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Aurialie Jublin

Les métiers transformés par le numérique : les médecins connectés | RSLN - 0 views

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    Nous nous penchons cette fois sur deux sites de conseils médicaux en ligne. Les changements ? La relation entre patients désireux d'être orientés dans leur parcours de soin ou encore curieux sur des réflexes d'automédication et médecins. Aujourd'hui alors que le succès des forums de conseils n'est plus à démontrer, il existe sur la toile des sites de conseils de médecins. À l'instar du forum Atoute, Médecin Direct fondé en 2008 et le plus jeune Ma santé Net créé en 2012 sont un point de rencontre entre questions médicales et interrogation des internautes sur le web. Différence notable : si les premiers permettent à tous de répondre aux uns et autres, le second est davantage recentré sur la relation entre médecin(s) et patient
Aurialie Jublin

Les salariés connectés: une menace sous-estimée pour l'entreprise ? - Maddyness - 0 views

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    "En France un employé sur trois envisagerait de quitter son travail si l'usage de ses propres appareils mobiles lui était refusé. Une étude européenne menée par Vanson Bourne pour la société VMware met en évidence les pressions auxquelles les entreprises européennes sont soumises concernant l'utilisation d'appareils et d'applications mobiles sur le lieu de travail."
Aurialie Jublin

Chez Expectra, les candidats peuvent postuler en 1 clic avec Viadeo, Linkedin et Doyoub... - 3 views

  • Pour être concret, sur une année glissante, nous sommes à exactement 6,94% de réponses à nos offres effectuées avec un profil viadeo sur près de 400 000  candidatures. Nous sommes donc restés sur le même ratio qu’au lancement.
  • l’usage du profil Viadeo est assez inégal selon les filières métiers. Sur une année, ce sont les candidats de notre filière Commercial & Marketing qui sont les plus enclins à opter pour le profil Viadeo, et de loin : en moyenne, nous recevons 10,43 profils pour une offre d’emploi sur ces métiers. Viennent ensuite les candidats de notre département Managers & Dirigeants avec 4,87 profils reçus pour une annonce puis ceux de la filière Comptabilité & Finance où nous enregistrons 3,18 profils / annonce.
  • Maintenant, avec le choix CV ou profil de 3 réseaux, le rapport est de  92.49% vs 7,51% ; et dans le détail nous avons Viadeo à 4,63%, Linkedin à 2,09%, et DoYouBuzz à 0,79%.
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    Linkedin a lancé son bouton "Apply with Linkedin" il y a près de deux ans et un certain nombre de cabinets de recrutement avant-gardistes, au premier rang desquels Altaïde, l'ont rapidement adopté. Doyoubuzz a suivi en lançant lui aussi son bouton, avant qu'Expectra ne s'associe à Viadeo pour permettre en février 2012 aux candidats de postuler avec leur profil aux offres proposées par le cabinet. La guerre des boutons pouvait commencer ! Après avoir interrogé Gilles Gobron, Responsable Marketing Internet d'Expectra, en avril 2012 pour recueillir ses premiers feedbacks sur cette expérimentation, je lui ai proposé une seconde interview 14 mois plus tard alors qu'Expectra innove une nouvelle fois en étant le tout premier site à proposer 4 modes de candidature : Viadeo, Linkedin, Doyoubuzz et … le CV !
Aurialie Jublin

Les jeunes médecins veulent mieux concilier vie professionnelle et vie privée - 0 views

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    Enchaîner les gardes sur plusieurs jours, faire passer sa vie professionnelle avant sa vie de famille... les nouveaux médecins n'en veulent plus. Rien à voir avec la génération précédente. C'est ce que révèle une étude publiée jeudi 20 juin par le Syndicat des internes des hôpitaux de Paris (SIHP) et la Sofres.
abrugiere

10 extensions Google Drive pour travailler efficacement | Autour du Web - 2 views

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    10 extensions Google Drive pour travailler efficacement
Aurialie Jublin

