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hubert guillaud

Ne croyez pas la mode : voici ce qui ne va pas avec l'économie du partage - T... - 0 views

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    Pour Milo Yiannopoulos, fondateur de The Kernel, qui s'exprimait récemment à la conférence LeWeb à Londres, l'économie du partage n'est pas le partage, explique-t-il dans une charge couillue et libérale. Ni Airbnb ni Uber ne proposent du partage, c'est de nouvelles formes locatives. L'économie du partage n'est pas une économie non plus, c'est le contraire. Cela favorise un comportement de "sauterelles". L'économie du partage est dangereuses : des gens conduisant sans permis ni assurance peuvent vous proposer de vous emmener quelque part. L'économie du partage est une mauvaise politique. Elle ne fonctionne que pour les gens riches. Les systèmes de consommation collaboratifs ne sont pas nouveaux et n'ont jamais été autosuffisants. Et ceux qui dirigent l'économie du partage n'en partage pas vraiment les richesses. Elle ressemble à une secte, qui est livrée avec un bagage politique qui est l'antithèse de l'esprit d'entrepreneuriat.
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Partage Cet Article Si Toi Aussi T'es D'Accord Avec Le Titre - Slate.fr - 0 views

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    Facebook a ramené en décembre 2013 3,5 fois plus de trafic sur les sites de presse américains que Google. Tant et si bien qu'optimiser les mots-clefs de ses articles pour Google n'a plus aucun sens, même si les entreprises d'optimisation des mots-clés sur Google contestent ces résultats (les moteurs apporteraient 41% de l'audience contre 16% pour les réseaux sociaux). Pour les nouveaux sites d'info (ces cites de bitinfo, comme Buzzfeed ou Upworthy), les réseaux sociaux sont devenus des canaux de distribution prioritaire - mais cela est certainement dû au caractère émotionnel de ces infos. D'ailleurs, il n'est pas nécessaire d'avoir lu ces contenus pour les partager, le titre suffit parfois, à l'image des blagues du Gorafi. Upworthy a d'ailleurs montré que les contenus parcourus à 25% (des vidéos) sont plus partagés que ceux qui le sont à 75%. Sur Facebook, le partage n'est pas tant un signalement que la réappropriation du contenu ("j'ai ressenti ça", ça me fait penser que"...) : les articles qu'on y partage parlent avant tout de nous, avant que de parler de l'article lui-même. On partage sa réaction à l'article. Sur Twitter, on partage de l'actualité, alors que Facebook, on partage des informations intemporelles... Sur Facebook, les jeunes urbains actifs imposent leur mode de vie aux sites d'info, comme la France rurale a imposé le menu du 13h à Jean-Pierre Pernaut. Une réappropriation de l'information comme support de conversation... dont les likes sont le décompte.
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Ce que vous croyez savoir sur le web est faux - TIME.com - 0 views

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    Pour Tony Haile, président de Chartbeat - https://chartbeat.com - une société spécialisée dans l'analyse des données notamment pour des sociétés qui proposent des contenus en ligne, comme Time.com, nous confondons un peu tout sur le web. Nous confondons ce sur quoi les gens cliquent et ce qu'ils lisent. Nous confondons le partage et la lecture. Depuis 1994 et les travaux de Ken McCarthy, le clic est devenu la mesure de la performance de l'annonce en ligne et a permis de bâtir d'énormes entreprises comme Google. Mais il a eut des effets secondaires malheureux comme le spam. Or, si le web a changé en 20 ans, le clic demeure son principal moteur. Reste que la tendance à la baisse du taux de clic invite les médias à s'adapter. Ils ne cherchent plus tant à vous faire cliquer qu'a conserver votre attention. Bienvenue à l'ère du web de l'attention ! Et Tony Haile de démonter les mythes du web. Non, nous ne lisons pas tout ce sur quoi l'on clique. 55% des gens qui cliquent sur une page y restent moins de 15 secondes. Une réalité dont les médias devraient activement se préoccuper. En fait, les sujets les plus cliqués ne correspondent que rarement aux sujets qui ont reçu le plus haut niveau d'attention par page vue. Or, quand on parvient à retenir l'attention d'un visiteur 3 minutes, ceux-ci sont deux fois plus susceptibles de revenir que si vous ne retenez leur attention que pendant une minute ! Et le public le plus précieux est celui qui revient. Second mythe : plus nous partageons, plus nous lisons. Bien sûr, plus un article est socialement partagé, plus il est susceptible d'obtenir du trafic. Mais les gens qui partagent du contenu ne sont qu'une petite fraction de ceux qui visitent le contenu. En moyenne, estime Tony Haile, on compte 1 tweet et 8 like pour 100 visiteurs. Sur 10 000 articles partagés, Chartbeat a constaté qu'il n'y avait pas de relation entre le partage et l'attention. Les articles sur lesquels les gens s'attardent le plus ne
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La culture du partage ou la revanche des foules - L'Atelier des icônes - 2 views

