Skip to main content

Home/ Tic&Travail/ Group items tagged entrepreneur

Rss Feed Group items tagged

Aurialie Jublin

Des individus entrepreneurs pour l'entreprise numérique | Fondation Cigref - 0 views

  •  
    Le besoin de compétences pour l'entreprise « se portera davantage vers des savoirs pointus ou de l'expertise, nécessaires pour gérer des projets stratégiques… Les différents acteurs fournissant des produits et services informatiques, l'esprit d'initiative et les capacités entrepreneuriales / intrapreneuriales sont d'ores et déjà un prérequis. Des entreprises comme Google ont bien compris le lien entre ces aptitudes et la capacité d'innovation de l'organisation, à tel point que leur gestion des ressources humaines prévoit des programmes pour développer ce type de profil et les conserver ».
Aurialie Jublin

La fabrique de l'infélicité - Multitudes Web - 1 views

  • Qui accomplit un travail à contenu cognitif élevé, et donc à basse interchangeabilité, n’oppose pas son travail à la création d’entreprise ; au contraire il tend à considérer son travail, même quand il est dépendant du pont de vue formel et même substanciel, comme l’entreprise à laquelle on dédie le meilleur de sa propre énergie, indépendemment de la dimension économique, juridique dans laquelle elle se manifeste.
  • tandis que le travailleur industriel consacrait son énergie mécanique à sa prestation salariée, selon un modèle répétitif, dépersonalisé, le travailleur high tech implique dans la production sa compétence singulière, son énergie communicationnelle, d’innovation, créatrice, en bref le meilleur de ses capacités intellectuelles.
  • La transformation technologique digitale a entrainé deux procés différents mais intégrés. Le premier est la mise en réseau, ou encore la coordination des différents segments de travail dans un flux unique d’information et de production, rendu possible par les infrastructures du réseau télématique. Le second est la dissémination du procés de travail en un archipel infini d’ilots productifs formellement autonomes, mais coordonnés et en dernière analyse dépendants.
  • ...3 more annotations...
  • De plus en plus souvent, donc le travailleur se considère comme un entrepreneur de lui-même, et sur le plan juridique l’est réellement. Sur la plan substanciel l’autonomie de cet entrepreneur-travailleur est fiction pure et simple, en tant que ce n’est pas lui qui décide des plans à long terme, des modalités de développement de l’activité, et ainsi de suite.
  • e travail global est re-combinaison permanente de myriade de segments de production-élaboration-transmission et décodification de signes, et d’unités informationelles de tout type. Le travail est une activité cellularisée sur laquelle le réseau opère une recombinaison incessante. Le portable est l’instrument qui rend cette re-combinaison possible.
  • Dans un certain sens le portable réalise le rêve du capital qui consiste à pouvoir sucer (aspirer, extraire le moindre atome de temps productif possible au moment précis où le cycle de production en a besoin, de façon à disposer de toute la journée du travailleur en ne lui payant que les moments où on l’appelle. Le producteur de l’info (ou neuro-travailleur) configure son système nerveux pour que cette fonction d’appareil récepteur actif soit effective le plus longtemps possible. Toute une journée de vie devient ainsi disponible pour l’activation sémiotique, qui ne devient directement productive que quand c’est nécessaire. Quel est le prix émotionnel, psychique, existentiel du stress permanent cognitif de l’électrocution productive permanente ?
  •  
    Article de Bifo sur la notion de cognitariat
Aurialie Jublin

