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France Stratégie / HCFEA - Tome I : Etat des lieux - L'accueil des enfants de... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Tome II : Orientations - L'accueil des enfants de ... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Synthèse - L'accueil des enfants de moins de trois... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie - Le couple contribue-t-il encore à réduire les inégalités ? - 0 views

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    Entre 1996 et 2015, la hausse de l'activité des femmes a fait chuter les inégalités de revenus entre femmes et hommes. Pour autant, les inégalités de niveaux de vie - celles qui tiennent compte de la structure des ménages et de la redistribution socio-fiscale - sont restées relativement stables. Pour comprendre pourquoi, France Stratégie met en lumière que la France a été marquée non par une mais par trois transformations sociales qui ont modifié la répartition des revenus en France. La Note d'analyse souligne en particulier l'utilité qu'il y a à s'intéresser à un mécanisme trop souvent négligé lorsque l'on cherche à comprendre les évolutions des inégalités en France, celui de la mise en commun des ressources au sein d'un ménage, la « redistribution privée ». France Stratégie montre ainsi que la progression de l'activité féminine a bien réduit les inégalités. Mais, dans le même temps, deux autres évolutions sociales ont joué en sens contraire : La modification des structures familiales induite par les nouveaux modes de vie, avec une mise en couple plus tardive et une hausse des désunions. En 2015, 69 % des 25-60 ans étaient en couple alors qu'ils étaient 78 % en 1996. En particulier, les familles monoparentales sont devenues 1,6 fois plus nombreuses sur la période. Le renforcement de l' « homogamie de revenu » : les hommes et les femmes sont de plus en plus souvent en couple avec une personne qui perçoit un revenu proche du leur. Cela se traduit par une diminution des inégalités au sein des couples mais par une augmentation des inégalités entre couples. L'impact de ces deux dernières évolutions sociales s'observe lors de la mise en commun des ressources au sein des ménages - une étape qui permet de réduire les inégalités entre individus tant que les écarts de rémunérations entre conjoints persistent. De fait, des couples moins nombreux, c'est moins d'individus susceptibles de
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Eurostat - La vie des femmes et des hommes en Europe - 0 views

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    À la maison, au travail, à l'école … … il existe de grandes différences entre les vies des femmes et des hommes en Europe, mais il y a également des similitudes. Cette publication numérique « La vie des femmes et des hommes en Europe - un portrait statistique » se propose de comparer les femmes et les hommes dans leurs vies de tous les jours. Elle montre également comment la vie quotidienne des femmes et des hommes peut être semblable ou différente dans les pays européens. Cette publication comporte trois chapitres : Vivre, grandir, vieillir... : ce chapitre est consacré à la démographie et à la santé, avec par exemple des données sur l'espérance de vie, les mères et les pères célibataires, la perception que nous avons de notre santé, etc. Il montre également qu'en Europe, malgré nos différences, les femmes et les hommes sont satisfaits de leur vie au même niveau. Apprendre, travailler, gagner sa vie... : ce chapitre présente des données sur le niveau d'éducation, la conciliation entre les vies professionnelle et familiale, le travail à temps plein et à temps partiel, les écarts de rémunération entre les sexes, les cadres supérieurs féminins et masculins, etc. Il souligne non seulement les différences structurelles, mais aussi les inégalités entre les femmes et les hommes. Manger, acheter, surfer, avoir une vie sociale... : ce chapitre se concentre sur les habitudes alimentaires et les comportements sociaux, les activités de loisirs et les pratiques sur Internet, avec par exemple des données sur la consommation de tabac et d'alcool, l'indice de masse corporelle, la fréquentation du cinéma, l'utilisation des réseaux sociaux, et les achats en ligne. Une dernière partie est consacrée à la garde et à l'éducation des enfants et aux tâches ménagères. Cette publication numérique contenant des textes courts, des graphiques interactifs, des photos, a été développée par Eurostat en collaboration
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CESE - Avis Complet - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

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    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
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CESE - Synthèse - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

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    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
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Crédoc - Heurs et malheurs du confinement - 0 views

