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Aurialie Jublin

Tous Talent : le réservoir de productivité des prochaines années | Le Cercle ... - 1 views

  • L’envie et la motivation intrinsèque des femmes et des hommes de ce capital est un facteur majeur de surperformance. En effet, considérons un collaborateur au 35h, son travail ne l‘occupe que 33% de son temps disponible chaque semaine. Ses capacités à s’épanouir et à s’investir peuvent alors aisément être portées par des activités hors de son temps professionnel. En revanche, si l’entreprise oriente cette capacité en fournissant à ce collaborateur tout l’espace et les moyens nécessaires pour s’investir et s’épanouir, la productivité de son temps professionnel s’en ressentira grandement. En partant de ce constat, deux options diamétralement opposées s’offrent aux entreprises pour augmenter les sources de motivation de leurs collaborateurs.
  • elle en proposant une somme de services, d’avantages et d’activités extra-professionnels réservés à leurs collaborateurs (crèches, salles de sport, activités financées, mécénat d’entreprise, journées créatives…). La seconde option tente de rendre, par une politique RH performante, le temps consacré au travail le plus motivant possible. Les populations qui passent le plus de temps au travail – les agriculteurs et les professionnels de santé – ont généralement le taux de suicide le plus important !
  • La plupart des études consacrées au capital humain montrent régulièrement que les principaux facteurs de motivation sont l’intérêt du travail, la mobilité fonctionnelle et la mise en œuvre de nouvelles compétences, l’autonomie et la responsabilisation et les perspectives d’évolution. L’ambiance au travail, des objectifs individuels motivants et le soutien du manager dans des situations difficiles sont dans le top 5 des facteurs du bien-être au travail. Par ailleurs, le premier facteur de démotivation est le manque de reconnaissance. Au regard de ces éléments, les gisements de productivité et d’innovation sont clairs : mettre en œuvre une politique RH permettant à l’ensemble des collaborateurs d’être reconnu et de se reconnaître comme des « talents » capables d’évoluer, de se développer et de s’épanouir dans leur travail.
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    "Après la productivité par l'industrialisation des processus de l'entreprise et l'intégration des TIC, l'efficience du capital humain devient le principal levier de productivité pour les dix prochaines années."
abrugiere

[Infographie] Progrès technologique, compétences et guerre des Talents | Manp... - 1 views

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    Progrès technologique, productivité du travail et compétences  Le progrès technique façonne nos sociétés, dont le travail : on estime que 90% des emplois feront appel à des compétences technologiques en 2015 Infographie d'IBM : l'impact des avancées technologiques sur le travail s'amplifie chaque jour : la productivité progresse toujours plus vite depuis une quinzaine d'années -  notamment en raison de la généralisation de l'usage d'Internet. Aux Etats-Unis, l'indice de la productivité aurait ainsi progressé de « seulement » 25% de 1967 à 1982 - soit 15 ans d'intervalle - pour bondir de 30% de 1997 à 2007 - soit 10 ans. compétences : Une infographie réalisée par Udemy (plateforme d'apprentissage en ligne) montre l'importance de l'enjeu : en 2015, 60% des emplois créés aux Etats-Unis requerront des compétences détenues par…seulement 20% de la population.
Aurialie Jublin

