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Au-delà de la crise de l'éducation civique - Ethan Zuckerman - 0 views

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    Ethan Zuckerman revient sur une conférence qu'il a donné sur le thème de comment les médias numériques changent la façon dont nous participons à la vie civique. Selon une étude américaine, les connaissances civiques des étudiants américains n'ont pas vraiment progressé depuis 1998. Pire selon certains auteurs, elle n'aurait pas changé depuis la Seconde Guerre mondiale. Nous sommes donc face à une crise longue, pas soudaine. Mais le taux de participation aux élections des plus jeunes a plutôt augmenté. Peut-être que cela signifie que la pratique de l'éducation civique doit changer de forme ? interroge Ethan Zuckerman. Longtemps, l'éducation civique a consisté à comprendre le fonctionnement des lois, mais les lois ne sont pas le seul processus civique (d'autant que visiblement, c'est un processus en désuétude, puisque très peu de lois sont finalement adoptées par le Congrès américain : 61 sur 3914 lois proposées pour le 112e Congrès !). "Nous avons tendance à enseigner le civisme d'une manière désuète", estime Zuckerman. La régionalisation (qui date du début du XXe siècle) et l'homogénisation de la politique ont eut de nombreux impacts sur la politique. Les médias, les lobbys, les innovations techniques, le ciblage... et aujourd'hui, les médias sociaux ont profondément transformé l'organisation politique. Ces transformations expliquent l'insatisfaction généralisées envers les institutions gouvernementales américaines. Et Zuckerman de proposer de nouvelles matrices pour comprendre l'évolution des formes d'engagements, distinguant un engagement qui nécessite peu d'attention par rapport à des formes qui en exigent beaucoup et entre un engagement symbolique et un engagement qui ait un impact. L'engagement fort et percutant est souvent ancré dans les communautés, mais aussi dans certaines techniques qu'on dit authentiques (marches, sit-in...) par rapport à des techniques reposant sur les médias sociaux dont il est diffic
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La plupart des parents montrent peu d'inquiétudes sur l'utilisation des média... - 0 views

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    Selon un sondage américain - http://web5.soc.northwestern.edu/cmhd/wp-content/uploads/2013/05/Parenting-Report_FINAL.pdf - réalisé par l'université Northwestern, la plupart des parents manifestent peu d'intérêt pour l'utilisation de la technologie par leurs enfants, contrairement à ce que rapportent les médias. 78% des parents ne font pas états de conflits avec leurs enfants pour l'utilisation des médias électroniques quel qu'ils soient.
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Il y a plus dans nos actions qu'on ne le pense - IPasSXSW - 0 views

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    Anjali Ramachandran de PHD UK a assisté a un atelier de la conférence SXSW sur le thème des biais et de la collaboration. Partant du constat que les êtres humains sont des êtres cognitivement biaisés, Nate Matias du MIT et Srah Szalavitz de 7Robot, travaillent sur des outils pour aider les gens à prendre conscience de leurs préjugés innés et à les surmonter. Il existe de nombreux projets qui permettent de mesurer le biais de la sous-représentation féminine dans les médias par exemple. Le OP ED Project calcule le pourcentage de femmes qui s'exprime dans les médias américains : http://www.theopedproject.org Le projet Implicite permet à chacun de mesurer ses propres biais : https://implicit.harvard.edu/implicit/ Whose Voices - http://natematias.com/medialab/gv-viewer/ - examine le genre des personnes citées par Global Voices, le média alternatif. Nate Matias a également lancé le projet Open Gender Tracker - http://opengendertracking.org - permettant d'appliquer l'algorithme à tout type d'information. Pour Sarah Szalavitz cependant nous ne devrions pas porter attention à des outils qui culpabilisent, explique-t-elle en pointant vers l'application http://www.nohomophobes.com/#!/today/ qui comptabilise les citations homophobes sur Twitter. Et de pointer vers http://followbias.com , une application Twitter développée par Nate et Sarah pour révéler nos propres biais dans notre manière d'utiliser Twitter.
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The Disconnectionists - The New Inquiry - 0 views

