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lauraschmitz1992

Le LMS du futur sera « invisible » - Sébastien FRAYSSE - 0 views

  • J’ai essayé de démontrer au cours de ces 3 derniers articles qu’xAPI n’est pas juste un nouveau standard technique. C’est un standard qui accompagne les changements profonds du Digital Learning : Aider le LMS à mieux gérer les données de suivi de l’apprentissage Permettre le développement d’écosystèmes autour du LMS Permettre au LMS de mieux servir les contextes d’apprentissage Certains scénarios sont réalisables ici et maintenant. D’autres sont de l’ordre de la prospective, mais l’innovation n’attend pas…
  • Le LMS du futur sera « invisible » LMS http://fraysse.eu/fr/wp-content/uploads/2018/02/photo-1486919510466-42fe83f.jpg 761 505 Sébastien FRAYSSE Sébastien FRAYSSE http://2.gravatar.com/avatar/8b26ca93e755e0cf29f48be96605a6b3?s=96&d=mm&r=g 28 février 2018 1 mars 2018 Si l’article précédent – « Le LMS étendu » – nous a permis d’aborder la logique d’écosystème digital, le concept de « LMS invisible » pousse cette approche à son paroxysme. Alors que certains prédisaient la fin du LMS, c’est en fait une transformation très profonde qui pourrait survenir dans les prochaines années. Un LMS bel et bien présent, apte à rendre de nombreux services, mais de manière plus discrète, « fondu » dans les différents contextes d’apprentissage.
Jean-Marie Cognet

LCMS vs LMS: What is the Difference? | Content Development | Training Industry - 1 views

  • Many think learning content management system (LCMS) is just a fancy term for learning management system (LMS). This isn’t necessarily true. They do share some basic functionality, but a LCMS includes something that puts it in a league of its own: the ability to author and manage content. Content is something a LMS just simply cannot do.
  • Modern LCMSs manage every aspect of the learning process, both informal and formal, from rapid authoring to delivery. The system can be used to develop collaborative content with design templates, reuse content nuggets across courses and learning departments, import content from other authoring tools, and publish the content across multiple outputs and devices.
Jean-Marie Cognet

Et si l'avenir des LMS était dans la BOX ? - 1 views

  • cours de type Powerpoint  et comment les inciter à intégrer les outils collaboratifs en ligne dans leur cours s’ils savent pertinemment qu’ils ne pourront pas faire confiance au réseau local ?
  • Mais la solution qui a particulièrement retenu mon attention se résume en 3 lettres : BOX.  C’est une nouvelle option adossée à l’offre de plateforme LMS qui se développe chez de récents fournisseurs de service e-learning : on la rencontre aussi sous le nom de « LMS Box  ». Les entreprises SpotLMS et Mine de savoirs sur le marché français proposent en effet respectivement leur SpotBOX ou MROD Box … une Box wifi autonome. Le domaine de l’Open Source n’est pas de reste avec la Moodle Box ou encore l’ENTbox.
  • Ce principe d’une Box autonome part de l’idée de la "Pirate Box" initiée par David Darts en 2011 et utilisée dans les projets numériques des bibliothèques  avec les « Bibliobox ». La Box la plus connue actuellement dans le domaine du Digital learning - et qui en a fait son succès - sert de base à l’outil d’animation en ligne Klaxoon qui tout comme la YouSlide Box de la Start up Eliga fonctionne à partir d’un réseau wifi privé. 
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  • Plus besoin de connexion Internet, la Box a l’avantage de pouvoir créer son propre réseau wifi sur lequel les apprenants viennent se connecter pour accéder aux contenus. Ces contenus auront été auparavant téléchargés sur cette même box et la synchronisation se fera lorsque la Box sera à nouveau connectée à Internet et au site origina
lauraschmitz1992

PLATEFORMES LMS : POURQUOI LA TENDANCE EST AU CLOUD - Cursus Pro Entreprise - 1 views

  • PLATEFORMES LMS : POURQUOI LA TENDANCE EST AU CLOUD — Cursus Pro Entreprise
Jean-Marie Cognet

