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[pop-up] urbain

Pour une « mobilité courante » - 0 views

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    "Et si on pouvait rendre possible à tout individu l'usage d'un service public de mobilité (en évitant tant que se peut la voiture-solo) presque aussi facilement accessible que l'est l'eau courante ? Vous ouvrez le robinet, l'eau coule, et si elle s'arrête de couler c'est que vous avez fermé le robinet. Se battre pour obtenir cela en matière de mobilité, c'est cela la recherche de la « mobilité courante ». Les conditions pour l'atteindre sont peut être difficiles à réunir, mais c'était le cas pour « l'eau et le gaz à tous les étages du 19e siècle », puis plus tard l'électricité, le téléphone, l'ADSL et bientôt le très haut débit. Ce n'est pas parce qu'on n'égalera pas facilement la liberté de la voiture solo, que la bataille est perdue pour les autres modes (objectif de la « mobilité durable » défendue par le GART, le Groupement des Autorités Responsables des Transports)."
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L'Autre Monde ou les États et Empires de la Lune - Cyrano de Bergerac - Googl... - 0 views

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    Nos cités, ô mon cher compagnon, se divisent en mobiles et en sédentaires ; les mobiles, comme par exemple celle où nous sommes à présent sont construites ainsi : L'architecte construit chaque palais, ainsi que vous voyez, d'un bois fort léger, y pratique dessous quatre roues ; dans l'épaisseur de l'un des murs, il place des soufflets gros et nombreux et dont les tuyaux passent d'une ligne horizontale à travers le dernier étage de l'un à l'autre pignon. De cette sorte, quand on veut traîner les villes autre part (car on les change d'air à toutes les saisons), chacun déplie sur l'un des côtés de son logis quantités de larges voiles au-devant des soufflets ; (…) leurs maisons en moins de huit jours, avec les bouffées continues que vomissent ces monstres à vent et qui s'engouffrent dans la toile, sont emportées, si l'on veut, à plus de cent lieues. Voici l'architecture des secondes que nous appelons sédentaires : les logis sont presque semblables à vos tours, hormis qu'ils sont de bois, et qu'ils sont percés au centre d'une grosse et forte vis, qui règne de la cave jusqu'au toit, pour les pouvoir hausser ou baisser à discrétion. Or la terre est creusée aussi profonde que l'édifice est élevé, et le tout est construit de cette sorte, afin qu'aussitôt que les gelées commencent à morfondre le ciel, ils descendent leurs maisons en les tournant au fond de cette fosse (…). Mais aussitôt que les douces haleines du printemps viennent à le radoucir, ils remontent au jour par le moyen de cette grosse vis dont j'ai parlé.
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(dé)mobilité, des mobilités : l'expérience néerlandaise des "Smart work cente... - 0 views

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    "Outre la réduction des mobilités contraintes (ce que certains auteurs appellent la « démobilité »), la révolution introduite par les SWC touche évidemment aux modalités d'organisation du travail. Ces lieux sont conçus dans une logique de service aux usagers. Souvent installés sur plusieurs étages, ils décomposent les espaces en mêlant des salles de réunion, des open spaces avec des bureaux individuels, des salles de coworking dédiées au montage de projet… Le tout dans une ambiance qui se veut résolument « cosy », avec des lieux de convivialité (kitchenettes, machines à café, sandwicherie - restauration) permettant des échanges plus informels et de la « fertilisation croisée »."
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Impact mobylette sur la mobilité urbaine au Vitenam | Demain la Ville - 0 views