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    Pour le sociologue Nathan Jurgenson, la déconnexion de l'internet que prônent certains ne cherche pas tant à restaurer l'autonomie individuelle que d'étouffer le désir d'autonomie que la technologie inspire. L'authenticité personnelle n'a pas connue d'âge d'or : nous n'étions pas plus fidèles à nous-mêmes avant les médias sociaux ! La "detox numérique", visant à se reconnecter au réel, au vrai soi, génère son propre discours... Mais qui fera le tri entre fantasme et réalité, dans ce type de propos ? Pourquoi la préoccupation morale de déconnexion est-elle devenus si populaire ? Pourquoi notre connectivité est-elle devenue moralement toxique, malsaine comme un plaisir qu'il faudrait faire taire ? Les déconnexionnistes, comme les appelle Nathan Jurgenson s'opposent à la simulation. Mais peut-on réduire la complexité de l'authenticité de quelqu'un à son degré de connexion ? Certes, les médias sociaux transforment nos performances identitaires. Il rend le fait de devoir vivre sur scène, devant les autres, plus explicite. En fait, plus ces gens pensent que la connexion menace l'autonomie, et plus ils prônent la déconnexion. "L'obssession de l'authenticité prend racine dans une volonté de délimiter le "normal" et de lui appliquer une prétendue vérité". Le numérique est devenu une maladie. Pour les deconnexionnistes, la déconnexion est le traitement à un problème de santé, un remède à notre techno-anxiété ! Mais la déconnexion n'est-elle pas plutôt et avant tout morale ? N'est-elle une manière d'organiser le contrôle et la gestion de nos nouveaux désirs et plaisirs ? "Le désir d'être entendu, vu, informé via une connexion numérique agréable et pénible, dangereuse et excitante, nécessitant alors une police interne et externe". Derrière la fausse dichotomie réel/virtuel, se cache une dichotomie du sain/toxique et un discours d'austérité visant à réguler nos nouveaux plaisirs. Nos machines de stimulation produi
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De la télévision familiale à la culture de la chambre : la culture média des ... - 0 views

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    Pour Sonia Livingstone, prof de psychologie sociale à l'école d'économie et de science politique de Londres - http://www2.lse.ac.uk/media@lse/whosWho/AcademicStaff/SoniaLivingstone/soniaLivingstone.aspx - la vie familiale est en train de passer d'un modèle centré sur l'espace collectif (la salle de séjour) à un modèle dispersé et individualisé, dont la chambre médiatisée est le symbole, rappelle-t-elle dans cette étude qui date déjà de 2007. Les médias en devenant moins chers et plus petits deviennent de plus en plus personnels. Le contact extérieur se fait via le média, dans la chambre, face à un monde extérieur de plus en plus diabolisé.  
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Si vous doutez que les médias sociaux changent le monde, regardez en Ukraine ... - 0 views

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    Pour Greg Satell, les manifestations actuelles en Ukraine semblent une continuation de la révolution Orange de 2004. Les différences entre les deux permettent peut-être de comprendre l'impact des médias sociaux sur les soulèvements politiques. Durant ce type d'évènement, vous êtes tout le temps à la recherche d'information sur ce qu'il se passe et sur ce qu'il faut éviter. L'information divulgué sur les réseaux sociaux sur la corruption des oligarques et politiciens a incontestablement alimenté la colère. Le contrôle des médias, pilier des régimes autocratiques, est devenue une chimère à l'ère des réseaux sociaux. Reste que s'ils permettent de perturber le jeu politique, ils ne permettent pas de l'organiser au-delà. Pour cela, la hiérarchie, l'organisation sont prépondérantes.
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Comment l'internet des objets pourrait rendre les médias à nouveau physiques ... - 0 views

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    Christopher Mims revient sur Qleek lancé par la startup française Ozenge, un système de petites pièces (des hexagones comme des pièces de puzzles) qui peuvent être assemblées, collectées et jouées, comme des médias physiques... Plus qu'une technostalgie, estime Mims, ces petits objets visent à déjouer les limites des interfaces virtuelles. Les interfaces numériques soulignent plus notre dépendance aux machines qu'elles ne permettent pas de tirer parti de la physicalité des choses, pourtant essentiel à notre mémorisation notamment, via la spacialisation. Est-ce que la "rephysicalisation" des médias, sous de nouvelles formes, nous permettra de trouver de meilleurs formes d'interaction avec le numérique ? Qleek.me
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Mondes sociaux - Comprendre les réseaux personnels - 0 views