In Head-Hunting, Big Data May Not Be Such a Big Deal - NYTimes.com - 0 views

  • Years ago, we did a study to determine whether anyone at Google is particularly good at hiring. We looked at tens of thousands of interviews, and everyone who had done the interviews and what they scored the candidate, and how that person ultimately performed in their job. We found zero relationship. It’s a complete random mess, except for one guy who was highly predictive because he only interviewed people for a very specialized area, where he happened to be the world’s leading expert.
  • On the hiring side, we found that brainteasers are a complete waste of time. How many golf balls can you fit into an airplane? How many gas stations in Manhattan? A complete waste of time. They don’t predict anything. They serve primarily to make the interviewer feel smart.
  • We found that, for leaders, it’s important that people know you are consistent and fair in how you think about making decisions and that there’s an element of predictability. If a leader is consistent, people on their teams experience tremendous freedom, because then they know that within certain parameters, they can do whatever they want. If your manager is all over the place, you’re never going to know what you can do, and you’re going to experience it as very restrictive.
  • ...2 more annotations...
  • One of the applications of Big Data is giving people the facts, and getting them to understand that their own decision-making is not perfect. And that in itself causes them to change their behavior.
  • the manager treats me with respect, the manager gives me clear goals, the manager shares information, the manager treats the entire team fairly. These are fundamental things that turn out to be really important in making people feel excited and happy and wanting to go the extra mile for you.
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    Interview de Laszlo Bock, senior vice president of people operations à Google. Il revient sur l'utilisation de Big Data dans la gestion du personnel.
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    Résumé d'Hubert : Intéressante interview de Laszlo Bock responsable des ressources humaines de Google sur l'utilisation des Big Data par Google pour le recrutement. Google a regardé les entretiens passés avec ses cadres pour constater qu'il n'y avait pas de relation avec la façon dont ils ont finalement effectuer leur travail. Chez Google, la taille d'un groupe idéal est de 6 personnes et Google cherche à comprendre pourquoi les équipes fonctionnent et d'autres ne fonctionnent pas. Pour l'embauche, les casses-têtes auquel Google soumettait les candidats (combien de balles de golf peut-on faire entrer dans un avion ?) sont une perte de temps. Les entrevues comportementales où les gens parlent de leur expériences sont plus cohérentes, permettant de savoir comment il réagit en situation et ce qu'il considère comme une situation difficile. Pour les dirigeants, il est important qu'ils soient cohérents, cela donne de la liberté aux équipes. Chez Google, les managers sont évalués par leurs employés. L'information amène les gens à modifier leurs comportements, suggère Laszlo Bock et leur donner des faits issues de données les amène à les modifier. Le fait que le responsable traite les gens avec respect, qu'il donne des objectifs clairs, qu'il partage des informations de gestion et qu'il traite l'équipe de manière équitable sont fondamentales. Les résultats scolaires n'ont finalement pas grande importance, et le nombre de gens qui ne sont jamais allé à l'université augmente chez Google. Pour Laszlo Bock, cela s'explique parce que les milieux académiques sont des environnements artificiels où il faut apporter la réponse qu'on attend de vous. C'est beaucoup plus dur que de résoudre des problèmes là où il n'y a pas de réponse évidente. Les Big data ne suffisent pas, nous avons aussi besoin d'un élément de compréhension humain. Le succès dépend du contexte et ce qui fonctionne chez Google n'est peut-être pas la même chose que ce
julien camacho

Une vision de la formation tout au long de la vie en Europe pour 2030 - Le blog de la f... - 3 views

  • L’environnement de travailSi nous projetons  l’environnement de travail en 2030 sur les bases de ce  que l’on connait aujourd’hui, il est vraisemblable que :la société numérique dans laquelle nous évoluerons rendra le marché du travail très flexible, segmenté et  particulièrement changeant. Il sera organisé selon le «skill on demand», où les entreprises solliciterons les compétences dont elles auront besoin au moment où elles en auront besoin. Nous travaillerons pour plusieurs employeurs, parfois en même temps, souvent à distance.La performance des employés sera mesurée et quantifiée en continu au travers de systèmes de mesures numériques, les «analystics». La démonstration des compétences et des aptitudes sera préférée aux diplômes.Le savoir sera disponible et gratuit. L’information sera partout. Les ressources  de formation seront nombreuses.Les barrières existantes s’estomperont : les limites du public/privé, professionnel/ personnel, bureau/domicile, réel/virtuel, formel/informel, seront confuses.Dans ce contexte, chacun d’entre nous devra  dédier au moins 20% de son temps à renouveler ses compétences pour rester employable et s’efforcer de coller à celles  requises par l’évolution du marché du travail.
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    "Pour rester employable, nous devrons tous, à l'avenir, développer une culture de l'auto-formation basée sur les compétences et les aptitudes valorisées par le marché du travail. Comment apprendrons-nous en 2030 ? Comment le digital impactera nos pratiques individuelles de formation? Quelle sera la place des ressources pédagogiques libres et autres MOOC dans notre formation tout au long de la vie? C'est à ces questions que le groupe de recherche, The Institute for Prospective Technological Studies (IPTS), rattaché au centre de recherche la commission européenne (JRC), s'est penché lors d'un atelier à Séville les 29 et 30 avril 2013, durant lequel une vingtaine d'experts ont planché sur les scénarii possibles."
Aurialie Jublin

