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hubert guillaud

Angelina Jolie, et la fin de l'assurance - Classe éco - 0 views

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    Pour Alexandre Delaigue, le développement de tests génétiques qui déterminent des risques de santé pose un problème sur le fonctionnement de nos sociétés et notamment de l'assurance. L'asymétrie d'information entre la victime du risque et celui qui l'indemnise ont une influence majeure sur la forme que prennent les institutions.. "il est fort possible qu'Angelina Jolie préfigure, dans une cinquantaine d'années peut-être, un monde dans lequel il sera aussi difficile de trouver des assurances décès, des assurances-santé, que des assurances-divorce aujourd'hui."
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Le féodalisme assure la sécurité - Wired.com - 0 views

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    Bruce Schneier, le spécialiste de la sécurité informatique, l'assure, c'est par le féodalisme que les grands de l'internet assurent la sécurité. Les fournisseurs de matériel contrôle le matériel et les logiciels que nous utilisons. Les services maintiennent les données pour nous. Ceci en raison de la commodité qui assure la redondance, l'automatisation et même (parfois) le partage. "La confiance est notre seule option". Parfois nous avons le contrôle sur les mises à jour, mais nous ne savons même pas ce qu'elles vont installer pour nous. Bref, être un vassal a ses avantages. Même si les seigneurs peuvent agir de manière arbitraire et capricieuse. Mais ils agissent toujours pour leur propre intérêts. Ces entreprises nous possèdent, peuvent nous vendre ou nous livrer aux autorités... Reste que nous recevons peu de garanties de protection en retour, que ces entreprises sont soumises à peu de règles et de restrictions. "Cette situation doit changer. Il doit y avoir des limites à ce que les vendeurs de nuages peuvent faire avec nos données". L'Etat centralisé a imposé la primauté du droit pour arrêter la féodalité, mais nos gouvernements ont renoncé à leur rôle dans le cyberespace. Il est tant que les gouvernements interviennent pour créer des environnements réglementaires qui protègent les vassaux des seigneurs.
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La boîte à outils antidélocalisation de Montebourg - LeMonde.fr - 0 views

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    "Pour aider les entreprises à faire leurs calculs, les services de Bercy ont mis au point un logiciel d'aide à la décision, appelé Colbert 2.0, sur le modèle de ceux développés en Suède et aux Etats-Unis par Barack Obama, dans le cadre de sa politique de "reshoring" (relocalisation). A travers 50 questions, qualitatives et quantitatives, celui-ci sera capable, assure-t-on chez M. Montebourg, de dire en quarante-cinq minutes quelles sont les raisons pour lesquelles l'entreprise doit rester ou venir en France. "Cela donnera une feuille de route aux chefs d'entreprise, avec un renvoi vers une liste d'aides dont ils peuvent bénéficier et de contacts à qui s'adresser, ce sera très opérationnel", explique M. Ragot, qui a travaillé durant six mois à la mise au point de ce logiciel, avec l'économiste El Mouhoub Mouhoud, professeur à Dauphine et spécialiste du phénomène des délocalisations. En cours de test, ce calculateur devrait être accessible gratuitement sur Internet à partir de mi-juillet." Autre outil mis à disposition des entreprises : une base de données recensant les caractéristiques des 320 bassins d'emploi que compte la France. "Tout sera répertorié, prix du foncier, taille des tuyaux d'alimentation en eau, puissance électrique disponible, niveau des taxes locales", assure-t-on à Bercy. Objectif : être capable d'orienter très vite vers deux ou trois sites les entreprises qui veulent s'installer dans l'Hexagone. "Il existe en France des endroits où on trouve la même concentration de services et d'emplois qualifiés que là où s'épanouissent les Mittelstand allemands, mais ils restent souvent méconnus ", déplore M. Ragot.
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Salariat ou revenu d'existence ? - La Vie des idées - 0 views