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    "On sait que leur taille varie selon le critère que l'on se donne pour les délimiter : en moyenne, nous « connaissons » quelques milliers de personnes par leur nom, nous pourrions mobiliser une ou deux centaines de personnes pour nous présenter à quelqu'un que nous ne connaissons pas, nous échangeons régulièrement avec une trentaine de personnes et nous ne faisons des confidences qu'à trois ou quatre proches. La plupart des études de réseaux personnels portent sur les relations les plus régulières (20 à 50 personnes selon les méthodes d'enquêtes utilisées). Que nous apprennent-elles ? Elles permettent d'abord de savoir que les réseaux ont une structure spatiale. Alors même que l'on peut entretenir des liens forts avec des personnes à l'autre bout du monde, entre deux tiers et trois quart des personnes avec lesquelles nous sommes en relation résident dans la même aire urbaine. Beaucoup de ces relations sont fragiles : elles disparaissent ou s'endorment lorsque nous partons nous installer ailleurs. Seuls les liens forts (famille, amis proches) résistent. Les relations locales se recréent au fil du temps et il faut environ deux ans pour reconstituer un réseau local similaire à celui de personnes installées depuis longtemps. Constitué de nouveaux liens, ce réseau présente une structure semblable au réseau antérieur." Les études de réseaux personnels permettent aussi de comprendre que les relations ne naissent pas par hasard : la plupart se construisent dans des contextes collectifs (famille, études, travail…) ou concernent des personnes qui nous sont présentées par une connaissance. On sait aussi que la taille des réseaux varie avec le niveau social : plus on est favorisé par l'éducation ou le revenu, plus on a de relations. Ces relations sont en outre marquées par une homophilie assez forte : on fréquente davantage ceux qui nous ressemblent par l'âge, le niveau d'études, le genre… Si l'on cumule
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C'est viral | Messy Matters - 0 views

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    Alors que les universitaires ont discuté de la viralité depuis des décennies, nous n'avons pas de preuves directes de celles-ci. Le "viral" caractérise un produit ou une idée qui devient rapidement populaire, mais on a du mal à faire la distinction entre l'adoption entraînée par un processus viral et l'adoption stimulée par les médias, la publicité ou autre mécanisme de diffusion, estime Sharad Goel sur son blog. Cependant, avec les médias sociaux, nous pouvons observer comme jamais la diffusion des informations. Dans une étude, Sharad Goel et ses collègues ont tenté d'échantillonner les différentes cascades d'information, selon qu'elles sont attribuables à une source unique ou multiple. L'équipe de data scientists de Facebook a récemment tenté une analyse de la viralité : https://www.facebook.com/notes/facebook-data-science/the-anatomy-of-large-facebook-cascades/10151549884868859 en analysant plusieurs de ces phénomènes pour montrer comment leur viralité est différente. Cependant, comme le note les chercheurs de Facebook, la taille des cascades ne peut-être prédite uniquement sur la popularité des utilisateurs qui partagent une information.
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Réseaux sociaux : de la veille en temps-réel à l'analyse prédictive - Social ... - 0 views

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    Claire Wehrung pour le Social Media Club France revient sur deux outils d'analyse des médias sociaux, Spotter et Trendsboard, qui permettent d'offrir un nouvel outil marketing pour analyser sa marque sur les réseaux sociaux, mais également de repérer les sujets qui vont fonctionner (parce qu'ils sont déjà sur les médias sociaux).
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Les achats d'impulsions sur notre écran - NYTimes.com - 0 views

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    Nick Bilton a dépensé 2403 $ en 2012 a acheter des médias numériques ! Certes, Bilton n'est pas un consommateur comme les autres, néanmoins il explique ses comportements par la forme même de l'offre numérique. Désormais quand un ami lui recommande un titre, il peut l'acheter immédiatement afin de ne pas oublier de le faire. L'achat en un clic est très facile. Avant son budget livre ne dépassait pas les 200 $ et la 20aine de livres, cette année il en a acheté 47 pour 475 $. Et bien sûr, il a économisé sur les médias traditionnels, qu'il n'achète plus.
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MediasSociaux.fr > Et on reparle des outils de gestion de communauté - 0 views

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    Pas si simple de gérer sa présence sur les médias sociaux. Les grandes marques US ont en moyenne 178 comptes et profils sur les médias sociaux. Elles disposent d'équipes conséquentes. Sont passé de l'artisanat à l'industrie et utilisent des outils dédiés qui sont déjà nombreux comme http://www.engage121.com, http://involver.com, http://www.vitrue.com, http://www.buddymedia.com, http://www.syncapse.com, http://spredfast.com, http://shoutlet.com mais aussi françaises comme http://www.emailvision.fr, http://www.boosket.com, http://www.tigerlilyapps.com, http://www.jeemeo.com... Cependant, malgré la performance de certains outils, la spirale de l'ouverture de compte est dangereuse, rappelle Fred Cavazza, car il faut aussi l'équipe pour gérer toutes ces présences.
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Médias : 10 tendances tech aux Etats-Unis - Metamedia - 0 views

