soutenabilité économique et son acceptabilité politique, la cohésion sociale est cependant moins menacée par le scénario catastrophe de la « guerre des âges » que par un risque de fragmentation interne aux générations, lié à la hausse des inégalités et à la divergence des intérêts au sein de chaque classe d'âge. L'enjeu des réformes du Pacte intergénérationnel n'est donc pas seulement de lier entre elles les différentes générations, mais faire en sorte que les membres des nouvelles générations continuent à se sentir liés par un destin commun. Le rapport aborde également la dimension symbolique des relations intergénérationnelles. Il montre que, dans ses rapports à la famille, à la politique, à l'école et au travail, la jeunesse est mue par un même projet de quête de sens. Or, de plus en plus de jeunes ont le sentiment de devoir prendre leur place dans un monde qui ne correspond pas à leurs attentes en termes d'épanouissement personnel ou de désir de participation directe au fonctionnement des institutions. Face à des univers scolaire et professionnel hyper compétitifs, qui ne permettent ni l'erreur ni le tâtonnement, face à des mondes du travail et de la politique encore faiblement participatifs, ils semblent hésiter entre une résignation désabusée, de nouvelles formes de radicalité ou une forme silencieuse de révolution con
Veille & Documentation

BVA - Prendre en compte la parentalité dans la vie au travail - 0 views

  •  
    ésultats d'une consultation menée auprès de près de 37 000 salariés par le Conseil supérieur de l'égalité entre les femmes et les hommes (CSEP) et l'Institut BVA Dix grandes entreprises : Air France, Engie, Expertise France, EY, Legrand, Schneider Electric, Siemens, SNCF, SUEZ, Veolia ont lancé auprès de leurs salariés une grande enquête sur la prise en compte de la parentalité au travail en partenariat avec le CSEP et l'institut BVA. Un premier chiffre encourageant : 78% des pères ont pris leur congé de paternité et d'accueil de l'enfant dans leur intégralité (seulement 47% des cadres dirigeants), mais, à l'arrivée d'un enfant, ils ne sont que 6% à réduire ou à arrêter leur activité contre 47% des mères. Mêmes inégalités du côté de la répartition des tâches : 55% des mères disent prendre majoritairement en charge les responsabilités parentales et la charge mentale associée contre 8% des pères. Et pourtant, un décalage peut s'observer entre la réalité des pratiques et le ressenti exprimé. La moitié des pères estiment se charger des tâches parentales à égalité avec leur conjoint.e contre uniquement 37% des mères qui ont ce sentiment. Même ambivalence dans le sentiment de l'impact de la grossesse et de la parentalité sur la carrière, puisque 75% des femmes reconnaissent un impact négatif de la maternité sur fond de sexisme ambiant souvent fort. De même, seuls 6% des parents ont le sentiment de pouvoir tout à fait profiter de leur enfant autant qu'ils le souhaiteraient, mais dans le même temps, plus de 70% des pères et des mères se disent satisfaits en termes d'articulation de leur vie familiale et professionnelle. Enfin, on constate une assez grande méconnaissance des droits associés à la parentalité et les politiques d'entreprise menées en la matière sont jugées insuffisantes ou méconnues. On a un donc un statut quo souvent paradoxal qui montre la nécessité de rééqui
Veille & Documentation

Synthèse des débats des groupes francophones sur la 1re partie de l'Instrumen... - 0 views