FOMO, nouveau mal du siècle - 2 views

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    Rejeton terrible de l'infobésité, le syndrôme de Fomo (Fear of Missing Out), phénomène très connu en psychologie boursière est le nouveau mal des employés hyper connectés. Facteur aggravant, Il ne se limite pas à la sphère professionnelle et envahit également la sphère privée, décuplé par les réseaux sociaux et l'usage mobile : suis-je dans le bon restaurant, au bon concert, à la bonne soirée ? Première conséquence du FOMO les jeunes adultes passent en moyenne seulement 97 minutes dans une soirée… Dans le milieu professionnel, la victime de FOMO va mutiplier la présence dans des meetings inutiles par peur de manquer l'information essentielle avec les conséquences néfastes sur le reste de ses tâches. On touche alors au FONK : Fear of not knowing.
Aurialie Jublin

Emploi : les jeunes toujours inconscients de leur e-réputation - 1 views

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    Une récente enquête effectuée par l'institut américain On Device Research vient confirmer une nouvelle fois que les jeunes en âge de travailler (enquête sur les 16-34 ans) sont toujours aussi peu conscients de l'impact de l'image qu'ils donnent d'eux sur le net - spécialement sur les réseaux sociaux - c'est-à-dire de leur e-réputation, web-réputation, cyber-réputation ou réputation numérique, comme on voudra
Aurialie Jublin

Five Trends Shaping the Future of Work - Forbes - 0 views

  •  The technologies in the consumer web help encourage and support new behaviors such as creating communities, being open and transparent, sharing information and ideas, easily being able to find people and information, and collaboration.  These behaviors (and technologies) are now making their way into our organizations and are helping shape the future of work.
  • Virtually every collaboration platform today has a cloud-based deployment option.  This means that the barrier to entry is virtually zero.  Business units no longer need to wait for corporate approval or the blessing of IT to make investments in these areas.
  • Most organizations today are struggling to adapt to this changing workforce as baby boomers are starting to make their way out.  This is a big factor shaping the future of work as organizations seeking to attract and retain top talent are going to need to adapt.
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  • The idea of “connecting to work” is become more prevalent within organizations as they are starting to allow for more flexible work environments.  With an internet connection you can now access everything you need to get your job done.  The notion of having to work 9-5 and commuting to an office is dead.
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    "When it comes to the future of work there are a few key trends which business leaders need to pay attention to.  Understanding these trends will allow organizations to better prepare and adapt to the changes which are impacting the way we work.  These five trends are: 1) changing behaviors which are being shaped by social media entering the enterprise 2) new collaborative technologies 3) a shift to the "cloud" 4) millennials soon becoming the majority workforce and 5) mobility and "connecting to work.""
Aurialie Jublin

Pour un Google Now du poste de travail - 1 views

  • La masse d’information disponible demande des capacités de filtrage avancées. D’abord par  l’individu qui doit pouvoir maitriser son flux d’information et transformer un fleuve en petit filet d’eau exploitable. Puis par des systèmes intelligents qui doivent être capable de dire à l’utilisateur, en fonction de son contexte (projets sur lesquels il travail, outil métier utilisé à un moment donné) « voici ce que tu devrais savoir maintenant ». Et le soir de lui dire « si tu n’avais que 10 choses à lire dans la journée ce sont celles-ci ». Mais à ce stade on ne traite que les flux d’information. Il manque encore pleins de choses utiles à un collaborateur. C’est là qu’on revient à Google Now. Des données du CRM quand il est chez un client, l’information selon laquelle vu les embouteillages il devrait tout de suite  se mettre en route, le fait de savoir si son train est en retard ou à l’heure etc. Pleins d’informations qu’il peut perdre du temps à chercher (et d’ailleurs qu’il cherche pas pour cette raison) mais qui si elles lui sont poussées au bon moment ont une vraie valeur.
  • L’outil pourrait se matérialiser au moins de trois manières : - des notifications dans l’activity stream - un widget sur l’intranet, dans le client mail… - une application mobile à la Google Now car il est évident qu’un tel dispositif prend encore plus de valeur en situation de mobilité, là où le contexte prend encore plus d’importance.
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    Alors que les outils grand public envahissent le bureau et que les collaborateurs croulent sous l'information, l'exemple même de l'application qui devrait rapidement être portée sur le poste de travail est Google Now, un service prédictif qui pousse à l'utilisateur les informations dont il a besoin quand il en a besoin. 
Aurialie Jublin