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    "Face à l'épidémie de covid-19, le gouvernement français décide de placer le pays en confinement strict du 15 mars au 11 mai 2020. Pour la plupart des Français, le confinement est arrivé de manière inattendue, imposant de s'adapter très rapidement à une situation complètement inédite, chamboulant leur vie quotidienne, familiale et professionnelle. Les résultats de l'enquête Conditions de vie et aspirations réalisée par le Crédoc pendant le confinement, du 20 avril au 04 mai soulignent des vécus très différenciés. Les jeunes ont vécu plus difficilement la période que leurs aînés. Alors qu'en temps normal, les 15-24 ans sortent souvent de chez eux, notamment pour voir leurs amis, ils ont souffert de devoir y renoncer, malgré l'importance des liens sociaux dans leur constitution identitaire. Habitant souvent dans de petits espaces, ils ont vu leur vie rétrécie entre quatre murs ou ont choisi pour certains de retourner vivre dans leurs familles, ce qui n'a pas été sans provoquer quelques tensions. Les autres foyers habitant de petits logements, en liaison avec des ressources financières limitées (le logement étant le premier poste de dépenses des Français) ont également vécu difficilement la période. En revanche, alors que les différences de revenus se traduisent habituellement aussi par des différences de niveau de consommation, ces dernières ont été - temporairement - gommées pendant la période. Chez les actifs, la découverte ou l'amplification du télétravail ont manifestement constitué une bonne surprise pour les personnes qui y ont eu accès. Moins pour les personnes qui travaillaient habituellement à distance avant le confinement, qui se sont trouvées plus perturbées dans leurs habitudes. Le choc de la crise de la covid-19 est tel que la plupart des Français revisitent le regard qu'ils portent sur leur vie, et ré-évaluent plus positivement ses différentes dimensions. Enfin, pour une partie
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Ifop - Regards franco-allemands sur les défis démographiques de l'Europe - 0 views

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    A quelques semaines des élections européennes du mai 2019, Alliance Vita a souhaité connaitre l'opinion des Français et des Allemands sur les grands enjeux démographiques. Cette enquête révèle des conceptions convergentes quant aux solutions à apporter au vieillissement des populations, mais divergentes sur les questions liées à la natalité. Face à la problématique de l'isolement des personnes âgées, les Français et les Allemands retiennent la même hiérarchie entre les solutions proposées dans l'enquête en privilégiant largement des logiques de solidarité (plus de 50% des citations pour « développer des modes d'accompagnement de la dépendance » et « valoriser la solidarité entre les générations »), à des logiques d'ajustement des équilibres démographiques (moins de 30% des citations pour « accroître le recours à l'euthanasie pour les personnes âgées qui le demandent » ; moins de 20% pour « favoriser la venue de populations extra-européennes plus jeunes » et « encourager la natalité »). Si le rapport des Français et des Allemands au vieillissement de la population est assez proche malgré quelques nuances, leurs regards respectifs sur les enjeux liés à la natalité sont en revanche très différents. Les Français retiennent ainsi à égalité « les conditions de vie difficiles pour les familles » (52% des citations) et « la peur de l'avenir » (52%) comme les principales raisons expliquant le décalage entre le désir d'enfant et les naissances effectives. Si les Allemands mettent également « les conditions de vie difficiles pour les familles » en haut de classement (46%), c'est cette fois-ci à égalité avec « la faiblesse des politiques familiales, l'insuffisance des aides accordées aux familles avec enfants » (46% contre 16% seulement en France). On observe enfin que, malgré des situations économiques et sociales très différentes (3,2% de chômage en Allemagne, 8,8% e
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The Conversation - Pour les femmes, la flexibilité des horaires de travail se... - 0 views

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    "L'inégale répartition entre les hommes et les femmes dans la prise en charge des tâches domestiques et familiales constitue la caractéristique toujours actuelle de l'environnement extra-professionnel des femmes. Les femmes actives font face à une « double journée » de travail, c'est-à-dire qu'elles cumulent dans une même journée obligations professionnelles et familiales/domestiques. Or de nombreux travaux francophones ont montré la difficulté à articuler travail professionnel et travail domestique pour les femmes. En cela, les horaires flexibles peuvent être considérés a priori comme un moyen de mieux organiser le « temps de travail » des femmes (c'est-à-dire la somme des temps de travail professionnel et domestique) et ainsi leur difficulté à concilier vie professionnelle et vie privée. En effet, selon un travail de recherche publié en 2004 « dans les pays à faible taux de natalité et à population active vieillissante, les gouvernements ont souvent recours aux politiques publiques pour augmenter les congés personnels et parentaux, ainsi que pour adapter les horaires de travail afin d'encourager les femmes à intégrer et développer le marché du travail et de les aider à concilier vie professionnelle et futures responsabilités familiales afin de ne pas décourager les naissances ». Nous avons réalisé une étude à l'aide d'un panel constitué à partir de la fusion des enquêtes nationales Conditions de travail 2013 et Conditions de travail-Risques psycho-sociaux 2016 visant à examiner de plus près la portée et les limites de cette solution. Nos travaux nous ont permis de mettre en avant les effets pervers des horaires flexibles à savoir le renforcement des inégalités femmes-hommes se traduisant notamment par des modes d'évaluation de la performance au travail différenciés et une intensification du travail pour les femmes. À noter que par horaires flexibles, nous entendons la possibilité
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CREDOC - Les modes de vie des ménages vivant avec moins que le budget de réfé... - 0 views

