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Aurialie Jublin

Travailler plus pour gagner rien ? Les créatifs contre le crowdsourcing - Rue89 - 0 views

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    "Au mois de mai, un groupe de créatifs, rassemblant designers, graphistes et photographes, poussait une grosse gueulante à l'adresse d'Axelle Lemaire, la secrétaire d'Etat chargée du Numérique. L'objet de leur colère : la start-up de « crowdsourcing » Creads est présentée par la secrétaire d'Etat comme « la France qui gagne ». On nous présente toujours le crowdsourcing comme une innovation saine et démocratique, inscrite dans le sens de l'histoire (numérique). Pourtant, un autre anglicisme commence à émerger sur la Toile : le « perverted crowdsourcing » - comprendre perverti, détourné."
Aurialie Jublin

Human Workers, Managed by an Algorithm | MIT Technology Review - 0 views

  • Now several startups, including CrowdFlower and CrowdSource, have written software that works on top of Mechanical Turk, adding ways to test and rank workers, match them up to tasks, and organize work so it gets double- or triple-checked. “In the past [crowdsourcing] has been more experimental than a real enterprise solution,” says Stephanie Leffler, the founder of CrowdSource. “The reality is that it’s tough to do at any kind of scale.”
  • Two years ago, researchers at New York University estimated that 41 percent of all jobs posted to Mechanical Turk were for generating spam, generating clicks on ads, or influencing search engine results (see “How Mechanical Turk Is Broken”).
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    "The 38-year-old resident of Kingston, Jamaica, recently began performing small tasks assigned to her by an algorithm running on a computer in Berkeley, California. That software, developed by a startup called MobileWorks, represents the latest trend in crowdsourcing: organizing foreign workers on a mass scale to do routine jobs that computers aren't yet good at, like checking spreadsheets or reading receipts."
Aurialie Jublin

Quand les internautes remplacent les entrepreneurs | Slate - 1 views

  • La meilleure façon de trouver la bonne personne, au moins dans le monde de la nanobiotechnologie, ce n'est pas de choisir les diplômes les plus sophistiqués pour résoudre les problèmes les plus ardus, mais d'observer le comportement de milliers de personnes et d'identifier celles qui ont les meilleures facultés cognitives pour cette tâche.
  • Certains joueurs ont une capacité exceptionnelle à reconnaître les scénarios, une forme innée de raisonnement spatial que n'ont pas la plupart d'entre nous. D'autres (souvent «des grands-mères sans éducation», souligne Popovic) ont certaines compétences sur le plan social. «Elles arrivent à débloquer une situation en encourageant les gens à aborder le problème sous un autre angle.»
  • «A l'avenir, j'imagine que face aux nouveaux grands défis, nous proposerons des jeux et des puzzles qui exploitent avant tout les compétences nécessaires et trouvent des personnes expertes pour résoudre ce type de problèmes; la personne à la tête d'un tel réseau sera en possession d'un réseau de grande valeur»,
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    "L'idée de réorganiser totalement le marché du travail de la base vers le sommet reste utopique. Le crowdsourcing a donné lieu à de profonds bouleversements dans des domaines aussi variés que le graphisme, le journalisme et la Recherche et le Développement d'entreprise, mais l'approche traditionnelle du sommet vers la base, avec laquelle presque tout le monde fait des affaires, demeure. " Mais le renouveau du crowdsourcing passe par les jeux vidéos, comme l'a montré l'exemple de Foldit et le repliage des protéines dans l'enzyme.
abrugiere

Parlez-nous du crowdsourcing ? dit le recruteur | elaee - 1 views

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    Le crowdsourcing utilisé par l'entreprise = du marketing participatif ou dudumping ? il s'agit en fait d'impliquer l'internaute dans la conception d'un produit en lui demandant son avis ou en lui proposant de voter (comme pour la création de nouvelles saveurs pour un produit alimentaire par exemple). =>réflexions sur l'aspect concurrentiel, droit du travail et même business models. La bataille ne fait que commencer
abrugiere

Crowdsourcing : peut-on (juridiquement) parler de travail gratuit ou pas ? - ... - 0 views

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    le crowdsourcing ("l'acte par lequel une entreprise ou une institution externalise une fonction préalablement assumée par des salariés vers un réseau indéfini et généralement large de personnes sous la forme d'un appel ouvert" d'après sa définition originale de 2006 le mouvement No!Spec sensibilise déjà le public depuis 1997 au travail spéculatif, les créatifs se sont organisés autour d'une pétition appelée "Travail Gratuit"
Aurialie Jublin

[Slides] Qu'est-ce que le Digital Labor ? (séminaire 26 mars 2013) d'Antonio ... - 2 views

