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Consultation citoyenne : Droits des malades et fin de vie - Assemblée nationale - 0 views

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    "Exposé des motifs Nos concitoyens souhaitent dans leur immense majorité être entendus, c'est-à-dire disposer de leur vie jusqu'à son ultime moment tout en bénéficiant d'une mort apaisée. Par ailleurs, de fortes inégalités entre établissements de santé, au sein même de ceux-ci, entre structures médicalisées ou non, adjointes à la méconnaissance des dispositions légales, créent encore trop souvent, aujourd'hui, les conditions d'une mort peu digne d'une société avancée. Nourrie par des débats éthiques, des expériences et des convictions philosophiques ou religieuses personnelles, relancée par des événements très médiatisés, la question de la fin de vie occupe une large place dans notre société. Nous devons y répondre avec sagesse et clarté. Depuis plusieurs années, de nombreux pas ont été franchis : reconnaissance de droits accrus aux malades dans le sillage de la loi du 4 mars 2002, développement des soins palliatifs, condamnation de l'obstination déraisonnable, mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements, même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée, ont modifié très sensiblement les données médicales de la fin de vie de nos concitoyens. La loi du 22 avril 2005, dite Loi Leonetti, a continué de produire de l'autonomie pour les malades par la condamnation de l'obstination déraisonnable, la mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée et la création de directives anticipées. Pendant la campagne pour l'élection présidentielle de 2012, François Hollande a souhaité aller plus loin en proposant que « toute personne majeure en phase avancée ou terminale d'une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander, dans des conditions prÃ
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Assemblée nationale - Délégation aux droits des femmes - Rapport d'informatio... - 0 views

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    SYNTHÈSE DES PROPOSITIONS Recommandation n° 1 : mettre en place une exonération généralisée d'avance de frais pour les femmes souhaitant recourir à une IVG. Recommandation n° 2 : clarifier la réglementation afin de garantir le droit à l'anonymat et à la confidentialité de l'IVG pour toutes les femmes en établissant des procédures spécifiques, que ce soit en établissement de santé ou en ville. Recommandation n° 3 : aménager un cadre réglementaire clair, précisant le rôle et les prérogatives du directeur d'établissement scolaire lorsqu'une élève mineure souhaite avorter sans en informer ses parents. Cette disposition devrait faire l'objet d'une circulaire du ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse adressée à l'ensemble des chefs d'établissement de l'enseignement secondaire (collèges et lycées). Elle pourrait utilement figurer dans le Guide du chef d'établissement édicté en février 2009 par le ministère, dans la fiche 34 relative à la surveillance, au sein du paragraphe consacré à la gestion des absences. Recommandation n° 4 : aménager un cadre réglementaire permettant aux infirmiers scolaires d'endosser le rôle de majeur accompagnant une mineure souhaitant avoir recours à une IVG dans le cadre de leur service et sans engager leur responsabilité personnelle. Recommandation n° 5 : imposer à l'ensemble des hôpitaux publics d'assurer une prise en charge des IVG et de ne pas refuser les patientes dont la grossesse se situe en fin de délai légal, celles-ci constituant une urgence absolue, afin d'assurer une offre de soins équitable sur l'ensemble du territoire. Recommandation n° 6 : pérenniser l'allongement du délai de recours à l'IVG médicamenteuse en ville de cinq à sept semaines de grossesse, conformément à ce qui est déjà autorisé pour l'IVG médicamenteuse réalisée en milieu hospitalier. Recommandation n° 7 : lutter contre la désinformation sur internet en p
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CESE - Nouvelle saisine - Promouvoir l'accès aux droits sexuels et reproducti... - 0 views

