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hubert guillaud

La prochaine grande Disruption sur l'internet : l'autorité et la gouvernance ... - 0 views

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    La loi de Reed (du nom de David Reed, qui l'exprimait en 1999 dans un article intitulé Groupe formant réseaux : http://www.reed.com/dpr/locus/gfn/reedslaw.html ), pose comme principe que la valeur des réseaux augmente de façon exponentielle à mesure que les interactions passent d'un modèle de diffusion sur le principe du meilleur contenu (où la valeur est décrite par n, le nombre de consommateurs) à un réseau de transactions P2P (où la valeur se base du n²). Mais les réseaux les plus précieux sont ceux qui facilitent les affiliations de groupes. Lorsque les utilisateurs disposent d'outils pour s'associer de façon libre et responsables à des fins communes la valeur s'élève de façon exponentielle (2n). Le monde d'aujourd'hui basé sur des plateformes propriétaires fournit donc des outils limités. Le meilleur moyen de débloquer d'énormes réserves de valeur sur les réseaux est de développer des outils qui peuvent faciliter la formation de réseaux par des groupes. Ce sera la prochaine grande perturbation de l'internet, estime Bollier, mais pour y parvenir nous devons développer une architecture de réseau et de systèmes logiciels capables de renforcer la confiance et le capital social des utilisateurs. Ce qui signifie que nous devons ré-imaginer la nature même de l'autorité et de la gouvernance. Nous devons inventer de nouveaux types d'institutions numériques qui soient capable d'administrer une autorité reconnue comme authentique et utiliser des outils algorithmiques pour élaborer et faire appliquer la loi. Nos gouvernements sont-ils à l'abri des forces qui ont perturbé l'Encyclopedia Britannica ? Comment soutenir l'action coopérative face à des institutions centralisées, alors que les plateformes, elles, ont tendance à renforcer la méfiance sociale ? Pouvons-nous demain imaginer une gouvernance et une autorité distribuée, sans gouvernement ? Pouvons-nous imaginer un droit algorithmique, où l'apprentissage des machines permet
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Les gouvernements n'ont pas de sites web, ils sont des sites web ! - MySociety - 0 views

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    Tom Steinberg, le patron de MySociety, explique que la réalité de nos administrations est en train de disparaître derrière leurs sites web, tout comme Amazon est pour chacun d'entre nous un site web avant d'être une réalité physique. Bien souvent, nous ne savons pas à quoi ressemblent nos administrations locales ou nationales. L'essentiel de nos interactions avec elles sont de plus en plus virtuelles, distantes. Bien sûr, on voit les réalisations des administrations, on fréquente les hôpitaux, les écoles, parfois sa mairie ou son Pôle emploi local. Bien sûr, tous les gens ne sont pas connectés et n'ont pas accès au site web de leur administration. Mais interagir avec les administrations ressemble à interagir avec Amazon, la différence n'est qu'émotionnelle : les interactions avec Amazon tendent à être sans difficulté, alors que celles qu'on a avec nos administrations sont douloureuses et impossibles. Nos administrations sont à l'image de leurs sites web : moche, confus... La raison : personne dans l'administration ne se préoccupe de l'expérience utilisateur de leurs sites, personne ne se préoccupe de la performance des services en ligne. 
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La morphing Table - Gizmodo - 0 views

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    Hiroshi Ishii du MIT - http://web.media.mit.edu/~ishii/ - du Tangible Media Group - http://tangible.media.mit.edu/ - travaille sur le projet InForm - http://tangible.media.mit.edu/project/inform/ - qui consiste à créer des interactions dynamiques par le changement de forme. Des caméras captent vos mouvements et transmettent l'information recueillie en 3D qui contrôle un système en 3 dimensions qui reproduit les mouvements observés. Voir la vidéo : http://creativeleadership.com/2013/09/28/hiroshi-ishii/
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La construction de la technologie numérique : repenser l'histoire de l'inform... - 0 views