Artisan 2.0 | Le nouvel Economiste - 2 views

  • Alain Bosetti évoque les trois “super pouvoirs de l’entrepreneur numérique” dont il a fait un thème de débat au dernier salon des micro-entreprises qu’il préside. “Ubiquité, certes, mais aussi facilité et proximité”, résume-t-il.
  • Le taux de pénétration des nouveaux usages est faible chez les artisans traditionnels qui ont pourtant un tout aussi grand profit à tirer de l’innovation que les créateurs de nouveaux marchés.
  • “Il y a toute une culture numérique à développer pour donner à cette catégorie d’entrepreneurs et d’artisans les outils et la formation qui leur permettront d’acquérir les bons réflexes”, estime Catherine Barba en regrettant un potentiel inexploité par les chambres de commerce et d’industrie dans ce domaine.
  •  
    Entrepreneurs individuels et petites producteurs, les grands bénéficiaires de la révolution numérique qui s'ignorent encore. Alors qu'ailleurs les nuages s'amoncellent, les conditions favorables continuent à s'accumuler pour l'entrepreneur "unipersonnel mais multinational". Les prospectivistes comme Joël de Rosnay - qui a inventé la formule - avaient vu dès les débuts de l'Internet la révolution à l'horizon. Les coûts allaient chuter, les possibilités d'interrelations offertes par le Web 2.0 se multiplier, l'Internet 3.0, celui des objets qui communiquent entre eux, se mettre en marche. A chaque étape, les "petits" accèdent, dans les mêmes conditions que les "gros", à un espace mondial. Ils ont aujourd'hui l'opportunité de développer une aire qui n'appartiendra qu'à eux, car les géants ne savent s'y mouvoir, l'hyper-proximité. Le numérique réduit l'immensité du temps comme de l'espace. Les petits producteurs sont les mieux placés pour tirer profit de son égale capacité à mailler l'infiniment proche. Le monsieur du 3e étage ignorait que son voisin fabriquait des clés à pipe avec son imprimante 3D. Demain, il les lui achètera en direct au lieu d'aller perdre un après-midi dans les embouteillages. Outils : dropbox, evernote, cloud, réseau social, applications, crowd funding
Aurialie Jublin