Le modèle "collaboratif" va détruire des emplois | Le Cercle Les Echos - 1 views

  • Collaboration, intelligence collective et les concepts qui y sont liés, aident à gagner du temps, à mieux résoudre les problèmes, à raccourcir l’accès à des experts ou à des solutions. En bref, cela nous permet d’obtenir de réels gains de productivité au niveau de l’individu, de la société et de l’entreprise. Mais comme chaque fois qu’il y a gain de productivité se pose la question des traductions concrètes qu’il convient d’en faire : faut-il l’utiliser pour la croissance (produire plus avec les mêmes ressources), pour l’innovation (produire des choses nouvelles) ou pour diminuer les effectifs (produire la même chose avec moins de ressources) ?
  • Une partie des postes de cadres moyens vont disparaître. Parmi les activités des cadres moyens, celles qui consistaient à être des courroies de transmission pour aider les individus et les équipes à entrer en relation ou à se connecter à des connaissances ou des outils – dans la hiérarchie, trans-silos ou encore vers l’externe – vont disparaître avec le développement d’une culture collaborative, des annuaires "intelligents", des réseaux sociaux internes et externes.
  • Des emplois rémunérés seront remplacés par des travaux d’amateur disponibles gratuitement ou par des emplois faiblement rémunérés. Certains emplois dont la rémunération était justifiée par une valeur ajoutée difficile d’accès commencent à être remplacés par des services internet qui apportent "apparemment" une valeur similaire.
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  • En d’autres termes, une troisième économie est née, non pas souterraine et invisible, mais partout où des emplois peuvent disparaître en raison de l’explosion des usages liés aux technologies collaboratives.
  • En bref, l’approche de la seconde économie soutient que les gains de productivité globale des facteurs (productivité du travail plus productivité du capital) et l’intégration de plusieurs technologies numériques ont entrainé la disparition d’emplois au profit d’une économie comme en second plan, souterraine, entièrement automatisée. La troisième économie aura les mêmes effets sauf que la force de déplacement des emplois est les hommes eux-mêmes et non des systèmes automatisés.
  • En réalité, la collaboration est : pour la société une bonne occasion d’éliminer les coûts liés aux imperfections du marché et de se focaliser sur l’amélioration de la qualité ; pour les entreprises, un moyen permettant aux employés de se concentrer sur des tâches de haute qualité réellement productives ; et pour les cadres moyens, l’occasion d’apporter une vraie valeur ajoutée au travail de leurs équipes et des individus qui les composent.
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    Nombre de tâches intermédiaires vont disparaître, nombre d'emplois rémunérés vont disparaître du fait de la dimension collaborative de notre société et de nos entreprises. L'économie de la collaboration va faire peser une pression supplémentaire sur le marché de l'emploi, pression qui sera similaire et supplémentaire à celle qu'exerce déjà la "seconde économie".
Aurialie Jublin

Facebook peut prédire votre performance au travail - Mashable - A lire ailleurs - 1 views

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    "Demain, il suffira de d'une requête sur Facebook pour connaître la productivité à venir de la personne que vous vous apprêtez à embaucher, explique Aaron Sankin pour Mashable. Selon une étude qui a porté sur 150 étudiants comparant la prédictibilité d'un test de personnalité et de leurs profils sur les médias sociaux avec des mesures d'évaluations de leur performance, les professeurs Katelyn Cavanaugh et Richard Landers ont découverts que les traits de personnalités de leurs profils sur Facebook étaient plus significatifs qu'un test de personnalité pour mesurer leur performance au travail. Pourquoi ? Parce que les informations que nous livrons sur nos profils seraient plus honnêtes que celles que nous livrons à un questionnaire. Vous pouvez oublier votre score klout, qui mesure votre influence sur les réseaux… Demain, vous devrez mettre en valeur votre indice de productivité."
julien camacho

Mobilité et télétravail sont bons pour la productivité selon une étude de Cit... - 1 views

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    Entretien avec Sophie Vandriessche, directrice commerciale EMEA chez Citrix, qui commente l'étude 2013 Télétravail et mobilité que l'entreprise a conduite auprès de 1262 entreprises sur 3 continents. Où l'on voit que le travail flexible et la mobilité sont bons pour la productivité. Citrix vient de publier les résultats de sa 2e étude relative au Télétravail et à la mobilité en entreprise réalisée par YouGov auprès de 1262 managers et dirigeants de PME de moins de 250 salariés en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, en Australie, en Allemagne, en France et au Canada.
Aurialie Jublin

Need Help With Work? Startup RelateIQ Aims to Improve Work Relationships - WSJ.com - 1 views