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    Si Bruno Latour revenait au laboratoire de l'Institut d'études biologiques Salk où il a décrit les pratiques de production des connaissances scientifiques pour décrire comment les outils que nous utilisons peuvent affecter nos penser, il serait surpris, estime Nathan Ensmenger. Surpris de constater que tout le personnel, du scientifique à la secrétair passe désormais la majorité de leur temps en interaction avec un écran d'ordinateur. Est-ce seulement l'incarnation moderne du dispositif d'inscription qui veut cela ? L'ordinateur est devenu l'objet de la production comme de l'accès au contenu de la connaissance scientifique. L'ordinateur a tout envahit. Et il est temps que les historiens de la technologie s'y intéressent.
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Déduire la force des liens des comportements en ligne - Plos One - 0 views

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    Plus les interactions sont fréquentes entre deux profils Facebook, plus les chances qu'ils soient de "véritables" amis offline est forte... Et la fréquence d'interaction est un critère plus fort que les attributs, les relations déclarées voire même que les communications privées (tchat, e-mails). Désormais, on sait donc repérer les liens forts.
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L'univers numérique en 2020: Big Data- EMC - 0 views

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    La firme IDC, mandatée par EMC (spécialiste des logiciels et systèmes de stockage), a réalisé une étude interactive sur la prolifération des données. En 2011, 5 exaoctets de données étaient générés tous les deux jours. Seules 0,5% de ces données sont analysées. Il n'y avait que 130 exaoctets de données dans l'univers numérique en 2005. Il devrait y en avoir plus de 40 000 à l'horizon 2020. En 2020, les données représenteront l'équivalent de plus de 5 000 GO par personne. En 2012, 35% de ces informations nécessiterait une protection, mais ce n'est le cas que pour 20% d'entre elles...
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Déléguer sa boite e-mail est-il le meilleur moyen d'augmenter sa productivité... - 0 views

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    Pour les chercheurs de Stanford, nous serions tous prêts à remettre notre messagerie à un assistant humain s'il nous libérait de l'infobésité et nous permettait de gagner en efficacité. Nicolas Kokkalis a donc utilisé Mechanical Turk (et ses clones) pour proposer à 600 cobayes de filtrer leurs e-mails pour eux. Le problème bien sûr, est que la boite mail est vécue comme quelque chose de très personnel. Il y transite nombre de données très privées : messages personnels, numéro de compte bancaires, etc. Le logiciel mis en place permettait aux utilisateurs de contrôler les e-mails auquel l'assistant avait accès (par exemple, bloquer ceux provenant de la famille, d'amis ou de la banque). Pourtant, à mesure que l'expérimentation avançait, les 600 utilisateurs ont peu à peu élargit l'accès à leurs mails privés aux opérateurs humains, afin que les choses importantes y soient traités également. Nombreux ont également informés leurs assistants d'éléments de contextes privés importants (comme leur emploi ou leur ville natale), afin que le traitement des mails soit plus efficace. "La vie privée et la sécurité sont toujours négociées", rappelle Michael Bernstein. Est-ce que cette étude va faire revenir les secrétaires et assistants pour aider les cols blancs à gérer l'information comme les productions qu'ils doivent rendre et qui sont désormais de leurs seuls responsabilités ? Le résultat des études menées montre qu'un assistant capable de traiter une vingtaine de boîtes mail permettrait d'optimiser le cout du service. "Un grand nombre des exigences de la vie quotidienne nécessitent une créativité que les machines n'ont pas encore", estime Scott Klemmer du groupe Interaction Homme-machine de Stanford. Faut-il voir là le futur retour de la secrétaire ? GmailVallet - https://www.gmailvalet.com - est, quant à lui, une application qui fonctionne comme un assistant personnel qui lie et trie vos e-mails pour en extraire n
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Pourquoi Beppe Grillo l'a emporté en Italie : ce n'est pas grâce aux médias s... - 1 views

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    Certes, le blog de Beppe Grillo a largement diffusé ses messages, mais l'Italie est surtout fatiguée de sa classe dirigeante estime Serena Danna pour le Guardian. Plus une stratégie de communication top-down, valorisant chacun comme un relai, qu'une discussion participative ou interactive pour élaborer une autre vision.
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Data et éthique - Apprendre 2.0 - 0 views