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    A la conférence annuelle de l'Online News Association, Amy Webb a dressé sa liste très attendue des 10 tendances technologiques actuelles pour les médias en ligne (avec des exemples d'applications innovantes) : la vérification, la vidéo, la tarification dynamique, le design adaptatif, l'information produite par les algorithmes, la personnalisation, de nouvelles technologies de recharges, des réseaux sociaux ambiants... et les femmes.
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L'audi n'est jamais devenue virale... et c'est peut-être une bonne chose - My... - 0 views

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    Stan Alcorn a récemment publié un billet intitulé, pourquoi l'audio n'est jamais devenu viral - http://digg.com/originals/why-audio-never-goes-viral - ou il tente d'expliquer pourquoi l'audio n'a jamais connu le succès du texte, de l'image ou de la vidéo. Les médias coups d'oeil sont parfait dans un monde où nous sommes innondés de choix et obligés d'en faire très rapidement, explique Ethan Zuckermann. Pourtant, quand il regarde les pratique de ses étudiants, c'est via la radio qu'ils acquièrent les nouvelles les plus internationales ou les plus surprenantes, notamment parce qu'ils le font en faisant autre chose. Moins enclin à zapper (puisqu'on fait autre chose), on y découvre donc plus facilement des choses qui ne nous intéressent pas et donc nous surprennent. En minimisant nos choix, la radio est un moteur de sérendipité. Pour Zuckermann, nous devons trouver de meilleures façons de soutenir les médias longs, ceux qui encouragent le hasard...
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Ce que vous croyez savoir sur le web est faux - TIME.com - 0 views

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    Pour Tony Haile, président de Chartbeat - https://chartbeat.com - une société spécialisée dans l'analyse des données notamment pour des sociétés qui proposent des contenus en ligne, comme Time.com, nous confondons un peu tout sur le web. Nous confondons ce sur quoi les gens cliquent et ce qu'ils lisent. Nous confondons le partage et la lecture. Depuis 1994 et les travaux de Ken McCarthy, le clic est devenu la mesure de la performance de l'annonce en ligne et a permis de bâtir d'énormes entreprises comme Google. Mais il a eut des effets secondaires malheureux comme le spam. Or, si le web a changé en 20 ans, le clic demeure son principal moteur. Reste que la tendance à la baisse du taux de clic invite les médias à s'adapter. Ils ne cherchent plus tant à vous faire cliquer qu'a conserver votre attention. Bienvenue à l'ère du web de l'attention ! Et Tony Haile de démonter les mythes du web. Non, nous ne lisons pas tout ce sur quoi l'on clique. 55% des gens qui cliquent sur une page y restent moins de 15 secondes. Une réalité dont les médias devraient activement se préoccuper. En fait, les sujets les plus cliqués ne correspondent que rarement aux sujets qui ont reçu le plus haut niveau d'attention par page vue. Or, quand on parvient à retenir l'attention d'un visiteur 3 minutes, ceux-ci sont deux fois plus susceptibles de revenir que si vous ne retenez leur attention que pendant une minute ! Et le public le plus précieux est celui qui revient. Second mythe : plus nous partageons, plus nous lisons. Bien sûr, plus un article est socialement partagé, plus il est susceptible d'obtenir du trafic. Mais les gens qui partagent du contenu ne sont qu'une petite fraction de ceux qui visitent le contenu. En moyenne, estime Tony Haile, on compte 1 tweet et 8 like pour 100 visiteurs. Sur 10 000 articles partagés, Chartbeat a constaté qu'il n'y avait pas de relation entre le partage et l'attention. Les articles sur lesquels les gens s'attardent le plus ne
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Rencontre avec les pirates qui veulent jailbreaker l'internet - Wired - 0 views