  • Data scientists are beginning to peer into work relationships, trying to identify patterns that can improve how employees collaborate with peers, manage sales relationships, or see how they stack up against colleagues. It is a nascent market, but up-and-coming startups have their eyes set on upending established business-technology companies like Salesforce, which are also increasingly digging into data.
  • Elsewhere, Boston-based Sociometric Solutions Inc. uses physical sensors to collect data on employees' movements and the tone of their conversations to tell managers where interactions are dipping and where employees are congregating. In San Francisco, tenXer Inc., a program for computer engineers, tracks code modifications and hours spent in meetings to help them see how their productivity stacks up against colleagues. And Boston-based Yesware Inc. helps employees track emails, monitors how many times their emails are opened, what devices recipients are using, and provides analytic reports on the email traffic of colleagues.
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    Startups Like RelateIQ Are Aiming to Help Improve Employees' Work Life With Software Résumé IA : RelatelQ - https://www.relateiq.com - est un logiciel qui se propose de regarder votre vie numérique pour vous en faire ressortir ce qui semble important. L'algorithme de RelateIQ recueille constamment des signaux de données pour déterminer si les relations de travail avec des partenaires internes ou externes se refroidissent et si l'utilisateur doit prendre des mesures. Sociometric Solutions utilise une méthode proche pour améliorer les conversations. tenXer - https://www.tenxer.com - gère les modifications de code et les heures passées en réunion pour aider à mieux maîtriser sa productivité. Yesware - http://www.yesware.com - tente d'améliorer la productivité par e-mail. Chez RelateIQ, les programmeurs tentent de toujours mieux cerner les tendances, comme le temps moyen qu'il faut pour qu'une personne puisse répondre et quels types de ponctuation et de phrases provoquent généralement des réponses. Ils tentent également de détecter le sarcasme et les mots qui sont habituellement associées à des questions importantes. Ces données peuvent révéler, par exemple, si une relation stagne ou progresse. Reste que dans des environnements de communication très complexe, le défi de ces outils est également complexe. L'apprentissage machine peut provoquer des erreurs, des mauvaises interprétations, des recommandations qui semblent venir de nulle part. Promesse ou illusion ?
Aurialie Jublin

Mobilité des collaborateurs : la productivité est au rendez-vous mais le stre... - 0 views

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    Les outils nomades, toujours plus puissants, connectés et bientôt branchés sur toutes les grandes fonctions de l'entreprise, génère un surcroît de productivité des collaborateurs. Mais cette véritable addiction pour les uns ou obsession pour les autres n'est pas sans risque : stress supplémentaire, troubles du sommeil ou encore modifications de certains comportement.
abrugiere

Hyperconnectés, sur-sollicités, débordés… : il faut sauver le salarié numérique - 0 views

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    Une étude révèle que les salariés vérifient leur smartphone environ 150 fois par jour ; une autre, qu'un employé américain est interrompu toutes les trois minutes et qu'il lui faut environ 23 minutes pour revenir sur son travail. Draugiem Group a mesuré la productivité d'employés grâce à DeskTime, un logiciel qui comptabilise les horaires des salariés. Résultat : un ratio de travail de 52 minutes couplé avec 17 minutes de pause serait idéal pour la productivité. + une série d'applications pour mieux gérer son environnement digital de travail
hubert guillaud

Arrêtez de surveiller vos employés ! - WashingtonPost - 2 views

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    Dans la plupart des entreprises, les employeurs gardent un oeil attentif sur l'activité de leur employés pour les empêcher de faire quelque chose de mal. Mais est-ce que cette surveillance ne les freine pas à faire quelque chose de bien ? C'est ce qu'a mis en évidence le professeur Ethan Bernstein de l'Harvard Business School dans un article intitulé le paradoxe de la transparence : http://asq.sagepub.com/content/57/2/181.full.pdf+html qui a montré que la productivité de travailleurs chinois a augmenté quand la surveillance s'est relâché. Mettre un simple rideau entre des travailleurs et leur supérieur a fait augmenté la productivité de 10 à 15% ! S'ils ne sont pas surveillés, les travailleurs ont recours à leurs méthodes de travail qui sont toujours plus efficaces que les méthodes prescrites. La performance a augmenté non pas tant parce que les travailleurs étaient cachés de leurs surveillants, mais parce qu'ils ont pu partager des idées et les mettre en pratique sans remontrances. A une époque où la surveillance via les outils numériques devient omniprésente, estime Jena McGregor pour le Washington Post, le risque est fort que la surveillance soit décourageante
Aurialie Jublin

La collaboration et la productivité passe aussi par une réorganisation du lie... - 0 views

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    Trop souvent focalisé sur les outils et processus, les débats autour de l'Entreprise 2.0 et la collaboration n'aborde que rarement l'aménagement du lieu de travail est pourtant une composante essentielle du bien-être et de la productivité des salariés, après tout, nous passons autant de temps au travail qu'à la maison.
Aurialie Jublin

