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AN - Aff. Etrangères - Rapport d'information Dérèglements climatiques et conf... - 0 views

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    Mobiliser la diplomatie climatique pour atténuer les dérèglements climatiques et réduire leur impact sur les conflits 1) Renforcer les efforts diplomatiques entrepris pour faire respecter l'Accord de Paris (COP21), en encourageant des stratégies nationales plus ambitieuses et plus concrètes ; 2) Revoir les objectifs fixés à Paris à la hausse lors des prochaines COP ; 3) Accélérer la transition énergétique de la France et de l'Union européenne pour parvenir aux objectifs de neutralité carbone affichés ; 4) Organiser une nouvelle conférence internationale de recapitalisation du Fonds vert pour le climat à Paris afin de financer des projets d'atténuation et d'adaptation aux dérèglements climatiques dans les pays en voie de développement ; 5) Renforcer le partenariat entre l'Agence française de développement (AFD) et le Fonds vert pour le climat ; 6) Utiliser la COP26 pour redéfinir les financements climat après 2020, augmenter leur montant et les orienter davantage vers les pays en développement les plus vulnérables ; 7) Promouvoir la thématique climat et sécurité au sein de toutes les organisations internationales pertinentes, et notamment au sein des organisations régionales ; 8) Soutenir la mise en Å“uvre de la feuille de route Changement climatique et défense proposée par le Service européen d'action extérieure (SEAE) ; 9) Organiser des sommets internationaux dédiés à la thématique et des événements parallèles (side events) lors des conférences internationales sur le climat ; 10) Maintenir une diplomatie active sur la thématique au sein du Conseil de sécurité de l'ONU et financer le développement du Mécanisme climat et sécurité ; 11) Promouvoir la thématique « climat et sécurité » au sein de l'OTAN en créant un centre de recherche dédié ; 12) Proposer un cadre juridique plus protecteur pour les déplacés climatiques ; 13) Accroître le soutien financier de la France et de lâ
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Odoxa - Les Français et la mobilité : la voiture est toujours plébiscitée et ... - 0 views

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    "Jamais les modes de transports et moyens de mobilité mis à disposition des Français n'auront été aussi nombreux et diversifiés et jamais ils n'auront autant été utilisés. 7% des Français utilisent ainsi déjà la trottinette électrique, 13% les scooters et motos et près d'un Français sur deux (48%) utilise (réutilise car c'est un « come-back ») le vélo ! 0 % Mais surtout, ces modes de transports nouveaux ne sont pas vécus à l'exclusion des « anciens » moyens de transport comme les transports en commun et la voiture, mais bien en complémentarité avec ceux-ci. D'ailleurs, 28% des Français - le double en région parisienne - utilisent plusieurs moyens de transports distincts pour leurs trajets quotidiens. 0 % Surtout, la « concurrence nouvelle » de ces nouveaux modes de transports n'induit pas de rejet des modes de transports traditionnels. Au contraire, notre étude montre même que la voiture est toujours, et de loin, le mode de transport le plus utilisé (93% des Français l'utilisent dont 47% tous les jours ou presque) mais surtout, le plus apprécié y compris par ceux qui l'utilisent moins (par incapacité). Ainsi, en passant au crible plus d'une dizaine de dimensions s'agissant des critères les plus importants en termes de mobilité, et en mettant en concurrence la voiture avec l'ensemble des autres modes de transport, c'est l'auto qui vire largement en tête. Enfin, et surtout, notre étude sur la mobilité nous permet de montrer toute la diversité des comportements, usages et attitudes des Français en les distinguant en 7 grandes catégories de populations en termes de mobilité. Ces groupes ont pu être constitués à la fois en tenant compte des rapports spécifiques à la mobilité enregistrés dans l'étude, mais aussi en intégrant les dimensions socio-démographiques inhérentes à l'enquête. Des « multimodaux » ou des « écolomobiles » urbains, jeunes et diplômés aux
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Terra Nova - Pour une stratégie climatique audacieuse : Des propositions pour... - 0 views

