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DREES - L'enquête Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants - Famille, e... - 0 views

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    "L'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » a pour objectif de dresser, tous les 6-7 ans environ, un panorama complet des solutions de garde adoptées par les parents pour leurs jeunes enfants, au regard de leurs contraintes professionnelles. Elle vise, notamment, à reconstituer de façon très précise, sur une semaine type, le calendrier d'accueil des enfants, incluant les périodes passées avec leurs parents, et à identifier l'ensemble des intervenants qui se succèdent pour assurer leur garde pendant la période considérée. Trois vagues d'enquête ont, à l'heure actuelle, été collectées : en 2002 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans, né en 1995 ou après), en 2007 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans et demi né le 1er mai 2000 ou après) et en 2013 (ménages ayant au moins un enfant âgé de moins de 6 ans né à partir du 1er septembre 2013). En 2002, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) réalise l'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » en partenariat avec le Conseil de l'Emploi, des Revenus et de la Cohésion sociale (CERC), la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) et l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Il s'agissait d'appréhender les différents modes d'accueil auxquels les parents ont recours, de les caractériser (formels ou informels, réguliers ou occasionnels) ; de voir comment ils se combinent selon les différentes contraintes auxquelles sont soumis les parents (horaires de travail décalés, travail de nuit, etc.) et les caractéristiques des parents et des enfants (profession exercée, âge de l'enfant, place dans la fratrie, etc.) ; de comprendre comment ces modes de garde relaient la prise en charge parentale ; de mesurer leurs coûts de chaque solution d'accueil adoptée par les parents et, enfin, d'interroger le degré de sat
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CNAF - L'accueil du jeune enfant en 2015 - Synthèse - 0 views

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    La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) publie l'édition 2016 du rapport de son Observatoire national de la petite enfance. Portant - sauf exceptions - sur les données 2015, cette somme d'une centaine de pages propose de nombreuses statistiques, cartes et analyses sur tous les aspects de l'accueil des enfants de 0 à 6 ans. Elle constitue désormais la référence en la matière. Plus de 56 places d'accueil pour 100 enfants de moins de trois ans En matière de modes de garde, la principale information de cette édition 2016 est que "la baisse de recours aux modes d'accueil individuels se confirme, alors que la crèche reste plébiscitée, y compris par les familles monoparentales". Globalement, la capacité d'accueil des différents modes d'accueil (individuels et collectifs) continue de progresser. Elle atteint désormais une capacité théorique de 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans. Ce taux n'était encore que de 50,5% en 2010, soit une hausse de 11% en cinq ans. Jusqu'à présent le principal facteur explicatif de cette évolution tenait à la progression du nombre d'assistantes maternelles. Le nombre de places offertes s'est en effet accru de 79.800 unités depuis 2010, contre une hausse de 53.500 places dans les modes d'accueil collectifs. Cette tendance est toutefois en train de s'inverser. Ainsi, 598.200 enfants de moins de trois ans étaient gardés par une assistante maternelle en 2015, contre 605.900 en 2014. Le nombre de ces dernières a reculé de 9.500 en 2015, tandis que se poursuivait la baisse du nombre d'heures déclarées par les employeurs d'assistantes maternelles : -1,7% en 2015, après -1,6% en 2014 et -0,2% en 2013. De même, 455.300 familles - assurant elle-même la garde de leur enfant - ont bénéficié d'un complément d'activité en 2015, contre 492.500 en 2014. A l'inverse, 960.400 enfants étaient inscrits, en 2014, auprès des établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje) bénéficiant de la prestat
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CNAF - L'accueil du jeune enfant en 2015 - Rapport complet - 0 views