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    La parution récente de l'ouvrage 'Digital Labor. The Internet as playground and factory', dirigé par Trebor Scholz couronne plusieurs années de recherches et fait connaître au public international un domaine émergent de réflexion autour de l'économie de la contribution d'Internet. Face aux exaltations du « don et contre-don hi-tech » et du rôle des amateurs (qui avaient marqué les études des usages TIC respectivement de la première et de la deuxième partie des années 2000), les théoriciens du digital labor pointent l'apparition d'activités sur les réseaux socio-numériques lesquelles, en tant que productrices de valeur, peuvent s'assimiler à du travail. C'est un travail banal, non spécialisé et à faible valeur marginale, comme effectuer des recherches sur Google, poster un lien sur Twitter, évaluer un produit. Mais c'est bien l'activité qui permet la création d'énormes bases de données exploitables par les géants du Web comme Facebook, ou fait vivre des plateformes d'externalisation massive du travail (crowdsourcing) comme Amazon MTurk. A partir de ce constat, bien des questions se posent : comment ce « travail numérique » réinterroge la notion même du travail et de la (co)production de la valeur ? peut-on parler d'exploitation ? nos vieux cadres d'analyse, nous permettent-ils de penser ce qui se joue là, voire de définir les contours d'un « capitalisme cognitif » ?
Aurialie Jublin

Understanding Fair Labor Practices in a Networked Age - 0 views

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    Internet-enabled technologies allow people to connect in unprecedented ways. Although everyday social practices are widespread and well known, these same tools are reconfiguring key aspects of work. Crowdsourcing and distributed labor technologies increasingly allow companies to outsource everything from mundane tasks (e.g., Amazon Mechanical Turk) to professional services (e.g., oDesk). Sharing economy - or peer economy - tools (e.g., Airbnb) allow people to barter goods or services or get paid for these exchanges outside of the dominant business framework. These services have enabled new forms of contract or freelance labor and reduced risk for companies; however, there is often an increase in risk for the associated laborers. At the same time, divisions between what constitutes work, hobby, and volunteerism get blurred, especially as many organizations rely on volunteer labor under the assumption that it's mutually beneficial (e.g., blogs and journalistic enterprises that republish work or see the offer of a platform as valuable in and of itself). While all of these labor issues have unmediated precedents (e.g., free internships), technology magnifies the scale of these practices, minimizes the transactional friction, and increases the visibility of unpaid and freelance work. Collectively, this raises critical questions about what fair labor looks like in a networked world, where boundaries dissolve and existing mechanisms of labor protection do not address the varied work scenarios now available.
hubert guillaud

Le crowdsourcing est-il l'avenir du travail de la classe moyenne ? - The Daily Beast - 2 views

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    En 2013, 75% des emplois ajoutés à l'économie américaine étaient des emplois à temps partiels. Demain, alors que de plus en plus d'emplois seront automatisés quel sera le travail des classes moyennes ? Et Sarah Kuunst du DailyBeast d'évoquer WunWun - https://wunwun.com - une plateforme qui propose de se faire livrer à la demande et à laquelle souscrivent beaucoup d'étudiants pour arrondir leur fin de mois. Pour certains d'entre eux, la livraison est devenue une activité à temps plein (la variabilité des pourboires est certainement assez attractive). Que dire du Mechanical Turk où seulement 8% des gens qui y travaillent régulièrement pour ce système reconnaissent avoir gagné suffisamment d'argent pour en vivre ? Sur Etsy, le vendeur moyen gagne 900$ par an... Pas vraiment de quoi se faire un complément de revenus... Le risque de l'ouverture des marchés via les plateformes en ligne n'est-il pas de faire baisser le prix de la main d'oeuvre ? s'interroge la journaliste.
abrugiere

Les travailleurs optent de plus en plus pour l'emploi à la carte | EurActiv.fr - 2 views

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    l'aspiration des individus à un travail épanouissant et adapté à leur projet de vie, qui contraint décideurs politiques et partenaires sociaux à repenser la relation d'emploi et le modèle social. une nouvelle réalité du travail faite de diversification des contrats, personnalisation des conditions de travail, porosité croissante entre vie privée et vie professionnelle, essor du travail indépendant. Le modèle unique a vécu, vive le travail à la carte ! Chacun veut désormais pouvoir « rester soi » au travail. Désormais, c'est le travail qui doit s'adapter aux contraintes personnelles et choix individuels (et non plus l'inverse). Demain l'emploi sera fragmenté, individualisé, à la carte. La relation de subordination sera remplacée par une relation de collaboration, dans laquelle la maîtrise et l'aménagement des tâches par les salariés eux-mêmes seront déterminants. Le modèle unique fondé sur le CDI et l'échange du travail du salarié contre un salaire est devenu caduc. On le constate déjà par la diversification des contrats de travail (près de 40 en France, en Belgique ou en Italie !) et par l'essor de nouvelles formes d'emploi (auto-entreprenariat, portage salarial, crowdsourcing…). Ma conviction est qu'on a sans doute atteint aujourd'hui, en France et en Europe, le point culminant du salariat.
Aurialie Jublin