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    La COP 21 et l'Accord de Paris ont marqué en 2015 l'émergence d'un nouvel espoir : celui d'une action mondiale en faveur de la lutte contre le changement climatique. En tant que pays organisateur, la France a joué un rôle facilitateur unanimement salué. Le chemin vers la mise en œuvre de l'accord de Paris reste cependant jonché d'obstacles et de difficultés. Le rôle de l'Union européenne et, en son sein, de la France, sera crucial dans les prochaines années et décennies pour transformer en actes les promesses faites à Paris, à la fois pour montrer l'exemple d'une transition vers une économie bas-carbone réussie, mais aussi en jouant de sa place sur la scène mondiale pour faire émerger une coalition d'Etats désireux de rehausser leurs ambitions, entraînant les autres pays à leur suite. Pour nous européens, l'enjeu de la réduction des émissions de CO2 associées à une formidable opportunité économique : opportunité en termes d'activité et d'emploi dans les secteurs de la transition énergétique, opportunité de rééquilibrage de la balance commerciale de l'Union et d'accroissement de notre sécurité énergétique, et enfin opportunité de régulation de la mondialisation et de lutte contre le dumping environnemental. Le succès de la COP 21 ne doit pas avoir pour résultat paradoxal d'éclipser les enjeux climatiques de l'élection présidentielle à venir. Il faudra au contraire lutter contre leur instrumentalisation à des fins populistes, et exiger des candidats qu'ils développent leur vision pour faire face à l'un des plus grands enjeux du 21ème siècle. La lutte contre le changement climatique est une course contre le temps, et chaque quinquennat compte. Terra Nova publie ses propositions pour agir sans attendre, et invite chacun des candidats à l'élection présidentielle à faire de même. Les neuf propositions de Terra Nova : 1. Promouvoir la diffusion des systèmes de tarificati
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CESE - Résolution - Construire Demain - 0 views

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    La crise du Covid-19 a bouleversé nos vies, elle a révélé et parfois même exacerbé les inégalités et les failles de notre société. Le CESE ainsi que l'ensemble des représentants des organisations qui y siègent se sont organisés pour réfléchir collectivement à « l'après ». Ce sont ainsi toutes les formations de travail qui se sont attelées, aux côtés de la société civile, à identifier les sujets et les actions à mettre en place pour se préparer aux conséquences de cette crise sanitaire. La résolution « Construire demain » donne les pistes d'actions du CESE pour aborder l'après Covid-19. Patrick Bernasconi, président du CESE et rapporteur de la résolution, déclare : « Cette crise sanitaire nous a amené à poser un regard nouveau sur nombre de sujets qui touchent à notre quotidien, à celui de nos concitoyens, à notre pays, à l'environnement dans lequel nous vivons, à notre devenir. » Produite par la société civile organisée, elle est articulée autour de quatre axes interrogeant notre modèle, nos modes de délibération, nos investissements et notre protection sociale. Ces quatre axes, ensemble, dessinent un horizon et des pistes pour aujourd'hui. Martine Vignau, membre du Bureau du CESE, déclare dans la présentation faite à l'assemblée : « Cette résolution, produite par la société civile organisée, au plus près du terrain, à vocation à dépasser les murs de notre chambre pour irriguer l'ensemble de la société. Elle est une des réponses au bouleversement du monde qui vient, une réponse résolument optimiste, celle d'une société portant en elle une confiance résolue dans l'avenir. » Repenser notre modèle, délibérer ensemble, cibler nos investissements, développer nos protections, tel est le combat qu'il convient de mener avec détermination pour redonner confiance à toutes et tous. Pour y parvenir, le CESE propose un chemin : Définir la société que nous voulon
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Ademe - Synthèse - Etude sur la caractérisation des effets rebonds induits pa... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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Ademe - Rapport final - Etude sur la caractérisation des effets rebonds indui... - 0 views