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    La vie des idées publie une longue et passionnante lecture critique d'André Gorz par le sociologue Robert Castel, qui dissèque la relation de l'emploi au travail et rappelle que ce couple a (au moins jusque dans les années 70) donner aux salariés des droits et des protections qui a formé une "citoyenneté sociale". Pour Castel, Gorz a sous-estimé la reconnaissance de l'utilité sociale du travailleur, celle qui commande son accès à l'espace public, qui le fait reconnaître comme sujet de droit. Le travail-emploi dignifie le travailleur en même temps qu'il l'aliène rappelle Castel, et n'est pas un travail marchandise sans rôle social. De cette critique, Castel en fonde une autre sur le revenu d'existence. Pour Castel, le revenu d'existence est une perspective inenvisageable politiquement et socialement. "On peine aujourd'hui à dégager 2 milliards d'euros pour financer le revenu de solidarité active (RSA) qui procure un médiocre revenu de subsistance (moins d'un demi SMIC) aux plus malheureux de nos concitoyens, que l'on stigmatise de surcroît en les accusant de devenir ainsi des parasites assistés. On ne voit pas quel régime politique, fût-il de gauche ou même d'extrême gauche (en France, en Europe, ou dans le monde ?), pourrait assurer les quelques dizaines ou centaines de milliards d'euros nécessaires pour garantir à tous un revenu « suffisant », que l'on travaille ou que l'on ne travaille pas. Si quelque chose comme un revenu de ce type se met en place, ce qui n'est pas exclu, ce sera nécessairement un revenu « insuffisant », assurant à peine des conditions minimales de survie - ce dont conviennent d'ailleurs la plupart des partisans de ces mesures dont les chiffrages sont beaucoup plus réalistes que ceux d'André Gorz. L'idée d'un revenu d'existence ou de citoyenneté « suffisant » me parait représenter le type même de la mauvaise utopie." Pour Castel, ce type de mesure entérinerait la rupture c
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Du DPI pour assurer le contrôle fiscal sur les données personnelles - Numerama - 0 views

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    Pour les avocats Winston Maxwell et Xenia Legendre, la solution pour procéder à la taxation des données personnelles impliquerait d'exiger des fournisseurs d'accès qu'ils procèdent au tri des données via la Deep paquet inspection (DPI). Techniquement possible, une telle mesure risquerait d'être perçue comme une intrusion des pouvoirs publics dans le contenu des flux échangés. Bref, taxer les données personnelles est une idée stimulante, mais peut-elle devenir autre chose qu'une idée théorique ?
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Puissance, pollution et internet - New York Times - 0 views

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    Contrairement à l'image de propreté environnementale que les centres de données souhaitent se donner, James Glanz, pour le New York Times souligne que ceux-ci sont souvent pointé du doigt pour enfreindre les règlements écologiques aux Etats-Unis. Dans la Silicon Valley, nombre de data centers apparaissent sur Toxic Air, le répertoire des risques de contamination du gouvernement. Dans le monde, on estime que les entrepôts numériques utilisent 30 milliards de watts d'électricité, soit l'équivalent de 30 centrales nucléaires, dont les Etats-Unis assurent 1/4 à 1/3 de cette charge.
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Mettre un frein aux échanges du marchés - NYTimes.com - 0 views

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    Roger Lowenstein, directeur de Sequoia Fund, évoque le besoin de réglementer la finance à haute fréquence (High-frequency trading), qui assure désormais 50 à 70 % des transactions sur les marchés boursiers. Le but des marchés financiers n'est pas de jouer au Casino, mais de fournir des liquidités pour investir. Si le marché est fondé sur des algorithmes qui se démodent en une nanoseconde pour exploiter des écarts de prix qui ne durent que quelques secondes, nous risquons surtout de nous retrouver avec des investissements inutiles... Un ancien trader a déclaré à la commission du Sénat américain chargé d'enquêter sur ces pratiques que cette technologie était une force destructrice du marché, sans aucun avantage social. Faut-il taxer les investissements qui arrivent à échéance en quelques secondes ? En tout cas, nombre de pays cherchent le bon curseur de la régulation.
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L'équilibre entre la vie privée et l'innovation dans la santé reposera sur le... - 0 views

