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hubert guillaud

Angelina Jolie et le 1% - Scientific American - 0 views

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    Pour le docteur Gayle Sulik, la double masectomie d'Angelina Jolie illustre notre entrée dans un nouveau temps de l'information médicale. Bien sûr, du fait de la présence du gene BRCA1 et de ses antécédents familiaux, Angelina Jolie a plus de chances que d'autres de développer un cancer du sein (mais seulement 5 à 10 % des cancers du sein impliquent ce gène), mais seulement une femme sur 600 qui ont cette variante sur leur gène augmentent leur risque de cancer. La médecine ne propose pas de boule de cristal pour savoir si le cancer va se développer, malgré les facteurs de risque : 70 % des personnes diagnostiquées avec le cancer du sein n'ont aucun facteur de risque connus. En conséquence, estime le docteur Gayle Sulik, de nombreuses femmes surestiment leur risque de cancer du sein. Beaucoup choisissent une double masectomie quand le cancer est détecté dans un sein, sans aucune raison médicale de le faire, autre que le surdiagnostic, le surtraitement et la surabondance de l'autosurveillance. Les tests génétiques explosent sur ce marché, mais avec plus de 1000 mutations identifiées des gènes BRCA (et d'autres à découvrir), les profils génétiques et la plupart des options de traitement ne sont pas si simples. On parle assez peu des difficultés post-opératoires des chirurgies de reconstruction mamaire, estime encore le docteur. Recommander les tests génétiques pour les profils à risque, comme le fait la société qui a breveté les gènes responsables du cancer du sein (et oui!), c'est oublier que la plupart des cancers du sein ne résultent pas de mutations génétiques héréditaires. Angelina Jolie peut recevoir les meilleurs soins. Ce n'est pas le cas de tous les autres et nous méritons une meilleure information médicale que les convictions de laboratoires cherchant à profiter de nos peurs.
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La culture de l'échec des startups détruit-elle l'innovation ? - Wired - 0 views

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    Pour la designer Erika HALL, l'échec est devenu à la mode dans la Silicon Valley... Parce que le risque d'échec est bien plus bas qu'il n'a jamais été... Et parce que nul ne se préoccupe plus de la recherche. Aujourd'hui, on parle de prototypage rapide, de startups agiles... Autant de concepts qui visent à éviter de se confronter à la recherche. Pourtant la recherche est préciseuse. Elle ne consiste pas seulement à demander aux gens ce qu'ils veulent ou comment ils se sentent. Et elle devrait être un outil plus utilisé qu'il ne l'est. Les focus groupes ne disent pas grand chose de comment les gens se comportent. Les gens peuvent vous dire qu'ils veulent plus de films de qualité, alors qu'en fait ils regardent des vidéos de chats sur le net. La recherche appliquée est plus que jamais utile aux affaires, estime la designer, parce qu'elle seule aide à comprendre les gens, à faire le tri entre l'irrationnel et le réalité... L'échec est maintenant un badge d'honneur . Quelque part le long du chemin , il a obtenu d'être cool de réduire son risque d'échec. Ce genre de pensée peut-être bien pour les entrepreneurs de se concentrer uniquement sur ​​leur risque personnel et la peur de l'échec, mais il a un réel coût financier, culturel , et la possibilité pour les entreprises. ( Le coût d'opportunité inclut tous les besoins qui ne sont pas satisfaits , car ils ne sont pas arrivées à se produire à un entrepreneur solitaire ou d'une équipe étroitement ciblées . ) Cette attitude est également embrassé et promu par des investisseurs de risque parce que la sagesse commune est que les investissements à haut risque ont un plus grand potentiel de hausse. Pour être franc : de nombreux VCs ne se soucient pas de savoir si un seul placement particulier connaît un succès à long terme. Ils ne se soucient que d'un pourcentage des entreprises dans leur portefeuille les filets d'un rendement élevé. Donc un résultat positif pour les investi
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La cartographie des risques selon Davos - LesEchos.fr - 0 views