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    Présentation du Journal de l'Environnement Dans une nouvelle étude, l'Agence de la transition écologique (Ademe) a caractérisé les « effets rebond » du télétravail, comprenant l'usage de la visioconférence, qui minorent d'un tiers les bénéfices environnementaux induits par cette pratique. Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail En cette période de crise sanitaire du coronavirus, le Gouvernement recommande de continuer à privilégier le télétravail, lorsque cela est possible. L'Agence de la transition écologique (Ademe) a étudié, en juillet dernier, l'impact du travail en ligne à domicile qui a été plébiscité par les salariés pendant le confinement. Dans une nouvelle étude publiée le 22 septembre, l'Ademe prévient toutefois des « effets rebond » qui pénalisent les bénéfices environnementaux de cette pratique. L'agence a mené une enquête terrain auprès de 26 organisations françaises comptant 350 000 salariés. Ces entreprises ont été interrogées sur leur politique en matière de télétravail actuelle et future, permettant de caractériser les éventuels effets rebond. Ainsi, l'absence de trajets quotidiens pour aller au bureau est le principal avantage des télétravailleurs. Un jour de télétravail permet en effet de réduire de 69 % le volume des déplacements du jour. L'Ademe estime que la réduction des trajets domicile-travail génère un bénéfice environnemental moyen de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) annuels, par jour de télétravail hebdomadaire. Pour les entreprises, l'agence ajoute aussi des bénéfices, en intégrant les réductions des surfaces immobilières qu'il induit, quand il est couplé « au flex office ». C'est-à-dire lorsque les collaborateurs d'une entreprise ne disposent plus de poste de travail attitré. La balance environnementale globale du télétravail augmente de 52 % par jour de télétravail hebdomadaire, si le télétravai
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IFRI - Le paysage des énergies renouvelables en Europe en 2030 - 0 views

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    Cette étude analyse les règles européennes destinées à promouvoir les énergies renouvelables, en pointant leurs nouveautés et les difficultés qu'elles soulèvent. Elle souligne les conséquences de certaines des mesures envisagées et accorde une attention particulière au marché de l'électricité. La Commission européenne a déposé le 30 novembre 2016 un ensemble de propositions, le « Paquet Energie Propre », touchant un large spectre d'activités. La présente étude analyse les dispositions de ce paquet visant à améliorer l'efficacité énergétique de 30 % et à donner aux énergies renouvelables une part de 27 % de la consommation en 2030. En 2014, les Etats avaient demandé que ces objectifs s'apprécient pour toute l'Union européenne ; néanmoins la Commission souhaite obtenir un mandat pour contrôler que chaque État apporte une contribution honnête à l'effort collectif. L'étude souligne que l'objectif de 30 % retenu pour l'efficacité énergétique affaiblit le rôle dévolu au marché du CO2 ; les simulations révèlent que cette faiblesse bénéficiera au charbon, qui gardera en 2030 une place supérieure à celle qu'il aurait occupée avec un objectif de 27 %, le gaz naturel étant au contraire pénalisé par un faible prix du CO2. Il apparait également qu'en demeurant trop bas, le prix du CO2 dissuadera certains investissements en faveur des énergies renouvelables qui auraient vu le jour naturellement avec à un prix élevé ; il sera donc nécessaire de déployer des politiques publiques coûteuses pour déclencher ces investissements, afin que la part de ces énergies totalise 27 % en 2030. Les simulations montrent aussi que l'objectif relatif aux énergies renouvelables sera atteint en grande partie grâce à une croissance très rapide de l'électricité d'origine éolienne et solaire. Les propositions du 30 novembre 2016 visent donc à favoriser le développement de ces deux filières, en réformant le ma
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Crédoc - Baromètre du numérique - édition 2023 - Rapport - 0 views

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    "Les résultats présentés sont des résultats redressés : ils sont donc représentatifs de la population de 12 ans et plus résidant en France métropolitaine et, à ce titre, mis en regard des précédents résultats, issus d'enquêtes menées en face-à-face. Les résultats sont présentés en trois parties : La première partie s'intéresse aux principaux taux d'équipements (en téléphone fixe, téléphone mobile, ordinateur à domicile, mais aussi smartphone, tablette, connexion internet à domicile et télévision) et présente la proportion d'internautes et d'internautes quotidiens dans la population française ainsi que les modes de connexion les plus couramment utilisés à domicile. D'autres équipements plus récents sont également passés en revue : enceinte connectée, objets connectés La seconde fait le point sur les usages, en distinguant les usages sur téléphone mobile (navigation sur internet et messageries instantanées) et, plus largement, en étudiant les usages sur internet (achat, réseaux sociaux, e-administration, recherche d'emploi …). Pour la première fois, des questions s'intéressent à la pratique de jeux en ligne. Un volet de l'enquête est dédié cette année à la satisfaction des usagers quant à la qualité de service sur les réseaux fixes et mobiles. Des questions sur le télétravail ont été reprises, et, pour la première fois on s'intéresse à l'usage radiophonique et télévisuel, en tentant de dresser les pratiques et les préférences des Français en la matière. La dernière partie évoque plus largement le numérique dans la vie quotidienne, que ce soit en termes de temps passé sur les écrans (dont le temps passer à jouer) ou de rapport au numérique et précautions prises, ou pas, dans l'usage d'internet : confiance, place donnée aux plateformes, protection de la vie personnelle, paramétrage des cookies, recours à la reconnaissance digitale ou faciale, recours aux fo
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OPECST - Rapport - Les grandes tendances de la recherche dans le domaine de l... - 0 views