Si vous deviez citer une innovation majeure des plateformes LMS… - 0 views

  • Les apprenants devenus acteurs de leur apprentissage et échangeant avec leurs pairs, les formateurs auteurs et curateurs qui ont pu réinventer leur pédagogie en allant chercher sur le terrain des "preuves" de mise en œuvre des acquis des apprenants
Jean-Marie Cognet

Votre plateforme de formation tient-elle toutes ses promesses ? - - - 0 views

  • Selon une récente étude de LinkedIn Learning, 94% des employés resteraient dans une entreprise qui mettrait leur développement personnel, et donc leur formation, au cœur de sa stratégie
  • un LXP se présente comme un portail qui permet d’agréger et d’assurer la curation de contenus pédagogiques digitaux individualisés, et à même de supporter l’apprentissage dans le travail (learning in the flow of work) à travers des vidéos, podcasts, articles… pour aider les collaborateurs à développer leurs compétences de demain. 
  • LMS et LXP sont complémentaires. Chacun rend des services que l’autre n’est pas en mesure d’offrir. Encore faut-il, pour que leur complémentarité tienne ses promesses, que les deux soient de ces plateformes ouvertes, modernes, capables de communiquer et de s’intégrer aisément entre elles.
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  • Par exemple, le LXP ira puiser du contenu au sein des ressources hébergées sur le LMS, ainsi, bien sûr, que sur des plateformes tierces comme LinkedIn Learning ou YouTube, ou encore sur une application de développement des carrières / talents, en proposant des recommandations fondées sur les préférences individuelles et la fonction de l’apprenant. 
Jean-Marie Cognet

Vidéo : rupture dans la formation - 0 views

  • Plébiscitées par les utilisateurs, jouées sur PC ou smartphone, les vidéos de formation sont appelées à prendre beaucoup d’importance - ce qui n'est pas sans poser de mutiples questions… Celle en particulier de la capacité des systèmes et des acteurs à affronter cette rupture…
  • YouTube : 2ème moteur de recherche le plus utilisé au monde (après Google, dont il est une division). Vidéos lues sur PC, tablette, smartphone (2 milliards d’utilisateurs disposent d’un mobile capable de lire des vidéos)
  • Au moins, si la question se résumait à la consommation de vidéos, et aux aspects techniques de sa diffusion ! Il s’en faut de loin, car ces vidéos sont produites par les utilisateurs de smartphones eux-mêmes (vous et moi), c’est-à-dire, demain, les apprenants (user content generation). L’enjeu, c’est aussi celui de l’intégration des savoirs directement produits par les utilisateurs, les experts de terrain, dans les dispositifs formels ou 70.20.10 de l’entreprise. Enjeux multiples : techniques (ce sont pas les plus délicats), culturels et organisationnel : de l’alignement hiérarchique aux distributions transverses.
  • ...2 more annotations...
  • oncrètement : doivent-elles utiliser leur LMS ou créer une chaîne privée sur YouTube (après tout, c’est ainsi que les MOOC ont commencé, avec la Khan Academy)… ou les deux ? Comment s’assurer alors de la mise en cohérence ? Nombre de fournisseurs, parmi les leaders (Skillsoft) ou les nouveaux venus (Udacity), investissent massivement dans les vidéos de formation pour se hisser au sommet d’un marché très prometteur.  Parmi les nouveaux acteurs, on n’oubliera pas de citer Workday, bien décidé à entrer sur le marché des plateformes LMS (3 milliards de dollars par an), justement à travers un positionnement vidéo original. Impact aussi sur les outils auteurs, dont l’avenir semble s’assombrir avec le développement de la prise de vidéo ou de photos, et les possibilités de montage offertes par les smartphones évolués.
  • en matière de granularité des savoirs, car l’apprenant devra pouvoir jouer les quelques secondes qui l’intéressent dans une vidéo de dix minutes et plus (Ted Talk, par exemple) : question de tagging des contenus, pas toujours bien supporté actuellement.
Jean-Marie Cognet