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    Les organisateurs du Forum économique mondial de Davos ont présenté leur 9e rapport sur les risques mondiaux, listant les 31 menaces pour l'économie mondiale sur 10 ans. Les crises financières, le niveau élevé de chômage et l'accroissement des inégalités y sont vu comme les principaux risques. Mais surtout, c'est l'interconnexion des risques qui présentent les plus grands dangers estiment les experts de Davos. La carte des interconnexions met en avant un danger central : l'échec des instances de gouvernance mondiale à traiter ces défis. La crise de 2008 a accélérer la tendance au repli et la défiance envers les institutions internationales rendant les difficultés à agir toujours plus fortes. Pour Davos, les institutions internationales doivent se remettre en cause. Elles doivent apprendre à être plus efficaces et à agir plus rapidement... Pour les économistes de Davos, la solution passe par de nouvelles formes de partenariats publics-privés, associant Etats, entreprises et ONG, afin de relever les grands défis... Vers une privatisation de la gouvernance mondiale ?
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L'enfant surprotégé - The Atlantic - 0 views

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    En nous présentant The Land - http://bcove.me/65f2zhko - un nouveau concept de parc pour jouer destiné aux enfants à Plas Madoc dans le pays de Gales en Grande-Bretagne, Hanna Rosin pour TheAtlantic.com, nous parle de comment nous avons surprotégé nos enfants en leur proposant un environnement toujours plus sûr, toujours moins risqué, mais finalement peu propice à l'imagination, au danger... et finalement à la possibilité même de devenir adulte en étant confronté au risque. Or, prendre des risques, raisonnables, est essentiel au développement de l'enfant. A force d'exagérer les risques et les dangers, nous en sommes venu à une perte de confiance envers nos enfants qui risque de s'avérer plus que dommageable.
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Pourquoi le capital-risque français prend de moins en moins de... risques - L... - 0 views

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    "Sur les 351 millions d'euros investis par le capital-risque français, au second semestre 2012, 5% seulement ont été consacrés à du financement d'amorçage, la majorité des capital-risqueurs préférant les sociétés les plus matures, selon l'indicateur Chausson Finance. "
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La ville trop intelligente - The Boston Globe - 0 views

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    Nous sommes déjà en train de construire les métropoles du futur, mais souhaitons-nous vraiment y vivre ? Un nombre grandissant de penseurs des sciences sociales, de l'architecture, de l'urbanisme et du design commencent à sonner une note de prudence, estime Courtney Humphries pour le Boston Globe. La ville qui surveille ces concitoyens, même pour des raisons "utiles" empiète sur la liberté individuelle et ce d'autant que ces services seront demain au mains de partenaires privés. Le risque est que ces programmes de ville intelligentes nous détournent également d'autres solutions, non technologiques. Un changement massif dans les priorités urbaines menées en grande partie hors de la vue du public est en cours. Pour ces critiques, nous devons discuter de l'avenir de la ville avec les usagers, estime Anthony Townsend auteur de "Villes intelligentes : Big Data, les pirates citoyens et la quête d'une nouvelle utopie". Selon lui, ce sont les algorithmes de gouvernement qui doivent être mis en évidence plus que les données", or les villes sont plus préoccupées d'ouvrir leurs données que d'ouvrir les logiciels et les algorithmes des outils propriétaires qui façonnent la ville de demain. "Ce qui m'inquiète sont les lois de facto qui sont codées dans les logiciels des villes intelligentes sans examen du public." Les attentats de Boston ont montré combien la vidéosurveillance était omniprésente dans nos vies. Que se passerait-il si les sociétés qui les exploitent pouvaient les agréger et les analyser comme l'a fait la CIA ? Pour Townsend, nous devons nous méfier d'une approche centralisée des villes. Pour Adam Greenfield, le risque est celui d'une nouvelle planification urbaine, qui risque d'être aussi dévastatrice que celle du XXe siècle. Pour Townsend, le bureau des nouvelles mécaniques urbaines créées par la ville de Boston - http://www.newurbanmechanics.org - est un bon exemple de construction d'un débat citoyen autour de l'avenir de
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L'open data renforce-t-il le risque de désintermédiation ? | données ouvertes - 0 views