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    Dans le prolongement de l'évaluation de la Stratégie nationale de recherche en énergie (SNRE) publiée en mars 2017, l'Office a organisé, le 24 mai 2018 et le 4 juillet 2019, deux auditions publiques consacrées aux grandes tendances de la recherche, d'une part, sur l'énergie nucléaire du futur, d'autre part, sur les énergies renouvelables. Les rapporteurs ont présenté les conclusions de ces auditions le 17 octobre 2019. Ils estiment nécessaire que la France se donne les moyens d'atteindre les objectifs ambitieux qu'elle s'est fixés, en particulier en faisant des choix technologiques pertinents et en intégrant les problématiques de coût et d'acceptabilité sociale. En ce qui concerne la recherche sur le nucléaire, ils recommandent au Gouvernement d'établir, sous le contrôle du Parlement, une stratégie de long terme, claire et opérationnelle, qui inclut la gestion des déchets radioactifs. Cette réflexion devra s'ouvrir à la société civile, notamment aux universitaires et aux représentants de l'industrie, y compris des PME. Dans le domaine des énergies renouvelables, les rapporteurs préconisent de concentrer les investissements sur quelques technologies choisies et maîtrisées, en se positionnant sur des marchés mondiaux stratégiques et en prenant en compte le retour d'expérience des filières des batteries et des panneaux solaires. D'une manière générale, il importe de rechercher une vision systémique des différentes technologies en développement, en réalisant des analyses de cycle de vie, ou encore en anticipant leur intégration dans le réseau électrique.
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IFOP - Les Français et le développement durable - 0 views

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    Plutôt méfiants à l'égard des actions des différents gouvernements pour agir en faveur du développement durable (confiance notée à 4,5/10) et conscients que les actions efficaces en faveur de la protection de la planète se font avant tout au travers d'initiatives citoyennes (les citoyens sont le premier acteur jugé le plus capable d'agir avec 37% de citations, devant l'Etat ou les entreprises), les Français semblent aujourd'hui prêts à investir cette problématique. En effet, plus de 8 sur 10 d'entre eux se sentent concernés par le développement durable (82%), près d'un quart affirmant être « tout à fait concernés » (24%). Dans les faits, la quasi-totalité d'entre eux réalise déjà certaines actions en sa faveur, en particulier via le tri des déchets (88%) ou encore le fait d'éviter la surconsommation (80%), qui sont de loin les deux actions les plus populaires. Viennent ensuite - et dans une mesure bien moindre - des actions ayant trait à : La consommation - recourir le plus possible à l'achat en vrac (43%) ou consommer uniquement du Made in France (38%) - puis le recours à des énergies vertes (30%) ; Sur les transports, les Français font des efforts pour les déplacements en avion (58%)- probablement car ils demeurent très occasionnels -, mais bien moins pour la voiture (36%). En revanche, l'engagement auprès d'associations luttant en faveur de l'environnement via la participation à des actions terrain (22%) ou le don (16%) ne concerne qu'une faible partie de la population. Si les plus jeunes se montrent plus concernés par le sujet (35% des 18-24 ans se déclarent « très concernés ») que leurs aînés (17% des 65 ans et plus), ils ont pourtant moins tendance à réaliser les gestes durables les plus communs. Ainsi, alors que 92% des plus de 35 ans déclarent pratiquer systématiquement le tri sélectif, ils ne sont que 69% chez les 18-24 ans. Le même phénomène s'observe nota
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Réseau Action Climat - Pour donner à chacun le pouvoir de vivre : l'urgence d... - 0 views