  •  
    "Le 9 octobre 2015, les rapporteurs des 13 groupes linguistiques du Synode sur la famille ont présenté, chacun, une synthèse de leur travail sur la première partie de l'Instrumentum laboris (« L'écoute des défis sur la famille »). La Documentation catholique publie les textes des trois groupes francophones (A, B, C) présentés respectivement par Mgr Ulrich, le P. Dumortier, sj, et Mgr Durocher. Les rapporteurs ont été « touchés » par la rencontre des différentes cultures dans un même groupe linguistique. « C'est en nous écoutant avec attention, bienveillance et patience souriante que nous nous sommes laissés enseigner les uns par les autres », a-t-il été notamment dit. Les différents tours de table ayant permis de dégager les thèmes communs, « sans ignorer les différences d'approche », défendues par les uns et les autres. Commun, par exemple, le désir de relever les défis posés aux familles et à l'Église dans notre monde contemporain. Différentes, certaines approches sur la famille relevant, par exemple, que le Synode « tourne » trop autour des problèmes traversés par la seule famille en Occident ou ne montre pas suffisamment toute la beauté et la sacralité du mariage. Ce qui implique une meilleure prise en compte par le Synode « de la diversité des contextes socio-culturels et des situations pastorales », a-t-il ainsi été remarqué. Commun, encore, des thèmes tels que le soutien apporté aux familles du Moyen-Orient ou au refus de la théorie du genre, « idéologie » diffusée « voire imposée » par certaines organisations internationales. Lors des travaux des attentes ont été exprimées : que le Synode soit « inspirant » et que tous puissent « comprendre la confiance à leur égard et à l'égard de la famille » ; qu'il donne des repères « qui soient des chemins » et qu'il ait un regard positif sur la famille d'aujourd'hui, « école d'humanité ». A été également souligné,
Veille & Documentation

Synode sur la famille : la voie de l'ordo paenitentium - 0 views

  •  
    Article de Thomas Michelet, op, sur les divorcés remariés « Ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas ! » (Mt 19, 6). La famille fondée sur le mariage, alliance matrimoniale féconde, unique, stable et définitive, est une réalité précieuse aux yeux de Dieu, mais aussi une affaire ô combien délicate. Après avoir été fragilisée par l'individualisme, le libéralisme et la mutation profonde des structures socio-économiques, parfois contestée en tant qu'usage bourgeois, elle demeure pour la plupart de nos contemporains une valeur universelle des plus désirables, mais aussi un idéal difficile à atteindre et à maintenir dans toutes ses exigences : « Si telle est la situation de l'homme par rapport à sa femme, mieux vaut ne pas se marier » (Mt 19, 10). Pour un sujet d'une telle importance, dont on a vu qu'il suscitait l'intérêt de l'opinion publique et du monde médiatique plus qu'aucune autre question ecclésiale ces dernières années, et devant la gravité de la situation présente, le pape François a voulu établir pour le synode des évêques un itinéraire spécial en deux étapes : une première année pour faire l'état des lieux, initiée par une vaste consultation du peuple de Dieu recueillie dans l'Instrumentum laboris et conclue par l'Assemblée Générale Extraordinaire des 5-19 octobre 2014 ; une seconde année d'approfondissement sur la base de la relatio synodi présentée aux conférences épiscopales en tant que lineamenta pour l'Assemblée Générale Ordinaire d'octobre 2015 ; en faisant appel d'ici là aux contributions des théologiens, en particulier pour les points litigieux qui n'ont pas obtenu à mi-parcours le consensus des pères synodaux, comme la question de la communion sacramentelle des divorcés remariés, celle de leur communion spirituelle ou la loi de gradualité. S'il ne faudrait pas réduire l'évangile de la famil
Veille & Documentation

DARES - A quels moments les inégalités professionnelles entre les femmes et l... - 0 views

  •  
    Un large pan de la littérature économique et sociologique attribue à la parentalité un rôle important dans la formation et la persistance des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes. Les périodes de vie où se créent ces inégalités ne sont en revanche pas clairement identifiées. Se forment-elles davantage avant ou après la naissance du premier enfant ? Les inégalités diminuent-elles lorsque les enfants grandissent ? À partir de modèles de durée, nous évaluons au fil des naissances, pour des personnes ayant au moins 50 ans en 2007, l'évolution de la probabilité d'atteindre une position socioprofessionnelle adéquate au regard du niveau d'études, c'est-à-dire de ne pas être déclassé en termes de catégorie socioprofessionnelle, et mesurons les différences entre les femmes et les hommes. L'enquête Santé et itinéraire professionnel (SIP) est mobilisée pour retracer les parcours professionnels et familiaux année après année. Il s'agit de l'une des rares sources de données françaises à le permettre. Les générations étudiées - 1932 à 1957 - ont connu de profonds changements économiques et sociétaux, parmi lesquels une forte augmentation de l'activité féminine et le délaissement progressif du modèle traditionnel de l'homme « gagne-pain ». L'analyse des évolutions socioprofessionnelles des femmes et des hommes de ces générations témoigne de fortes inégalités à la défaveur des femmes avec enfants qui sont croissantes avec le nombre d'enfants. Bien qu'elles s'accroissent par la suite, ces inégalités se forment avant l'arrivée des enfants, surtout pour les non-diplômées du baccalauréat. Plus souvent que les femmes, les hommes atteignent une position socioprofessionnelle adéquate avant de devenir parents. Quel que soit le nombre final d'enfants, c'est au moment de la première naissance que les inégalités augmentent le plus. Les inégalités continuent de s
Veille & Documentation