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    Simon Chignard n'a pas eu à quitter Google pour trouver les horaires du cinéma. Pour beaucoup d'acteurs, cette désintermédiation n'est pas un bon signal. L'open data est-il un facteur d'accélération de cette désintermédiation ? Pour Simon Chignard, le risque n'est pas nouveau : les désintermédiateurs d'aujourd'hui sont les désintermédias de demain. Le groupe Accor vend aujourd'hui la plupart de ses nuitées sur des sites partenaires, mais l'ouverture de ses données lui a aussi permis de développer ses propres applications et vendre directement à ses clients. Pour Simon Chignard, chaque cycle techno rebat les cartes de l'intermédiation. Pour y répondre, il faut identifier les données qui présentent le meilleur ratio de démultiplication de l'effet réseau par rapport à ce risque. La politique de semi ouverture des données d'Amazon a renforcé son positionnement plutôt que l'inverse. En fait, le problème n'est pas tant la question de l'intermédiaire que celle du partage de la valeur. 
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Voulez-vous savoir quand vous allez mourir ? - Passeur de sciences - 0 views

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    4 biomarqueurs (sur 106 testés : l'albumine, l'orosomucoïde, les lipoprotéines de basse densité et l'acide citrique) permettraient de prédire d'une manière étonnante le risque de mourir au cours des 5 années suivantes. Le résultat le plus déstabilisant de cette étude sur les "nécromarqueurs" : permettre de prédire un risque grave pour la santé chez des personnes "apparemment en bonne santé. Reste que le test de la mort ne sera pas disponible demain, des études complémentaires sont avant tout nécessaires. Une étude qui pose une question éthique autour des corrélations : si l'on sait détecter demain les personnes dont l'organisme risque de se déglinguer, reste à savoir comment y répondre. Et là, ce n'est pas si simple !
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Internet : la longue traîne n'a-t-elle toujours été qu'une utopie ? - Slate.fr - 0 views

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    Retour sur l'ouvrage d'Anita Elberse, professeure d'économie à Harvard, "Blockbusters" : plus que jamais à l'ère d'internet, c'est la tête et non la traine qui garde le pouvoir, à savoir les grosses productions et non les niches. La dynamique du gagnant qui rafle la mise est encore plus forte sur le net. Au cinéma, si les Majors prennent des risques avec les blockbusters, c'est parce que la promotion et l'invasion sont la meilleure façon de s'assurer contre les risques sur un marché par définition incertain. Anita Elberse étend sa démonstration à d'autres domaines culturels : édition, musique, sport... mais également dans le numérique, via Apple ou Netflix qui se transforme en studio, ou YouTube qui se met à créer des chaines et à mettre en avant les plus visibles. Pour Anita Elberse, l'allégorie de la longue traine tient de l'utopie. La logique Mainstream prend encore plus de puissance avec les outils numériques. Ce qui n'est pas sans effets collatéraux : manque de prise de risque, frilosité créative... réduction de la diversité et développement d'une polarisation extrême entre blockbuster et le reste. La conclusion de David Lacombled est finalement amusante, parce qu'elle reprend celle qu'on entend partout : internet a cependant un rôle à jouer pour réactiver la longue traine... et qu'il suffit que les citoyens promeuvent la diversité pour y remédier. C'est, il me semble croire que la façon dont le net est conçu est sans effet, alors que l'accélération de l'effet superstar en ligne montre exactement l'inverse. Perso, j'ai tendance à penser que pour créer la longue traine, il va nous falloir changer d'internet...
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Ce que Prism signifie pour les entreprises françaises | Le Cercle Les Echos - 0 views

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    Pour Fabrice Epelboin, la surveillance massive de la NSA fait porter de gros risques aux entreprises qui prennent un risque inconsidéré, si elle détient un savoir faire industriel particulier ou si elle participe à des appels d'offres, si elle utilise des programmes aussi anodin que Lotus ou Windows (sans parler des offres de Cloud computing, des logiciels de travail collaboratif comme SalesForce, etc.). Le Cloud souverain que prône la ministre de l'économie numérique est un leurre plus qu'une réponse. Aux entreprises de revoir en profondeur les risques qu'elles prennent à l'heure de l'état des révélations, selon que vous ayez ou non quelque chose à cacher au gouvernement américain, à ses alliés, à ses intérêts économiques.
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Ethan Zuckerman : "le risque de la recherche sociale et d'échanger la sérendi... - 1 views