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    André Gunthert revient sur l'histoire de l'appropriation, notamment à l'heure d'internet, ce "ressort essentiel de l'assimilation des formes culturelles". C'est par leur appropriation que les médias populaires existent dans l'espace public. Dans le numérique, c'est par le remix, la rediffusion via la copie privée, que celle-ci se diffuse. La défense de la propriété intellectuelle contribue à faire d'internet l'un des derniers bastions de la culture comme bien commun, car plus qu'un transfert de propriété, un déplacement du monopole d'exploitation, les pratiques appropriatives en ligne montrent une mise en commun du contenu par le partage. Les biens culturels ne sont dignes d'attention que s'ils sont partageables. Partout, du remixage de La Chute à celui de Gangnam Style, la recontextualisation parodique explique la viralité, qui est une esthétique de l'appropriation. Conversation et piratage sont désormais les indicateurs du succès. "La culture du partage est la nouvelle revanche des foules."
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Rencontre avec les pirates qui veulent jailbreaker l'internet - Wired - 0 views

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    Klint Finley est allé à la rencontre de l'Indie Web movement (le mouvement pour un web indépendant) qui tenait récemment une rencontre, autour de Ward Cunningham, l'inventeur du wiki, de Kevin Marks, le responsable des web services de British Telecom ou Brad Fitzpatrick, le créateur de Live Journal... Des hackers qui développent des alternatives open source au web des grandes sociétés, comme Camlistore, une alternative open source à Google Drive. L'idée est de créer un web qui se comporte comme une seule entité. Bien qu'animé par des gens qui travaillent chez Google, Facebook ou Twitter, le web indépendant travaille à s'en défaire. Parmi les outils qui sont en train d'être mis au point, on trouve des alternatives à Twitter ou Facebook comme StatusNet ou Diso (le réseau social distribué)... ou encore Diaspora devenu Mark.io depuis le décès de son fondateur. Plutôt que de remplacer les silos des acteurs majeurs de l'internet, le mouvement se défini par sa volonté à construire des outils qui vous permettent d'héberger vos données et machines, mais également de les partager via le net. Ce qu'on appelle le POSSE (Publish on your Own Site, syndicate elsewhere). Au début, ils ressemblent à n'importe quel autre tripotée de geeks technologie. Mais alors vous avez un préavis d'un d'entre eux est Ward Cunningham, l'homme qui a inventé le wiki, la technologie a fait Wikipedia sous-tend. Et il ya Kevin Marks, l'ancien vice-président des services Web à British Telecom. Oh, et ne manquez pas Brad Fitzpatrick, créateur du site de blogs LiveJournal séminal et, plus récemment, un codeur qui travaille dans la salle des machines de l'empire en ligne de Google. Emballé dans une petite salle de conférence, cette bande hétéroclite de développeurs de logiciels doit pedigree numérique hors normes, et theyhave une mission à l'avenant. Ils espèrent jailbreaker l'internet. Ils appellent cela le mouvement de la bande indie, en vue de créer un
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Etes-vous prêt à partager votre frigo? | Slate.fr - 0 views