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    "Le Programme d'action de la Conférence internationale sur la population et le développement de 1994 définit la santé et les droits sexuels et reproductifs comme les droits de chaque personne de « jouir de sa propre sexualité, de l'exprimer, de pouvoir sans ingérence extérieure prendre des décisions personnelles concernant sa sexualité et la procréation, ainsi que d'avoir accès à l'information, l'éducation et aux services en matière de santé sexuelle et procréative ». Ils sont une condition essentielle de l'autonomie et de l'émancipation des femmes, ainsi que de la lutte contre les discriminations liées au genre et à l'orientation sexuelle. L'égalité femmes-hommes est inscrite dans la Charte européenne des droits fondamentaux et dans les Objectifs de Développement Durable. L'Union Européenne est signataire de conventions, résolutions et textes qui protègent ces droits (convention d'Istanbul, Cedaw, etc.). Mais le contexte international est aujourd'hui de plus en plus marqué par la présence de mouvements conservateurs, politiques ou religieux voulant restreindre l'accès à ces droits. Bien organisés et très présents sur les réseaux sociaux, ils mènent des campagnes dont l'objectif est de limiter les services et de faire baisser les financements dédiés à l'effectivité de ces droits. Le rétablissement de la «règle du bâillon mondial» par le nouveau président des Etats-Unis, qui interdit le financement d'organisations internationales proposant des services de planification familiale dont l'avortement, a pour conséquence la restriction ou la fermeture de services de santé sexuelle à travers le monde. Si en France les lois progressent, la poussée des mouvements anti-choix en Europe les fragilisent et entraînent dans plusieurs pays des reculs de l'ensemble des droits sexuels et reproductifs. En effet, ceuxci relèvent de la compétence de chaque Etat membre qui doit mettre en place le ca
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Espace Régional d'Ethique Occitanie - Un droit à la sédation profonde et cont... - 0 views

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    A télécharger La sédation est un acte médical qui a pris une place indiscutable, dans les progrès de la réanimation, avec un impact sur la qualité et l'espérance de vie d'un certain nombre de patients, notamment les traumatisés crâniens. Avec l'avènement des soins palliatifs, la confrontation à des situations complexes où la souffrance de l'ensemble des acteurs était un élément clé, des situations qui me trouvaient pas de réponses malgré la progression de nos connaissances et de nos compétences, ont conduit à créer une spécificité de la sédation en fin de vie que nous avons alors intitulée : « sédation pour détresse en phase palliative ». Des recommandations de bonnes pratiques ont été écrites puis révisées sous l'égide de la Société Française d'Accompagnement et de Soins Palliatif(SFAP). La période récente a été marquée par une série de rapports, puis des débats citoyens qui ont amené le législateur à introduire, par la loi Léonetti-Claeys, un nouveau droit dans le livre préliminaire du code de la santé publique : le droit de bénéficier d'une sédation profonde et continue en cas de souffrance rebelle à toutes nos interventions ou en cas de décision de limitation à ou d'arrêt de traitement actif(LATA) qui pourrait conduire à une telle situation de souffrance. Dans la région Midi-Pyrénées, l'espace de réflexion éthique régional(EREMIP) a été l'animateur de ces débats citoyens. Nous avons pu mesurer la méconnaissance et les flous qui persistent autour de cet acte médical. Cela n'est pas sans générer, pour les soignants, la peur de mettre en œuvre un acte médico-légal, ce qui en rend encore plus inéquitable l'accès. Dans ce contexte, que l'EREMIP a décidé de faire une enquête pour évaluer auprès de soignants formés et impliqués dans la mise en œuvre de la démarche palliative, leurs connaissances et leurs postures face à ces questions
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Enjeux sanitaires et éthiques des affaires « Bonnemaison » et « Lambert » : Q... - 0 views