  • Historiquement, le mode de déplacement de la majeure partie de la population était le vélo. L’adoption de la mobylette s’est opéré brusquement à partir de l’ouverture du pays en 1986. L’importation de ces véhicules depuis le Japon, la Corée ou la Thaïlande a transformé la circulation en quelques années. Après le renversement de la fin des années 1980, le mouvement a continué à prendre de l’ampleur. Ainsi, entre 1995 et 2005, le trafic des cyclomoteurs a été multiplié par six . Outre cette habitude historique du deux roues, la taxation de la voiture, aujourd’hui encore, à 200 %, permet de limiter son développement.
  • Enfin, le tracé des rues – et des nombreuses ruelles – est le meilleur argument pour adopter le scooter comme mode de transport. Les petites ruelles enfantées par une urbanisation souvent spontanée tolèrent la moto mais sont un enfer pour les automobilistes.
  • Le mode d’urbanisation de la ville a fortement favorisé le développement de la mobylette, mais celle-ci influence aussi l’organisation de l’espace. Ainsi, elle envahit les endroits qui, sur les trottoirs, ne sont pas déjà occupés par les commerces et les stands de rue. Souvent, il ne reste presque plus de place au piéton pour marcher. Il est donc obligé de descendre sur la chaussée, ce qui est finalement moins dangereux qu’attendu, ce nouvel élément étant parfaitement intégré par les conducteurs : la vigilance et le respect sont réels.
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  • Même si les mobylettes occupent une partie du trottoir, cela ne se fait pas toujours de manière anarchique. Dans les rues où les restaurants sont nombreux, un service de « voiturier » est même organisé. On laisse son véhicule, le voiturier inscrit notre numéro sur le tableau de bord avec un feutre spécial, nous laisse le ticket correspondant et s’occupe de le garer. En fin de soirée, les mobylettes, par dizaines, sont parfaitement organisées et chacun récupère la sienne sans encombre. Plus tard encore, après la fermeture des échoppes, les motos disparaissent, rangées à l’intérieur même du magasin ou de la maison.
  • Un autre impact surprenant concerne les espaces de stationnement privés. La moto nécessitant moins de surface de stationnement, les nouveaux programmes immobiliers de tours qui poussent à la périphérie de la ville se limitent pour certains, malgré leurs 35 étages de logement, à un seul sous-sol de parking ! Ce qui est tout à fait suffisant pour les quelques centaines de mobylettes de la résidence.
  • anoi est aujourd’hui à un moment clé de son évolution. Alors que le simple trafic de mobylettes atteint par endroit le point de saturation à la sortie des bureaux, le Vietnam s’est récemment engagé avec ses partenaires de l’ASEAN (Association des nations de l’Asie du Sud-Est) à baisser les taxations sur les voitures. Si la voiture venait à se généraliser, la situation pourrait rapidement devenir cauchemardesque aux heures de pointe, comme c’est le cas ailleurs en Asie du Sud-Est, à Bangkok notamment où la voiture est bien plus présente
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Ascenseurs : un lifting s'impose - Libération - 0 views

  • Mais voilà que début mars, au Marché international de l’immobilier, on a découvert, sur le stand d’Otis, l’univers enchanté du lift moderne. Le numéro 1 mondial des élévateurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants, inventeur de l’appareil (en 1853) et constructeur de ceux de la tour Eiffel (en 1889), y exposait un modèle équipé d’un astucieux logiciel permettant d’afficher des Post-it virtuels sur le miroir de la cabine. Le système s’utilise avec un smartphone et remplace le bout de papier qu’on scotche pour prévenir les voisins du barouf d’une fiesta. Dans une maison comme Libération, friande d’affichages publics plus ou moins irrités, ça peut servir.
  • Un ascenseur de notre époque fonctionne comme ses ancêtres sur le principe d’une cabine, d’un contrepoids et d’un moteur. Mais pour le reste, tout a changé. L’appareil est «rempli de technologie embarquée», explique David Molins, directeur de la communication d’United Technologies, la maison mère de l’ascensoriste. Le moteur est devenu tout petit, les courroies plates transmettent au centre de maintenance l’état de leur usure et l’engin peut même être remis en marche à distance.Sans compter les économies. «Les ascenseurs modernes représentent entre 2 et 5% du coût d’exploitation d’un bâtiment», dit David Molins.
  • Otis commence à vendre des modèles connectables sur des panneaux solaires ou des éoliennes. Et la plupart des industriels proposent maintenant des gammes qui génèrent de l’énergie. Ou plutôt récupèrent celle que produisent les allées et venues de l’engin, la stockent dans une batterie ou la réinjectent dans le réseau de l’immeuble. Une petite animation très bien faite sur le site de Schindler permet de comprendre le système (et de réviser le programme de physique de seconde).
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  • Puisqu’on en est aux performances, évoquons les 160 étages de la plus haute tour du monde, Burj Khalifa à Dubaï, qu’Otis a équipée, sans réussir toutefois à faire grimper le visiteur d’une seule traite jusqu’au sommet. On prend la correspondance. En revanche, ça va vite, 10 mètres par seconde, presque 40 km/h.Toutefois, ne rêvons pas, les 500 000 machines que l’on trouve en France sont bien loin de ces exploits. Le pays abrite «le parc le plus ancien d’Europe», résume David Molins. 25% du total remonte à plus de vingt-cinq ans et, dans ce lot, encore un quart a dépassé quarante ans. «Dont probablement les vôtres», plaisante le communicant qui a traversé Paris pour venir à Libération les admirer (en panne).
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    "Disons-le d'emblée : cet article sur les ascenseurs n'a pas été écrit dans une impartialité journalistique optimale. A Libération, trois spécimens hors d'âge passent plus de temps à l'arrêt qu'en mouvement et occupent 80% des râleries de machine à café. On avait fini par oublier qu'il existait autre chose que ces antiquités."
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