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hubert guillaud

L'espace neuronal sémantique - Admiroute - 0 views

  • ra, avec la collaboration de nombreux chercheurs, le travail entrepris par Markram dans le cadre du Blue
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    Jean-Paul Baquiast revient sur le projet Blue Brain - http://bluebrain.epfl.ch - qui consiste à modéliser sur un puissant ordinateur le fonctionne de petits éléments de cortex du rat. Un modèle qui ne devrait pas permettre d'aboutir rapidement à un cerveau artificiel, estime Baquiast. Pour lui, il faudrait plutôt promouvoir la construction d'un modèle informatique de cerveau en situation, c'est-à-dire doté d'organes sensoriels et moteurs. Un article de la revue Neuron, s'intéressait récemment à la question de comment le cerveau trait-il des informations visuelles pour leur donner une signification (c'est-à-dire un contenu sémantique) sans se laisser déborder par le flux incessant des entrées sensorielles. En fait, dans ce cadre là, notre cerveau classe les données. Certaines informations sensorielles font sens, d'autre non et ne sont pas retenues durablement, contrairement aux premières. Les informations sont regroupées par voisinage sémantiques. Et les chercheurs proposent de faire une représentation en carte sémantique de notre activité cérébrale.  
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Comment faire éclater la bulle de filtrage qui nous protège des opinions oppo... - 0 views

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    La bulle de filtrage d'Eli Pariser montre que les moteurs de recommandations filtrent l'information qu'ils nous délivrent ce qui a pour effet de diminuer notre horizon informationnel. Si vous recherchez le terme BP, Google va décider pour vous s'il va vous renvoyer plutôt des informations sur la capacité d'investissment de BP ou des informations sur la marée noire... La recherche sociale montre que beaucoup de gens préfèrent recevoir des informations avec la façon dont ils voient le monde, ce que les réseaux sociaux et les moteurs de recommandation favorisent, au risque de tuer l'hétérogénéité et la diversité. Eduardo Graelles de l'université Pompeu Fabra de Barcelone et ses collègues affirment avoir construit un moteur de recommandation qui aide les individus à être exposés à un plus large éventail d'opinions. Ils ont ainsi recommandé des idées pro ou anti avortement à des internautes qui s'étaient exprimés sur ces sujets. Les résultats montrent même que les gens peuvent être plus ouverts que prévus aux idées qui s'opposent aux leurs. Pour eux, relier les gens ayant des vues opposées à un grand potentiel. On l'espère !
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La fouille de données pour comprendre l'émergence des théories conspirationni... - 0 views

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    Après étude d'un million de personnes ayant échangé de l'information politique sur Facebook à propos des élections italiennes de 2013, des chercheurs se sont intéressés à comment les gens réagissaient à de fausses informations.... Les gens ont tendance à échanger des idées sur les pages d'information grand public, sur des pages d'informations alternatives et sur celles de commentateurs politique exactement sur la même durée, suggérant que l'engagement demeure, quel que soit le contenu. Mais ils ont constaté que certaines personnes sont plus sensibles aux faux contenus que d'autres, notamment ceux qui préfèrent les pages alternatives. Les gens qui tentent d'éviter la manipulation des médias de masse sont en fait plus sensibles aux fausses informations que les autres.
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Quitter Twitter et Facebook pour survivre - Thierry Crouzet - 0 views

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    "Au début, nous n'étions pas nombreux sur les réseaux sociaux, nous pouvions passer outre la faiblesse inhérente à leur centralisation, séduits avant tout par les possibilités nouvelles qui nous étaient offertes. Avec le succès, de plus en plus de gens sont arrivés, par millions, par centaines de millions, un milliard maintenant et tout a changé. Quand un opérateur peut quand il le désire envoyer un message à un milliard de personnes, quand il peut subrepticement influencer les informations qu'ils reçoivent (si si, les pubs sont des informations), ou la façon dont ils les reçoivent, quand il peut en assourdir certains, ou même en éradiquer d'autres sans le moindre procès, et que nul ou presque ne s'en inquiète, il n'est pas surprenant de noter un appauvrissement des fils de conversation, une dérive populiste, une télévisualisation du Web." (...) "Le lieu où nous discutons n'est pas neutre sur la teneur de nos échanges." J'appartiens à la famille des utopistes (ou vieux cons si vous préférez) qui ont cru que le net nous aiderait à changer notre organisation sociale pour nous offrir plus de liberté, plus d'équité, plus de respect mutuel, plus d'armes pour affronter les crises que nous traversons. J'ai fait l'éloge du cinquième pouvoir, de cette force sociale décentralisée qui échappe à tout embrigadement, et pendant ce temps nous avons laissé fleurir sur le web les plus grosses structures centralisées de tous les temps. Propriétaires, capitalistes, omnipotentes, dominatrices, impérialistes, elles ne nous aideront pas à éviter le mur vers lequel nous fonçons collectivement. Si nous continuons à les nourrir, nous nous passons la corde autour du cou." Nous devons nous réapproprier les fonctions sociales, estime Thierry Crouzet. On ne peut vivre activement sur Twitter et Facebook sans que cela affecte ce que nous sommes. "Nous ne pouvons pas défendre les monnaies libres ou le revenu de base, et nous c
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Les capteurs de surveillance envahissent les lieux de travail - WSJ.com - 0 views