Two People Doing The Same Job? It's Not Crazy For Engineers - FastCoLabs - 0 views

  • It turns out that developers have been working together to complete single tasks for decades, using a practice called “pair programming.” The basic idea is simple: Two developers sit in front of one computer. One programmer “drives,” typing out actual code, while the other observes and guides the driver, catching mistakes, and suggesting high-level strategies for completing the task.
  • Although it might sound counterintuitive and costly to employ two engineers to do one thing, its proponents swear that it actually saves money and time. Michael Kebbekus, a software engineering manager for collaboration software company Mindjet who spends 80% of his time pair programming, says the practice reduces costs and increases innovation by forcing developers to think through their decisions early
  • When you pair program, you have the perspective of a colleague, and every idea is just a starting point for something better. Before you start typing, you verbalize a solution, and in explaining your thoughts out loud you discover aspects of a problem you didn't even consider, and better yet, your partner does, too.
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  • Although he acknowledges that it might not be beneficial to every division for every type of project, Kebbekus believes that everybody should at least try putting people together to work on high-value projects. His advice is to slowly start asking team members to work together on bigger, higher-cost projects and gradually formalize pairing people as they get used to the process.
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    "Most people would find it absurd to hire two people to do the same job. An increasing number of software companies are doing just that and finding that it increases productivity and reduces costs. Here's how to apply the idea to your business."
Aurialie Jublin

Tous pirates - error 404 - 0 views

  • Concernant mon précédent billet, et parce que la share economy recouvre une très forte variété de domaines, je n'ai pas fait la distinction entre la production et la consommation. J'y reviens ici sur des points de débats que j'ai eus. Enfin, les deux types de cette nouvelle économie mettent en exergue deux points essentiels de notre société : la raréfaction du travail, et la déconnexion patente de l'investissement (partant, la finance) envers l'économie réelle. Plus d'investissement productif, et une numérisation qui crée de la valeur sans créer de l'emploi; il y a donc un nouveau contrat social à définir.
  • Depuis la faillite du socialisme (politique), un subtil équilibre se joue entre le public et le privé. L'Etat crée par l'éducation une richesse - le travailleur - qui sera exploitée par l'entreprise. En échange, l'entreprise contribue par l'impôt et les taxes à l'organisation de l'Etat. Le code libre, c'est une richesse commune, exploitée par tous, mais dans une asymétrie d'échanges. S'il fait le bonheur de communautés (celles d'Ostrom), il fait aussi le bonheur de la sphère privée. Ainsi, les flux économiques apparaissent comme une captation de valeur sur des territoires et des individus hors marchés (de l'Europe vers les US, du libriste vers Microsoft) à coût nul, pour être ensuite revendus aux producteurs initiaux. Le libre, c'est un peu l'Afrique qui importe son chocolat après avoir vendu à prix dérisoire ses fèves de cacao.
  • Que se passe-t-il ? Il faut en fait considérer qu'il n'existe pas un marché du travail, mais deux marchés : un marché de l'emploi, et un marché du revenu, lesquels ne sont pas corrélés. Les rentiers, investisseurs en capital, dealers de drogue, proxénètes, n'existent pas sur le marché du travail mais le sont bien sur celui du revenu. Idem pour les travailleurs pauvres, stagiaires, qui n'existent - quasiment - pas sur le marché du revenu, mais bien sur celui du travail.
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  • Le droit de la concurrence implique des entreprises, non des individus. Or, Internet permet de mettre en concurrence n'importe quel cerveau humain avec un autre. Même dans un territoire soumis au droit national. On a beaucoup glosé sur les emplois à 1€ du système allemand, pour des emplois peu gratifiants, d'une économie de cols roses. Le stagiaire français, lui, arrive sur un marché de cols blancs à 3€ de l'heure (436,5€ pour une semaine de 35h).
  • De même, le crowdfunding - qui apparaît comme une solution au problème du financement de l'entrepreneuriat - n'est que le symptôme d'une maladie beaucoup plus grave : la rupture consommée entre travail et capital, qui était déjà initiée bien avant la crise des subprimes
  • Quant au web, c'est la force du factor system, amplifiée par l'électricité. Ce pourrait être Pinterest, Tumblr, Github, Facebook, Amazon qui mettent en place une plateforme de travail - ludique, altruiste, sociale - à destination des populations du monde. Et dont la création de richesse ne bénéficie ni à la collectivité (via les procédés d'optimisation fiscale), ni à "l'ouvrier" de la connaissance, puisqu'il n'y a plus de pièce, seulement des flux d'information dont on ne mesure pas la valeur, avec un capital qui reste aux mains de la plateforme. Et dont les bénéficiaires sont quelques passagers clandestins d'une étrange économie.
  • Puisqu'il y a rupture de l'équilibre ténu entre public et privé, on voit apparaître une nouvelle structure : la communauté. Communauté d'intérêts, elle se structure autour de ses propres besoins, en dehors (ou à coté) des deux sphères connues. Pour certains share economy, nouvelles monnaies, troc, AMAP. Un système adaptatif qui n'a rien de nouveau.
  • Ce qui est appelé improprement économie collaborative, c'est finalement la société humaine. Parce que l'Etat n'opère plus son rôle de balancier face au privé, ne restent que deux sociétés qui se développent en parallèle, l'économie de marché et les communautés. Et l'une devient petit à petit le parasite de l'autre. Passager clandestin d'une économie dite collaborative, tirant des bénéfices sans les contraintes de la structure, les "pirates" ne sont pas ceux qui téléchargent le dernier Beyoncé, mais des multinationales qui exploitent un travail gratuit, repackagent des biens du domaine public, ou libérés (voir les méfaits du copyfraud que dénonce inlassablement Calimaq). Ou réorganisent des flux de travail ou de capital à leur avantage, sur le dos des communautés.
  • Pirate vient du grec : peirao, qui signifie tester, mettre à l'épreuve. Hacker a la même signification. Organisations comme individus testent en permanence la solidité des modèles en cours; ils s'introduisent dans les failles du sytème (la PI, l'optimisation fiscale, la territorialisation du droit); ils inventent un monde à part, intangible, non juridiquement encadré, mais qui se développe sur l'écosystème en place (les dérivés financiers, le trading haute fréquence).
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    Pour @marklor le marché de l'emploi n'est plus celui des revenus et l'économie collaborative en est le symptôme
Aurialie Jublin