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    Alex Howard pour O'Reilly Radar interviewe Deven McGraw - @HealthPrivacy -, le directeur du projet de protection des renseignements personnels de la santé au Centre pour la Démocratie et la Technologie (CDT). Pour ce dernier, préserver la confidentialité des données de santé est primordial. Nul ne doit pouvoir obtenir et utiliser des données de santé qui puisse lui permettre de porter atteintes aux personnes auxquelles les données font référence. L'important est de bâtir un écosystème de confiance autour des données de santé et assurer aux gens qu'aucune donnée ne sera transmise à ceux qui n'ont pas besoin de les connaître. Or, nous en sommes loin. Les données de santé sont des données sensibles et toute la chaîne qui souhaite les utiliser doit en être conscient. Idéalement, pour que les gens soient informés, vous leur donnez une somme exhaustive d'information, mais ce n'est pas une solution. La recherche doit certes pouvoir accéder aux données, mais il faut que cela se fasse via des infrastructures fiables, transparentes, ouvertes, où la vie privée est respectée. Le débat ne doit pas être entre plus ou moins de vie privée, mais doit apporter un écosystème dans lequel les gens ont confiance. Les gens sont capables d'être à l'aise avec les nombreuses utilisations de leurs données (même s'ils seraient parfois surpris aujourd'hui), même vis-à-vis de l'utilisation de certaines d'entres elles qui ne leur sont pas nécessairement directement utiles à eux. Les êtres humains sont le plus souvent assez généreux, ce qu'ils n'aiment pas s'est être surpris par des usages inattendus.
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Le Graph de Facebook c'est OkCupid, LinkedIn et Yelp... tout en un - The Atlantic - 0 views

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    Facebook s'est enfin doté d'un moteur de recherche, le GraphSearch - https://www.facebook.com/about/graphsearch - qui est un moteur personnel, social et sémantique. Personnel, car nul ne verra les mêmes résultats. Social, car il ne donnera accès qu'à des résultats liés à votre réseau relationnel. Sémantique parce qu'il distingue des catégories d'objets : les lieux, les centres d'intérêts, les photos... On va ainsi pouvoir lui demander de nous montrer des photos de nos amis à Paris, les dentistes que préfèrent nos amis, si certains de nos amis connaissent des gens travaillant pour telle ou telle société, des photos d'amis qui aiment Game of Thrones, etc. Facebook assure que son moteur ne mettra pas à disposition des informations qu'on n'a pas partagé avec une relation, et qu'il respectera la confidentialité... Reste qu'il va sortir d'étranges choses de nos passés. Car Facebook jusqu'à présent privilégiait le flux présent et enterrait nos passés dans une lontaine invisibilité, que même la TimeLine n'avait pas réussi à remettre à jour. Jusqu'où Facebook nous permettra-t-il de chercher dans ses entrailles ? Pas trop profond espère-t-on ?
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Le côté iréel de l'information sans fin - NYTimes.com - 0 views