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    Entre 2012 et 2014, sous l'impulsion de l'ONPES, des budgets de référence (BDR) ont été construits pour définir les biens et services nécessaires «pour faire face aux nécessités de la vie quotidienne (se nourrir, se loger, avoir accès à la santé...) mais aussi pour avoir la possibilité de participer à la vie sociale » (…) La présente recherche se situe dans le prolongement des travaux sur le budget de référence. La question centrale est celle des modes de vie des ménages « modestes », c'est-à-dire vivant avec des revenus supérieurs au seuil de pauvreté mais inférieurs au budget de référence. Comment font ces ménages pour boucler leur budget ? Quels arbitrages sont-ils amenés à faire pour s'en sortir ? Quelle perception ont-ils des effets de leur niveau de budget sur leur sentiment d'intégration ?
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Paul Adrien d'Hardemare - ARRÊTER LE PORNO ? FAQ (feat. TANGUY LAFFORGUE & OL... - 0 views

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    Vidéo / Podcast de frère Paul Adrien avec Olivier Florant (sexologue) et Tanguy Lafforgue (thérapeute comportemental). De plus en plus d'hommes et de femmes, mais aussi d'adolescents, souffrent de comportements compulsifs liés à la sexualité: pornographie, masturbation, tchat, applis de rencontre... et la liste est plus longue qu'on ne l'imagine. Comment s'en sortir ? 80 % des garçons ont été exposés à la pornographie avant l'âge de quatorze ans, 50 % avant celui de douze : l'addiction au sexe virtuel est un enjeu majeur de santé publique. Comment l'obscénité, qui a remplacé l'érotisme, a-t-elle infesté nos vies et nos modes de vie ? Pourquoi des individus sombrent-ils dans sa dépendance ? Comment en sortir, se soigner et retrouver le véritable amour ? C'est à ces questions que répond ici un des premiers sexologues à s'être intéressé à cette pathologie. En neuf grandes séquences, Olivier Florant rappelle comment l'homme moderne est devenu un homme cochon : avènement d'Internet, diffusion massive d'images licencieuses, misère d'une société ultra-consumériste. Il aborde tous les sujets, sans tabou, avec franchise, pour nous délivrer de ce fléau. Il révèle le secret de sa thérapie : contrôler les mécanismes grâce auxquels notre cerveau prend les décisions, surmonter ses peurs et réapprendre à aimer l'autre. Et ce afin de retrouver notre pleine liberté ! Contre le règne de YouPorn, un ouvrage nécessaire, à lire et à partager. Sexologue, fondateur du Cabinet Saint-Paul, Olivier Florant est l'auteur, avec son épouse Marie-Noël, de nombreux livres ayant rencontré un grand succès, notamment Ne gâchez pas votre plaisir, il est sacré. Il est aussi l'auteur, aux Éditions du Cerf, de Aimer après la foudre et l'orage. Tanguy Lafforgue est diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, puis responsable de communication dans des structures chrétiennes pendant 10 ans. Depuis plusieurs an
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Centre d'observation de la société - Depuis 15 ans, l'union libre stagne - 0 views

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    "C'est une évolution importante qui avait de bonnes chances de passer totalement inaperçue tant pour l'apercevoir il faut se pencher dans les méandres des notes méthodologiques de l'Insee. 1. Depuis une quinzaine d'années environ, la part de couples vivant en union libre stagne entre 18 % et 20 % alors que ce mode d'organisation de la vie à deux avait fortement progressé entre les années 1970 et le début des années 2000. La tendance n'est pas simple à observer puisque qu'entre 1999 et 2011, les données de l'Insee portent sur l'ensemble des « cohabitants », mélangeant union libre et pacs. L'Insee a attendu dix ans après la création du pacs (1999) pour poser la question permettant de séparer ces deux modes de vie en couple. On obtient des données sur l'ensemble de la période (du milieu des années 1970 à aujourd'hui) en estimant ce qu'a pu être la progression de la part des pacsés au cours des années 2000."
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OFCE - Réduire les inégalités professionnelles en réformant le congé paternité - 0 views