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    L'ancien ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot et le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, lancent avec 19 ONG et syndicats un pacte pour faire face à l'urgence sociale et environnementale. Opposer l'urgence sociale à l'urgence climatique relève d'un non sens. C'est ce que défendent 19 organisations, dont La Fondation Nicolas Hulot, la Fondation Abbé Pierre, la CFDT, La Cimade, Réseau Action Climat... Ces acteurs de la société civile ont présenté, mardi 5 mars, 66 propositions réunies dans un pacte social et écologique. Ce dernier explore notamment la question de l'accès universel aux droits, la solidarité et la justice sociale, la transition écologique et l'enjeu démocratique, à destination de l'exécutif, des élus, des décideurs et des citoyens. Véritable « projet de société », ce pacte devrait déboucher sur la création d'un « Observatoire » pour mieux évaluer les politiques publiques grâce à des indicateurs sociaux et environnementaux. Concrètement, pour lier social et écologie, les organisations proposent par exemple d'en finir avec le mal logement et les « passoires énergétiques », en finançant leur rénovation et en interdisant leur mise en location. Les 66 propositions ne sont toutefois pas très détaillées. Cet appel à l'alliance du social et de l'écologie a-t-il des chances d'être entendu ?« L'exécutif n'a pas encore répondu à notre première demande de rendez-vous », note Samuel Léré, porte-parole de la Fondation Nicolas Hulot. En pleine période de Grand Débat National, ces acteurs porteront leurs propositions lors de tables rondes et de la Marche pour le Climat. « Nous allons nous réunir prochainement pour voir comment nous pouvons faire vivre concrètement ce pacte, notamment dans les territoires ». Reste à savoir s'il pourra constituer un moyen de pression suffisant. « C'est un projet global. Le gouvernement ne pourra pas choisir parmi les propo
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The Shift Project - Déployer la sobriété numérique - 0 views

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    The Shift Project travaille depuis 2017 sur l'impact environnemental du numérique. Le troisième volet de ce travail vise à proposer des cadres méthodologiques opérationnels pour mettre en place la sobriété numérique : dans les stratégies et politiques publiques, dans l'entreprise, dans les systèmes d'usages du domaine privé. Nos deux premiers rapports, « Lean ICT - Pour une sobriété numérique » (2018) et « Climat : l'insoutenable impact de la vidéo en ligne » (2019), nous ont permis de définir notre vision du concept de sobriété numérique. Les constats établis dans ces précédents travaux ont alimenté, notamment grâce à la production de chiffres, une prise de conscience de l'importance de l'empreinte environnementale du numérique, de son augmentation préoccupante et des raisons systémiques qui conduisent à cette situation. Le troisième rapport est disponible en version intermédiaire et diffusé pour relecture : Passer de la sensibilisation et des constats à l'action S'il est nécessaire de poursuivre les efforts de sensibilisation en la matière, il est tout aussi important de montrer qu'il est possible de passer des constats à l'action, elle aussi systémique, visant donc à ce que les différents acteurs interconnectés au sein du système puissent conjointement évoluer dans un sens permettant de contenir l'envolée de la consommation d'énergie et de matériaux du numérique. Dans ce cadre, il est nécessaire de cibler des leviers permettant d'inciter les différents acteurs à opérer les changements nécessaires. Sans prétendre à l'exhaustivité, c'est ce que nous essayons de faire à travers les différents chantiers en cours. Nos 4 axes de travail * Axe 1« Analyse de projets smart » : Démythifier les approches « smart » en montrant aux acteurs publics (collectivités locales) et privés (entreprises, ménages) que des conditions doivent être remplies pour que leurs impacts environ
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GoodPlanet - Point de vue : l'agriculture locale et bio est-elle vraiment meilleure pou... - 0 views

