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hubert guillaud

Pourquoi on pédale dans le vite ? - Philosophie Magazine - 0 views

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    Philosophie Magazine revient sur notre sentiment d'accélération du rythme de vie, de la communication, du traitement de l'information, des transports... Alors que la durée moyenne du sommeil a baissé de deux heures depuis le 19e siècle. "Qu'est-il arrivé à notre expérience du temps ?" Hartmut Rosa, l'auteur de l'excellent essai sur l'accélération, répond : "La technique est une réponse à une demande de vitesse qui vient d'ailleurs." Le monde prémoderne est resté dominé par la tradition : les choses devaient resté telles qu'elles étaient. Puis nous sommes passés à un rythme intergénérationnel : chaque génération devait avoir son expérience du monde. Désormais nous sommes à un rythme intragénérationnel : les cycles de vies familiaux des individus durent moins longtemps que la vie de l'individu : nous changeons plusieurs fois de métiers dans une vie. C'est ce qui explique, pour le philosophe, que nous tentions d'accélérer notre processus de vie lui-même.  "La technologie ne nous aide pas à résoudre le problème du temps, elle l'aggrave." Plus nous produisons et consommons de biens, plus nous multiplions les options et possibilités, plus vous avez le choix de faire des choses. Conséquence : vous avez moins de temps pour suivre chaque option, car nul ne peut augmenter le temps ! "Avant d'être aliénante, l'accélération est grisante : elle est l'équivalent fonctionnel de la promesse religieuse de vie éternelle." Nous vivons dans un monde où les codes éthiques ont été remplacés par les normes temporelles : nous sommes sous l'emprise d'horaires et de délais. "Le régime normatif de la modernité est temporel".  La vie est devenue un océan d'exigences, où l'on se couche avec la culpabilité de n'avoir pas fait tout ce qu'on devait faire.  
hubert guillaud

Qu'est-ce que le mal pour Google ? - The Atlantic - 0 views

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    Pour le game designer, Ian Bogost, qui s'interroge sur la contribution de Google à la philosophie morale, "l'industrie de l'internet n'est engagée que par elle-même, que par la conviction que ses principes doivent s'appliquer à tout le monde. "Ne pas faire le mal" est juste un autre moyen de le dire."
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Evgeny Morozov: "nous abandonnons tous les freins et contrepoids" - Guardian - 0 views

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    Dans une interview pour le Guardian, Evgeny Morozov, celui explique : "l'idée que nous avons besoin de rendre nos institutions piratables est tout simplement ridicule. Vous n'avez pas besoin de le faire par vous-même si vous déléguez quelqu'un qui fera valoir vos idées au Parlement en votre nom. Et c'est ce pourquoi nous avons lutté si fort pendant des décennies." Et maintenant nous devrions oublier tout cela parce que nous avons des outils pour permettre à chacun de se connecter à l'autre ! "Cette philosophie n'a aucun sens. Il n'y a aucune raison que nous apprenions à programmer ou à être responsable de tout dans nos vie pour avoir une existence épanouissante."
hubert guillaud

La science des données dans un monde Facebook - Wolfram Blog - 0 views

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    Stephen Wolfram revient sur l'analyse des données issues de Facebook que les utilisateurs ont autorisés pour regarder la distribution des amis en fonction de l'âge par exemple, celle du statut relationnel, la répartition du nombre d'amis selon sa localisation, de quoi l'on parle en moyenne sur son mur (sport, famille, humeur, philosophie et évènements...)... 
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On puce bien les moutons - CQFD - 0 views

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    "Utilisé en lycée et collège, le logiciel Pronote est surtout connu pour sa fonctionnalité d'agenda des devoirs en ligne. Mais, derrière le côté pratique de l'outil, se cachent une batterie de mouchards, véritables jalons d'une philosophie orwellienne à l'œuvre dans toute la société."
hubert guillaud

Pourquoi nous n'apprendrons plus comme avan ? - Philosophie magazine - 0 views

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    "Pourquoi nous n'apprendrons plus comme avant ?" : un dialogue entre Michel Serres et Bernard Stiegler. 
hubert guillaud