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    De plus en plus d'entreprises utilisent des dispositifs de suivi pour recueillir des informations en temps réels sur la façon dont leurs équipes travaillent et interagissent afin d'améliorer l'efficacité au travail. Les exemples et les études montrent que les capteurs ont tendance à aider à identifier des problèmes et améliorer les opérations plus que de produire des changements radicaux. Les badges intelligents arrivent sur les employés et les capteurs se disséminent dans les lieux de travail. Reste que toutes ces informations ne produisent pas toujours des résultats. Et font peser une vraie interrogation à la fois sur le rôle de l'optimisation dans notre société et sur celui de l'espace privé de l'employé.
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L'agence Bloomberg soupçonnée d'espionner ses clients - LeMonde.fr - 0 views

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    Les journalistes de Bloomberg avaient accès à des informations sur l'activité des traders qui échangent via les platesformes (ils savaient qui étaient les traders actifs et connaissaient une partie des données consultées par ceux-ci) qui permettaient, en les recoupant avec les volumes d'échanges ou les rumeurs) d'avoir accès à des informations inédites. De surcroît, plus de 10 000 messages de clients ont été publiés sur la toile par erreur - http://abonnes.lemonde.fr/economie/article/2013/05/14/bloomberg-plus-de-10-000-messages-prives-publies-sur-la-toile_3200279_3234.html . Illustration par l'exemple de la puissance des monopoles et plus encore des risques que font peser l'asymétrie de l'information. A rapprocher avec celle que permet Linked-in à ses partenaires et aux utilisateurs. 
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C'est viral | Messy Matters - 0 views

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    Alors que les universitaires ont discuté de la viralité depuis des décennies, nous n'avons pas de preuves directes de celles-ci. Le "viral" caractérise un produit ou une idée qui devient rapidement populaire, mais on a du mal à faire la distinction entre l'adoption entraînée par un processus viral et l'adoption stimulée par les médias, la publicité ou autre mécanisme de diffusion, estime Sharad Goel sur son blog. Cependant, avec les médias sociaux, nous pouvons observer comme jamais la diffusion des informations. Dans une étude, Sharad Goel et ses collègues ont tenté d'échantillonner les différentes cascades d'information, selon qu'elles sont attribuables à une source unique ou multiple. L'équipe de data scientists de Facebook a récemment tenté une analyse de la viralité : https://www.facebook.com/notes/facebook-data-science/the-anatomy-of-large-facebook-cascades/10151549884868859 en analysant plusieurs de ces phénomènes pour montrer comment leur viralité est différente. Cependant, comme le note les chercheurs de Facebook, la taille des cascades ne peut-être prédite uniquement sur la popularité des utilisateurs qui partagent une information.
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Vie privée : Twitter champion, Apple mauvais élève - Numerama - 0 views

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    Numerama revient sur une infographie publiée par l'Electronic Frontier Foundation dans laquelle elle évalue l'attitude de plusieurs grandes sociétés du net à l'égard des données personnelles des utilisateurs selon 6 critères : le service réclame-t-il un mandat pour fournir des informations à des tiers, informe-t-il ses usagers des demandes gouvernementales visant leurs données, publie-t-il un rapport de transparence, se bat-il devant les tribunaux ou le Congrès pour défendre les droits des usagers ? Dans ce classement Twitter est en tête, loin devant Apple ou Yahoo.
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Vie privée en ligne : comment les consommateurs abaissent la garde - NYTimes.com - 0 views