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    "Nous republions ici le point de vue de Serge-Étienne Parent, Ingénieur écologue, professeur en génie agroenvironnemental, Université Laval, sur les modèles agricoles du monde de demain. Ce dernier remet en cause la pertinence du retour vers une agriculture locale bio en estimant que ce modèle ne répond pas aux enjeux écologiques globaux ou alors à la marge. La parution de ce texte ayant suscité des critiques de nos lecteurs, nous avons publié une mise au point et rajouté ce petit paragraphe introductif afin de contextualiser le texte présenté ci-dessous tout an ajoutant dans le titre de l'article qu'il s'agit . L'agriculture a la lourde responsabilité d'alimenter des milliards d'humains dans des conditions difficiles : la démographie est croissante, le climat est de moins en moins favorable, les ressources en eau se tarissent et les sols se dégradent. Malgré des progrès immenses, elle laisse trop de ventres creux et mal nourris tout en affectant la nature à l'excès. Pour réformer cette situation intenable, plusieurs encouragent un virage vers une agriculture paysanne, locale et biologique. De même, depuis le début de la pandémie, des politiques sont déployées un peu partout pour accroître l'autonomie alimentaire. On pourrait difficilement être plus à côté de la plaque. Entendons-nous. Je ne rechigne pas devant un casseau de fraises bio achetées dans un sympathique marché local. Je suis émerveillé par l'ingéniosité des agriculteurs de par le monde pour améliorer leurs impacts écologiques, et ce, en régie conventionnelle comme biologique. Toutefois, en insistant sur les aspects esthétiques de l'agroalimentation (écoblanchiment, romances paysannes et chauvinismes gastronomiques) et sur les jeux de pouvoir qui s'y trament, on en vient à défendre des politiques malavisées, qui ne s'appuient pas sur les données scientifiques. Je suis ingénieur écologue et professeur en agroenvironnement. Mes
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Angoulême - Message de l'Avent de Mgr Hervé Gosselin - 1 views

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    "« Le Monde d'après » par définition est pour demain mais il est aussi dès aujourd'hui en germe et en puissance. Il est ce que nous en ferons, avec la grâce qui ne manque pas. Nous prions avec foi et espérance pour cet « Avent du monde d'après » dans lequel nous sommes. Qu'il vienne au plus vite dans la réalisation des promesses de fraternité, de liberté, de justice et nous précisons en ce temps de l'Avent : « Viens Seigneur Jésus, viens, viens nous sauver ». (...) Défense de la biodiversité et Fraternité : même combat ! La différenciation est avant tout une richesse car elle permet une interaction bénéfique. Résolument le Seigneur est contre le clonage et le copier-coller érigé en système. Les mages viennent à la crèche avec leurs différences de langue, de culture, d'intelligences. Il n'y a pas une race supérieure à une autre, pas un âge supérieur à un autre, pas une intelligence supérieure à une autre. Tous frères et tous différents… tous égaux en dignité.  Que faire désormais dans ce combat séculaire aux accents inédits ? Nous pouvons trouver dans la nature des principes de vie et les imiter (biomimétisme).  A l'âge d'une surabondance d'informations et des moyens de communication, ne sommes-nous pas en train de diminuer notre capacité humaine d'entrer en relation avec l'autre en vérité ? Dans le monde végétal, le monde animal, nous pouvons retrouver des règles de vie en société qui nous rappellent que nous sommes en relation les uns avec les autres et que « tout est lié ». Dieu nous a livré le monde avec les solutions pour nos maux."
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Limoges - Lettre pastorale de Mgr Bozo - En chemin vers les ostensions 2020-2023 - 0 views

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    Chaque année, j'ai écrit une « lettre aux diocésains » pour rendre compte de mes découvertes, de mes questions et suggérer des points d'attention. Celle que je vous adresse en cette rentrée pastorale est plus consistante. Elle s'intitule « En chemin vers les ostensions » et veut s'inscrire dans le sillage de la belle lettre pastorale de mon prédécesseur, « Un peuple en marche », datée de la Toussaint 2014. Elle vise à donner quelques perspectives pour qu'ensemble, nous marchions vers l'achèvement du Royaume, puisque c'est pour cela qu'existe l'Église. Nous ne pouvons, en effet, avancer qu'ensemble, l'Église étant « dans le Christ, en quelque sorte le sacrement, c'est-àdire le signe et le moyen de l'union intime à Dieu et de l'unité de tout le genre humain ». Avancer ensemble, c'est un des axes majeurs du pontificat du Pape François, qui invite à une Église « synodale » c'est-à-dire soucieuse d'accueillir les dons et les charismes que l'Esprit Saint répand dans la communauté. Nos paroisses, mouvements et services, notre diocèse, ne manquent pas de lieux d'expression et de mise en œuvre de cette synodalité. Je souhaite que nous continuions de les favoriser. L'équipe d'éveil synodal initiée en septembre dernier vise à chercher des pistes concrètes pour faire vivre partout cette synodalité et rester ainsi à l'écoute du monde et des communautés de notre diocèse. C'est suite au travail de cette première année de l'équipe d'éveil synodal, croisé avec celui du conseil épiscopal, que j'écris ces lignes, à la lumière de nos échanges et de ce que je crois que le Seigneur m'inspire. Le but de cette lettre n'est ni d'indiquer des réformes de structures ni de proposer un modèle paroissial original ou d'instituer de nouveaux ministères. Certains en seront peut-être déçus. Je ne suis pas opposé aux réformes. Mais il me semble que les structures pastorales issu
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Vingt ans de lutte contre le changement climatique en France | Actualités | A... - 1 views