E-LEARNING-INFOS : Article/Dépêche - Un récent sondage sur le eLearning en mi... - 0 views

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    presque tous les employés, avec d'une façon générale une répartition homogène entre le 100% en ligne éventuellement complété par des ressources en ligne (51,1%) et le Blended Learning (48,9%). Plus étonnant : près de 30% des répondants ont tâté du Serious Game ou 41,8% de la classe virtuelle - les répondants sont ici nettement en avance sur les pratiques que l'on peut habituellement constater. Les problèmes techniques restent d'actualité. L'enquête en fournit un florilège (qui constitue autant de points de vigilance dans l'intégration du eLearning) : problème de pare-feu, de mot de passe ou d'identification (35,4%), de bande passante insuffisante (34,2%), d'affichage ou de rendu, de logiciels ou d'applets, de mise à jour du contenu (35,4%), de LMS (32,9%), de compatibilité de système d'exploitation…
Jean-Marie Cognet

Les tendances en formation #1 La digitalisation | The D.L.N. - 2 views

  • Si les entreprises sont convaincues qu’il faut digitaliser, c’est qu’un certain nombre de moteurs ont pu être identifiés. L’un d’eux est le bien être au travail. Le MIT affirme que dans les entreprises qui ont un « indice de transformation élevé », il y a un net accroissement du bien-être et de la satisfaction au travail.La mise en réseau des données et des personnes permet par exemple de gagner du temps, de mieux accéder à l’information et de se concentrer sur l’efficacité et de gagner en autonomie. Tout ça, ce sont de vrais facteurs de bonheur au travail.
  • Les plateformes LMS telles qu’on les connait depuis 3 ou 4 ans n’intéressent plus aujourd’hui les grands groupes (et peut être bientôt les PME et les organismes de formation) en raison de leur complexité de mise en oeuvre et d’administration
  • L’objectif de la digitalisation en formation est de placer l’apprenant au centre du dispositif pédagogique le plus pertinent possible, avec ou sans usages de la technologies. D’où la présence de plus en plus forte de dispositif digitaux…
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  • Les bénéfices L’interactivité décuplée. Les apprenants peuvent être réellement actif en co-produisant le savoir. Ouverture de l’espace de formation : les personnes présentent dans la salle de formation peuvent communiquer avec des personnes à distance. Elargissement des temps de formation : les formations peuvent être préparées avant et suivi après grâce aux mêmes outils. La familiarisation avec des outils digitaux pour des publics éloignés du numérique. Les limites Le temps de préparation augmenté pour les formateurs et également un minimum de temps d’appropriation des outils lors de la première utilisation. Le temps de prise en main des outils par les participants. Les freins informatiques : accès réseau, sécurité… (mais les offreurs de solution on prévu des outils autonomes avec des boitiers wifi pour créer des réseaux fermés indépendants). L’investissement dans les outils qui n’est pas négligeable bien qu’il n’ait rien à voir avec d’autres dépenses « digitales » telles que les LMS ou les serious games.
lauraschmitz1992

Généraliser le Digital Learning pour construire l'organisation apprenante - 1 views

  • la généralisation du digital learning conditionne l'émergence de l'organisation apprenante où chacun est à la fois sachant et apprenant, participant du social learning
  • Si le Digital Learning ne réussissait pas, il ne s'étendrait pas à la vitesse qu'on lui connaît dans les entreprises comme dans les pratiques personnelles
  • 15% des salariés (nombre total d’abonnés aux plateformes LMS correspondant aussi à celui des actions e-learning rapporté au total des actions de formation) se soient mis au digital learning est loin d’être déjà négligeable. Au reste ces chiffres sont nettement supérieurs dans les grandes organisations dont 35,5% avaient déjà connecté plus de 60% de leurs salariés, et 51,9% prévoyaient d’en connecter plus de 60% à deux ans (source Panorama sur l’usage des plateformes LMS dans les grandes entreprises, Féfaur 2016+).
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  • Généralisation et réussite du digital learning sont donc largement synonymes. Au-delà, l'organisation apprenante est une propriété émergente de cette généralisation. Car en effet dans un dispositif digital learning généralisé, les contenus finissent par être commentés, enrichis, donnant progressivement corps à l'EGC (Employee Generated Content, production et diffusion de savoirs par les collaborateurs), à une forme évoluée de Social Learning. 
  • Si le Digital Learning ne réussissait pas, il ne s'étendrait pas à la vitesse qu'on lui connaît dans les entreprises comme dans les pratiques personnelles
Jean-Marie Cognet