L'aide et l'action sociales en France - édition 2017 - Panoramas de la DREES ... - 0 views

  •  
    "L'aide et l'action sociales représentent 10 % des dépenses de la protection sociale et 3,2 % du produit intérieur brut. Ces aides et actions sont délivrées principalement par les départements. Fin 2015, ces derniers octroient 4,3 millions de prestations d'aide sociale, pour une dépense annuelle nette de 33 milliards d'euros. Au cours des cinq dernières années, ces dépenses augmentent de 2 % par an en moyenne. Après un premier éclairage sur le périmètre de l'aide et de l'action sociales et sur le financement de l'aide sociale départementale, celle-ci est décrite dans le détail : pour les personnes âgées dépendantes, pour les personnes handicapées, pour la protection de l'enfance et pour l'insertion. L'ouvrage s'attache à exposer les caractéristiques des bénéficiaires de l'aide sociale et la répartition des dépenses associées. Des rétrospectives sont proposées, et les disparités territoriales de l'aide sociale sont analysées." Ouvrage complet ou fiches séparées à télécharger Analyses transversales Fiche 01 - Le périmètre et les acteurs de l'aide et de l'action sociales en France Fiche 02 - Le financement des dépenses départementales d'aide sociale Fiche 03 - L'opinion des Français envers les politiques publiques d'aide sociale L'aide sociale aux personnes âgées Fiche 04 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes âgées Fiche 05 - L'aide sociale départementale aux personnes âgées Fiche 06 - Les bénéficiaires et les dépenses de l'allocation personnalisée d'autonomie Fiche 07 - L'aide sociale à l'hébergement des personnes âgées Fiche 08 - Les caractéristiques des bénéficiaires d'une aide sociale aux personnes âgées L'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 09 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 10 - L'aide sociale départementale aux personnes handicapées Fiche 11 - La prestation de compensation du hand
Veille & Documentation

Terra Nova - Perte d'autonomie : comment mieux accompagner les aidantes et le aidants f... - 0 views

  •  
    Conjoints, parents, enfants, amis, voisins… sont nombreux à aider une ou un proche entravé.e dans le déroulement de sa vie quotidienne en raison d'un handicap ou d'une perte d'autonomie liée à l'âge. Depuis le début des années 2000 et dans l'optique du maintien à domicile, les subsides publics - Allocation personnalisée d'autonomie (APA) pour les personnes âgées, Prestation de compensation du handicap (PCH) pour les personnes en situation de handicap - ont pour objet premier de permettre l'accès aux services professionnels dédiés à la perte d'autonomie. Cependant, ces deux allocations permettent aussi, dans des conditions précisées par la loi, de rémunérer des proches, qu'il s'agisse de parents, d'amis ou de voisins. Le paiement se fait alors à l'heure de travail d'aide consentie. La monétarisation de l'aide quotidienne entre proches se présente le plus souvent lorsque l'engagement des individus dans l'aide est important et inscrit dans la durée. La monétarisation de l'aide des proches ne va pourtant pas de soi. Elle se déploie au sein de relations intimes, familiales ou de grande proximité, dans un contexte institutionnel dont les inspirations politiques ou normatives sont diverses et potentiellement antagonistes. Qui est en charge de l'aide ? Comment la question des revenus et de la protection sociale des proches aidants se gère-t-elle, à la fois en situation, mais aussi en relation avec les dispositifs de l'action publique ? Et, de ce point de vue, comment les normes instituées et les normes familiales ou locales cohabitent-elles ? Que dire encore de l'intégration concrète des aidants dans des systèmes d'aide organisés ? La présente enquête d'une équipe de recherche pour Terra Nova permet d'éclairer une série de difficultés récurrentes et permet une exploration inédite et détaillée de questions-clés : le moment de la décision, entre motivations personnelles et pression
Veille & Documentation