Amazon's Turkers Kick Off the First Crowdsourced Labor Guild - The Daily Beast - 0 views

  • “[On Mechanical Turk], there’s no way to take coordinated action, because there’s no core,” Bernstein told The Daily Beast. “The set of employees on Mechanical Turk changes day to day,” he explained, and so strikes and protests—which may work for other crowd labor platforms like Uber—fail.
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    "Crowd labor platforms like Amazon Mechanical Turk operate with few rules and little protection for workers. But a new movement might change the landscape."
Thierry Nabeth

An Instant Path to an Online Army (Amazon's Mechanical Turk) - 0 views

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    IT'S been true for a while that if you need to transcribe an audio recording, find contact information for a company, summarize an article, or perform any number of routine tasks, an anonymous online worker can do the job for a small payment. Amazon's Mechanical Turk, for example, recently listed 230,000 available microtasks.
Thierry Nabeth

CSCW'2014 conference. Workshop: Back to the Future of Organizational Work: Crowdsourcin... - 0 views

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    This CSCW workshop will bring together researchers in social computing, organizational science, and workplace research, as well as industry experts to examine the implications of crowdwork on the future of organizational work.
Aurialie Jublin

Lettre ouverte à Axelle Lemaire - Non à l'exploitation du #travailgratuit en ... - 1 views

  • Sous couvert d'une dynamique start-up qui a les faveurs de la presse, l’ensemble des sociétés fonctionnant sur le principe du perverted crowdsourcing construisent leur offre commerciale sur les épaules d'une main d’œuvre qu'ils ne payent pas. Professionnels mais aussi particuliers par milliers y travaillent sans contrats ni statuts au mépris des plus élémentaires obligations légales. Dévoyant à leur seul avantage les fondations de l'économie collaborative, elles mettent en péril une part importante du tissu économique représenté par les indépendants et les petites structures, détruisant bien plus d'emplois qu'elles n'en créent.
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    "NON À L'EXPLOITATION DU #TRAVAILGRATUIT COMME MODÈLE DE RÉUSSITE EN FRANCE"
Aurialie Jublin

FouleFactory | Ressources as a service | Crowdlabor - 0 views

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    Service français reprenant le principe Amazon Mechanikal Turk
Aurialie Jublin

Digital platform labor : transformations du travail et nouvelles inégalités p... - 0 views

  • Ainsi, la SNCF ambitionne à monétiser les données de ses utilisateurs pour optimiser son réseau et pour faire évoluer son modèle d’affaires. Cet effort se manifeste par exemple par la création de TGVpop[5], un mix d’Uber, de Facebook et de la SNCF : certains trains ne circulent que s’ils affichent suffisamment de « likes ». Comme Laurent Gille l’évoque dans l’ouvrage Aux sources de la valeur –Des biens et des liens[6], ce sont ainsi les relations qui deviennent sources de valeur, et non plus des biens.
  • Dans ce contexte, les plateformes opèrent encore un autre changement, plus important pour notre propos : celui du ratio entre emploi formel – rémunéré par un salaire établi par contrat de travail – et travail implicite. Ce dernier apparaît lorsque les utilisateurs transmettent leurs données personnelles ou laissent connaître des comportements monétisables. La plateformisation transforme les entreprises en mécanismes de coordination d’acteurs sociaux qui opèrent une marginalisation – ou crowding out, c’est-à-dire éviction – de la force de travail. Un nombre de plus en plus réduit de personnes travaillent au sein de entreprises-plateformes (salariés formels) tandis que l’essentiel de l’activité est réalisé à ses alentours via des mécanismes d’externalisation (sous-traitance, offshoring, essaimage, etc.), où travaillent les communautés d’usagers.
  • Le service TxtEagle permet ainsi à des personnes vivant dans des zones rurales d’Afrique de réaliser des micro-tâches pour des micro-paies.
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  • Aujourd’hui, les plus grands réalisateurs de micro-taches se trouvent aux Philippines, au Pakistan, en Inde, au Népal, à Hong-Kong, en Ukraine et en Russie, et les plus grands acheteurs de leurs clics se situent aux Etats-Unis, au Canada, en Australie et au Royaume-Uni. Les inégalités classiques Nord/Sud se reproduisent à une échelle considérable. D’autant qu’il ne s’agit pas d’un travail résiduel mais d’un véritable marché du travail : UpWork compte 10 millions d’utilisateurs, Freelancers.com, 18 millions, etc.
  • Or, ce digital labor reste invisible et échappe aux statistiques et à l’encadrement classique du travail salarié. Cela pose des problèmes, d’une part, de protection des travailleurs et, d’autre part, de dissimulation du micro-travail dans n’importe quel usage numérique. Crowdsource, lancé récemment par Google, permet d’aider l’entreprise à améliorer ses services en traduisant des textes, en tagguant des images, en retranscrivant des phrases. C’est une version mobile d’Amazon Mechanical Turk. Mais depuis longtemps, chaque fois que Google Translate est utilisé l’amélioration du moteur de traduction est proposée à l’utilisateur. Il en va de même des re-captcha
  • Ainsi la plateforme américaine TSU[14] a développé un modèle d’affaires de rémunération de l’utilisateur : ce dernier crée un profil que TSU monétise en vendant les données à des régies publicitaires. L’entreprise captait donc 10 % sur chaque dollar perçu, l’usager 45 %, la personne qui a invité cet usager à créer un profil reçoit 30 %, et ainsi de suite. L’arrivée de chaque nouvel utilisateur donnerait lieu à une rémunération en cascade pour tous les membres du réseau. Même si personnellement je ne suis pas du tout d’accord avec ces idées de rémunération « à la tâche » ou « à la donnée », ces nouveaux modèles peuvent être perçu comme une manière d’organiser une redistribution de la valeur et de reconnaître le fait que chaque clic constitue un travail dont bénéficient ces plateformes.
Aurialie Jublin