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    1/3 de la production alimentaire mondiale termine à la poubelle. Pour Manon Carre de Partage ton frigo - http://www.partagetonfrigo.fr - des solutions existent pour partager les contenus de nos frigos, voire même imaginer développer des frigos communs dans les hall d'immeubles. Reste à partager les dates de péremption. Pas si simple dans la pratique malgré tout.
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Arrêtons avec l'«économie du partage» | Slate.fr - 2 views

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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
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Le Sombre social : et si notre histoire du web était fausse ? - The Atlantic - 0 views

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    Alexis Madrigal nous rappelle que le web social, incarné par Facebook ou Twitter, n'est pas né avec lui. Ils n'incarnent que la pointe de l'iceberg visible du partage social. Ce qui se partage via le mail, la messagerie instantanée n'est pas mesurable, car nos outils d'analyses d'audience ne nous le permettent pas. Or, 70 % des références viennent de "l'obscurité sociale". La majorité du trafic social est invisible aux programmes d'analyse : liens tapés directement dans le moteur de recherche, trafic en provenant de signets... En fait, la plupart du temps, quelqu'un fait passer d'une manière ou d'une autre un lien à un autre qui le conduit jusqu'à vous. Or, le trafic en provenance de ce social obscure est deux fois celui de Facebook en moyenne. Les sites sociaux n'ont pas créé le web social et l'action de visibilité ne peut ni ne doit se réduire à eux ! Un nombre plus vaste de personne partagent des liens en dehors des sites sociaux, en dehors des données personnelles que ceux-ci récupèrent en contrepartie !
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Les affranchis de l'extime - Affordance.info - 0 views

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    "L'activité d'écriture est désormais consubstancielle à celle du partage" rappelle Olivier Ertzscheid : la publication n'est plus une instanciation possible de l'écriture, elle en est devenue la condition de production principale. Les nombreux services de musique, de jeux ou de vidéo, ou même de lecture (web) sont désormais appareillés pour que ces usages sans partages deviennent à terme inenvisageable. C'est la nature même du spectacle de s'inscrire dans une extimité assumée, socialisable, partageable. Comme le disait Serge Tisseron : "je crois que la culture numérique est ce qui est en train d'affranchir la culture des écrans de la référence du livre". Pour Ertscheid, le professeur doit être le dépositaire de la connexion à l'école, afin de réguler le flux.
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Publication des photos sur Internet : comment partager sans se sur-exposer ? ... - 0 views

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    La Cnil publie une étude sur le partage des photos sur l'internet et notamment sur les réseaux sociaux. Pour la Cnil, les internautes sont partagés entre le respect de l'image de l'autre et l'envie de partager. Ils expriment un besoin de contrôler l'accès, mais les outils sont trop complexes. Les internautes expriment le besoin de sécurité et de transparence. Les plus prudents sont les jeunes, estime Isabelle Falque-Pierrotin. Voir l'étude complète : http://www.cnil.fr/fileadmin/documents/Etudes/Etude_2012_place_des_photos_dans_la_vie_numerique.pdf
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Le Sharenting en question - The Guardian - 0 views

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    Les "sharents" (néologisme formé du mot parent et share, partage) sont les parents qui bloguent, tweetent et publient des photos de leurs enfants... Mais comment ce partage parental affecte les enfants à mesure qu'ils grandissent ? Ne pas différencier ce qui est public de ce qui doit rester privé, demeure un problème, estiment certains psychologues. Les parents qui ne mentionnent pas leurs enfants sur l'internet ne sont-ils pas en passe de devenir de mauvais parents ? Pour beaucoup, les avantages immédiats du sharenting, l'emportent sur les inconvénients à plus long terme... Et le Guardian de recommander deux comportements : restez maître des paramètres de confidentialité - utilisez par exemple : Adjustyourprivacy.com - et créez une alerte sur le nom de votre enfant pour apprécier ce que les moteurs de recherche accumulent sur lui. J'en ajouterais deux : ces partages doivent rester dans un cadre privé et le prénom ne doit jamais être associé au nom. 
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Et si nos entreprises se mettaient aussi à partager ? - Ouishare.net - 0 views