Libérer le travail de l'emprise du marché total | Témoignage Chrétien - 0 views

  • Prenons par exemple le modèle allemand : il valorise les communautés de travail, au niveau de l’entreprise comme à celui des branches professionnelles. À la différence de leurs homologues français, les dirigeants des grandes entreprises allemandes en ont souvent gravi les échelons. Ils ont la même culture professionnelle que les travailleurs, qui sont de leur côté associés au contrôle de la direction. En revanche, ce système accorde une moindre place aux droits des individus, ce qui explique que les réformes Hartz de 2004, créant des contrats de travail sous-payés pour une population sans emploi, n’ont pendant longtemps pas suscité de fortes réactions syndicales. Ce n’est que dix ans après, au regard de la forte croissance des inégalités qu’elles avaient générées, que le gouvernement allemand de coalition s’est résolu à instaurer le salaire minimum. 
  • Dans les conditions actuelles, il est rare qu’un autoentrepreneur puisse maintenir longtemps son activité sans s’insérer dans des réseaux de dépendance économique, soit qu’il doive diriger le travail d’autrui, soit que son travail soit dirigé par autrui. C’est l’une des leçons qui peut être tirée de la crise du modèle industriel que l’on a mis en oeuvre en agriculture dans les années 1960. La plupart des éleveurs ont été intégrés dans des liens de dépendance économique à l’égard des grandes firmes agroalimentaires, de l’Union européenne et des banques. Ils ont ainsi perdu tout contrôle sur ce qu’ils produisaient, sur la façon dont ils le produisaient et sur la fixation des prix de leurs produits. C’est particulièrement vrai des éleveurs «hors-sol» qui sont en fait des travailleurs subordonnés mais demeurent en droit des entrepreneurs indépendants.
  • Dans l’économie actuelle, beaucoup d’entreprises petites ou moyennes sont ainsi les maillons de chaînes de production où ce sont les entités les plus puissantes, celles qui contrôlent non pas les moyens de production mais les systèmes d’information, qui disposent du pouvoir et captent la majeure partie de la valeur ajoutée. Sans avoir à répondre de la sécurité économique des travailleurs. Un chauffeur remercié par Uber n’est pas licencié, il est « déconnecté ».
  • ...6 more annotations...
  • La réalisation de la justice sociale ne dépend pas principalement du droit du travail, mais bien davantage des règles qui régissent la sphère monétaire, le commerce international et le fonctionnement des grandes entreprises. C’est là que se situent les vraies « réformes structurelles » dont nous avons besoin. Il faut sortir de la schizophrénie actuelle qui fait que d’un côté l’Europe oblige les pays les plus pauvres à démanteler leurs barrières douanières et que de l’autre elle déplore l’émigration en masse de leur jeunesse ; que d’un côté on autorise le rachat par les sociétés de leurs propres actions, c’est-à-dire l’enrichissement des actionnaires aux dépens des ressources vives de l’entreprise, et que de l’autre on déplore la chute de l’investissement ; que d’un côté on autorise le dumping social et fiscal en Europe, et que de l’autre on s’inquiète de l’endettement des États et du délabrement des services publics.
  • La mutation que vous évoquez est celle de l’ubérisation, du self-employment. Elle transforme des formes de la dépendance économique qui affecte aussi bien les salariés que les entrepreneurs. Le travail n’est plus organisé sur le modèle taylorien du travail à la chaîne, c’est-à-dire d’une obéissance mécanique aux ordres, mais sur celui de la direction par objectifs, de la programmation du travailleur. La subordination ne disparaît pas mais change de forme. Ce n’est plus le moindre de ses gestes qui est dicté et mesuré, mais sa « performance ». L’obéissance fait place à l’allégeance du travailleur à l’égard d’un donneur d’ordre qui lui assigne une tâche qu’il peut organiser avec une certaine marge d’autonomie, pourvu qu’il remplisse ses « objectifs ».
  • Le cercle vertueux de la libération dans le travail et de la créativité ne peut être tracé que si ceux qui le réalisent ne vivent pas dans la peur du chômage et peuvent peser collectivement sur son contenu et son organisation.
  • La logique des droits de tirage sociaux est d’assurer une solidarité dans l’exercice d’une liberté individuelle ; par exemple, prendre un congé sabbatique, prendre soin de ses parents malades, acquérir des connaissances ou une formation nouvelle, créer une entreprise, élever ses jeunes enfants, etc. La personne qui ferait ce choix bénéficierait de dispositifs finançant la rémunération de ces différentes activités.
  • Les droits de tirage sociaux donneraient à chacun la possibilité de combiner diverses formes de travail dans une vie et de passer de l’une à l’autre sans mettre en péril ses revenus et ses droits. Cette proposition complète la Sécurité sociale, qui assure une solidarité face aux risques indépendants de la volonté, comme la maladie, l’accident ou la vieillesse.
  • Sans réduction des inégalités, notamment entre les revenus du travail et ceux du capital, et sans interdiction du dumping social et fiscal, le « compte personnel d’activité » prévu dans la loi el-Khomri risque de devenir un moyen de renvoyer chacun à une épargne individuelle qui renforcera encore le poids de la « bancassurance ». C’est seulement sur la base d’une plus juste distribution des revenus et des charges que de nouveaux dispositifs de solidarité pourront voir le jour, qui mettront les progrès de la productivité au service du plus grand nombre et permettront à chacun de faire ainsi plus de place à des tâches librement choisies.
  •  
    "La loi Travail de Myriam El Khomri soulève des débats passionnés. Professeur au Collège de France, Alain Supiot pose un regard aiguisé sur ce qu'ils révèlent."
Aurialie Jublin

Un demi-million de retraités cumulent un travail - 0 views

  • Tous les retraités ne travaillent pas pour la même raison. Ceux du régime général y trouvent une manière, interprète l'Igas, d'aménager leur fin de carrière par une transition plus douce vers l'inactivité. Ils l'exercent «souvent à temps partiel, avec des revenus en moyenne équivalent au tiers de ceux perçus auparavant», précise le rapport. Les indépendants profitent pour leur part du statut d'auto-entrepreneur. Avec des fortunes diverses: près de 27% des auto-entrepreneurs de plus de 60 ans n'avaient réalisé aucun chiffre d'affaire en 2010.
  •  
    Sur 15 millions de pensionnés, 500.000 recourent au cumul emploi-retraite, estime l'Inspection générale des Affaires sociales (Igas) dans un rapport publié récemment. Mais ce dispositif, qui gagne à être diffusé, reste trop complexe.
Aurialie Jublin

Recruteurs cherchent "gens bizarres", "procastinateurs" et "habitués à l'éche... - 0 views