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    Ethan Zuckerman a récemment utilisé Facebook Graph Search pour chercher un restaurant à Brooklyn recommandé par ses amis. Mais lors d'une démonstration du moteur, une personne avait fait la même requête pour générer une liste de femmes célibataires qui sont des amis d'amis et qui fréquentaient les restaurants de son quartier... Il y a une différence entre chercher à travers les connaissances et les préférences de nos amis et l'objet de nos requêtes... Pour Ethan Zuckerman, l'inquiétude que génère les moteurs de recherche sociaux ne repose pas sur le risque du harcèlement marketing, que le risque de réduire nos horizons... Pour lui, le prochain grand défi est de construire des réseaux qui nous permettent de nous connecter à des inconnus et découvrir l'inattendu.
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Tout peut être perdu : du risque de mettre toutes nos connaissances dans les ... - 0 views

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    Nicholas Carr se fait à nouveau le Cassandre de l'internet. Nous comptons sur nos ordinateurs pour faire voler nos avions, pour concevoir des bâtiments, pour auditer des entreprises, pour trouver des cancers... Mais que se passe-t-il quand l'ordinateur tombe en panne ? L'utilisation des pilotes automatiques dans les avions érode les compétences des pilotes et émoussent leurs réflexes. S'il a incontestablement contribué à l'amélioration de la sécurité des vols, il déqualifie l'équipage. Tant et si bien que de nouveaux types d'accidents sont relevés... L'administration fédéral de l'aviation américaine a récemment demandé aux compagnies d'obliger les pilotes à voler plus souvent en manuel... A mesure que les ordinateurs effectuent des tâches toujours plus complexes, qu'ils effectuent un travail d'analyse et de prise de décision, le logiciel réduit notre horizon et notre attention. L'automatisation ne se contente pas de supplanter l'activité humaine, elle la change. L'automatisation nous transforme en observateurs, inhibant le développement de nos compétences. Dans de nombreuses entreprises, nous prenons des décisions à partir de systèmes qui nous aident, au risque de moins comprendre les risques. L'exemple le plus marquant qu'utilise Carr provient de la petite ile d'Igloolik en Nunavut. Chez les jeunes Inuits, l'adoption de la technologie GPS a été très forte ces dernières années, mais les accidents de chasse grave se sont multipliés.
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Pourquoi un mauvais projet IT détruira une grande entreprise dans un futur pr... - 0 views

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    En 2003, Levi Strauss a pris la décision de reconcevoir son système informatique global pour un budget de 5 millions de dollars. Mais en 2008, le montant était de 193 millions et le système mis en place a forcé trois centres de distribution aux Etats-Unis à fermer une semaine ! Une étude vient de regarder les budgets de 1471 projets informatiques de multinationales. En moyenne, le budget est 27% plus cher que prévu, mais un projet sur 6 a un coût qui explose de 200% ! Cela signifie que le dépassement n'est pas une mesure inappropriée, mais que le budget prend peut en compte les risques associés à ce types de projets. Les projets informatiques sont désormais tellement vastes, ils touchent tant d'aspects de l'organisation qu'un risque singulier nouveau apparaît : ils peuvent faire sombrer une entreprise. Pour les chercheurs, ce n'est qu'une question de temps avant qu'un évènement extraordinaire ne se produise, et qu'un projet IT détruise une entreprise.
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Angelina Jolie, et la fin de l'assurance - Classe éco - 0 views

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    Pour Alexandre Delaigue, le développement de tests génétiques qui déterminent des risques de santé pose un problème sur le fonctionnement de nos sociétés et notamment de l'assurance. L'asymétrie d'information entre la victime du risque et celui qui l'indemnise ont une influence majeure sur la forme que prennent les institutions.. "il est fort possible qu'Angelina Jolie préfigure, dans une cinquantaine d'années peut-être, un monde dans lequel il sera aussi difficile de trouver des assurances décès, des assurances-santé, que des assurances-divorce aujourd'hui."
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Vers une refonte en profondeur du système WHOIS : avec quels risques ? - Zdne... - 0 views

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    "Un groupe de travail de l'ICANN a remis un rapport en vue d'une révision majeure du fonctionnement de WHOIS, le système de bases de données sur les noms de domaines Internet. La proposition d'une base unique et centralisée n'est pas sans risques…, avertit Pierre Col pour Zdnet.fr
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Dynamique et enjeux de l'iconomie - Michel Volle - 0 views