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    La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) publie l'édition 2016 du rapport de son Observatoire national de la petite enfance. Portant - sauf exceptions - sur les données 2015, cette somme d'une centaine de pages propose de nombreuses statistiques, cartes et analyses sur tous les aspects de l'accueil des enfants de 0 à 6 ans. Elle constitue désormais la référence en la matière. Plus de 56 places d'accueil pour 100 enfants de moins de trois ans En matière de modes de garde, la principale information de cette édition 2016 est que "la baisse de recours aux modes d'accueil individuels se confirme, alors que la crèche reste plébiscitée, y compris par les familles monoparentales". Globalement, la capacité d'accueil des différents modes d'accueil (individuels et collectifs) continue de progresser. Elle atteint désormais une capacité théorique de 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans. Ce taux n'était encore que de 50,5% en 2010, soit une hausse de 11% en cinq ans. Jusqu'à présent le principal facteur explicatif de cette évolution tenait à la progression du nombre d'assistantes maternelles. Le nombre de places offertes s'est en effet accru de 79.800 unités depuis 2010, contre une hausse de 53.500 places dans les modes d'accueil collectifs. Cette tendance est toutefois en train de s'inverser. Ainsi, 598.200 enfants de moins de trois ans étaient gardés par une assistante maternelle en 2015, contre 605.900 en 2014. Le nombre de ces dernières a reculé de 9.500 en 2015, tandis que se poursuivait la baisse du nombre d'heures déclarées par les employeurs d'assistantes maternelles : -1,7% en 2015, après -1,6% en 2014 et -0,2% en 2013. De même, 455.300 familles - assurant elle-même la garde de leur enfant - ont bénéficié d'un complément d'activité en 2015, contre 492.500 en 2014. A l'inverse, 960.400 enfants étaient inscrits, en 2014, auprès des établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje) bénéficiant de la prest
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Cnaf - Attentes et contraintes des parents déterminent le mode d'accueil de l... - 0 views

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    Les déterminants actuels du choix du mode d'accueil sont mal connus. Afin de mieux comprendre comment les besoins et contraintes des familles les conduisent à recourir une solution d'accueil particulière, la Caisse nationale des Allocations familiales (Cnaf) a mené une enquête auprès de parents de jeunes enfants. Les attentes des parents ne sont pas les mêmes selon le mode d'accueil retenu. La crèche est davantage utilisée par les familles soucieuses de ce que l'accueil propose de nombreuses activités alors que le recours à l'assistante maternelle est plus élevé parmi les familles accordant de l'importance à une relation affective avec une personne de référence. L'envie de s'occuper soi-même de son enfant est également une raison qui conduit l'un des parents à être le seul mode d'accueil de son enfant. En dehors de ces critères concernant les attentes pour l'enfant, le recours à l'un ou l'autre de ces modes d'accueil diffèrent selon les revenus et le statut d'emploi des parents : toutes choses égales par ailleurs, les familles modestes bi-actives à temps plein recourent moins à la crèche que les familles bi-actives avec des revenus élevés. Les familles monoparentales recourent moins aux assistantes maternelles que ces familles, qu'elles soient en activité ou non.
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La CNAF s'inquiète de baisses budgétaires pour la petite enfance | La-Croix.com - 0 views

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    "Un nouveau calcul du budget de la CNAF alloué à la petite enfance va entraîner un manque à gagner de 1,4 milliard d'euros d'ici à 2017, par rapport aux ambitions affichées par le gouvernement."
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France Stratégie / HCFEA - Tome II : Orientations - L'accueil des enfants de ... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Synthèse - L'accueil des enfants de moins de trois... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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France Stratégie / HCFEA - Tome I : Etat des lieux - L'accueil des enfants de... - 0 views

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    Le développement des modes d'accueil de la petite enfance est une des priorités de la politique familiale. Permettant aux parents une meilleure articulation entre vie familiale et vie professionnelle, ils sont souvent mis en exergue pour expliquer la réussite du modèle français en termes de natalité et de taux d'emploi des femmes. La France se caractérise en effet, par rapport à la plupart de ses voisins européens, par une offre développée et diversifiée de solutions d'accueil, qu'il s'agisse de places en crèches (établissements d'accueil de jeunes enfants - EAJE), de possibilités de faire garder son enfant par une assistante maternelle[1] au domicile de celle-ci, ou au domicile des parents, par la préscolarisation dès l'âge de deux ans dans des écoles maternelles, ou par le recours des parents à un congé parental d'éducation (CPE) à temps plein ou partiel, accompagné ou non d'une indemnisation au travers de la prestation partagée d'éducation de l'enfant (PreParE). Le recours effectif des familles aux différents modes d'accueil résulte de choix sous contraintes multiples et complexes : l'offre de modes d'accueil disponible localement et les manques éventuels de celle-ci, l'accessibilité financière à ces modes d'accueil, la complexité des situations familiales et professionnelles (contraintes horaires, possibilité d'aide familiale…). Mais il vise avant tout à trouver une solution qui réponde au mieux aux besoins spécifiques des très jeunes enfants sur tous les plans : physique, affectif, cognitif, émotionnel et social, en offrant la meilleure qualité de service possible sur ces différents plans. Malgré une politique volontariste, et des attentes encore importantes exprimées par les familles, le développement de l'offre semble se tarir ces dernières années. Les résultats observés durant la période 2013-2017, couverte par la dernière convention d'objectifs et de gestion (COG)
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CNAF - Dossier 189 - Premier prix master Cnaf - "Les Miens, les tiens, les nô... - 0 views