  • Pour la sociologue Brené Brown, un “inconfortable sentiment de vulnérabilité” est aujourd’hui nécessaire pour faire du “bon travail”. Une vulnérabilité qui s’exprime parfois dans un trop-plein de perfectionnisme : la procrastination, tendance à tout remettre au lendemain, réaction d’auto-défense et d’inhibition face à la performance et la perspective de l’accomplissement d’une tâche.
  • Une autre raison, plus fondamentale, tiendrait à l’évolution même du monde du travail, de plus en plus “déstructuré“. Entendre, faisant de plus en plus appel à l’autonomie, entre un management plus horizontal, une entreprise appelée à être de plus en plus décloisonnée et la nature même des fonctions allant en se complexifiant et se recomposant en permanence. La “transformation numérique”,  enjeu d’actualité pour les entreprises qui sont en voie de répercuter les conséquences de la révolution numérique dans leurs business models et leurs organisations, nécessite ainsi la “remise en question permanente”
  • Notant qu’à Google, “la proportion de gens sans diplôme universitaire a augmenté avec le temps”, Laszlo Bock dessine un avenir du recrutement où, loin des algorithmes, les références et les qualifications ne sont pas gages de succès. L’entreprise dispose de trois critères-clés pour assurer un bon recrutement : Plus que le QI et même l’expertise, les capacités cognitives telles que la capacité à apprendre et la curiosité Le leadership, mais un leadership moderne, dit “leadership émergent”, qui correspond à la capacité critique à savoir “prendre le lead” mais aussi, lorsqu’il le faut, renoncer au pouvoir et L’humilité et la maîtrise de soi, notamment l’humilité intellectuelle et une attitude collective de “problem-solving”
  •  
    "Google engage de moins en moins de jeunes diplômés sortis de grandes universités prestigieuses. Un signe pour l'avenir du recrutement ? La capacité à savoir échouer, nouvelle vertu cardinale dans la recherche d'emploi ? Alors que les jeunes entrepreneurs vont jusqu'à se rencontrer dans des Fuck Up Nights pour partager leurs échecs, les recruteurs semblent également de plus en plus se tourner vers ces profils aptes à "rater avec grâce"."
Aurialie Jublin

Comment les espaces de coworking deviennent des laboratoires d'innovation pour grandes ... - 2 views

  •  
    L' intérêt des grandes entreprises pour le modèle du coworking grandit . L'attention ne se limite d'ailleurs pas aux industries de l'informatique. L 'assureur américain StateFarm, par exemple, a ouvert son propre espace de Coworking ouvert au public dans l'Illinois. A Londres, le groupe britannique de médias Pearson est partenaire de l'espace de coworking TechHub. En France, l'industrie de l'édition a investi, avec la ville de Paris, dans un espace ouvert similaire (le Labo de l'édition ) où tous les travailleurs, employés, salariés, entrepreneurs, liés de près ou de loin au monde du livre ou de l'édition, peuvent venir occasionnellement y travailler. Citons encore l'espace de coworking Fishburners, à Sydney, en Australie, soutenu par l'opérateur mobile local Optus . Mais aussi Pepsi
Aurialie Jublin

Quand les internautes remplacent les entrepreneurs | Slate - 1 views

  • La meilleure façon de trouver la bonne personne, au moins dans le monde de la nanobiotechnologie, ce n'est pas de choisir les diplômes les plus sophistiqués pour résoudre les problèmes les plus ardus, mais d'observer le comportement de milliers de personnes et d'identifier celles qui ont les meilleures facultés cognitives pour cette tâche.
  • Certains joueurs ont une capacité exceptionnelle à reconnaître les scénarios, une forme innée de raisonnement spatial que n'ont pas la plupart d'entre nous. D'autres (souvent «des grands-mères sans éducation», souligne Popovic) ont certaines compétences sur le plan social. «Elles arrivent à débloquer une situation en encourageant les gens à aborder le problème sous un autre angle.»
  • «A l'avenir, j'imagine que face aux nouveaux grands défis, nous proposerons des jeux et des puzzles qui exploitent avant tout les compétences nécessaires et trouvent des personnes expertes pour résoudre ce type de problèmes; la personne à la tête d'un tel réseau sera en possession d'un réseau de grande valeur»,
  •  
    "L'idée de réorganiser totalement le marché du travail de la base vers le sommet reste utopique. Le crowdsourcing a donné lieu à de profonds bouleversements dans des domaines aussi variés que le graphisme, le journalisme et la Recherche et le Développement d'entreprise, mais l'approche traditionnelle du sommet vers la base, avec laquelle presque tout le monde fait des affaires, demeure. " Mais le renouveau du crowdsourcing passe par les jeux vidéos, comme l'a montré l'exemple de Foldit et le repliage des protéines dans l'enzyme.
Aurialie Jublin