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    Keep Calm and Carry On, on se souvient du slogan britannique ("Gardez votre calme et tenez bon") - dont Loup Espargilière retrace l'étonnante histoire : http://loupespargiliere.blog.lemonde.fr/2013/02/19/keep-calm-and-carry-on-met-le-flegme-britannique-a-rude-epreuve/ . Désormais, détourné à gogo, le slogan s'affiche n'importe comment, comme ce "Restons calme et violons à max" apparu sur des tee-shirts dans la boutique anglaise d'Amazon. En fait explique Morozov, ce détournement du texte était généré par un algorithme à la recherche d'un slogan marquant. "C'est le théorème du signe infini appliqué au produit : avec le temps, les algorithmes produiront un t-shirt que quelqu'un veut." Et Morozov d'expliquer que les algorithmes vont démultiplier ces produits fantômes, à l'image des 100 000 livres générés algorithmiquement par le professeur de marketing Philip Parker. L'impression 3D également va rencontrer le choc algorithmique, assure Morozov. Quand tout peut potentiellement devenir un achat, dans un monde où nous sommes continuellement surveillés, et où on nous envoit des informations et des produits en regard de cette surveillance automatique, tous les produits peuvent s'adapter. Nous devenons des machines d'information anxieuses et notre névrose ne semble guérissable que par la consommation sans fin des recommandations que nos machines produisent pour nous. "Gardez votre calme et achetez-moins", voilà un tee-shirt qu'il est peu probable que les algorithmes nous recommande.
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Vous êtes vos données : l'effrayant avenir du Quantified Self- PandoDaily.com - 0 views

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    Michael Carney pour PandoDaily s'affole de voir des gens partager avec autant de désinvolture des données de santé hautement personnelles avec des constructeurs d'appareils, sans même sembler regarder les implications potentielles. Or toutes ces données intéressent du monde, comme nos assureurs, nos banquiers... Nous faudra-t-il arrêter d'acheter des hamburgers avec nos cartes bancaires pour éviter toute menace d'augmentation de son assurance santé ? Beaucoup attendent du gouvernement qu'il protège les consommateurs des atteintes à leur vie privée, mais le plus souvent le législateur se contente de réagir aux problèmes. C'est donc à chacun d'entre nous de protéger ses données. Or, quand on regarde les CGU des appareils qui nous mesurent, pour l'instant elles sont souvent assez favorable au consommateur, mais elles peuvent rapidement être modifiées. Pas tous. Reste que les politiques de confidentialités des outils sont très différentes. Jawbone se réserve le droit de partager les informations des utilisateurs avec des tiers. Nike essentiellement avec les autres services de Nike. Fitbit ne partagera que des données cumulatives ne permettant pas d'identifier les utilisateurs, mais aussi à des annonceurs... Peut-être est-il tant de faire le ménage ?
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Avec le "cloud housing", l'Espagne tente de réinventer le logement - Slate.fr - 0 views

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    Le Cloud housing, c'est payer son logement selon l'usage qu'on en a. C'est aussi un projet responsable, environnemental et social assurent ses promoteurs. L'immeuble fonctionne comme une entreprise qui se charge de gérer l'ensemble des charges et services nécessaires, négocie les meilleurs tarifs et s'assure du bon fonctionnement de la communauté. Les espaces communs peuvent inclure une garderie, un garage, un espace buanderie avec machines à laver et à sécher, un garage avec voitures et vélos à partager, une bibliothèque, des salles de sport, de jeux, ou encore des potagers installés sur le toit. Dans le projet de cloud housing, ce sont plusieurs immeubles qui sont gérés sous le même modèle. Chaque famille dispose de son propre appartement, mais peut facilement en changer, dans le même édifice ou n'importe quel autre édifice dans le pays fonctionnant en cloud housing. Le cloud housing offre une flexibilité qui s'adapte aux changements constants de notre vie personnelle et familiale. Les habitants ne paient ni un loyer ni un crédit, mais un «paiement par usage», une mensualité calculée chaque mois selon l'utilisation de l'espace et des services.
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Ne croyez pas la mode : voici ce qui ne va pas avec l'économie du partage - T... - 0 views