Plateforme de formation Netflix Like : déclin programmé ? - 1 views

  • On aura beau faire : historiquement structuré dans une approche top down, un LMS répond difficilement aux attentes des collaborateurs en matière de support “bottom up”
  • quelques données démographiques auxquelles s’ajoutent les ressources pédagogiques consommées ne peuvent pas grand chose si la corrélation ne prend pas en compte les données du collaborateur au travail ou dans son potentiel d’évolution. Par ailleurs, pour revenir à l’enjeu clé de la performance du collaborateur au jour le jour, “il est très improbable qu’un cours en ligne résolve mon problème de performance dans le monde réel de manière opportune”.
  • La “métaphore Netflix de l’apprentissage”, comme il l’appelle, conforte les équipes formation dans l’idée erronée que l’essentiel de leur travail consisterait à créer et diffuser du contenu, alors que les contenus ne sont qu'une contribution parmi d’autres à la façon dont les gens apprennent à travailler
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  • La qualité des recommandations dépend du volume des données analysées
  • Ajouter une interface de type Netflix au LMS, avec la question “Qu’est-ce que je vais pouvoir apprendre aujourd’hui ?” n’y changera pas grand chose.
  • Netflix est programmé pour créer une addiction, à l’instar de YouTube. On commence, on ne s’arrête plus : cuite (binging) programmée.
  • “C'est le contraire de ce que nous devrions essayer de faire en matière d'apprentissage en milieu de travail” répond JD Dillion, les équipes formation doivent au contraire concevoir des solutions qui consommeront le moins de temps possible, car les gens ne vont pas au travail pour apprendre, mais pour faire leur travail !” 
  • La question du support à la performance est clé, elle ne saurait se résoudre pour la formation à produire et diffuser massivement des contenus. C’est une combinaison pertinente d’outils, de bonnes pratiques, d’entraînement, de contenus… contextualisée au travail tel qu’il est, que les équipes formation doivent offrir, avec pourquoi pas des recommandations fondées sur les données. Ce n’est pas Netflix.
Gabriel Escobar-Mesley

LMS et nouvelles technologies de la formation : précipité de data au confluen... - 1 views

  • Outre la responsabilité personnelle de l'apprenant sur son poste et ses propos, le fournisseur du service peut également voir sa responsabilité engagée. Cas possible : le contenu peut être faux, mais on peut alors compter sur la communauté, force d'échange et d'argumentation, pour rétablir une certaine "vérité". Autre cas : le contenu est diffamant, injurieux, contraire à l'ordre public, portant atteinte à la vie privée d'un tiers, divulguant des informations personnelles voire sensibles, portant atteinte à un droit d'auteur. On comprend que les conditions générales d'utilisation de la plateforme et/ou une charte des apprenants doivent venir encadrer l'utilisation des outils collaboratifs en mettant en avant les règles d'apprentissage mais également de bonnes conduites
lauraschmitz1992

The Best Uses of EdTech: Giving Every Student a Voice | Emerging Education Technologies - 0 views

  • One meaningful use of education technology is the ability to change how students can share their voice
  • Here are a few of things we explore in our discussion (with apologies to regular readers for duplicating much of this list from just a week or so ago
  •  
    "Of course, a key consideration is what kind of tech students have available to them in the classroom. If they have computers, that makes it easy, but if they have tablets, portable devices, or smartphones the options are also also many. Mobile access is available for many popular CMS/LMS platforms. Mobile devices also work well with popular social media tools, some of which can also work in the classroom environment. "
Jean-Marie Cognet