« Voice picking » : dans le casque, mon chef cette machine | Rue89 Eco - 0 views

  • L’homme-robot dirigé par la machine ? On n’en est peut-être pas loin. Même si Gilles Chasson estime que cette technologie est plus une aide qu’autre chose – puisqu’elle réduirait le risque de faire une erreur et le taux d’accidents du travail –, ce système pose question car il s’étend en France.
  • C’est vrai que je travaille plus vite depuis que j’ai le casque et que je suis plus concentré. Mais j’ai moins de contact avec les collègues et ça me demande beaucoup d’énergie. Après sept heures de boulot, je suis beaucoup plus crevé qu’avant. 
  • Outre un rythme de travail accru ne permettant aucune relâche, ainsi qu’une diminution de l’attention portée sur son environnement, ce sont les risques psychosociaux qui interpellent : « une dépendance à la machine  : développement d’un sentiment de déshumanisation du travail (voix synthétique), diminution de la conscience de l’effort (fatigue, risque de troubles musculo-squelettiques (TMS)), suppression de l’autonomie dans l’organisation du travail malgré la possibilité d’arrêter le système à tout moment [...] ; une modification des relations du travail  : la limitation des communications entre collègues et avec la hiérarchie, et la réduction du nombre de passages au bureau préparateur participent à la diminution du lien social et collectif de travail ; une diminution des aptitudes attendues  : l’appauvrissement des tâches, l’absence de visibilité globale de la commande pour construire une palette et la disparition de l’autocontrôle rendent le métier moins attrayant. »
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    Cette technologie, c'est celle du « voice picking ». « Voice » renvoyant à la voix, « picking » exprimant le déplacement, d'une zone de stockage à l'autre, du préparateur de commandes.  En plus de libérer les mains de l'opérateur, cette technologie a deux avantages importants : elle permet d'abord d'augmenter la productivité des travailleurs : ceci évite à l'employeur d'avoir à engager du personnel supplémentaire à des périodes où le nombre de commandes explose. Comme à Noël ; ce système supprime les "ruptures de charge" : ces moments où l'employé cesse de travailler pour regarder un code-barres, une étiquette ou son scanner. »
Aurialie Jublin

Stefana Broadbent. L'intimité au travail. La vie privée et les communications... - 1 views

  • L’argument de productivité est d’une force redoutable : les communications privées sur le lieu de travail diminueraient la concentration du travailleur et, par là même, son efficacité et sa productivité. Stefana Broadbent porte des arguments riches contredisant cette justification : le problème serait plutôt à chercher du côté de la culture, du contrôle, de la hiérarchie et de la perception du travail. L’auteure qualifie l’argument de productivité d’irrationnel puisque des différences de confiance existent dans les organisations : alors que les communications personnelles sont fortement restreintes (voire interdites) pour les emplois peu qualifiés, elles ont libre-cours pour les cadres (considérés comme capables d’autodiscipline). Les processus de contrôle et de domination présents dans les organisations se retrouvent ainsi à travers l’usage des TIC à des fins personnelles.
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    Résumé de l'ouvrage de Stefana Broadbent qui nous plonge dans une chronique contemporaine des usages intimes des TIC au sein des institutions, via des témoignages, des passages tir&s de journaux de bord, de résultats d'étude, ... L'objectif de ce livre est d'expliciter les usages intimes des différents canaux de communication : téléphone (fixe et portable), messagerie électronique, sms, discussion instantannée, Skype, Facebook… Comment les TIC sont-elles utilisées à des fins personnelles ? Dans quel but ? Pour communiquer avec qui ? À quel moment de la journée ? Quelles en sont les effets (intraindividuels, interindividuels, organisationnels) ?
Aurialie Jublin

Il existe un robot pour vous espionner au travail et vérifier votre productiv... - 0 views

  • Après une période d'analyse des comportements et des attentes, l'algorithme est capable de détecter, analyser et signaler tout comportement potentiellement dommageable pour la productivité de l'équipe. Ou l'entreprise tout court.
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    " Le journal New Scientist explique que de plus en plus de sociétés spécialisées propose des intelligences artificielles capables de surveiller votre travail et d'alerter vos supérieurs si vous n'y consacrez pas l'essentiel de votre temps. Ainsi, la société StatusToday propose un robot «qui repose sur un apport régulier de métadonnées apportées par l'employé, notamment tout ce que va des dossiers auxquels vous accédez et à quelle fréquence vous les regardez ou encore quand est-ce que vous utilisez votre pass devant la porte de l'entreprise.»"
Aurialie Jublin