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    "Deux décisions de justice récentes mettent en lumière des enjeux éthiques majeurs pour notre pays. Le 24 juin 2014, le Conseil d'Etat a considéré que le fait de nourrir et hydrater Vincent Lambert, lourdement handicapé et qui n'est pas en fin de vie, pouvait être considéré comme une obstination déraisonnable, et qu'il n'était donc pas illégal que son médecin mette fin à l'alimentation et l'hydratation considérées comme « artificielles ». Le 25 juin 2014, le Dr Nicolas Bonnemaison a été acquitté par un jury d'assises, alors que l'avocat général avait demandé une peine de cinq ans de prison avec sursis. Ce médecin, accusé d'empoisonnement sur sept patients âgés en fin de vie, n'a pourtant pas respecté la loi Leonetti et a précipité vers la mort ces personnes, sans aucune concertation avec le personnel médical ou les familles. Quels signes ces décisions donnent-elles à notre société, qui se trouve ainsi confrontée à des défis sans précédent sur la place des personnes les plus vulnérables ? Progressivement, une partie de la société semble légitimer l'exclusion de personnes fragiles du fait de la maladie, du grand âge ou du handicap. Il parait essentiel de s'interroger sur cette forme de « confusion compassionnelle », qui provoque des attitudes ambiguës et des décisions dangereuses d'un point de vue éthique, sanitaire et sociétal : Arrêter de nourrir et d'hydrater, dans le but de provoquer la mort d'une personne qui n'est pas en fin de vie et qui n'a pas besoin d'autres traitements, pourrait-il devenir légitime au motif que cette situation constituerait un « maintien artificiel de la vie » ? Injecter un produit à dose mortelle à un patient pourrait-il ne plus être considéré comme une euthanasie, pour devenir une façon de soulager des souffrances exprimées ou supposées ? Ces décisions remettent gravement en cause le premier des droits de l'homme, le droit
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Conseil national de l'ordre des médecins - Le médecin et le patient dans le m... - 0 views

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    À l'occasion de la parution de son livre blanc et de ses recommandations "Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l'intelligence artificielle", le Cnom a organisé un débat pour poursuivre les réflexions sur le sujet. Quelle sera la place du médecin demain ? Comment concilier éthique et innovation ? Comment protéger les professionnels et les patients ? Autant de questions abordées par les personnalités présentes : Victor Demiaux, conseiller de la Présidente de la Cnil, Laurence Devilliers, professeure en informatique à Paris Sorbonne, Jean Gabriel Ganascia, professeur à Sorbonne Université et président du comité d'éthique du CNRS, Magali Léo, de l'association Renaloo, Olivier Palombi, de la Conférence des doyens des facultés de médecine, Dominique Polton, présidente de l'Institut national des données de santé, le Pr Guy Vallancien de l'Académie nationale de médecine, ainsi que le Dr Jacques Lucas, vice-président du Cnom, délégué général au numérique et le Pr Serge Uzan, vice-président santé de Sorbonne Université, conseiller national de l'Ordre des médecins.
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Conseil National de l'Ordre des Médecins - Recommandations - "Médecins et pat... - 0 views

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    Le Conseil national de l'Ordre des médecins, sous la coordination du Dr. Jacques Lucas et du Pr. Serge Uzan, publie ce jour un livre blanc consacré aux « Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l'intelligence artificielle » et formule 33 propositions. Ce document explore notamment l'impact actuel et futur des nouvelles technologies pour l'exercice de la médecine, pour la formation initiale et continue des médecins, pour la recherche médicale, et pour la place des patients dans le système de santé. Plus généralement, il appelle à « identifier dès maintenant les risques que la société numérique comporte afin de les combattre tout en soutenant tous les bénéfices qu'elle peut apporter au service de la personne ». Rappelant que « la médecine comportera toujours une part essentielle de relations humaines, quelle que soit la spécialité, et ne pourra jamais s'en remettre aveuglément à des « décisions » prises par des algorithmes dénués de nuances, de compassion et d'empathie », les auteurs du livre blanc estiment néanmoins que les « algorithmes et l'intelligence artificielle seront nos alliés, comme un apport essentiel pour l'aide à la décision et à la stratégie thérapeutique », ainsi qu'à la recherche médicale. Dès lors, le Conseil national de l'Ordre des médecins, pour « accompagner l'ensemble de la profession, dans la diversité de ses exercices », pour « renforcer sa collaboration avec les patients », et pour assurer que les nouvelles technologies soient réellement mises « au service de la personne et de la société », émet 33 recommandations.
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Conseil National de l'Ordre des Médecins - Livre blanc - "Médecins et patiens... - 0 views