Le numérique en entreprise : les DRH out ? - Metis - 1 views

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    "Co auteur d'un rapport relatif à l'impact des TIC sur les conditions de travail publié conjointement par la Direction Générale du Travail et le Centre d'Analyse Stratégique (1), Daniel Ratier répond aux questions de Metis sur les principaux risques mais aussi les nombreuses opportunités du numérique pour le travail en entreprise."
Aurialie Jublin

« Les espaces de Coworking sont un point d'entrée pour les écosystèmes du mon... - 0 views

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    Interview d'un fondateur de la Mutinerie
Aurialie Jublin

Guillaume Gibault (Le slip français) : «Je contourne le droit pour embaucher»... - 0 views

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    "Cette semaine, le jeune patron de la marque «Le slip français» dévoile son secret : le «démerde management». Très génération Y." Le «démerde management», c'est ce recours aux statuts spéciaux pour embaucher des jeunes gens à qui il promet une aventure, des responsabilités et une vraie expérience dans un délai rapide. Il y apprend d'ailleurs à diriger: imposer des horaires, faire vite et bien, ne pas se perdre dans le perfectionnisme, faire comme il dit «les choses dans le bon ordre». Sans faire de généralité, le fondateur de «Le slip français» et sa petite bande incarnent une partie non négligeable de cette génération Y: celle qui va éviter de finasser pour s'en sortir. Avec ou sans droit du travail.
Aurialie Jublin

Les Régions de France qui souffrent de la crise et celles qui résistent - Cha... - 1 views

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    "L'INSEE publie pour la première fois un bilan annuel des 22 régions métropolitaines de France et passe au crible leur situation économique. Un examen qui n'a rien de rassurant."
Aurialie Jublin

Limite et puissance du Big Data appliqué aux ressources humaines chez Google ... - 0 views

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    "Les promesses des Big Data appliquées à l'emploi sont à la fois stimulantes et terrifiantes, soulignions-nous il y a peu. Dans un entretien pour le New York Times, Laszlo Bock responsable des ressources humaines de Google revient sur l'utilisation des Big Data par Google sur le recrutement et autant le dire, le constat qu'il en tire (ou qu'il nous en révèle) en pointe surtout les limites."
Aurialie Jublin

Too much collaboration is hurting worker productivity - Quartz - 1 views

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    A new report by Gensler, the global workplace design and architecture firm, found that workers are spending more time in focus work but feel less effective at it than before.
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