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    La recherche de Justine Vincent étudie les relations entre les membres du foyer recomposé et leur calendrier de vie. À travers ces deux entrées, ce sont bien les normes de parenté qui sont interrogées, notamment après la naissance d'un enfant commun qui rapproche la famille d'une famille «ordinaire» tout en soulignant, par-là, sa pluriparentalité, son « atypie ».
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CAF - Observatoire National de la petite enfance - Chiffres clés de l'accueil... - 0 views

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    La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) publie le premier numéro de sa "Lettre de l'Observatoire national de la petite enfance". Cette première livraison compile et actualise pour partie les données présentées dans le rapport 2015 de l'Observatoire, publié en février dernier (voir notre article ci-contre du 4 février 2016). La lettre se concentre plus particulièrement sur deux sujets : l'offre d'accueil pour la petite enfance et l'adéquation du recours aux modes d'accueil par les parents. 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans Sur le premier point, les derniers chiffres définitifs et validés concernent l'année 2014. La capacité d'accueil théorique était alors de 1,359 million de places. Ce chiffre équivaut à une capacité de 56,1 places pour 100 enfants de moins de trois ans (57,2 en métropole et 26,3 dans les DOM hors Mayotte). Les assistantes maternelles restent, de très loin, le premier mode d'accueil avec 59% de la capacité totale. Viennent ensuite les établissements d'accueil du jeune enfant (Eaje : accueil collectif, micro-crèches, crèches familiales et parentales), avec 31% du total, puis les écoles maternelles (scolarisation à deux ans), avec 7% du total. L'emploi d'une salariée à domicile reste assez marginal, avec 3% de la capacité totale. Même s'il s'agit encore de données provisoires, les premiers chiffres 2015 montrent que l'offre en Eaje a continué de progresser, avec environ 10.000 places supplémentaires (+0,6%), ce qui permet de faire passer le nombre de places en accueil collectif pour 100 enfants de moins de trois ans de 17,3 à 17,9. En revanche, la scolarisation précoce en école maternelle - qui est pourtant une priorité du gouvernement - a légèrement reculé l'an dernier, passant de 96.100 places à 93.600 places. Collectif ou à domicile ? La seconde partie de la lettre est consacrée à une approche du recours des parents aux modes d'accueil. Celui-ci est mesuré par différen
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OVLEJ CNAF - Communiqué de presse - Centre de loisirs, mini-camp, colos : qua... - 0 views

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    Inscrire son enfant au centre de loisirs, en mini-camp ou en colo, choisir un séjour et un organisateur, tous ces choix découlent de décisions prises par les parents et les jeunes. L'enquête de l'Ovlej, réalisée en 2014, interroge les processus et les motivations qui conduisent les parents et les adolescents à choisir un mode d'accueil collectif pour les loisirs ou les vacances de ces derniers. Les résultats permettent ainsi de comprendre les différents facteurs qui entrent en jeu, la construction de parcours d'un accueil collectif à l'autre, les attentes éducatives des parents et le rôle des jeunes dans les processus de décisions.
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CNAF - Les prèe en congé parental à temps partiel en France : vers un modèle ... - 0 views

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    Article de la revue Politiques sociales et familiales N° 122
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CNAF - Les Pères et la prise du congé parental our de paternité - 0 views

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    Une nouvelle réalité Article de la revue Politiques sociales et familiales N° 122
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CNAF - Histoire des congés parentaux en France - 0 views

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    Une lente sortie du modèle de rémunération de la mère au foyer
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CNAF - Les évolutions récentes des recours aux différents mode d'accueil - 0 views