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    Le Conseil national de l'Ordre des médecins, sous la coordination du Dr. Jacques Lucas et du Pr. Serge Uzan, publie ce jour un livre blanc consacré aux « Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l'intelligence artificielle » et formule 33 propositions. Ce document explore notamment l'impact actuel et futur des nouvelles technologies pour l'exercice de la médecine, pour la formation initiale et continue des médecins, pour la recherche médicale, et pour la place des patients dans le système de santé. Plus généralement, il appelle à « identifier dès maintenant les risques que la société numérique comporte afin de les combattre tout en soutenant tous les bénéfices qu'elle peut apporter au service de la personne ». Rappelant que « la médecine comportera toujours une part essentielle de relations humaines, quelle que soit la spécialité, et ne pourra jamais s'en remettre aveuglément à des « décisions » prises par des algorithmes dénués de nuances, de compassion et d'empathie », les auteurs du livre blanc estiment néanmoins que les « algorithmes et l'intelligence artificielle seront nos alliés, comme un apport essentiel pour l'aide à la décision et à la stratégie thérapeutique », ainsi qu'à la recherche médicale. Dès lors, le Conseil national de l'Ordre des médecins, pour « accompagner l'ensemble de la profession, dans la diversité de ses exercices », pour « renforcer sa collaboration avec les patients », et pour assurer que les nouvelles technologies soient réellement mises « au service de la personne et de la société », émet 33 recommandations.
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Conseil National de l'Ordre des Médecins - Communiqué - "Médecins et patiens ... - 0 views

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    Le Conseil national de l'Ordre des médecins, sous la coordination du Dr. Jacques Lucas et du Pr. Serge Uzan, publie ce jour un livre blanc consacré aux « Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l'intelligence artificielle » et formule 33 propositions. Ce document explore notamment l'impact actuel et futur des nouvelles technologies pour l'exercice de la médecine, pour la formation initiale et continue des médecins, pour la recherche médicale, et pour la place des patients dans le système de santé. Plus généralement, il appelle à « identifier dès maintenant les risques que la société numérique comporte afin de les combattre tout en soutenant tous les bénéfices qu'elle peut apporter au service de la personne ». Rappelant que « la médecine comportera toujours une part essentielle de relations humaines, quelle que soit la spécialité, et ne pourra jamais s'en remettre aveuglément à des « décisions » prises par des algorithmes dénués de nuances, de compassion et d'empathie », les auteurs du livre blanc estiment néanmoins que les « algorithmes et l'intelligence artificielle seront nos alliés, comme un apport essentiel pour l'aide à la décision et à la stratégie thérapeutique », ainsi qu'à la recherche médicale. Dès lors, le Conseil national de l'Ordre des médecins, pour « accompagner l'ensemble de la profession, dans la diversité de ses exercices », pour « renforcer sa collaboration avec les patients », et pour assurer que les nouvelles technologies soient réellement mises « au service de la personne et de la société », émet 33 recommandations.
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CNSFVP / BVA - Les directives anticipées, le regard des Français et des méde... - 0 views

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    2 ans après la loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, 1 an après la 1ère campagne nationale d'information sur les droits des Français relatifs à la fin de vie, le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie dresse aujourd'hui un premier bilan des politiques publiques relatives à la fin de vie. En 2017, le Centre a concentré une partie de ses travaux autour des directives anticipées, outil que la loi du 2 février 2016 a fait évoluer, afin d'améliorer l'information du grand public et des professionnels, approfondir les connaissances sur ce dispositif et assurer le suivi de la politique publique menée en un an. Le Centre a fait réaliser un sondage (BVA) en janvier 2018 auprès de deux populations - les personnes de plus de 50 ans et les médecins généralistes -, afin d'analyser dans quelle mesure les connaissances et l'intérêt des Français pour ce dispositif progressent : 60% des personnes interrogées disent savoir qu'il y a une loi et 85 % des médecins généralistes, ce qui représente un net progrès, comparativement à 2016. Mais seuls 42% des plus de 50 ans disent aujourd'hui connaître le dispositif des directives anticipées et 11% en ont écrit. L'enquête révèle une plus forte tendance à écrire quand on est une femme (13% vs 8%), qu'on devient plus âgé (14% chez les plus de 75 ans), que l'on se sent en mauvais état de santé (22% vs 10%).
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The Conversation - Qui est le propriétaire des données de ma santé ? - 0 views