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    Les femmes réalisent 71 % du travail domestique (ménage, cuisine, linge) et 65 %du travail familial. Contrairement aux hommes, elles ajustent leur carrière aux contraintes de la vie familiale, surtout en présence de jeunes enfants. Les interruptions d'activité sont plus fréquentes pour elles que pour les hommes et 80 % du temps partiel est pourvu par des femmes. En conséquence, durant leur vie d'âge actif, le temps que les femmes consacrent à leur activité professionnelle représente en moyenne 67 % de celui des hommes. Enfin, elles gagnent en moyenne 25 % de moins que les hommes. Dans ce contexte, une piste pour réduire les inégalités professionnelles consiste à modifier la répartition du temps consacré aux enfants entre femmes et hommes. Depuis 15 ans, l'effort budgétaire a porté sur le développement des modes d'accueil de la petite enfance, ce qui a permis de soutenir le travail des mères de jeunes enfants, mais cela n'a pas encouragé les pères à consacrer plus de temps aux tâches familiales. Parallèlement, la politique de congés parentaux est restée ambiguë et les dernières orientations conduisent à les réduire progressivement. Or elles constituent un levier pour encourager le partage des tâches dans la famille, à condition qu'elles soient construites dans cette optique. Certains pays proposent des systèmes qui incitent, voire contraignent les pères à consacrer plus de temps aux enfants : en Islande, les pères prennent un tiers de l'ensemble des congés réservé aux deux parents. Un congé paternité obligatoire et plus long rééquilibrerait entre les deux parents l'impact d'une naissance sur la carrière. Associé à l'expansion des structures d'accueil de la petite enfance, il orienterait les politiques familiales vers l'objectif d'égalité
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INSEE - Des ménages toujours plus nombreux, toujours plus petits - 0 views

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    "Les ménages, constitués des personnes partageant le même logement, sont de plus en plus petits : ils comportent en moyenne 2,2 personnes en 2013, contre 2,4 en 1999. Plus d'un tiers sont constitués d'une seule personne, un tiers de deux personnes et à peine un tiers de trois personnes ou plus. Ainsi, les évolutions à l'œuvre depuis les années 1970 se poursuivent ; elles découlent du vieillissement de la population et des changements dans les modes de vie (hausse des séparations, diminution des familles nombreuses…). Les ménages sont aussi de plus en plus nombreux : + 4,2 millions depuis 1999. Cette hausse est due pour moitié à la croissance de la population, et pour moitié à la réduction de la taille des ménages. Elle est portée essentiellement par les ménages formés d'une seule personne ou d'un couple sans enfant. Les seniors sont les personnes qui vivent le plus souvent seules : en 2013, 21 % des hommes et 48 % des femmes de 75 ans ou plus sont dans ce cas. En 2013, 28 % des ménages comprennent une famille avec au moins un enfant mineur. Le nombre de couples avec enfants est resté stable depuis 1999, tandis que le nombre de familles monoparentales a augmenté. Ces dernières représentent désormais plus d'une famille avec enfants sur cinq. "
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INSEE - France, portrait social - - 0 views

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    "France, portrait social s'adresse à tous ceux qui souhaitent mieux connaître la société française. Cet ouvrage transversal de la collection « Insee Références » propose d'abord un éclairage sur les ménages à niveau de vie médian en France. Trois dossiers analysent de manière approfondie différents aspects de la société française. Une quarantaine de fiches synthétiques, présentant les données essentielles et des comparaisons européennes, complètent ce panorama social. " Dossiers : - Formations et ruptures d'unions : quelles sont les spécificités des unions libres ? - Y a-t-il eu polarisation de l'emploi salarié en France entre 1988 et 2014 ? Une analyse selon les catégories socioprofessionnelles et leurs contenus en tâches - Les réformes des prestations et prélèvements intervenues en 2016 opèrent une légère redistribution au bénéfice des 20 % les plus modestes Organisation des fiches : - Cadrage économique - Population- Marché du travail - Niveaux de vie et redistribution - Qualité de vie - Cadrage européen
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France Stratégie - Synthèse du rapport du HCFEA - Voies de réforme des congés... - 0 views