This "Airbnb For Skills" Will Liberate You From Your 9 To 5 | Co.Exist - 1 views

  • Ultimately, he sees freelancing as the future. “We’re coming towards an automation kind of economy; most of Amazon will probably be automated within 10 years. As technology is liberating us, we’re becoming less necessary for routine jobs. Like Arthur C. Clarke and Buckminster Fuller said in the 1960s, 90% of people should just stay at home and play in the parks and have fun. If you build automation for the society, then the society can be free--and that’s starting to happen.”
  • The new site may help make that transition a little easier. “Airbnb has liberated apartments, and we can liberate people from their 9 to 5,” Hooks says. “We believe that most of us can freelance, most of us can Airbnb our place, most of us can take a day off to hang out with friends. That kind of shared economy is a visionary idea that is happening now.”
  •  
    "More people are freelancing than ever before--by some estimates, around 42 million Americans. But entrepreneur Ryan Hooks thinks that eventually almost everyone will be able to leave their office jobs, and he's built a new website called Avbl to help. "Essentially it's kind of like the Airbnb model for skillsearch," Hooks explains. "Whatever city you're in, wherever you are in the world, you can search for a skill--like editor, designer, illustrator, or seamstress--and the results come up based on proximity and date." If someone needs a video editor today, or a web designer next month, they can search and book the right person."
Aurialie Jublin

L'Etat entrepreneur ouvert, nouvel avatar du numérique au service de la moder... - 1 views

  •  
    Décloisonnement et ouverture sont mis en avant, comme l'indique Jacques Marzin, son directeur : "Nous voulons favoriser l'intrapreneuriat (1) au sein même des administrations et que telle administration et même tel expert s'engage à réaliser un projet précis répondant à des besoins exprimés au cours d'un débat ouvert." L'Etat se veut "plateforme", c'est-à-dire que la logique ascendante fermée cède le pas à une logique horizontale ouverte : "Nous fournirons dans les semaines à venir un socle agnostique destiné à accueillir des API(2) sécurisées de différentes natures (principalement fournies par les administrations) qui elles-mêmes serviront à bâtir des applications multicanales à destination des usagers." La donnée comme bien commun - Culturellement, ce changement implique un choc, résumé dans un des "principes directeurs" : "Les administrations doivent accepter que leurs données relèvent du bien commun". Les API's seront en effet ouverte, ce qui signifie que des acteurs extérieurs pourront y accéder et les utiliser, par exemple pour développer de nouveaux services.
Aurialie Jublin

Conseiller en robots ou thérapeute de fin de vie : quels seront les nouveaux ... - 0 views

  •  
    "c'est le site américain Mashable qui relaie les pronostics d'une agence canadienne. Elle a imaginé dix métiers qui existeront en 2030 : le nostalgiste : un décorateur intérieur spécialisé dans les objets vintage ; le télé-chirugien : un chirurgien qui opère ses patients à l'aide de robots et des nouvelles technologies ; le « rewilder » qui se chargera de remettre de la nature dans nos villes ; le designer de poubelle qui créera des objets d'intérieur à partir de déchets ; l'expert en simplicité qui conseillera les web-entrepreneurs ; le « navigateur de santé » qui aidera à se repérer dans le système de santé ; le thérapeute de fin de vie ; le développeur du quotidien qui créera des jeux vidéo utiles au quotidien ; le conseiller en robots ; le super DJ qui mixera aussi à partir de vidéos."
Aurialie Jublin

La France du Bon Coin : le micro-entreprenariat à l'épreuve de l'économie col... - 0 views