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    Alessandro Acquisti, économiste comportemental à l'université Carnegie Mellon à Pittsburgh a étudié comment nous négocions notre vie privée en ligne, c'est-à-dire comment nous offrons nos données en échange d'un deal qu'on ne peut refuser. Pourquoi agissons-nous de manière inconstante ? Nous sommes facilement manipulés par la façon dont on nous demande des informations, estime le chercheur. Mais, si donner aux utilisateurs un contrôle accru semble une solution, cela pourrait bien se révéler être une illusion. Bien souvent, la gratification immédiate (de recevoir une réduction par exemple ou un avantage), l'emporte sur la prudence. Il a ainsi proposé aux acheteurs d'un centre commercial une carte de réduction de 10$ et leur proposait 2$ de remise supplémentaire s'ils leur offraient la lise de ce qu'ils avaient acheté en échange. 50% des gens ont accepté ce deal ! Mais quand il leur proposait de racheter à 10 $ une carte de réduction de 12 $ s'ils voulaient garder leur information privée, 90ù l'ont fait ! Pourquoi une telle différence de comportement ? Si nous n'avons pas un avantage dès le départ, on a plus de mal à l'acquérir ensuite, estime le chercheur. "La transparence et le contrôle sont des mots vides qui sont utilisés pour pousser la responsabilité de l'utilisateur pour les problèmes qui sont créés par d'autres."
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Aller au-delà de la protection des données - Consumer Focus - 0 views

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    Liz Coll pour Consumer Focus, il y a un fort contraste entre l'importance qu'on accorde aux données de consommation et celle que leur attribue les consommateurs eux-mêmes. Comment transformer cette différence d'appréciation en un bénéfice mutuel ? La plupart des consommateurs aimeraient avoir plus de contrôle sur leurs données, mais quand c'est le cas, bien peu les utilisent. Pour dépasser cet écueil, il faut aller au-delà de la protection des données et notamment, pour les associations de consommateurs, construire une compréhension plus critique des données. Mieux informer les consommateurs de ce qu'ils échangent en échange d'un service ou produit gratuit, mieux montrer comment leurs données sont utilisées, aider les individus à mieux protéger et gérer leurs données en développant des systèmes de gestion de leur information personnelle.
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Pour un Google Now du poste de travail - Bertrand Duperrin - 0 views

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    Alors que les outils grand public envahissent le bureau et que l'on croule sous les informations, l'auteur pense que l'application Google Now, service prédictif qui pousse à l'utilisateur, sans qu'il n'ait rien demandé, les informations dont il a besoin quand il en a besoin, va devenir indispensable sur le poste de travail. Par exemple, un commercial pourrait recevoir l'information selon laquelle il devrait tout de suite  se mettre en route, vu les embouteillages, ou des données du CRM quand il est chez un client.
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La puissance de la censure - The Atlantic - 0 views

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    Megan Garber s'amuse de l'histoire du journaliste de NBC Guy Adams dont le compte a été fermé par Twitter parce qu'il critiquait l'organisation olympique. L'effet boule de neige est terrible, montre-t-elle en un graphique. Alors que les propos du journaliste n'avaient guère de visibilité, la censure a démultiplié sa visibilité. Sur l'internet, il vaut mieux du bruit que du silence. Une histoire qui fait dire à Mathew Ingram de GigaOm que Twitter, avec ses 500 millions d'utilisateurs, est à un tournant de son évolution. Il doit choisir entre sa valeur informative et sa valeur économique : http://gigaom.com/2012/07/31/twitter-at-a-crossroads-economic-value-vs-information-value/
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L'âge de l'infopolitique - NYTimes.com - 1 views

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    Pour le philosophe Colin Koopman, la confusion dans laquelle nous plonge la surveillance informationnelle est le signe que nous avons besoin d'une nouvelle façon de penser notre rapport au milieu informationnel. Nous avons besoin d'un nouveau concept pour comprendre le lien toujours plus dense entre politique et information. Et le philosophe de proposer le concept d'infopolitique pour englober à la fois la surveillance, l'analyse des données, les mouvements pour les droits numériques, les litiges autour de la propriété numérique... Ces litiges sont tous reliés à nos "personnes informationnelles". Politiquement et culturellement, nous sommes de plus en plus définis par un ensemble d'environnement de données, une architecture d'information qui nous définissent... Nous sommes devenus des "personnes numériques", comme le dit Daniel Solove. Nous sommes désormais soumis à l'informatique de domination de Donna Haraway, le datapolitik du théoricien politique David Panagia ou le data power du philosophe Grégoire Chamayou. Nos personnes informationnelles sont nées avec l'anthropométrie du XIXe siècle et n'ont cessé de se développer par devers nous. Pourtant, nous nous pensons toujours différemment de ces informations. Nous, nous sommes réels. Mais que serait notre réalité si nous enlevions tout ces numéros, comptes, profils, dossiers et prothèses qui nous caractérisent ? A force de ne pas vouloir voir que nous sommes aussi des bits et des octets, nous laissons d'autres le faire pour nous, les laissant produire sans cesse de nouvelles images, de nouvelles représentations de nous. Nous avons besoin du concept d'infopolitique parce que nous sommes devenus des personnes informationnelles. Et c'est seulement en reconnaissant ce nouveau visages à nos individualités que nous comprendront l'importance des réformes de la surveillance ou des transgressions des hacktivistes, dont l'éthique rappelle l'importance de l'anonymat et de la non-traçabilité.
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Ethnographie et usage de l'énergie - Ethnography Matters - 0 views