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    Klint Finley est allé à la rencontre de l'Indie Web movement (le mouvement pour un web indépendant) qui tenait récemment une rencontre, autour de Ward Cunningham, l'inventeur du wiki, de Kevin Marks, le responsable des web services de British Telecom ou Brad Fitzpatrick, le créateur de Live Journal... Des hackers qui développent des alternatives open source au web des grandes sociétés, comme Camlistore, une alternative open source à Google Drive. L'idée est de créer un web qui se comporte comme une seule entité. Bien qu'animé par des gens qui travaillent chez Google, Facebook ou Twitter, le web indépendant travaille à s'en défaire. Parmi les outils qui sont en train d'être mis au point, on trouve des alternatives à Twitter ou Facebook comme StatusNet ou Diso (le réseau social distribué)... ou encore Diaspora devenu Mark.io depuis le décès de son fondateur. Plutôt que de remplacer les silos des acteurs majeurs de l'internet, le mouvement se défini par sa volonté à construire des outils qui vous permettent d'héberger vos données et machines, mais également de les partager via le net. Ce qu'on appelle le POSSE (Publish on your Own Site, syndicate elsewhere). Au début, ils ressemblent à n'importe quel autre tripotée de geeks technologie. Mais alors vous avez un préavis d'un d'entre eux est Ward Cunningham, l'homme qui a inventé le wiki, la technologie a fait Wikipedia sous-tend. Et il ya Kevin Marks, l'ancien vice-président des services Web à British Telecom. Oh, et ne manquez pas Brad Fitzpatrick, créateur du site de blogs LiveJournal séminal et, plus récemment, un codeur qui travaille dans la salle des machines de l'empire en ligne de Google. Emballé dans une petite salle de conférence, cette bande hétéroclite de développeurs de logiciels doit pedigree numérique hors normes, et theyhave une mission à l'avenant. Ils espèrent jailbreaker l'internet. Ils appellent cela le mouvement de la bande indie, en vue de créer un
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Zeynep Tufekci sur les mouvements de protestation et la capacitation - My heart's in Accra - 1 views

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    Ethan Zuckerman revient sur une présentation de la sociologue Zeynep Tufekci - http://technosociology.org - spécialiste des mouvements sociaux. Elle commence par évoquer l'Everest. De plus en plus de gens tentent de grimper l'Everest, mais si on leur permet d'accéder au camp de base en installant des échelles aux endroits difficiles, très peu peuvent grimper jusqu'au sommet faute d'une préparation qui ne se fait pas en quelques heures... Pour atteindre le sommet de l'Everest, désormais, il faut déjà montrer qu'on a réussi à grimper 7 autres sommets. Et la sociologue de dresser l'analogie avec les protestations physiques et en ligne. Si l'internet et l'action collective facilite la coordination et la création d'une communauté, il nous manque la conscience de l'altitude, l'endurance pour aller plus loin. Plutôt que de nous intéresser à comment les médias sociaux alimentent les mouvements contestataires, il nous faut nous intéresser à comment ils renforcent les capacités des gens pour qu'ils puissent dépasser le camp de base. Et de filer l'analogie avec la contestation du parc Gezi et de la place Taksim en Turquie. Ce qu'à permis l'internet en Turquie, c'est de briser la censure des médias turcs, soutenir une contre-narration des événement et facilité la coordination des gens sur place. Mais ni les manifestations, ni l'internet n'ont permis de créer des structures pour un engagement à plus long terme. Ils n'ont permis que de submerger la capacité de l'Etat turc à réprimer les effets des manifestations. Si l'internet nous donne de nouvelles capacités, celles-ci nuisent à d'autres. Si nous nous retrouvons plus facilement au camp de base, l'ascension demeure toujours aussi difficile. Si nous pouvons rendre les manifestations de rues plus spectaculaires, l'internet ne permet pas de construire un mouvement plus organisé pour renverser ou contester un gouvernement.
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A l'intérieur du centre de commande des médias sociaux de Gatorade - Mashable - 0 views

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    Mashable nous fait visiter le centre de contrôle des médias sociaux de Gatorade, une marque du groupe Pepsi. Revue d'outils et de tactiques marketing à l'heure des réseaux sociaux.
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Comment la CIA utilise les médias sociaux pour surveiller les populations - T... - 0 views

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    Reportage dans le centre de suivi des médias sociaux de la CIA. Pour l'instant, elle cherche les échantillons représentatifs...
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Cartographie du Boston Globe : de l'attention locale - MIT Center for Civic Media - 0 views

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    Le Center for Civic Media du MIT vient de lancer une étude sur et en partenariat avec le Boston Globe sur sa couverture locale et régionale. L'attention du média est-elle également répartie entre les quartiers et régions du Grand Boston ? Qu'est-ce qui influe sur l'attention locale ?
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