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    Pour Milo Yiannopoulos, fondateur de The Kernel, qui s'exprimait récemment à la conférence LeWeb à Londres, l'économie du partage n'est pas le partage, explique-t-il dans une charge couillue et libérale. Ni Airbnb ni Uber ne proposent du partage, c'est de nouvelles formes locatives. L'économie du partage n'est pas une économie non plus, c'est le contraire. Cela favorise un comportement de "sauterelles". L'économie du partage est dangereuses : des gens conduisant sans permis ni assurance peuvent vous proposer de vous emmener quelque part. L'économie du partage est une mauvaise politique. Elle ne fonctionne que pour les gens riches. Les systèmes de consommation collaboratifs ne sont pas nouveaux et n'ont jamais été autosuffisants. Et ceux qui dirigent l'économie du partage n'en partage pas vraiment les richesses. Elle ressemble à une secte, qui est livrée avec un bagage politique qui est l'antithèse de l'esprit d'entrepreneuriat.
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ARP FUTURPROD : rapport final en ligne - ANR - Agence Nationale de la Recherche - 0 views

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    L'atelier de réflexion prospective sur les systèmes de production du futur, initié en 2011 par un groupe de 35 experts, a rendu son rapport de conclusion : http://cluster-gospi.fr/IMG/pdf/Rapport_final_-_ARP_-_V6.pdf Les rapporteurs ont identifié 10 enjeux de recherche : - Développer de nouvelles technologies intelligentes - Développer les outils pour concevoir et organiser les systèmes de production - Développer de nouvelles compétences professionnelles - Produire et distribuer dans les chaînes logistiques du plus près des marchés au monde entier - Produire de façon éco-efficiente - Produire en assurant sécurité et santé au travail - Concevoir des fonctionnalités plus que des produits - Inventer de nouveaux dispositifs de collaboration - Améliorer la responsabilité des entreprises - Supporter l'innovation participative  Réindustrialiser la France demande de répondre à ces défis concluent les auteurs. Nous avons besoin d'une approche systémique pour transformer les systèmes et pas seulement les optimiser. 
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Rage contre la machine | Classe éco - 0 views

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    Pourquoi le niveau de vie baisse-t-il ? La faute à la crise ? Non, son origine lui est antérieure estime Alexandre Delaigue. La stagnation de la démocratisation scolaire alors que la technologie nécessite toujours une meilleure formation explique l'accroissement des écarts de rémunération. La diminution de la fiscalité des plus hauts revenus sans redistribution est l'autre explication. Mais surtout, la technologie est venu bouleverser le rapport au travail en permettant une surveillance inédite des individus, permettant de moins avoir à motiver les salariés. Pour Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee, l'évolution des technologies joue aussi un rôle en rendant les compétences plus rapidement obsolètes, en concentrant les gains sur un petit nombre de personnes et en biaisant les gains au bénéfice des détenteurs du capital des entreprises. Demain, l'automatisation pourrait accroître ce phénomène en automatisant des tâches jusqu'à présent qualifiées et donc continuer à diminuer l'apport éducatif. "Si ces tendances se confirment, il sera bien difficile de compter sur l'éducation et la formation pour assurer le revenu du plus grand nombre. Il ne restera que la fiscalité, en particulier la fiscalité du capital, et un niveau de redistribution plus élevé qu'aujourd'hui, par exemple sous la forme d'une allocation universelle. En tout cas, il serait particulièrement hasardeux d'espérer que la sortie de crise viendra rétablir la situation pour les salariés", conclut Alexandre Delaigue.
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Comment les assureurs identifient de mieux en mieux les risques - La Tribune.fr - 0 views

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    Discrètement, les assureurs s'intéressent au Big Data. L'enjeu : un changement de modèle pour l'assurance permettant de mettre en place une tarification selon le comportement du client et non plus par groupe...
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Réindustrialiser les territoires... chiche ! - Tribune, LeMonde.fr - 0 views

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    "Un "territoire innovant " n'est pas seulement un lieu où il y a de l'innovation. C'est un endroit qui assure aux réseaux d'entreprises les conditions de leur pérennité : il sait organiser les entreprises pour capter de nouvelles idées de marchés ; il les accompagne dans leur croissance en sécurisant leur accès à toutes les ressources, salariés, formation, services et savoir-faire ; il est aussi capable de mobiliser de nouvelles organisations économiques, sociales et solidaires", expliquent les auteurs de cette étrange tribune pour vanter les mérites de l'innovation sociale et solidaire sans afficher de principes clairs. 
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Les interfaces cerveau-ordinateur s'apprêtent à devenir mainstream - Bits, Ny... - 0 views