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    "Chacun d'entre nous produit une grande quantité de données sur sa santé, parfois même sans le savoir. Ce peut être un taux de cholestérol, après s'être rendu pour une prise de sang dans un laboratoire d'analyses ; un diagnostic de trouble du rythme cardiaque, suite à un bilan réalisé par le cardiologue ; un nombre de pas faits durant la journée, enregistré automatiquement par le smartphone. La plupart de ces informations restent sur le papier, dans un dossier à notre nom à l'hôpital, ou dans une chemise cartonnée à la maison. Mais elles se présentent, de plus en plus, sous forme numérique. Elles peuvent être stockées sur notre ordinateur personnel ou notre smartphone mais aussi… ailleurs. Aujourd'hui, je n'ai plus besoin de me déplacer au laboratoire d'analyses ou d'attendre le courrier pour connaître mes résultats. Il me suffit d'aller sur son site et de les télécharger. Pratique ! Seulement, mon taux de cholestérol ou de fer reste stocké sur le serveur du laboratoire. Quand je consulte un médecin dans son cabinet, le remboursement de la Sécurité sociale tombe automatiquement sur mon compte en banque, grâce à la carte Vitale. Pratique, là aussi. Mais des informations comme le nom du médecin que j'ai vu ou sa spécialité sont conservées par l'Assurance-maladie. Ainsi, le citoyen produit des données lorsqu'il se soigne, demande un remboursement à l'Assurance-maladie ou à sa mutuelle, s'inscrit sur un groupe Facebook de patients ou se confie sur les réseaux sociaux, utilise un bracelet tracker d'activité ou un autre objet connecté pour sa santé."
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Gènéthique - Le Pape s'est adressé aux professionnels de la santé : toute « i... - 0 views

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    "Le pape François s'est adressé à quelque 300 membres de l'Association catholique italienne des professionnels de la santé, au Vatican. Le Saint-Père a rappelé que toute « intervention médicale sur l'être humain » devait d'abord être évaluée au regard du respect de « la vie et la dignité humaine ». Il a aussi observé que l'objection de conscience « dans les cas extrêmes où l'intégrité de la vie humaine est mise en danger » est fondée sur le « besoin personnel de ne pas agir différemment de sa conviction éthique ». Le pape François a ensuite insisté sur l'importance de « traiter les malades comme des personnes et non comme des nombres » à notre époque de « réduction des coûts » et de « rationalisation des services ». Le malade ne peut être traité « comme une machine » et le système de santé, public ou privé, ne peut « se concevoir comme une chaîne de montage »."
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CNSFVP - Un an de politique active en faveur des directives anticipées - Les ... - 0 views

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    2 ans après la loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, 1 an après la 1ère campagne nationale d'information sur les droits des Français relatifs à la fin de vie, le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie dresse aujourd'hui un premier bilan des politiques publiques relatives à la fin de vie. En 2017, le Centre a concentré une partie de ses travaux autour des directives anticipées, outil que la loi du 2 février 2016 a fait évoluer, afin d'améliorer l'information du grand public et des professionnels, approfondir les connaissances sur ce dispositif et assurer le suivi de la politique publique menée en un an. - La campagne grand public lancée début 2017 a été reconnue par les Français, jugée claire et adaptée, incitant à la prise de parole sur la fin de vie (83%). 41% des Français qui se souvenaient de la campagne en ont parlé avec leur entourage. - Le Centre est allé à la rencontre des citoyens, en organisant des soirées dans 13 villes. 2000 personnes ont échangé autour du thème : « Les directives anticipées, à quoi ça sert ? ».Il ressort de ces débats que ce qui intéresse le plus, c'est le dialogue et l'échange avec ses proches. C'est une incitation à clarifier ses idées pour être davantage préparé, un moyen d'en parler et de préparer ses proches, etc. - Des praticiens et experts ont évalué l'impact sur le terrain de la promotion des directives anticipées par les pouvoirs publics.Plus que l'écriture de directives, ce qui est important ce sont les conversations anticipées autour des valeurs des malades. Par ailleurs, si le fait d'écrire est une véritable avancée du droit du malade, il ne faudrait pas que ce droit se retourne contre lui et devienne une obligation.
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CNSFVP - Les soirées en région - Les directives anticipées à quoi ça sert ? - 0 views

