Group items tagged

“We are living in an incredible age for learning, when there’s so much knowledge available, that one would think that this is good news for higher education,” Bryan Alexander told me recently. Alexander writes often about the future of higher education and is finishing a book on the subject for Johns Hopkins University Press. “Yet we’ve seen enrollment in higher education drop for six consecutive years.”

In 2015, Georgia Tech formed a commission on the future of higher education, and its 48 members were asked to imagine what a public research institution might look like in 2040.

The primary recommendation of the Georgia Tech report is that the university turn itself into a venue for lifelong learning that allows students to “associate rather than enroll.” Such a system would provide easy entry and exit points into the university and imagines a future in which students take courses either online or face-to-face

How does it work? The magic happens on the surface of a special crystal called lithium niobate (LiNbO3), which boasts excellent optical properties. Beneath the surface of the LiNbO3, microscopic channels, or "waveguides," are created to confine light passing through. A metal electrode is then deposited onto each waveguide, which can produce surface acoustic waves.

Instead of a color wheel, any color combination is possible with their approach simply by altering the frequency of the signal sent to the "white waveguide pixel." In other words, Smalley said, "we can color the output of our display by 'coloring' the frequencies of the drive signal." "As a bonus, this interaction also rotates the polarization of the signal light so that we can use a polarizer to eliminate any noise in the system," he added.

This can drop the cost of a holographic video display from tens of thousands of dollars to less than a thousand

J’ai essayé de démontrer au cours de ces 3 derniers articles qu’xAPI n’est pas juste un nouveau standard technique. C’est un standard qui accompagne les changements profonds du Digital Learning : Aider le LMS à mieux gérer les données de suivi de l’apprentissage Permettre le développement d’écosystèmes autour du LMS Permettre au LMS de mieux servir les contextes d’apprentissage Certains scénarios sont réalisables ici et maintenant. D’autres sont de l’ordre de la prospective, mais l’innovation n’attend pas…

Le LMS du futur sera « invisible » LMS http://fraysse.eu/fr/wp-content/uploads/2018/02/photo-1486919510466-42fe83f.jpg 761 505 Sébastien FRAYSSE Sébastien FRAYSSE http://2.gravatar.com/avatar/8b26ca93e755e0cf29f48be96605a6b3?s=96&d=mm&r=g 28 février 2018 1 mars 2018 Si l’article précédent – « Le LMS étendu » – nous a permis d’aborder la logique d’écosystème digital, le concept de « LMS invisible » pousse cette approche à son paroxysme. Alors que certains prédisaient la fin du LMS, c’est en fait une transformation très profonde qui pourrait survenir dans les prochaines années. Un LMS bel et bien présent, apte à rendre de nombreux services, mais de manière plus discrète, « fondu » dans les différents contextes d’apprentissage.

La société de développement de technologies Technicolor a profité du CES de Las Vegas pour mettre en avant son concept de téléviseur du futur. Cette dernière vous laissera la liberté de contrôler les angles de caméra très aisément.

Selon une étude de McKinsey, entre 40 et 55% des activités professionnelles sont « potentiellement automatisables » dans les 46 premières économies mondiales. Et un rapport de l’Université d’Oxford suggère que d’ici 2035, 42 % des emplois français seront occupés par des robots mus par une intelligence artificielle. Ces évolutions encouragent les entreprises à réinventer l’apprentissage et à développer les compétences de leurs salariés pour rester dans la course

Plutôt que de se focaliser sur la création de contenus, les responsables RH doivent chercher des moyens pour encourager le personnel à apprendre. En devenant des « curateurs » de contenus d’apprentissage, ils aident les collaborateurs à développer leurs compétences, tout en initiant un dialogue sur l’évolution de leur carrière

En premier lieu, aidez les décideurs à devenir des curateurs. Ils devront comprendre qu’une formation structurée n’est pas toujours la meilleure solution et que d’autres méthodes de développement des compétences, par exemple le partage des connaissances, le coaching ou l’apprentissage sur le terrain, peuvent être beaucoup plus efficaces. L’entreprise aura alors intérêt à investir dans de nouveaux outils et de nouvelles ressources, facilitant la collaboration et la pratique.

Everyone’s An Expert We touched on this above, but the future of social learning will see more emphasis being put on developing cultures of knowledge sharing. Most organizations designate certain people as Subject Matter Experts. These are the people who know more about their specialist topic than anyone else, and who should be your first point of call whenever you have a question. But why not take this further? Approach absolutely anyone in an organization and you’ll find at least one thing that they know better than anyone else. With all of this expertise flying around, you just need to be able to tap into it as and when you need it. As the technology improves, so too will our ability to pair up experts with whoever needs their help. A learner will be able to broadcast their question to the whole organization. The perfect people to answer will get notified that something is being asked, and they’ll be able to swoop in and save the day!

Open Educational Resources will become more common—and more interactive

3) Students will spend more time interacting with simulations.

4) Personalized experiences will make education more engaging.

Le chercheur Etienne Klein, grand vulgarisateur sur papier et sur YouTube, se réjouit de voir de nouveaux publics s’intéresser à la science grâce aux spécificités de la plateforme.

Le chercheur Etienne Klein, grand vulgarisateur sur papier et sur YouTube, se réjouit de voir de nouveaux publics s’intéresser à la science grâce aux spécificités de la plateforme.

Le mobile est l'avenir du Mooc

Selon les professionnels du secteur, la formation digitale sur smartphones cumule les atouts et séduit de plus en plus les utilisateurs.

Selon elle, le mobile learning est la solution du futur pour l'apprentissage de gestes visuels et techniques que des ingénieurs ou des techniciens veulent observer et reproduire en situation.

Vendu 3.299 euros pour l’édition développeur, ou 5.489 euros pour l’édition commerciale, le Microsoft Hololens est disponible à la commande depuis le mois d’octobre. Les premiers exemplaires seront livrés à la fin du mois de novembre. « Hololens se destine avant tout au marché professionnel », estime Florent Pellissier, chef de produit marketing chez Microsoft France.

« Les scénarios d’utilisation sont nombreux, liste Benoit, Le Pichon, l’ascensoriste ThyssenKrupp équipe ses techniciens avec le casque pour qu’ils puissent voir des hologrammes envoyés à distance par un cadre qui leur indique ainsi la marche à suivre dans une situation complexe. Des constructeurs automobiles comme Volvo travaillent sur le design des futurs véhicules en observant une représentation holographique de leurs modèles, par exemple ». L’intérêt est bien compris. Cette assistance logicielle là convient aux professionnels qui ont besoin de leurs mains pour travailler et ne peuvent donc pas tenir un smartphone ou une tablette.

« Nos clients trouveront un retour sur investissement dans les marges créées par le fait qu’ils n’auront plus besoin de former en situation réelle leurs collaborateurs ou qu’ils n’auront plus besoin de réaliser une maquette en taille réelle »,