Vers l'appropriation du Digital par la formation - 2 views

  • « 66% des cadres français constatent que la gestion des nouvelles technologies est en train de changer de main ». De fait les opérationnels, de quelque horizon qu'ils viennent, n’ont jamais été aussi impliqués dans le choix et l’exploitation des outils informatiques de leur métier.
  • Ce constat vaut bien évidemment pour les métiers de la formation : les responsables formation se sont notamment appropriés la maîtrise d’ouvrage de leur plateforme LMS, comme le montre une récente étude Féfaur (près de 93% des responsables formation sont impliqués dans le choix de la plateforme LMS, loin devant la direction informatique (77,3%)).
  • la prise d'autonomie des responsables formation se fait sans trop de friction avec les directions informatiques finalement soulagées de n'être pas principalement en charge d'un domaine fonctionnel (la formation) qui n’est pas critique pour l’entreprise.
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  • Décentraliser l’informatique : pour favoriser l’innovation. C'est ce que pensent 63% des cadres…  et des responsables informatiques interrogés, ce qui constitue une belle preuve de lucidité de leur part : le train-train de la DSI ne permet plus d’innover assez vite
  • pour 63% des cadres dirigeants, « la direction de l’innovation technologique devrait être partagée avec les lignes métiers ». A bon entendeur salut : on ne saurait trop conseiller aux services formation de prendre leur part dans l’innovation technologique dans le champ de leur métier.
Jean-Marie Cognet

Demain : des contenus de formation produits par les experts de terrain - 2 views

  • Sous-traiter la production du e-learning sur mesure ? Trop cher ! Produire en interne ? Un casse-tête pour le service formation ! Progressivement les experts de terrain sont dotés des outils adéquats, parmi lesquels les plateformes LMS devraient jouer un rôle croissant…
  • Première question, donc : l’identification des salariés les plus expérimentés, des experts de terrain, disposant de savoirs utiles, voire essentiels à la performance de l’entreprise
  • La deuxième question, c’est celle de la médiatisation des savoirs. En général le département formation choisit de sous-traiter les contenus ou bien de créer une cellule de production interne (les deux pouvant coexister). Les deux solutions, qui ont leurs avantages et inconvénients, ne permettent pas toujours de produire aussi rapidement que les métiers le souhaiteraient - sauf dans certains cas (nous en avons rencontrés) où la cellule interne est particulièrement engagée, et possède la double compétente e-learning et métier
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  • On entrevoit une solution possible : doter ces praticiens expérimentés d’un outil qui "parlerait" leur langue, épouserait une logique de transmission des savoirs inspirée du compagnonnage, dont les marqueurs sont l'échange, l'imitation-répétition (du geste, d'une activité), l'essai, la redondance, le feed-back, l'écoute, la régulation instantanée, etc. Ces activités ne doivent pas être considérées seulement comme un commentaire sur des ressources pédagogiques préexistantes, car elles produisent par elles-mêmes des contenus !
  • De ce point de vue, les plateformes digitales (LMS ou gestion unifiée de la formation et des talents) sont potentiellement des outils auteurs de contenus (certes très éloignées des traditionnels outils auteurs tiers), car elles offrent déjà tout le fonctionnel d’échange, de partage et de feed-back qui sont des activités (pédagogiques) créatrices de contenus.
Jean-Marie Cognet

Popularity of Online and Community Learning Predicted to Boost the demand for Flipped C... - 0 views