Case Study: Fairmondo - Commons Transition Primer - 0 views

  • Originally founded in Germany in 2012, Fairmondo aims to federate and expand to create a global online marketplace, but with ownership firmly in hands of their local users. The German coop currently gathers over 2000 members who have invested over 600,000 euros in shares. It is open both to professional and private sellers and the products on offer have no general restrictions unless they are illegal or run counter to Farmondo’s values. The core values are fairness and the promotion of responsible consumption. Rather than having to find fairly sourced products from a variety of places, Fairmondo practically gathers them in federated, democratic platforms. The fairness of the products in question is assessed by a shared criteria which remains open to discussion and improvement by the members and the Fairmondo user base. The platform also includes certain products which are not necessarily fair trade, for example books, with more than two million on offer.
  • The economic democracy ethos surrounding ownership and control of the platform goes beyond the practices of most cooperatives. Fairmondo calls this “Cooperativism 2.0” and asks all new Fairmondo chapters to adapt the following seven Core Principles:
  • Consent and majority consensus:  90% of Fairmondo constituents must agree prior any modification to the general principles.
  • ...8 more annotations...
  • Democratic ownership and accountability to all stakeholders
  • Independence of individual vested interests: Disproportionate financial investments or investments by non-cooperative associations is prohibited.
  • Uncompromising transparency: Fairmondo’s commitment to full transparency may only be limited by jurisdiction-specific legal requirements of wherever the chapter is located.
  • nvolving the crowd: A Cooperative 2.0 structure promotes authentic crowd involvement while fostering confidence. Fairmondo has successfully used crowdfunding and crowdsourcing to strengthen the platform.
  • Open source: Fairmondo coops are committed to open source and innovation.
  • Fair, multi-constituent distribution of profit and wages: Dividends are distributed as broadly as possible, preventing individuals from accumulating more than their fair share. 25% is distributed to coop members through shares. 25% is distributed through “Fair Funding Points” (voluntary work is rewarded by points which legally stake a claim on future surpluses). 25% is donated to a number of non-profits chosen by Fairmondo members. The last 25% is pooled into a common fund used for the development of the wider Fairmondo project. Internal stakeholders (partners, staff, etc.) operate under a defined salary range ration of 1 to 7 from lowest to highest paid.
  • Since the creation of the German marketplace, Fairmondo has also federated to the UK. The objective of its internationalization process is that, once there are five Fairmondo nodes, these will be supported by a global framework organization which will be sustainably controlled and co-owned by the local cooperatives.
  • Fairmondo is an excellent example of an Open Cooperative, as it meets the four criteria: oriented towards the common good; multi constituent in nature; actively creates Commons; transnationally oriented. The  global organization’s vision is analogous to the role of the non-profit foundations outlined in the ecosystem of commons-based peer production.
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    "Fairmondo is a digital online marketplace managed by a multi-constituent cooperative focusing on fair commerce."
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