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    "La différence entre data et mémoire c'est le vivant" nous dit Von Foerster. "Si vous accédiez aux informations stockées dans votre cerveau, elles ne vous diraient pratiquement rien. Ce qui est important c'est la totalité du système en interaction permanente." Pour résumer : I'm my memory.
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Quel avenir pour le quantifiedself ? - Guardian.co.uk - 0 views

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    Pour Chris Hollindale, cofondateur de Hasty - http://invite.gethasty.com - une application de mesure de soi, l'avenir du QuantifiedSelf ne repose pas tant dans les gadgets que les outils. Il y a besoin d'outils de collaborations entre les applications, afin de permettre de croiser les données : celles provenant de son capteur de sommeil et celles provenant du suivi de son alimentation par exemple. Bref, de tableaux de bords simples pour l'utilisateur, comme le propose TicTrac - http://www.tictrac.com . Il y a besoin d'applications de santé en temps réel, qui tracent la mesure de votre santé de manière dynamique, plutôt que d'en proposer des instantanés, comme le propose 23andMe. Le secteur a aussi besoin de développer des mécaniques de jeu pour que les applications de santé demeurent amusantes et attractives, à l'image de ZombiesRun, le jeu qui vous incite à courir : http://www.guardian.co.uk/technology/2012/mar/25/zombies-run-naomi-alderman-app . Le secteur n'a toujours pas trouvé l'application tueuse pour suivre sa consommation de nourriture. Enfin, la promesse vient également des GoogleGlass qui pourraient permettre de suivre et tracer de nouvelles données : comme nos interactions sociales...
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Les lunettes Google Glass ou la fin définitive de notre vie privée ? - Framablog - 0 views

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    Anton Wahlman prévient : d'ici la fin de l'année, notre société va subir un changement très particulier. La cause : les lunettes Google : http://fr.wikipedia.org/wiki/Project_Glass Celles-ci vont avoir des impacts sur les comportements sociaux, car dès que nous les verrons, nous saurons que nous sommes filmés, et les gens n'aiment pas. Que sera une société où toutes les informations disponibles sur les gens s'afficheront en permanence sur notre regard ? Et que se passera-t-il quand les prochaines versions des lunettes Google seront identiques aux lunettes traditionnelles ? Aujourd'hui, on vous demande souvent d'éteindre votre caméra quand vous la pointez vers les gens. Vont-elles rendre les interactions publiques et sociales plus délicates ? Sont-elles le bras armé de Google dans la guerre des données personnelles ?
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Maman débarque sur Facebook : même pas honte ! - Le Nouvel Observateur - 0 views

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    Moira Burke, data scientist pour Facebook a publié en décembre 2012 une étude sur les interactions familiales sur Facebook : http://www.facebook.com/note.php?note_id=10151208188528859 qu'Amandine Schmitt résume pour le Nouvel Obs. 65 % des demandes d'amitiés des 13-17 ans émanent des enfants (un chiffre qui baisse jusqu'à 20 ans, puis remonte au-delà de 40 ans). Les filles parlent aussi souvent à leurs parents que l'inverse, mais les garçons reçoivent plus de messages de leurs parents qu'ils n'en adressent. Et le mot amour circule énormément entre parents et enfants. 
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Comment les capteurs et les données sociales peuvent augmenter nos lieux de t... - 0 views

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    Ben Waber, auteur de "People Analytics: How Social Sensing Technology Will Transform Business", revient pour la Technology Review sur comment augmenter la réalité sociale sur nos lieux de travail. Que se passe-t-il quand l'espace de travail, les murs qui séparent les gens, voir même la machine à café sont déterminés par les données ? Il revient sur un vieux projet du MIT, Augmented Cubicle - http://fab.cba.mit.edu/classes/MIT/863.09/people/ben/project4.html - qui avait pour objet d'influencer la dynamique sociale dans le lieu de travail via une installation favorisant les échanges distants. A l'heure où les interactions sociales deviennent plus faciles à mesurer, le prochain défi est de trouver comment utiliser ce que nous apprenons des données comportementales pour influence ou améliorer les échanges entre collègues au travail. Ben Waber, à la tête de Sociometrics Solutions - http://www.sociometricsolutions.com - une spinoff du Medialab du MIT dont nous avons souvent parlé, utilise des badges pour monitorer les employés de sociétés clientes. Ces données ont ainsi montré que ceux qui mangent dans des groupes plus nombreux, ont tendance à être plus productifs. Le ton de la voix, la fluctuation de son volume, sa rapidité peut prédire combien une personne sera persuasive dans ce qu'elle dit. Sachant cela, le travail de Sociometric solutions est désormais de regarder comment peut-on indiquer à quelqu'un de moduler sa voix pour être plus persuasif ? Comment peut-on organiser des réunions afin quelles permettent de mieux mêler les gens ? Faudra-t-il imaginer demain des machine à café robot itinérantes pour permettre aux groupes de mieux se rencontrer ? Faudra-t-il imaginer demain des robots lents comme SlothBots - http://www.arch-os.com/projects/slothbots/ - qui viendront subtilement refermer une conversation d'un groupe des autres travailleurs ? Est-il éthique d'utiliser des technologies de données comportementales pour persuader
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Donner : une capacité naturelle, mais limitée - Jean-Michel Cornu - 1 views