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    2 ans après la loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, 1 an après la 1ère campagne nationale d'information sur les droits des Français relatifs à la fin de vie, le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie dresse aujourd'hui un premier bilan des politiques publiques relatives à la fin de vie. En 2017, le Centre a concentré une partie de ses travaux autour des directives anticipées, outil que la loi du 2 février 2016 a fait évoluer, afin d'améliorer l'information du grand public et des professionnels, approfondir les connaissances sur ce dispositif et assurer le suivi de la politique publique menée en un an. - La campagne grand public lancée début 2017 a été reconnue par les Français, jugée claire et adaptée, incitant à la prise de parole sur la fin de vie (83%). 41% des Français qui se souvenaient de la campagne en ont parlé avec leur entourage. - Le Centre est allé à la rencontre des citoyens, en organisant des soirées dans 13 villes. 2000 personnes ont échangé autour du thème : « Les directives anticipées, à quoi ça sert ? ».Il ressort de ces débats que ce qui intéresse le plus, c'est le dialogue et l'échange avec ses proches. C'est une incitation à clarifier ses idées pour être davantage préparé, un moyen d'en parler et de préparer ses proches, etc. - Des praticiens et experts ont évalué l'impact sur le terrain de la promotion des directives anticipées par les pouvoirs publics.Plus que l'écriture de directives, ce qui est important ce sont les conversations anticipées autour des valeurs des malades. Par ailleurs, si le fait d'écrire est une véritable avancée du droit du malade, il ne faudrait pas que ce droit se retourne contre lui et devienne une obligation.
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brochure-clauses-de-conscience.pdf - 0 views

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    "Dès l'instant où est évoquée la notion d'objection de conscience, vient naturellement à l'esprit l'opposition de certains à porter les armes. Longtemps, le refus du service militaire est apparu comme l'archétype de l'objection de conscience. Aujourd'hui, les possibles conflits entre une obligation morale et un prescrit légal se sont diversifiés. Ils se présentent, en particulier, dans le secteur sanitaire. Des professionnels de la santé sont sollicités d'exécuter ou de concourir à un acte qui heurte leur conscience. Leur objection éthique n'est pas nécessairement liée à une conviction religieuse ; elle s'appuie aussi sur des motifs d'ordre scientifique ou liés à la conception qu'ils se font de leur déontologie professionnelle. Un médecin peut-il refuser de pratiquer une euthanasie ? Une infirmière peut-elle refuser de participer à un avortement ? Un pharmacien peut-il refuser de délivrer certains produits ? La légitimité de ces attitudes est-elle consacrée en droit, voire reconnue par la loi ? De façon synthétique, sous la forme de questions-réponses, cette brochure tente de faire le point sur ces questions."
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Le regard des professionnels sur la fin de vie des enfants et adolescents à d... - 0 views

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    "Les soins aux enfants et adolescents en fin de vie au domicile peuvent être réalisés en Hospitalisation à Domicile (HAD) en lien ou non avec un Réseau de Santé de Soins Palliatifs (RSSP) ou une Équipe Ressource Régionale de Soins Palliatifs Pédiatriques (ERRSPP), ou par des équipes de libéraux également en lien ou non avec un RSSP ou une ERRSPP. Il était important de pouvoir réunir autour d'une même table ces acteurs. La parole des professionnels permet de rendre compte d'une réalité de terrain limitée par les méthodes quantitatives d'enquêtes par questionnaire. Deux focus groups ont ainsi été réalisé afin d'enrichir l'état des lieux réalisé sur l'accompagnement de la fin de vie des enfants et adolescents hospitalisés à domicile."
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Bordeaux - "Fratelli Tutti, Tous Frères !" Bioéthique : réagir, ressentir, ré... - 0 views