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    Programmer les Google Glass pour qu'un hochement de tête active certaines commandes... A l'avenir, nous n'aurons plus besoin de gestes pour commander au monde, explique Nick Bilton. Des chercheurs de Samsung testent des tablettes qu'on commanderait par la pensée, rapportait récemment la Technology Review : http://www.technologyreview.com/news/513861/samsung-demos-a-tablet-controlled-by-your-brain/ . Après Neurosky ou Emotiv, voici arriver Muse - http://interaxon.ca -, un bandeau qui se porte sur la tête et qui permet d'entraîner son cerveau à commander des applications sur son smartphone... Le projet BrainGate, lancé par le professeur John Donoghue - http://news.brown.edu/pressreleases/2012/05/braingate2 - a permis à deux personnes paralysées d'utiliser un bras robotique grâce à l'implant d'une puce dans leur cerveau. Miyoung CHun, une biologiste moléculaire, travaille à la Kavli FOundation sur le projet Brain Activity Map Project - http://www.nature.com/nm/journal/v19/n4/full/nm0413-387.html - et assure que de nouveaux types d'interfaces cerveau machine devraient être disponibles d'ici deux ans, permettant de changer de chaîne de télévision seulement en y pensant. Reste qu'elles ont encore du mal à estimer si ce à quoi vous penser nécessite action ou non. 
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Quand vos données déambulent dans des lieux où vous n'êtes jamais allés - NYT... - 1 views

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    Natasha Singer pour le New York Times rapporte l'histoire d'une amie invitée à un évènement autour de la sclérose en plaque, alors qu'elle n'est pas atteinte de cette maladie. Pourquoi a-t-elle alors été invitée ? Des recherches en ligne sur cette maladie ont-elles suffit à faire croire à une entreprise qu'elle pouvait en être atteinte ? Quelles conséquences ce profilage pourrait-il avoir pour elle ? Pourra-t-elle demain se voir refuser une assurance vie à cause de ce profil ? Qui a tracer ce profil ? Comment le corriger ou le faire corriger ? Pour le sénateur américain John D. Rockefeller IV, ardent défenseur du Do Not Track, la vie privée doit rester un droit fondamental. Reste que l'option Do Not Track ne dit rien des données déjà récoltées par les sociétés de marketing internet, d'où le fait que le Sénat américain ait ouvert une enquête sur ces pratiques. La journaliste a retrouvé d'où provenait les données de son amie, reste que la lutte est inégale, souligne le sénateur : aujourd'hui, les courtiers de données peuvent acheter vos enregistrements médicaux et vos données financières, tant et si bien qu'on se demande ce qu'ils ne peuvent pas acquérir.
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Pourquoi est-il moins coûteux de payer plus ses employés ? - Les Echos - 0 views

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    Jérôme Barthélémy, professeur de management à l'Essec, revient sur une étude comparant Wal Mart et Costco, deux enseignes de distribution américaine. Alors que Wal-Mart est connu pour ses salaires peu élevés, Costco, elle, a des salaires bien plus élevés (40 %) et fait bénéficier à 82 % de ses salariés d'une assurance santé.... Une politique trop généreuse ? Non, estime une étude. Le turn-over de Costco n'est que de 17 % contre 44 % chez Wal-Mart (on estime que le coût induit du remplacement d'un salarié se monte à 60 % de son salaire annuel). En fait, la politique salariale plus généreuse de Costco lui permet d'économiser 387 millions de dollars par an ! A la plus grande fidélité, il faut ajouter une plus grande productivité. Au final, le coût de la Main d'Oeuvre de Cotsco est plus faible que celle de Wal-Mart !!!
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