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    Dan Lockton du Royal College of Art de Londres a conduit une étude ethnographique autour de la mesure des usages de l'énergie. L'exhortation à réduire notre consommation énergétique passera-t-elle par les compteurs intelligents ? Est-ce que montrer le prix de l'énergie qu'on consomme suffira à inciter les gens à réduire leurs dépenses ? Pas si sûr, estime le chercheur, qui s'est intéressé à pourquoi les gens utilisent de l'énergie et ce qu'ils en font réellement. Les gens tentent de rendre leurs maisons confortables de multiples manières : en préparant le repas, en laissant la radio allumée quand ils ne sont pas là pour prévenir les voleurs ou tenir compagnie aux animaux domestiques, en allumant le chauffage de leur grand-mère parce qu'ils s'inquiètent pour elle. Autant d'aspect largement ignorés par les recherches sur l'énergie. Certes, tout le monde souhaite voir l'énergie qu'ils utilisent. Mais ne peut on pas regarder la question du chauffage par la température intérieure, mais du point de vue du sentiment de confort des gens ou de celui d'avoir un contrôle sur leur environnement ? Les ethnographes mettent l'accent sur la conception des produits qu'on utilise. L'étude a montré que la difficulté à programmer son chauffage (effort physique parfois et cognitifs surtout, liés au manque de simplicité des interfaces) conduisent les ménages à dépenser 15% d'énergie en plus que les autres. Les factures d'électricité sont compliquées et demeurent déconnectées de toute réalité, arrivant bien trop tard après leur consommation. La plupart des gens ne savent pas ce que sont les kilowatt-heure. Pourrait-on ajouter des informations qualitatives à ces informations quantitatives ? La hausse des big data énergétique est une occasion idéale pour permettre une meilleure conception des données qui sont rendues aux gens et imaginer des produits et services mieux adaptés à la vie quotidienne des gens.
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La vision par ordinateur utilise les caméras publiques pour traquer les gens ... - 0 views

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    Cara - https://imrsv.com - est un système en cours de tests dans des centres commerciaux américains. Il utilise des caméras pour détecter visages et caractéristiques personnelles des passants afin de permettre aux magasins d'utiliser ces informations pour leurs démarches marketing. Placemeter - http://placemeter.com -, lui, compte et dénombre les passants qui voient les vitrines des magasins... Florent Peyre, le fondateur de Placemeter parle "d'internet des lieux". Pas de reconnaissance facilale, ici, juste de la détection (genre, âge, ethnie...), ce qui signifie que l'enjeu n'est pas d'identifier les passants... Toute la question est de savoir jusqu'où ira la granularité de ces informations ?
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La culture de l'échec des startups détruit-elle l'innovation ? - Wired - 0 views