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    "Le projet d'avis sera présenté à la fin du premier trimestre 2015 par la section de l'environnement. La XXIème Conférence des parties sur le Climat (COP21) aura lieu à Paris à la fin de l'année 2015. Or, la France et l'Europe se sont historiquement positionnées comme acteurs de la lutte contre le changement climatique. À l'occasion de la COP21, notre pays aura à coeur de présenter les effets de sa politique de réduction des gaz à effet de serre. En effet, depuis vingt ans, la France a engagé une démarche de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Elle s'est dotée d'objectifs : loi POPE du 13 juillet 2005, loi Grenelle 1, Paquet Climat-Énergie Européen… Elle a déployé des moyens : plusieurs Plans Climat (2000, 2004, 2008), des politiques sectorielles, y compris d'investissements publics, des instruments économiques (marché des permis d'émissions, fiscalité carbone), des politiques territoriales de lutte contre le changement climatique à partir du début des années 2000 (plan climat territoriaux, PCET, SRCAE…). Dans ce contexte, il apparaît pertinent pour le CESE de dresser, dans le cadre d'un rapport et d'un avis, le bilan et les perspectives de la mise en oeuvre des politiques de lutte contre le changement climatique en France. Ce travail est complémentaire de l'avis préparé au premier semestre 2014 en section environnement sur l'adaptation au changement climatique. Il est en lien avec la dynamique nationale sur la transition énergétique et s'appuiera donc sur l'avis du CESE sur ce sujet (janvier 2013). Il importe d'abord de dresser le panorama des moyens mobilisés, des outils d'atténuation des émissions de gaz à effet de serre mis en place et de leur articulation. La dimension territoriale des politiques d'atténuation mérite une attention particulière, tant pour observer les dynamiques locales et l'implication des acteurs, que les éventuelles inégalités territoriales,
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The Conversation - Lutte anti-gaspillage dans la grande distribution : les cl... - 0 views

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    "Si la majorité d'entre nous (87 % des Français selon l'Observatoire du geste de tri) a pris l'habitude de trier ses déchets pour en faciliter le recyclage, beaucoup moins (46 %) feraient l'effort d'apporter leurs poubelles à la déchetterie la plus proche lorsqu'il n'existe pas de service public de collecte. Partant de ce constat, l'enseigne Monoprix a lancé en juillet dernier, un nouveau service, appelé « Shop & Give ». Son principe est simple : en vous apportant vos courses, le livreur en profite pour récupérer les produits alimentaires dont vous savez déjà que vous ne les consommerez pas - à condition qu'ils soient encore emballés et pas encore périmés. En proposant de récupérer ces produits, l'enseigne abat deux des freins particulièrement importants dans l'adoption d'un comportement plus responsable : le temps et l'effort consentis. Une fois récupérés, les produits sont donnés aux associations caritatives partenaires de l'enseigne, conformément à la loi française de 2016. D'après l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), pas moins de 30 %, en moyenne, de la production alimentaire mondiale serait perdus ou gaspillés chaque année. En cause : des formats de vente qui ne sont pas toujours adaptés à la taille des foyers (en constante diminution), la difficulté pour les consommateurs de comprendre les différents formats de date de péremption ou encore des produits achetés en quantité trop importante ou en doublon et qui finissent par ne plus être consommables."
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