« Les jeux vidéo font de la politique » - davduf.net - 0 views

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    David Dufresne interview Mathieu Triclot, l'auteur de philosophie des jeux vidéo, et détaille ce que signifie l'instrumentalisation d'une expérience hallucinée. Pour comprendre notre servitude de joueur... et saisir les images, les règles, les codes (politiques) que les jeux véhiculent. "L'informatique est une technologie de pouvoir fondée sur la capacité de traiter de manière automatique des inscriptions". Cela ressemble à une "déclaration d'amour pour le nouveau management" consistant à développer toujours plus de travail et d'engagmeent... . 
hubert guillaud

Et si on arrêtait de manager pour les 3% de tire-au-flanc ? - Cadre Emploi - 2 views

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    Sylvia Di Pasquale revient sur le livre du docteur en philosophie et en management, Isaac Getz "Liberté & Cie : Quand la liberté des salariés fait le succès des entreprises". Pour lui, notre mode de management actuel n'est efficace que pour les quelques tire-au-flanc que l'on trouve dans toute entreprise. On use d'un management de contraintes pour quelques salariés, qu'importe si cela exclu les autres et notamment les plus productif. C'est certainement vrai pour les entreprises où la matière grise est l'unique matière première, mais est-ce le cas des sites de production délocalisés ? Le management est-il fonction de ce qu'on produit ?
hubert guillaud

Rencontre avec les pirates qui veulent jailbreaker l'internet - Wired - 0 views

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    Klint Finley est allé à la rencontre de l'Indie Web movement (le mouvement pour un web indépendant) qui tenait récemment une rencontre, autour de Ward Cunningham, l'inventeur du wiki, de Kevin Marks, le responsable des web services de British Telecom ou Brad Fitzpatrick, le créateur de Live Journal... Des hackers qui développent des alternatives open source au web des grandes sociétés, comme Camlistore, une alternative open source à Google Drive. L'idée est de créer un web qui se comporte comme une seule entité. Bien qu'animé par des gens qui travaillent chez Google, Facebook ou Twitter, le web indépendant travaille à s'en défaire. Parmi les outils qui sont en train d'être mis au point, on trouve des alternatives à Twitter ou Facebook comme StatusNet ou Diso (le réseau social distribué)... ou encore Diaspora devenu Mark.io depuis le décès de son fondateur. Plutôt que de remplacer les silos des acteurs majeurs de l'internet, le mouvement se défini par sa volonté à construire des outils qui vous permettent d'héberger vos données et machines, mais également de les partager via le net. Ce qu'on appelle le POSSE (Publish on your Own Site, syndicate elsewhere). Au début, ils ressemblent à n'importe quel autre tripotée de geeks technologie. Mais alors vous avez un préavis d'un d'entre eux est Ward Cunningham, l'homme qui a inventé le wiki, la technologie a fait Wikipedia sous-tend. Et il ya Kevin Marks, l'ancien vice-président des services Web à British Telecom. Oh, et ne manquez pas Brad Fitzpatrick, créateur du site de blogs LiveJournal séminal et, plus récemment, un codeur qui travaille dans la salle des machines de l'empire en ligne de Google. Emballé dans une petite salle de conférence, cette bande hétéroclite de développeurs de logiciels doit pedigree numérique hors normes, et theyhave une mission à l'avenant. Ils espèrent jailbreaker l'internet. Ils appellent cela le mouvement de la bande indie, en vue de créer un
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L'âge de l'infopolitique - NYTimes.com - 1 views

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    Pour le philosophe Colin Koopman, la confusion dans laquelle nous plonge la surveillance informationnelle est le signe que nous avons besoin d'une nouvelle façon de penser notre rapport au milieu informationnel. Nous avons besoin d'un nouveau concept pour comprendre le lien toujours plus dense entre politique et information. Et le philosophe de proposer le concept d'infopolitique pour englober à la fois la surveillance, l'analyse des données, les mouvements pour les droits numériques, les litiges autour de la propriété numérique... Ces litiges sont tous reliés à nos "personnes informationnelles". Politiquement et culturellement, nous sommes de plus en plus définis par un ensemble d'environnement de données, une architecture d'information qui nous définissent... Nous sommes devenus des "personnes numériques", comme le dit Daniel Solove. Nous sommes désormais soumis à l'informatique de domination de Donna Haraway, le datapolitik du théoricien politique David Panagia ou le data power du philosophe Grégoire Chamayou. Nos personnes informationnelles sont nées avec l'anthropométrie du XIXe siècle et n'ont cessé de se développer par devers nous. Pourtant, nous nous pensons toujours différemment de ces informations. Nous, nous sommes réels. Mais que serait notre réalité si nous enlevions tout ces numéros, comptes, profils, dossiers et prothèses qui nous caractérisent ? A force de ne pas vouloir voir que nous sommes aussi des bits et des octets, nous laissons d'autres le faire pour nous, les laissant produire sans cesse de nouvelles images, de nouvelles représentations de nous. Nous avons besoin du concept d'infopolitique parce que nous sommes devenus des personnes informationnelles. Et c'est seulement en reconnaissant ce nouveau visages à nos individualités que nous comprendront l'importance des réformes de la surveillance ou des transgressions des hacktivistes, dont l'éthique rappelle l'importance de l'anonymat et de la non-traçabilité.
hubert guillaud