  •  
    Un nombre croissant de personnes, tous statuts et niveaux de qualification confondus, optent pour le micro-entrepreneuriat. Trois évolutions expliquent ce phénomène (qui dépasse le cadre hexagonal) : le contexte économique dégradé, dans lequel il est parfois plus simple de créer son emploi que de le trouver, le développement des places de marché digitales facilitant un large accès au marché et la flexibilité introduite par le statut d'auto-entrepreneur.
Aurialie Jublin

Ce patron qui loge tous ses salariés à la même enseigne : 70.000 dollars par an - 0 views

  • C'est un article de deux psychologues recompensés par le Nobel (Angus Deaton and Daniel Kahneman) montrant que le bien-être émotionnel croît proportionnellement avec les revenus - mais seulement jusqu'à un certain point, que les auteurs évaluent à environ 75.000 dollars par an - qui a déclenché le déclic chez Dan Price
  •  
    "Un entrepreneur américain a décidé d'augmenter le salaire de tous ses employés, et d'abaisser le sien au même niveau."
Aurialie Jublin

Les nouveaux travailleurs de la consommation collaborative - Digital Society Forum - 1 views

  •  
    Ils sont auto-entrepreneurs et exercent leurs activités comme un à-côté irrégulier ; ils ne sont ni salariés ni considérés comme employés et pourtant ils doivent se conformer aux règles de travail dictées par des sites web ; certains tentent même de gagner leur vie avec ce système mais peu d'entre eux y arrivent. « Ils », ce sont les travailleurs de la consommation collaborative.
Aurialie Jublin

Perte d'emploi : pourquoi ne pas former les salariés à devenir des entreprene... - 1 views

  •  
    "Lors d'un plan social ou d'un plan de départ volontaire, les salariés qui le souhaitent pourraient suivre une formation entrepreneuriale pour maximiser leurs chances de retrouver une activité."
Aurialie Jublin

WeWork : un Linked-in... utile - Wired - A lire ailleurs - 0 views

  •  
    WeWork, réseau de coworking space implantés dans 7 grandes villes américaines + Londres, avec un réseau social, WeWork Commons, qui vise à apporter l'expérience que les coworkers connaissent dans les bureaux physiques en ligne, à tout le monde, partout. C'est un réseau social (de 15 000 personnes) où les membres partagent conseils et entraides. L'enjeu, apporter un outil de travail vraiment utile aux travailleurs indépendants, aux entrepreneurs de la freelance economy."
Chamila Puylaurent

Co-start invente le coworking low-cost - 0 views

  •  
    "Co-start est le premier espace de coworking low-cost de Paris à coté de la Bourse. Pour un montant de 150 € par mois/par personne et sans engagement, il accueille des entrepreneurs en équipe ou en solo."
Aurialie Jublin

Les mirages de l'auto-entrepreneuriat | AlterEco Alterecoplus - 1 views

  •  
    Etrange croisement entre ambition sociale et philosophie libérale, proposant un soutien aux plus modestes sur fond de critique de « l'assistanat », l'auto-entrepreneuriat se révèle être, derrière la valorisation de « l'individu-entrepreneur » et l'encouragement à la petite propriété, un outil d'(auto-)gestion des failles de la condition salariale, en particulier à ses marges. Répondant, selon Sarah Abdelnour, « à la résignation quant aux chances d'accès à l'emploi salarié et au refus du contrôle et du stigmate liés au chômage », il contribue avant tout à brouiller les frontières entre salariat et indépendance, entre chômage et inactivité. Il participe de ce fait au mouvement plus vaste « de privatisation des mécanismes d'assurance à l'œuvre dans la société française contemporaine ».
Aurialie Jublin

BBC - Capital - What happens when we work non-stop - 0 views

  •  
    It makes accidents more likely, boosts stress levels, and even causes physical pain. But the real problem is that many people just can't afford not to do it. According to latest International Labour Organization statistics, more than 400 million employed people worldwide work 49 or more hours per week, a sizeable proportion of the near 1.8 billion total employed people worldwide. In a recent interview with The New York Times, even entrepreneur Elon Musk felt moved to describe his 47th birthday spent locked in his factory, pulling an all-nighter. "No friends, nothing," he said. It might have been just another day in another 120-hour work week. "This has really come at the expense of seeing my kids. And seeing friends," he added.
‹ Previous 21 - 40 of 69 Next › Last »
Showing 20 items per page