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    "Début de l'automne 2020. Les couleurs rouges des feuilles de vigne s'effacent devant le gris, gris de l'incertitude sur la suite de la pandémie, de la situation économique qui hésite et parfois peine à repartir, gris sombre des conflits larvés dans tant de parties du monde. Pour ce monde, le Pape François exprime un vœu :  Fratelli tutti, tous frères !   Tous frères ! Un bel idéal ? Une utopie de plus ? Avant d'évoquer son rêve pour notre monde, le Pape est sévère en le décrivant. Il n'est pas naïf ! Il parle d'un «monde fermé» rempli d'«ombres» préoccupantes. Pour lui, on a perdu le sens du « bien commun » comme visée de la vie politique et sociale : nations, responsables économiques et politiques, individus cherchent à promouvoir d'abord leurs propres intérêts, à renforcer leur sécurité, à améliorer leur confort personnel au détriment du bien de tous. Cela conduit à se désintéresser des autres, jusqu'à les mépriser, voire remettre en cause leur existence, notamment quand ils sont faibles. Le constat est rude, dérangeant. Mais c'est pour réveiller nos consciences endormies. Son texte a pour but de nous faire tous réfléchir sur ce que nous voulons pour notre humanité et à agir."
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Académie nationale de médecine - Communiqué - "Sortie de l'épidémie de Covid-... - 0 views

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    "Dans un précédent communiqué[1], l'Académie a déjà attiré l'attention sur la nécessité d'un certain nombre d'ajustements pour la mise en œuvre des mesures de confinement dans les établissements spécialisés accueillant des personnes âgées le plus souvent dépendantes. Les contraintes liées au Covid-19 sont source d'isolement pour ces personnes, d'éloignement pour leurs familles, et de contraintes morales pour les personnels de santé attachés à leur procurer une qualité de vie satisfaisante. Les souffrances morales induites ne doivent pas être sous-estimées.   Le retour à une certaine normalité est donc attendu avec une particulière impatience par ces aînés. Mais compte tenu de la somme d'incertitudes qui subsistent quant à l'évolution de l'épidémie dans la population, il est difficile d'anticiper la sortie de crise et la mise en œuvre du déconfinement s'avère très délicate. La tentation simplificatrice consistant à gérer cet épisode par tranches d'âge (hypothèse déjà écartée par l'Académie[2]) et à imposer aux personnes âgées, au nom de leur propre protection, de rester confinées n'est pas satisfaisante."
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The Conversation - Coronavirus et triage de catastrophe : faudra-t-il choisir... - 0 views

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    "Pour la majorité des gens, l'infection par le coronavirus n'aura pas de conséquence majeure. Mais pour une petite fraction des personnes contaminées, ce sera une question de vie ou de mort. Si les chiffres de l'épidémie continuent d'augmenter, le petit pourcentage de malades qui auront un besoin vital d'assistance médicale pourrait bien saturer les services de réanimation des hôpitaux français. Que faire alors ? Cette question, on se la pose déjà en Lombardie, où la problématique du triage de catastrophe s'est imposée dans le débat public italien avec la diffusion par la Société italienne d'anesthésie, analgésie, réanimation et soins intensifs d'un document comportant des « recommandations d'éthique clinique pour l'admission ou le refus d'admission en soins intensifs dans les conditions exceptionnelles d'un déséquilibre entre les besoins et les ressources disponibles », et la publication de témoignages de médecins partageant les dilemmes où les plonge, au chevet des patients, la situation de crise. Ce qui relevait d'un scénario de film-catastrophe est, de l'autre côté des Alpes, discuté par les médias comme une hypothèse éthique dont le débat public doit s'emparer en toute responsabilité. Mais de quoi parle-t-on ?"
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SFAP - Projet de loi sur la fin de vie : le CNASI EN ALERTE - 0 views

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    "Au nom du collège des acteurs en soins infirmiers de la SFAP, nous tenons à vous faire part de notre sidération, de notre consternation, de notre incompréhension et de notre déception suite à la sortie dans la presse du projet de loi sur la fin de vie présenté par Mme Agnès FIRMIN LE BODO. Projet de loi qui implique directement les infirmiers. Nous découvrons ce nouveau rôle qui nous est imposé alors que nous n'avons que très peu été sollicités en amont de la rédaction du projet et qu'à aucun moment notre implication dans le protocole de l'euthanasie ou du suicide assisté n'a été évoquée avec le Ministère de la Santé."
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