Regarder la situation des divorcés « avec les yeux des petits enfants » | ZEN... - 1 views

  •  
    "Le pape François invite les chrétiens à « développer » « un accueil réel » des personnes divorcées et remariées. Il les appelle à « imiter » le Christ et à « encourager » les familles « blessées » à vivre « leur appartenance » à l'Église. Rome, 5 août 2015 (ZENIT.org) Marina Droujinina | 569 clics Le pape François a appelé les chrétiens à regarder la situation des personnes divorcées et remariées « avec les yeux des petits enfants » « qui souffrent le plus » dans ces circonstances. Il est intervenu sur ce thème délicat ce mercredi 5 août dans la Salle Paul VI, lors de la première audience générale après la pause de cinq semaines de la période estivale. Le pape a invité à regarder la situation « de ceux qui, à la suite d'un échec irréversible de leur lien matrimonial, ont commencé une nouvelle union » « avec les yeux des tout-petits ». Ce regard permettra de voir « l'urgence de développer dans nos communautés un accueil réel » envers ces personnes, estime le pape. « C'est pourquoi il est important que le style de la communauté, son langage, ses comportements soient toujours attentifs aux personnes, à partir des petits ». Le pape François est convaincu que « ce sont eux qui souffrent le plus, dans ces situations ». Il a appelé à être miséricordieux et à « ne pas ajouter d'autres poids en plus de ceux que les enfants, dans ces situations, ont déjà à porter ! » « Il est important qu'ils sentent que l'Église est une mère attentive à tous, toujours disposée à écouter et à les rencontrer », a-t-il ajouté. Le pape a expliqué que l'Église savait « bien » que la situation des personnes divorcées et remariées « contredit le sacrement chrétien ». « Toutefois, son regard de maîtresse vient toujours d'un cœur de mère, a-t-il affirmé, un cœur qui, animé par l'Esprit Saint, cherche toujours le bien et le salut des personnes ». Le pape a dit fermement que
Veille & Documentation

Défenseur des droits - JADE : Promotiion des droits auprès des enfants et des... - 0 views

  •  
    Le rapport d'activité Jeunes ambassadeurs des droits auprès des enfants/pour l'égalité (JADE) est, aujourd'hui, présenté en présence de Jacques Toubon, Défenseur des droits et Geneviève Avenard, adjointe au Défenseur des droits et Défenseure des enfants. C'est l'occasion de revenir sur le bilan du programme JADE. « Rien de mieux que des jeunes qui parlent aux jeunes » déclarent des collégiens de Dijon. En 2016-2017, les JADE ont visité nombre d'établissements scolaires, de centres de loisirs, d'hôpitaux, de structures de l'aide sociale à l'enfance ou encore d'établissements de protection judiciaire de la jeunesse. Ils ont ainsi sensibilisé près de 39 000 enfants et adolescents à la promotion des droits des enfants et/ou à la lutte contre les discriminations et la promotion de l'égalité Des questionnaires de satisfaction distribués auprès des enfants et directeurs d'établissement sensibilisés par les JADE, il ressort que 93% des établissements sont satisfaits des interventions et animations proposées et souhaitent reconduire l'opération l'année suivante. Fort de ce succès, le Défenseur des droits entend accroître sa mission de promotion des droits de l'enfant et de l'égalité et étendre le programme JADE à de nouveaux départements français.
Veille & Documentation

CESE - Avis Complet - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

  •  
    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
Veille & Documentation

CESE - Synthèse - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

  •  
    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
‹ Previous 21 - 40 of 13331 Next › Last »
Showing 20 items per page