Les médias sociaux au travail : tirer le maximum de ces outils - 0 views

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    la productivité est mise en avant
abrugiere

Rifkin J.  "La fin du travail" - 1 views

  • Le prix du progrès", qui lui apparaît comme la séparation de la population mondiale en deux forces irréconciliables, d’un côté les faibles broyés par le progrès, de l’autre une élite de manipulateurs d’abstraction
  • La logique du marché pousse l’entreprise à sa restructuration interne, qui signifie une baisse du personnel. Le reengineering consiste en une organisation plus souple de l’entreprise, notamment grâce à un aplanissement des hiérarchies. Ces décisions accélèrent la production mais suppriment un nombre considérable d’emplois, en particulier ceux des cadres moyens, qui seront 80% à avoir perdu leur emploi à la fin de ce phénomène.
  • Les principes de "management scientifique" prônés par Taylor devinrent la référence obligée en matière d’organisation du travail. La manie de l’efficacité devint une réelle croisade. Elle atteignit tous les secteurs de la vie de l’Amérique, remodelant la société selon les critères chronométriques astreignants de la culture machinique et industrielle : entreprises, mais aussi administrations, services municipaux, système éducatif, vie quotidienne.
  • ...12 more annotations...
  • L’ingénieur, équipé des outils de l’efficacité, devint le nouveau héros.
  • La première révolution industrielle a été marquée par l’avènement du charbon et l’utilisation des machines à vapeur. La deuxième révolution industrielle fût causée par la découverte du pétrole et de l’électricité. La troisième révolution industrielle s’accompagne de "machines pensantes", robots à commandes numériques, ordinateurs, logiciels ultrasophistiqués.
  • Le traitement horizontal plutôt que vertical de l’information fait s’effondrer la pyramide traditionnelle de l’entreprise au profit de réseaux fonctionnant sur un même plan, ce qui élimine de plus en plus de cadres moyens.
  • Le recyclage, solution proposée comme excuse aux réductions de personnel, ne fonctionne en réalité que pour un cinquième des chômeurs
  • Actionnaires et patrons se sont quant à eux enrichis grâce aux gains de productivité induits par les restructurations. La vague de reengineering a provoqué ensuite le déclin de la classe moyenne, dont le nombre d’emplois, les salaires, ainsi que la protection sociale ont chuté de manière critique
  • Les manipulateurs d’abstraction, nouvelle élite de travailleurs du savoir, parviennent seuls à augmenter leurs revenus grâce à la nouvelle économie mondiale high-tech. Le fossé entre riches et pauvres se creuse, et les tensions toujours plus fortes pourraient aboutir à une révolution sociale.
  • La perte de son emploi est donc pour lui, au-delà des difficultés matérielles, une perte d’identité dangereuse.
  • Le mouvement pour la réduction du temps de travail est historique
  • L’évolution est progressive, et de 80 à 60 heures, puis de 60 à 40 heures, nous devons maintenant nous diriger vers les 30 voire les 20 heures.
  • Ce tiers secteur, domaine qui comblera le vide provoqué par la suppression d’emplois, est celui de la vie associative, qui tisse le lien communautaire : l’entraide, l’enseignement, la recherche, l’art, la religion, entre autres.
  • Milton Friedman proposa un judicieux impôt négatif sur le revenu.
  • When Corporations Rule the World (également daté de 1995, Kumarian Press), David Korten
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    Notes de lecture de l'ouvrage de Rifkin. IDées fortes : la productivité conduit à la destruction d'emploi. La croissance sera dorénavant sans emploi (1995). L'ère industrielle fondée sur le travail humaine s'achève. L'ère de l'information partagée et l'énergie décentralisée lui succède : disparition des emplois classes moyennes. Apparition d'un tiers secteur, etc.
abrugiere