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    La consommation collaborative s'est jusqu'à présent surtout développée du côté des consommateurs, estime Clément Alteresco pour Ouishare.net, mais si demain les entreprises s'en préoccupaient ? Et l'auteur de dresser une intéressante listes de services existant permettant par exemple à une entreprise de louer des parkings vides, de revaloriser des invendus ou sa capacité de production, de partager ses bureaux, ou du troc entre entreprises... Reste bien sûr à dépasser le blocage culturel et le manque de confiance. Le partage B2B est-il l'avenir de l'optimisation financière des entreprises en temps de crise ?
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Tous pirates - error 404 - 0 views

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    "Jamais au grand jamais je n'aurais pu penser que le but ultime du capitalisme était la poursuite du rêve communiste", explique Julien Breitfeld en revenant du LeWeb à Londres qui portait sur l'économie collaborative. Pas un des économistes et sociologues de gauche (même un Polanyi) n'avait prédit le recyclage de l'idée du partage, de la collectivisation des moyens de production chère à Marx, par le capitalisme. "Le code libre, c'est une richesse commune, exploitée par tous, mais dans une asymétrie d'échanges. S'il fait le bonheur de communautés (celles d'Ostrom), il fait aussi le bonheur de la sphère privée. Ainsi, les flux économiques apparaissent comme une captation de valeur sur des territoires et des individus hors marchés (de l'Europe vers les US, du libriste vers Microsoft) à coût nul, pour être ensuite revendus aux producteurs initiaux. Le libre, c'est un peu l'Afrique qui importe son chocolat après avoir vendu à prix dérisoire ses fèves de cacao." "Le succès de Kickstarter (et d'Ulule, de KissKissBankBank, et de tant d'autres) procède de la faillite de l'économie réelle : tous ces entrepreneurs en devenir ne trouvent plus d'argent via les acteurs traditionnels. Et, si le financement collaboratif n'est pas une invention (les startupeurs connaissent bien le "friend and family funding") le web a permis, une fois de plus, d'industrialiser des pratiques à la marge." "Le crowdfunding, ce devrait être une bourse pour petits "petits porteurs". Or, ces derniers sont des investisseurs sans droit ni titre... Par contre, l'entreprise créée est bien soumise aux lois du marché, et certaines peuvent devenir de vrais succès. Même si le projet est intéressant, voire quasi d'utilité publique, ce qui est choquant c'est de voir que le marché profite in fine d'un risque qui n'est pas assumé par lui, mais par des tiers, lesquels s'appauvrissent car ils mobilisent leur épargne." Pour Julien Breitfeld il faut distinguer le marché de l'
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La fin du social - O'Reilly Radar - 0 views

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    Le partage sans friction qu'imagine Facebook n'est pas un meilleur partage. C'est une absence de partage, estime Mike Loukides. Le flux de nos applications n'est qu'une forme de spam. 
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Pourquoi je suis un pirate ! - Where is Ploum? - 0 views

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    Je pirate, parce que les majors proposent des services plus chers et surtout moins pertinent que les pirates, explique Ploum. Mais plus encore, parce que si je vous donnais de l'argent vous l'utiliseriez pour rendre mes achats légaux encore plus difficile à faire et pour faire du lobbying afin de faire passer des lois stupides, liberticides et dangereuses. Au final, le matraquage de la propriété intellectuelle a un autre impact, celui de détruire le fondement même de notre système éducatif : "Vous être en train de détruire ce que la civilisation a de plus cher: le plaisir de la culture, le partage de la connaissance, l'entraide, le développement personnel et l'éducation. Cela, je ne le vous pardonnerai jamais. Si je n'agis pas, mes enfants auront plus peur de copier un livre copyrighté que de voler dans un étalage ou de donner un coup de couteau. Crimes qui sont d'ailleurs moins punis par la loi que le partage de musique sur Internet."
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Et si la grande distribution accélérait la consommation partagée ? - OuiShare... - 0 views