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    Jean-Michel Cornu publie un extrait de son livre "Tirer profit du don" qui s'intéresse à comment le don et l'échanges sont limités par la taille du groupe. Si nous sommes limités à appréhender environ 150 éléments sociaux, soit nous nous intéressons aux 150 personnes que nous pouvons connaître, soit nous portons notre attention à l'ensemble des interactions à l'intérieur d'un groupe, ce qui le limite à environ une douzaine de personnes. Au fur et à mesure que nous dépassons cette limite de 12 personnes, notre capacité à faire des alliances naturelles se réduit. Ce nombre de 12 est à prendre avec précaution. Sommes-nous limités à ne pouvoir bâtir de la confiance que dans un groupe d'une douzaine de personnes où nous pourrions maîtriser l'intégralité des liens entre ses membres ? Pouvons-nous dépasse ces limitations cognitives à l'aide d'outils ? 
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Vie numérique : une étude souligne le grand écart entre le discours et la pra... - 0 views

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    Notre vie numérique n'est pas en opposition frontale avec notre vie réelle, soutiennent les chercheurs du cabinet Discours et pratiques dans une étude pour la Fédération française des télécoms. Notre quotidien est parsemé de petites déconnexions ponctuelles et nécessaires, rappelle la sociologue Joëlle Menrath. "Le décalage est total entre un discours très négatif et pathologisant quant aux nouvelles technologies, et la réalité des pratiques," résume la sociologue Laurence Allard. Les utilisateurs jonglent en fonction des interlocuteurs et des situations. C'est de ce travail de vigilance de soi dont chacun cherche à se déconnecter. "Les individus se demandent sans cesse comment faire en sorte de pratiquer de façon équilibrée tous ces services et c'est de là que provient le sentiment de fatigue". "Avec le numérique, le hors-champ s'impose comme la scène principale," précise Laurence Allard. Ce qui ne se voit pas, ce SMS qu'on envoie, ce statut que l'on publie ou ce tweet qu'on s'apprête à envoyer est plus important que le lieu où nous nous trouvons et ce que nous y faisons. Faut-il en conclure que le numérique nous déroberait à la réalité? Loin s'en faut, car le numérique serait davantage vécu comme une extension, un prolongement de la vie réelle que comme une dimension qui se substituerait à l'autre. Comme le résume Laurence Allard, "c'est le hors-champ du numérique que de participer à la vie réelle". N'en déplaise aux détracteurs de la vie connectée, celle-ci serait également loin d'appauvrir nos relations sociales. La dématérialisation des biens culturels aidant, c'est une véritable culture de l'échange qui s'est déployée à côté de celle de la distribution marchande. Partager un article du HuffPost sur votre mur, mettre à disposition de ses amis des films téléchargés, "la liste des pratiques culturelles digitales est longue," relèvent les chercheurs. Et ce sont bien de nouvelles interactions qui se dÃ
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Trouver les sociopathes sur Facebook - Bruce Schneier - 0 views