La bêtise connective - HuffingtonPost.fr - 0 views

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    Pour le philosophe Vincent Cespedes, auteur de "L'ambition ou l'épopée de soi", la France ne traverse pas une crise conjoncturelle, mais un problème psychobureautique, pour faire référence aux travaux du sociologue américain Robert King Merton. Il s'agit d'une tendance à sacraliser les règles. "A force d'exiger des salariés et des fonctionnaires de se conformer le plus strictement possible aux prescriptions de leur poste, on leur inculque un attachement viscéral aux règles, bien au-delà de la simple adhésion pragmatique. On érige ainsi la psychorigidité au rang des vertus organisationnelles, faisant passer l'application du règlement au-dessus de l'intérêt des clients et des prestataires eux-mêmes. Prudence, méthode et discipline deviennent de véritables handicaps, qui interdisent l'adaptation à la nouveauté et l'agilité procédurale. Conséquences de cette surconformité acquise : une intériorisation des règles (devenues fins en soi et non plus moyens pour atteindre des buts); une diminution des relations interindividuelles; une attitude soumise et passive qui fait fi -- souvent sous le mode de la frustration -- de toute autonomie et de toute créativité." L'intelligence connective, elle, est mue par deux pulsions antagonistes, mais trouvant une émulation prodigieuse grâce aux nouvelles technologies : le désir de liberté et le désir de communauté. Le but devient alors de viser un idéal commun et d'en tirer un plaisir maximal. Pour le philosophe, c'est ce qui explique qu'un vaste marché aux causes et jouissance se soit ouvert sur la toile, composé d'extrémismes de tout poils et d'ayatollahs du dimanche. Pour le philosophe, la grande responsable est l'école, qui continue de faire de la sélection par l'obéissance inconditionnelle aux règles.
hubert guillaud

Hartmut Rosa: « Les vacances participent de l'accélération généralisée » - Ph... - 0 views

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    Tout le paradoxe de cette pause estivale, c'est qu'on s'en va chercher des oasis de décélération et qu'on s'aperçoit que le rythme de la globalisation les a contaminées.
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Big Brother nous surveille, mais nous le savons, et nous ne faisons rien : po... - 0 views

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    Pour le philosophe Michel Puech, si nous ne nous protégeons pas suffisamment nos données privées, c'est parce qu'activer des techniques de protection nous rappelle sans cesse le danger de ces technologies de l'intime, tout le contraire de la réassurance que nous y recherchons.
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Cynthia Fleury : « On va liquider la pensée en s'en remettant à une machine »... - 0 views

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    Pour la philosophe Cynthia Fleury, les technologies permettent la liquidation de la décision humaine, comme le montre le trading à haute fréquence. Nous voici dans l'âge du probabilisme : le règne sans partage de la probabilité comme seule source de décision pertinente. Le règne de l'algorithme signe la fin du libre arbitre et ce d'autant plus que l'homme pour utiliser les machines plus efficacement devra apprendre à penser et à devenir machine. Cette machinisation est le fruit de l'incapacité de l'homme à accepter sa finitude. L'homme ne cherche plus à être libre, mais à être immortel. Bienvenu à l'homme indéfini et soumis aux machines qui tente d'expliquer l'esprit par l'imagerie du cerveau... "La résistance individuelle à une telle déshumanisation demande une abnégation", demande de ne pas avoir peur de mourrir dans tous les sens du terme : socialement, économiquement, physiquement... Et ce alors que nous sommes dans un monde de plus en plus matérialiste.
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