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    En France, 28 % des mères de jeunes enfants ne bénéficient d'aucune aide, en particulier les mères issues de ménages pauvres, éloignées de l'emploi et sans congé parental. Ainsi, il y a une réelle nécessité à ne pas dissocier la question du congé parental de celles de l'ensemble des modes d'accueil et de l'emploi. Dans une perspective d'égalité des chances pour les enfants et d'égalité entre les femmes et les hommes, le rapport du Haut Conseil de la famille, de l'enfance et de l'âge (HCFEA) propose vingt recommandations pour redynamiser une politique de conciliation vie familiale et vie professionnelle.
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[Diocèse de Nanterre] - La vie des AFC - 0 views

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    "1/ Transhumanisme : sujet à la mode ou réel danger ? En fait il ne s'agit pas d'un sujet véritablement nouveau. Si les techniques modernes nous laissent entrevoir des possibilités inexistantes jusqu'alors, le principe du transhumanisme se fonde sur une question anthropologique : le refus d'une acceptation des limites naturelles de l'humanité. La vision qui sous-tend cette idéologie réduit l'être humain à son fonctionnement physiologique. L'être humain est considéré comme une mécanique physico-chimique dont il faut améliorer les performances quitte à modifier la machine. Francis Crick le codécouvreur de la structure hélicoïdale de l'ADN affirmait : « vous, vos joies et vos peines, vos souvenirs et vos ambitions, le sens que vous avez de votre identité et de votre libre arbitre, ne sont rien de plus que le comportement d'un vaste assemblage de cellules nerveuses et de molécules qui sont associées ». De là il tirait cette conclusion effrayante : « aucun enfant nouveau-né ne devrait être reconnu humain avant d'avoir passé un certain nombre de tests portant sur sa dotation génétique. S'il ne réussit pas ces tests, il perd son droit à la vie ». C'est ce type de pensée qui a conduit au transhumanisme qui ne cherche pas seulement à réparer l'homme comme la médecine le fait, mais à le transformer et à l'augmenter pour créer un homme nouveau, sans limites et sans vulnérabilité."
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Drees - Grandir en territoire rural : quelles différences de conditions de vi... - 0 views

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    En 2018, en France métropolitaine, un enfant sur trois vit en territoire rural. Ces enfants résident plus souvent avec leurs deux parents dans une famille « traditionnelle » que ceux des espaces urbains. Ils vivent moins souvent que les enfants urbains dans des familles pauvres (13 % contre 23 %) ou très aisées. Il y a en effet, dans les territoires ruraux, moins de familles monoparentales ou nombreuses, des parents plus souvent en emploi mais moins fréquemment dans les catégories sociales les plus favorisées, et moins de logements sociaux. Les enfants ruraux ont des conditions de logement plus favorables : neuf sur dix ont leur propre chambre et vivent dans une maison avec un espace extérieur (jardin, terrain, cour), contre respectivement sept sur dix et cinq sur dix en milieu urbain. En revanche, ils vivent plus loin des services et des équipements. Ils disposent, par exemple, en moyenne de huit places en crèche à moins de 15 minutes pour cent enfants de moins de 3 ans, contre vingt-six en milieu urbain. Leur temps d'accès aux professionnels de santé, en particulier aux spécialistes, est également plus long que celui des enfants urbains. Ils résident en moyenne à 25 minutes en voiture d'un pédiatre, contre 7 minutes en milieu urbain. Ils sont aussi plus éloignés de certains équipements culturels (cinémas, musées) et sportifs.
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Comment le vieillissement réinterroge-t-il les politiques familiales ? | Fran... - 0 views

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    "Le dynamisme démographique français semble être largement hérité d'une politique familiale généreuse. Aujourd'hui, celle-ci revêt des formes très diverses correspondant à des prestations en nature, des allocations financières, voire des politiques de soutien à l'activité professionnelle des femmes. Face au choc du vieillissement et aux transformations des modes de vie familiale, l'efficacité de ces leviers est variable : faut-il, aujourd'hui, prolonger ces politiques, ou privilégier l'accompagnement de la petite enfance ? Une comparaison internationale des politiques familiales entre les pays de l'OCDE nous permettra de faire le point sur la situation française et de proposer des solutions concrètes pour améliorer leur efficacité."
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