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    Sur son blog, l'illustrateur Scott Adams suggère qu'il pourrait être possible d'identifier les sociopathes en fonction de leurs interactions sur les médias sociaux : http://dilbert.com/blog/entry/the_internet_fingerprint Et alors, répond Bruce Schneier ? Imaginons que nous ayons à notre disposition un tel test, qu'en ferons-nous ? Devrons-nous les suivre ? Comment ? Les soumettre à des vérifications supplémentaires ? Les jeter en prison ?... Cette erreur n'est pas nouvelle. C'est la même qui nous fait arrêter les gens dans leur voiture parce qu'ils sont noirs ou arrêter des gens dans les aéroports parce qu'ils sont musulmans.
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Où sont les créatifs chinois ? Ils trainent dans les hackerspaces - 88Bar - 0 views

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    En septembre 2010, le premier hackerspace a ouvert en CHine aux portes de Shanghai. Avec leurs spécificités, comme le rapportent Silvia Lindtner et David Li : http://interactions.acm.org/archive/view/november-december-2012/created-in-china Les hackerspaces chinois sont visiblement très politisés et montrent d'intenses relations avec les sociétés qui copient les produits occidentaux. Mais la fabrication open source se développe en Chine dans des espaces surtout informels, malgré ou plutôt à cause de la forte défiance envers la créativité.
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Politique des algorithmes - Réseaux, n°177, 2013-1 - 0 views

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    En introduction à ce numéro de la revue "réseaux" dédiée à la politique des algorithmes, le sociologue Dominique Cardon rappelle : "Autrefois dédiés à de très banales opérations de segmentation de clientèle, les outils de datamining mis en place par les entreprises prétendent désormais calculer les traces des consommateurs afin de personnaliser leurs offres (Benedetto-Meyer, 2013). Les individus eux-mêmes ne cessent de se préoccuper de ce que les compteurs disent d'eux et de leurs comportements numériques sur les plates-formes du web social. D'une utilisation ex post réservée à des professionnels, les mesures deviennent des indicateurs ex ante, s'inscrivant à même les interfaces et introduisant dans les usages les plus quotidiens une visée prévisionnelle d'orientation des comportements. Sur un mode mineur, implicite et silencieux, la navigation des internautes est continûment guidée par les outils de classement qui rendent les informations disponibles à leur attention (Sunstein et Thaler, 2008 ; Kessous et al., 2010). Pour beaucoup, cette entrée dans l'ère des big data et des algorithmes[2][2] Le terme d'algorithme a été popularisé par la présence... suite constitue une rupture majeure dans l'évolution des services numériques. Elle confère une importance décisive non seulement aux possesseurs de données, mais aussi et surtout, à ceux qui sauront les rendre intelligibles. Avec enthousiasme ou frayeur, ce nouveau monde des données est apprécié comme une nouvelle puissance susceptible pour les uns de réinventer les marchés et l'organisation, de rendre la démocratie plus transparente, de faciliter les interactions avec les choses et l'environnement ou d'élaborer des connaissances prédictives (Ayres, 2007 ; Steiner, 2012 ; Weinberger, 2012), alors que d'autres s'alarment des usages commerciaux des fichiers, des menaces sur la vie privée, de la dictature de l'hypervisibilité ou de la colonisation d
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Plutôt que de nous focaliser sur les Big Data, si on prêtait attention aux Lo... - 1 views

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    Pour le mathématicien Samuel Arbesman, plus que les Big Data, nous devrions porter attention aux Long Data, aux données qui permettent d'avoir un large balayage historique. Pourquoi ? Parce qu'elles nous permettent non pas d'avoir un instantané, mais de voir les processus et interactions qui se déroulent au fil du temps. Elles permettent de comprendre comment le monde change et comment nous changeons avec lui. Bref, nous permettre de mieux appréhender notre avenir.
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Démocratie participative : les impôts locaux au secours de la concertation ? ... - 0 views

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    Selon le barômètre Res Publica d'Harris Interactive, la concertation locale avec les citoyens est perçue à 87 % comme une bonne chose, mais pour 65 % des citoyens elle n'a pas d'autre objet que de faire croire qu'on écoute les citoyens tout en décidant sans eux. Et ce, alors que l'attente est forte. 75 % des citoyens pensent que les élus devraient consulter les administrer avant de prendre des décisions budgétaires. Plus de 8 personnes sur 10 souhaitent que leur commune organise un budget participatif.
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