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    Pour la designer Erika HALL, l'échec est devenu à la mode dans la Silicon Valley... Parce que le risque d'échec est bien plus bas qu'il n'a jamais été... Et parce que nul ne se préoccupe plus de la recherche. Aujourd'hui, on parle de prototypage rapide, de startups agiles... Autant de concepts qui visent à éviter de se confronter à la recherche. Pourtant la recherche est préciseuse. Elle ne consiste pas seulement à demander aux gens ce qu'ils veulent ou comment ils se sentent. Et elle devrait être un outil plus utilisé qu'il ne l'est. Les focus groupes ne disent pas grand chose de comment les gens se comportent. Les gens peuvent vous dire qu'ils veulent plus de films de qualité, alors qu'en fait ils regardent des vidéos de chats sur le net. La recherche appliquée est plus que jamais utile aux affaires, estime la designer, parce qu'elle seule aide à comprendre les gens, à faire le tri entre l'irrationnel et le réalité... L'échec est maintenant un badge d'honneur . Quelque part le long du chemin , il a obtenu d'être cool de réduire son risque d'échec. Ce genre de pensée peut-être bien pour les entrepreneurs de se concentrer uniquement sur ​​leur risque personnel et la peur de l'échec, mais il a un réel coût financier, culturel , et la possibilité pour les entreprises. ( Le coût d'opportunité inclut tous les besoins qui ne sont pas satisfaits , car ils ne sont pas arrivées à se produire à un entrepreneur solitaire ou d'une équipe étroitement ciblées . ) Cette attitude est également embrassé et promu par des investisseurs de risque parce que la sagesse commune est que les investissements à haut risque ont un plus grand potentiel de hausse. Pour être franc : de nombreux VCs ne se soucient pas de savoir si un seul placement particulier connaît un succès à long terme. Ils ne se soucient que d'un pourcentage des entreprises dans leur portefeuille les filets d'un rendement élevé. Donc un résultat positif pour les investi
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Quand le Wi-Fi sniffing permet aux chercheurs de comprendre les foules - TechWorld - 0 views

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    Des chercheurs italiens ont utilisé les signaux des téléphones mobiles pour en déduire des informations sur la foule présente à certains endroits d'une ville ou à un évènement, et notamment évaluer son niveau de revenu ou son entregent. Leur étude, soumise à la conférence Internet Measurement 2013, qui se tiendra à Barcelone en octobre. Ils ont déduit des types d'appareils connectés des niveaux sociaux, la nationalité et la langue des gens présents, mais surtout ont eut souvent accès à des informations sur l'existence de relations entre plusieurs appareils présents...
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Acxiom : en révéler un peu pour en cacher beaucoup - Culture Digitally - 1 views

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    Matthew Crain revient sur le lancement par Acxiom, le spécialiste en données marketing des consommateurs, de AboutTheData.com... un site de communication pour expliquer ce qu'Acxiom fait des données. Le site permet à tout utilisateur d'entrer les 4 derniers chiffres de son numéro de sécurité social pour accéder à son profil marketing, de le modifier et d'interdire l'utilisation de certaines données à des fins marketing... Pour Matthew Crain nous sommes surtout là face à la scolarisation du consommateur pour le maintien de leur profils marketing : Acxiom a orienté son portail pour que les gens modifient leurs données afin de recevoir plus de publicité pertinentes... En 2013, Acxiom a révélé détenir des informations marketing sur 700 millions d'individus avec une moyenne de 3000 points de données par personne... Le site d'Acxiom vise à influencer l'opinion et repousser les tentatives de réglementation de son activité. L'asymétrie ici demeure totale. Sur son site, Acxiom présente des informations de bases recueillies depuis diverses sources, mais bien peu de données dérivées, c'est-à-dire les interprétation algorithmiques des données de bases. Quant à la proposition d'opt-out offerte au consommateur, elle est complexe et si alambiquée que bien peu iront au bout... Une belle illustration du cynisme des courtiers de données !
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La morphing Table - Gizmodo - 0 views

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    Hiroshi Ishii du MIT - http://web.media.mit.edu/~ishii/ - du Tangible Media Group - http://tangible.media.mit.edu/ - travaille sur le projet InForm - http://tangible.media.mit.edu/project/inform/ - qui consiste à créer des interactions dynamiques par le changement de forme. Des caméras captent vos mouvements et transmettent l'information recueillie en 3D qui contrôle un système en 3 dimensions qui reproduit les mouvements observés. Voir la vidéo : http://creativeleadership.com/2013/09/28/hiroshi-ishii/
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La manière de lire, plus que ce que nous lisons, pourrait contribuer à l'info... - 0 views

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    Selon une étude menée par Avery Holton et Iris Chyi de l'université du Texas - http://online.liebertpub.com/doi/abs/10.1089/cyber.2011.0610 - la plateforme utilisée pour s'informer jouerait un grand rôle dans le sentiment d'infobésité. Plus la plateforme utilisée est limitée, moins les gens se sentent dépassés. Lire depuis un téléphone mobile ouvre moins de distractions possibles que lire depuis son navigateur. Ce ne serait pas tant les sources d'information et leur diversité qui serait en cause, que les modes d'utilisation. Autre information, les gens passifs en terme d'information ont plus tendance à avoir un sentiment de surcharge.
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