The Rise of Anti-Capitalism - NYTimes.com - 2 views

    • abrugiere
       
      Cette économie d'abondance et de production à coût marginal a des impacts réels sur le marché du travail. C'est dans les communs collaboratifs que se trouvent dorénavant les nouvelles opportunités de travail (ou d'emplois ?). Aux USA le nombre d'ONG est augmenté de 25% entre 2001 et 2011 pour passer de 1M3 à 1M6, tandis que les entreprises ont augmenté de 1/2 % dans le même temps.  Aus USA, CAnada, Angleterre, le secteur non concurrentiel excède 10% de la main d'oeuvre 
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    Article de J Rifkin  Nous vivons en ce moment un vrai paradoxe du capitalisme : la dynamique de compétitivité des marchés qui tend à réduire toujours plus les coûts, associée à une révolution technologique, est en train de produire des biens et des services en abondance : à coût nul ou marginal.  On le voyait déjà avec Napster à la fin des années 90. De l'industrie de la musique, on a vu ce phénomène s'étendre à l'énergie, aux livres, à l'industrie manufacturière ou l'éducation.  Aujourd'hui, avec l'internet des objets, cela va s'étendre à l'économie entière. L'internet des objets, c'est demain 11 bilions de capteurs rattachés à des ressources naturelles, des lignes de production, des smart gris, des réseaux de logistiques, dans les maison, les bureaux, les magasins... En 2020, on prévoit 50 bilions de capteurs qui seront connectés.  Les individus pourront connecter leur réseau et exploiter les données par des big data, des algorithmes, et par là accélérer l'efficience des objets, des réseaux, et donc diminuer toujours plus les coûts d'utilisation. Cisco prévoit que vers 2022 les gains de productivité du secteur privé engendrés par l'internet des objets excédera les 14 trillion de dollars. Une autre étude de General Electric estime elle que la croissance de la productivité par l'internet des objets pourrait affecter la moitié de l'économie globale en 2025. 
hubert guillaud

Un salarié produira en 2060 autant que deux salariés aujourd'hui - Démocratie... - 1 views

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    "Les seuls chiffres du Conseil d'orientation des retraites (Cor) qui sont, aujourd'hui, mis en évidence par notre gouvernement comme par les grands médias, sont ceux du nombre de cotisants rapporté au nombre de retraités. Ce rapport démographique se dégradera : de 1,65 cotisant pour 1 retraité en 2011, il passera à environ 1,35 cotisant pour 1 retraité en 2060. C'est cette dégradation qui justifierait l'allongement de la durée de cotisation. Dans le même temps cependant, toujours selon le Cor, la productivité du travail doublera : en une heure de travail, en 2060, il sera possible de produire ce qui est produit en 2 heures de travail en 2011. A partir de là, le calcul n'est pas très difficile à faire : 1,35 cotisants en 2060 produira autant que de 2,7 cotisants en 2011. La situation sera donc bien meilleure qu'aujourd'hui."
hubert guillaud

Comment la technologie détruit la classe moyenne - NYTimes.com - 0 views

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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
Aurialie Jublin

Travailler six heures par jour, un nouveau projet suédois | Slate.fr - 2 views

  • L’objectif de cette expérimentation: créer de l’emploi, et augmenter la productivité des travailleurs. En effet, plusieurs études démontrent que des journées plus courtes affectent positivement la productivité. The Economist, en s’appuyant sur les chiffres de l’OCDE, montre que «plus on travaille, plus notre productivité diminue», comme le synthétise Policy Mic.
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    "Et si l'on ne travaillait plus que six heures par jour? C'est ce que propose Mats Pilhem, maire adjoint de Gothenburg, en Suède. Le journal The Local explique que ce politicien, membre du parti de gauche, veut mener une expérimentation dans sa ville, en réduisant le nombre d'heures de travail."
Aurialie Jublin

Et si les techno-optimistes avaient tort? | Slate.fr - 0 views

  • Tout semble plaider donc en faveur de la thèse d’une excitation démesurée de nos contemporains vis-à-vis du changement technologique, sauf que ce dernier aura néanmoins un impact très puissant sur un plan fondamental de l’organisation des sociétés, celui de l’emploi. La probabilité que les machines et algorithmes se substituent à l’emploi humain est à présent bien établie: en particulier, on sait que ces technologies détruisent de l’emploi de qualifications moyennes et faibles, quand les salariés très qualifiés ont plutôt tendance à en profiter, ce qu’on nomme le biais de compétence du changement technologique. Ce que l’investisseur de la Silicon Valley Marc Andreessen a résumé d’une formule lapidaire: le marché du travail va se scinder en deux parties, «les gens qui donnent des ordres aux ordinateurs et ceux à qui les ordinateurs donnent des ordres».
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    "En dépit d'une grande agitation autour du potentiel de rupture des nouvelles technologies, les gains de productivité sont-ils définitivement derrière nous?"
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