  • “The flip model of learning offers a considerable cost saving opportunity to learners as well as educational institutions. Many institutions are using LMS to facilitate the delivery of content to the users. Although end-users have to make substantial upfront investment in the required infrastructure such as adequate Internet bandwidth, the long-term benefits of flipped learning considerably outweigh that of traditional classroom teaching and training,”
  • Global flipped classroom market by product Software 54.89% Hardware 33.54% Services 11.56%
  • The global flipped classroom market by hardware was valued at USD 165.9 million in 2015. The hardware segment comprises devices such as document cameras and tablets that are required to create, capture, and access learning content. These devices are finding more acceptance in schools and colleges. Lecture capture is used to facilitate learning for both students and teachers and helps in recording and delivering lectures in multiple formats including text and video. Vendors are equipping hardware with advanced features for lecture capture such as high-resolution video and display to improve quality. The devices used to facilitate lecture recording include microphones, cameras, screen capture devices, desktop recorders, DVD players, electronic whiteboards, and videoconferencing devices.
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  • The global HMI market in the automotive industry was valued at USD 388.3 million in 2015. These investments are anticipated to expand the market for automation solutions, including HMI solutions that monitor continuous flow of information related to plant operations and processes. In addition, the rising purchasing power of the middle class in developing countries, such as India and China, may lead to the establishment of new automotive plants in these nations. These factors will cast a positive influence on the automation systems market during the forecast period.
Jean-Marie Cognet

La coédition, nouveau modèle économique des Mooc - JDN - 1 views

  • L'association entre les concepteurs de Mooc et les marques est simple. Les premiers apportent leurs compétences techniques : conception et gestion de la plateforme LMS, réalisation des vidéos (le Mooc sur l'empowerment féminin en comporte par exemple dix-neuf), administration technique, ingénierie pédagogique, conception de KPI…Les seconds apportent leur expertise et leur image de marque sur un sujet de fond. Concernant la communication et le marketing, la synergie de deux savoir-faire permet d'améliorer la notoriété et l'efficacité commerciale. Les profits générés par les Mooc sont partagés entre les deux acteurs.
  • "Esprit du temps a été lancé en septembre. L'initiative est déjà rentable", assure-t-on du côté de Coorpacademy, qui partage les revenus générés par les inscriptions à la plateforme avec les entreprises partenaires. En plus d'une forte visibilité les entreprises coéditées bénéficient de ce que Delphine Groll qualifie d'une "bonne source de monétisation".
  • En plus d'un partage des recettes générées par la plateforme, les entreprises et les concepteurs disposent d'une seconde source de revenus. Les Mooc étant conçus pour être un contenu de référence, ils peuvent être vendus "sur étagère" à des entreprises qui s'en servent ensuite pour former leurs salariés dans le cadre de plans de formation. Ainsi, ZeVillage déclare être en négociation avec deux groupes du CAC 40 qui souhaitent acquérir des licences pour accompagner le déploiement du télétravail en interne.
Jean-Marie Cognet

Research: Video Usage in Ed Continues Ramp-up -- Campus Technology - 0 views

  • When it comes to the use of video in education, the over-riding theme — as we might expect — is more, more, more
  • 58 percent of colleges are running flipped classes, up from 50 percent last year. Lecture capture has grown by five percentage points to 77 percent and webcasting has gone up by four percentage points to 51 percent over the same period.
  • In K-12, 87 percent of schools are using video in the classroom, compared to 86 percent in higher ed
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  • This year found a majority of respondents in higher ed (52 percent) integrating their video into their learning management system (LMS); that was only 46 percent last year.
  • Those results come out of the latest edition of "The State of Video in Education," produced by Kaltura, a company that sells video products and services. This 2016 survey received responses from more than 1,500 international respondents to an online survey conducted in April among people in both higher education (74 percent) and K-12 (19 percent)
  • How higher education is using video: 86 percent of respondents said they show video in classes; 79 percent said they use it as supplementary course material; 77 percent reported using video or lecture capture; 75 percent told researchers they use video for student assignments; and 66 percent said they use it for recording campus events for on-demand viewing
  • The optimal length for educational videos is 10 minutes or shorter, according to 74 percent of participants
  • The use of video to provide feedback on school work is gaining in popularity, up from 26 percent in 2015 to 32 percent this year
  • The most valued video feature is a "chapter" function, which enables a video to be parsed into more "browseable" chunks, mentioned by 85 percent of respondents as either "extremely useful" or "very useful." That's followed by closed captioning, referenced by 82 percent of respondents.
  • The video functionality of the future that sparked the most interest among people was the ability to grade quizzes inside videos (chosen by 41 percent of respondents), followed by student video broadcast from mobile phones (36 percent) and videos that branch to other videos based on in-video action (35 percent).
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