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    Ce dossier présente notamment les évolutions du recours au congé parental suite à la réforme de 2015 sur l'obligation de partage du congé parental (-7,4% de bénéficiaires en 2016)
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CNAF - Dossier 190 - Aux confins de la parenté : le don d'engendrement vu par... - 0 views

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    Le travail d'Anaïs Martin interrogel e modèle de parenté et les évolutions contemporaines qui le traversent. choisi de le faire sous l'angle de l'assistance médicale à la procréation avec donneur, considérée comme une manière de créer de la filiation et comme un «don d'engendrement». Elle étudie le point de vue non des personnes inséminées, mais des enfants nés de ce «don d'engendrement», à partir d'une quinzaine d'entretiens. L'analyse se déplie selon trois axes: leurs représentations de leur parenté avec le parent infertile (toujours le père en l'occurrence); l'image qu'ils se font du donneur et la place qu'ils lui accordent; les représentations qu'ils se font de l'interdit de l'inceste lorsque les liens génétiques sont inconnus. Cette recherche sur fond de lois bioéthiques se rapproche de celles portant sur l'accouchement. Faut-il lever ou non l'anonymat des donneurs de gamètes? Les personnes souhaitant maintenir le secret de l'identité des donneurs reprochent aux opposant-e-s à la législation actuelle de vouloir «biologiser» la filiation, la parenté génétique passant devant la parenté sociale. Les partisan-e-s d'un changement de loi mettent en avant le droit à accéder aux informations concernant leur venue au monde et craignent d'avoir accidentellement des relations incestueuses avec des personnes nées du même donneur. Ces deux logiques, l'une d'anonymat, l'autre d'accès aux origines, sont portées par deux associations de personnes conçues par don de gamètes -associations dont font partie les personnes rencontrées (âgées de 25 à 37ans) lors d'entretiens de deux heures et demi en moyenne par Anaïs Martin dans le cadre de cette recherche. Qu'ils recherchent leurs origines ou non, ceux qui sont nés d'un don ne remettent jamais en question le statut de leur père social. Ils réaffirment même leur attachement à lui, et à sa parenté, qui se donnent notamme
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Isabelle Sancerni, nouvelle présidente de la Cnaf - La Croix - 0 views

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    "Ce 11 janvier, elle remplacera Jean-Louis Deroussen à la tête de la Caisse nationale des allocations familiales."
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La politique familiale en France | La-Croix.com - 0 views

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    "L'ensemble des prestations en faveur des familles versées par la Caisse nationale d'allocations familiales (Cnaf) dépasse 55 milliards d'euros par an. Les allocations familiales devraient représenter 13 milliards d'euros en 2013, versés aux 4,7 millions de foyers ayant au moins deux enfants à charge de moins de 20 ans. Le montant actuel est de 127,05 € pour deux enfants ; 289,82 € pour trois ; 452,59 € pour quatre et 162,78 € par enfant supplémentaire. Des majorations de 63,35 € sont appliquées à l'adolescence."
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86 000 places en crèches créées depuis 2012 - La Croix - 0 views

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    "La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) assure que 1,046 million d'enfants devraient être accueillis en crèches en 2017, soit 125 000 de plus qu'en 2012, grâce à la création mais aussi à l'optimisation de places."
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UNAF - Enquête auprès des parents sur la réforme des rythme scolaire - 0 views

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    Selon les communes, la réforme des rythmes scolaires a été mise en place en 2013 ou 2014. L'UNAF, favorable à l'esprit de la réforme mais soucieuse que sa mise en œuvre prenne en compte les intérêts des familles, a souhaité connaître l'avis des parents sur : l'organisation de la réforme dans l'école de leurs enfants, la participation de leurs enfants aux activités proposées pendant « les nouveaux temps éducatifs », l'éventuelle modification de leur organisation familiale... Alors que sont publiés l'enquête CNAF/AMF (auprès des communes et des CAF) et le rapport du comité de suivi de la réforme (auprès des établissements scolaires), l'UNAF apporte la voix des familles et confirme que les activités périscolaires satisfont les enfants, mais qu'il reste du chemin pour que la réforme soit plus égalitaire et mieux perçue par les parents. Enquête de 2015
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