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    À contre courant des clichés selon lesquels la grande distribution constituerait un frein à la consommation collaborative, Neal Gorenflo, éditeur de Shareable.net envisage un scénario où la distribution jouerait un rôle central dans le passage à l'échelle de l'économie du partage. Pourquoi, parce que les distributeurs expérimentent et prennent la consommation collaborative au sérieux, même si leurs initiatives sont encore timides, notamment parce que leurs modèles économiques ne leur permet pas de mutation rapide. "Imaginez que lorsque vous réalisez un achat, votre article soit automatiquement enregistré dans un inventaire sécurisé, qui recense en un lieu unique l'ensemble des achats que vous avez réalisés, quel que soit le magasin. À chaque article inventorié serait attaché l'ensemble des informations le concernant (date d'achat, valeur, mode d'emploi), ainsi qu'une référence unique permettant de l'identifier et un lien vers des forums utilisateurs. Imaginez maintenant que vous puissiez en seul clicc partager n'importe lequel des articles de votre inventaire sur une place de marché en ligne. Dans mon scénario idéal, chaque article recensé dans mon inventaire personnel pourrait être connecté à une place de marché en ligne, administrée par une coalition de distributeurs - intégrant des distributeurs locaux, des indépendants -. Cette place de marché me permettrait bien sûr de publier la liste des articles que je souhaite vendre, louer ou échanger. De cette manière, j'aurais un contrôle total de la gestion de mes biens. Et je payerais volontiers une petite commission sur chaque transaction pour ce service…"
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Mission culture-acte2 dite mission « Lescure », Audition de Creative Commons ... - 1 views

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    Creative Commons France a fait des propositions à la mission Lescure pour élargire les exceptions au droit d'auteur, minimiser les barrières techniques et juridiques de partage des oeuvres, et faire des licences CC un standard pour le partage éducatif et scientifique.
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Facebook n'est plus plat ! - John Battelle - 0 views

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    Pour John Battelle, le Graph Search de Facebook va permettre de redynamiser l'engagement des utilisateurs qui s'effritait, en prenant appuie sur la base structurée de Facebook. Le moteur de recherche va inciter les utilisateurs à améliorer leurs métadonnées, c'est-à-dire les éléments structurés de Facebook pour être convenablement présentés dans les éléments de recherche (sauf que les utilisateurs ne verront pas les résultats dont ils sont l'objet, pourrait-on objecter à Battelle). Mais ce qui manque, estime Battelle, c'est le partage des résultats de recherche, qui, dans le contexte fermé de Facebook, prend du sens. La raison de cela c'est la confidentialité des données, mais on risque de voir fleurir nombre de captures d'écran de résultats de recherche... sur les sites de partage d'image et dans les wall de Facebook ! Le Graph Search va bien sûr soulever une foule de problèmes de confidentialité. Tant mieux, cela va nous permettre de mieux comprendre et mieux en gérer les paramètres estime encore Battelle.
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La voiture connectée et partagée, par CityzenCar - Conso Collaborative - 0 views

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    Citizen Car, pionnier du partage de voiture entre voisin, a lancé la CityzenBox, une petite boite qui permet d'ouvrir sa voiture à distance pour pouvoir la partager avec des loueurs plus simplement (explications : http://revolution.cityzencar.com/2013/01/22/tout-ce-que-vous-avez-peut-etre-voulu-savoir-sur-la-cityzenbox-sans-jamais-oser-le-demander/ ). La firme ouvre son API et son système pour imaginer d'autres utilisations que la location de voiture. Et à même lancé un concours : http://apps.cityzenware.org/
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Federated Wiki - 0 views

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    Ward Cunningham réinvente les wikis en les rendant plus partageables, en leur permettant de se refactoriser et en permettant de partager des données de manière plus visuelle. Wiki not dead
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