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    Michel Volle évoque "l'iconomie", une économie-fiction mûe par le système technique contemporain, qui deviendrait le but que le politique peut assigner à l'économie actuelle. Une économie fondée sur l'hypothèse des rendements toujours plus décroissants, qui ne fonctionne que das un système de concurrence monopolistique. "l'iconomie est un monde réduit à un point (les effets économiques de la distance géographique ont disparu), mais doué d'ubiquité puisqu'également accessible de partout, et où la fonction de production de chaque produit est à coût fixe." C'est là un modèle bien différent celui auquel les économistes sont habitués. Le coût marginal étant nul, il ne peut servir de repère pour déterminer les prix. Et le système a tendance à créer des monopoles sur chaque segment de types de produits. Chaque produit est un assemblage de biens et de services. Reste que cette iconomie n'est pas sans risque, souligne l'économiste : chacun cherche à assurer son monopole et comme l'iconomie est "une économie du risque maximum, le potentiel de violence y est porté à son maximum" dans une économie qui retourne à la prédation des temps féodaux. Rien de moins. 
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Ne pas faire de vélo, c'est dangereux pour la santé | L'interconnexion n'est ... - 0 views

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    Selon une étude de l'Observatoire régional de la santé d'Ile de France, les bénéfices de la pratique du vélo sont 20 fois supérieurs aux risques. "Faire du vélo n'est pas dangereux. Pédaler régulièrement, c'est améliorer sa santé. Une collectivité qui encourage la bicyclette épargne des vies humaines. Quand on multiplie par 2, 4 ou 10 la pratique du vélo, on augmente mécaniquement les bénéfices, mais aussi les risques, ces derniers dans une bien moindre proportion. Enfin, le principal danger auquel sont confrontés les cyclistes n'est pas l'accident, mais la maladie respiratoire."
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Les 3 paradoxes des Big Data- SSRN - 2 views

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    Selon les auteurs de l'étude, Neil Richards et Jonathan King, les spécialistes des Big Data prétendent que les décisions provenant de l'exploitation des données en masse sont plus rigoureuses que celles s'inspirant des connaissances traditionnelles. Mais ces promesses ne s'accompagnent pas des risques inhérent à toute nouvelle technologie. Et les auteurs de pointer 3 risques, 3 paradoxes qu'il conviendrait d'analyser. Le paradoxe de la transparence sur la légalité de la collecte. . Le paradoxe de l'identité, qui nie les identités individuelles qu'ils collectent. Et enfin le paradoxe du pouvoir, car cette transformation de la société par les Big Data se fait surtout au bénéfice des pouvoirs dominants.
hubert guillaud

Aux Etats-Unis, un logiciel peut vous faire sortir de prison... ou vous y laisser - RSL... - 0 views

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    "Les commissions de libération conditionnelle de quinze Etats américains s'en remettent désormais à des logiciels pour décider si un détenu doit ou non être libéré, rapporte le Wall Street Journal. Un algorithme décortiquant 50 à 100 facteurs évalue le risque de récidive afin d'aider à la prise de décision." Le but, réduire les coûts ! Le risque, que derrière les critères d'objectivité, se cachent des vérités cachées et des préjugés. Est-ce nos préjugés que nous mettons en algorithmes ?
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Comment enseigner le numérique au Royaume-Uni - Fing Live - 0 views

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    Daniel Kaplan relate sa rencontre avec Tom Kenyon, en charge du programme "Make Things do Stuff" - http://makethingsdostuff.co.uk - du Nesta britannique, un site et une campagne pour mobiliser la prochaine génération de makers en permettant de comprendre comment fonctionne la technologie, en favorisant la collaboration et le partage, via des actions de formation dans les écoles notamment. Make Things do Stuff n'est pas la seule initiative britannique pour promouvoir l'apprentissage des nouvelles technologies : bien au contraire, elles sont très nombreuses : Year of Code, Web for Everyone, Apps for Good, Code Club, Young Rewired State, Freeformers... Sans compter le développement de l'informatique dans les programmes scolaires eux-mêmes d'ici septembre... Mais Kenyon est assez critique de cette dernière initiative, qui risque de promouvoir une informatique aride, sans apport concrets pour les élèves... qui risque de plus desservir la cause de l'apprentissage technique à l'école que le contraire. Le Nesta travaille aussi à développer l'évaluation des méthodes et supports d'éducation. "Les données vont transformer le paysage" de l'éducation estime Kenyon... à la fois pour l'évaluation des professeurs comme des élèves et risquent demain de rendre les examens traditionnels obsolètes...
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